Nicole a beaucoup évolué depuis ce fameux jour où, voulant déjeuner avec sa jeune stagiaire, le plaisir de plaire, l'envie de jouir ont pris le dessus sur sa vie trop bien rangée. Ces sensations, ce besoin de sexe, étaient en sommeil. Et puis, il y a du nouveau : elle a découvert le plaisir de porter des bas maintenus par un porte-jarretelles, et qu'en fait c'est terriblement excitant. Elle était persuadée que porter ce genre de dessous ultra sexy n'était pas pour elle, en tout cas pas pour une femme éduquée plutôt strictement dans les concepts de la religion catholique.

Par-dessus tout, s'exhiber l'excite beaucoup, énormément même, ce plaisir particulier qu'elle n'imaginait même pas avant le déclenchement de toutes ces aventures.

En pleine confiance avec son boss – Pierre Picard – qu'elle appelle maintenant par son prénom, elle a pris conscience de son pouvoir féminin. Alors elle a décidé d'en profiter pleinement. Il lui a promis d'être toujours présent, quels que soient les jeux dans lesquels il l'entraînera.

Ce qu'elle aime par-dessus tout, c'est quand il pose une main sur son genou et la remonte le long de sa cuisse : ça la fait instantanément frissonner, en déclenchant une émotion au niveau de son bas-ventre.

Des idées saugrenues, qui lui auraient parues abjectes deux mois auparavant, fourmillent dans son cerveau. Ce soir-là, après s'être occupée de ses enfants – que bien sûr elle adore – et les avoir couchés, elle a pris un bain un peu spécial : son smartphone bien calé sur le rebord de la baignoire, elle s'est filmée, nue, en se savonnant de manière hyper sexy, les mains caressant son ventre un peu gras et ses gros seins. Il y a deux mois encore, elle en avait honte ; ils lui paraissaient trop gros, et son ventre un peu relâché. À 49 ans elle n'a plus, bien entendu, un corps de jeune fille. Mais son amant a su lui prouver qu'elle n'en est que plus sexy, avec ce charme spécifique aux femmes dans la force de l'âge, aux formes pleines, que les hommes aiment tant à observer, à caresser.

Puis elle envoie ce petit film à son amant, après avoir quand même hésité quelques minutes. Une excitation folle l'a envahie au moment où elle a pressé le bouton « envoi ». Elle a dû se masturber pour tenter de se calmer. Une heure plus tard elle reçoit un SMS qui la rassure et la rend fière d'avoir osé : Salope ! Trop belle… Vous êtes vraiment ma femelle préférée !

Cet envoi n'est pas tout à fait innocent : le lendemain, ils doivent sortir. Il est invité à un cocktail organisé par une galerie où seront exposées des œuvres de Jack Vettriano. Les enfants récupérés par leur père pour le week-end, elle va pouvoir donner libre cours à ses envies pour la satisfaction de ses besoins sexuels.

Elle s'est procuré une chaînette, qu'elle accrochera autour de sa cheville gauche, parfaitement consciente du message implicite qu'envoie ce petit bijou (elle l'a lu quelques jours plus tôt). Et ça l'excite beaucoup d'afficher en public – pas au travail, bien sûr, uniquement en sortie – qu'elle est « disponible » aux envies des hommes. Elle en a parlé à son amant, qui l'a encouragée à la porter. « Envie de multiplier les hommes, Nicole ? » lui a-t-il dit, le sourire aux lèvres. Alors, mutine, elle lui a répliqué « Pourquoi pas ? Vous ne cessez pas de m'encourager à me faire plaisir, à me dévergonder. Mais toujours à condition que vous soyez dans les parages, vous m'avez promis ! »

Son boss, Pierre Picard, se sent en harmonie avec sa nouvelle maîtresse. Il peut être autant séduit par une peinture, une sculpture, que par le charme d'une femme, surtout lorsque celle-ci a plus de 45 ans et porte des robes ou jupes dont la longueur est proche du genou. Nicole correspond tout à fait à ses goûts : intelligente et très professionnelle, soumise – mais aussi capable de provoquer –, du goût dans sa nouvelle manière d'être, du charme, et une prédisposition à l'exhibition.

Il est passé la prendre chez elle. Avant de l'embrasser d'un baiser chaste sur les lèvres, elle se laisse observer quelques secondes, un peu anxieuse. Il lui sourit, le regard satisfait. Comme d'habitude, il lui ouvre la portière du véhicule. Rassurée, elle ne prête aucune attention à sa jupe tellement légère qu'en s'installant dans le siège, ses cuisses se trouvent largement découvertes.

Les bas, de couleur noire cette fois-ci, sont reliés à mi-cuisse par un porte-jarretelles noir lui aussi. Elle a eu envie d'autre chose que du blanc, tout en espérant qu'il aimera. La culotte toute simple, légère, est entièrement transparente. Une jupe fluide, noire elle aussi, est parsemée de gros pois blancs pour casser le noir de l'ensemble. Elle l'a choisi à dessein, pour faciliter le passage d'une main sous le tissu. Un soutien-gorge très fin pour maintenir autant que possible ses seins, que recouvre un haut moulant noir lui aussi, enfin une paire d'escarpins marron pour casser la couleur noire de l'ensemble.


L'exposition de quelques œuvres de Jack Vettriano se tient au musée des Abattoirs, qui ne porte ce nom que parce qu'il a été construit sur l'ancien site des abattoirs de la ville. Les invités sont agglutinés dans le grand hall autour du bar où des serveurs proposent boissons et amuse-gueules. Après s'être faufilés entre les gens pour attraper une flûte de champagne, ils préfèrent parcourir les salles où sont exposées les œuvres de l'artiste. Pierre Picard découvre alors une autre facette de Nicole : elle est non seulement amatrice d'art moderne, mais en outre elle connaît bien les artistes et leurs œuvres. Déambulant d'une pièce à l'autre, la flûte de champagne rosé à la main, elle lui explique le cheminement de l'artiste.

Quand ils se retrouvent seuls dans l'une des salles d'exposition, tout en prêtant une oreille attentive aux explications de Nicole, il lui fait remarquer que certaines œuvres représentent une femme découvrant une cuisse barrée de lanières d'un porte-jarretelles. En gloussant, elle acquiesce en précisant qu'il doit être un peu comme lui, amateur de femmes fatales en porte-jarretelles… Il rit en flattant de la main le derrière de sa maîtresse, la faisant se cambrer légèrement pour mieux se prêter à la caresse, sachant qu'à tout moment une ou plusieurs personnes pourraient surgir et les voir.

Profitant d'une petite salle vide de visiteurs, au détour d'une paroi elle se prête au jeu en n'hésitant pas, mine de rien, à remonter sa jupe pour lui montrer les attaches de son porte-jarretelles.

— Nicole, vous n'allez quand même pas chercher à me faire bander, ici devant tous ces gens…

Elle éclate de rire, remonte un peu plus haut l'ourlet de sa jupe jusqu'à découvrir le bas d'une fesse, puis confirme :

— Pourquoi pas ? Moi aussi je sais jouer !

Dans un nouvel éclat de rire elle se détourne, faisant le tour de la pièce en se déhanchant bien plus qu'il ne le faudrait, heureuse d'être là, avec lui, "mon mec" comme elle aime le penser.

Il a vite repéré qu'un couple les suit tout en faisant mine de les ignorer. Alors il décide de commencer à jouer, pour voir jusqu'où ira ce couple qui les épie depuis un bon moment. Manifestement, ce n'est jamais par hasard qu'ils se trouvent dans la même salle que celle qu'ils visitent. À chaque fois qu'il caresse les fesses de sa maîtresse ou qu'il fait remonter la jupe, ils y pénètrent au même instant. Nicole, qui ne s'est pas rendu compte du petit manège qui se trame, se prête avec délice aux caresses indécentes de son amant, excitée par le danger d'être prise en flagrant délit de comportement scabreux.

C'est ce qui se produit quand, se pressant contre son homme en offrant son derrière à la main qui lui flatte la croupe, elle découvre ce couple qui les observe à quelques mètres en souriant. Instantanément elle rougit, honteuse d'avoir été surprise par des inconnus dans une attitude très équivoque.

L'air de rien, la femme entame la conversation, commentant une œuvre qui décrit une femme exposant sa cuisse barrée des lanières d'un porte-jarretelles. Confuse, en serrant fort la main de son amant pour chercher son appui, Nicole tente de reprendre ses esprits en participant à la discussion.

Un peu naturellement, bien que Pierre ait parfaitement compris les attentes de ce couple voyeur, ils continuent tous les quatre la visite de l'exposition. La femme, plus petite que Nicole, est vêtue de manière sexy, pour ne pas dire ostentatoire, portant une robe bien plus courte que celle de Nicole, qui lui arrive presque à mi-cuisses, et surtout un large décolleté qui expose le tiers de ses seins.

Se présentant sous le nom de Cécile, elle tente de copiner avec Nicole en la flattant pour son élégance et sa silhouette ; quant aux deux hommes, ils les suivent, préférant rester silencieux sans manquer de dévorer des yeux les deux femmes à la démarche hyper sexy, perchées sur leurs escarpins. Désinhibées par l'alcool du champagne, elles rivalisent de gestes de séduction, l'une jouant avec ses mèches de cheveux, l'autre promenant son doigt de la base du cou jusqu'à l'amorce de son sein.

Au terme de la visite, ils prennent ensemble une dernière flûte. Dans un enthousiasme un peu trop bruyant, que d'autres hommes observent en ricanant, le couple leur propose de poursuivre la soirée en allant dîner ensemble dans une brasserie. Nicole, pas vraiment dupe du petit jeu de cette femme un peu trop sexy, interroge son amant du regard.
Elle lui glisse à l'oreille :

— Son décolleté vous excite ?

Ignorant la question, son amant accepte l'idée de continuer la soirée ensemble, tout en faisant semblant de demander à Nicole son accord.


Dans la voiture qui les mène au restaurant qui a été convenu, Nicole relance son amant au sujet de la grosse poitrine de Cécile :

— Pierre, son décolleté vous excite ?
— Hum, elle en fait un peu trop, non ?
— Vous n'avez pas cessé de plonger votre regard dans ses seins ! Vous aimeriez les pétrir, j'en suis certaine… Je ne vous suffis plus ?
— Allons, Nicole, vous n'êtes quand même pas jalouse… Vous m'avez réclamé plus de jeux, non ? Et son mari, comment le trouvez-vous ?

Elle comprend instantanément que la pente est glissante. Alors, d'une pirouette elle rétorque :

— Vous avez raison, ils sont plutôt sympas. Mais quand même, ils ont bien vu quand vous m'avez caressée.
— Vous vous étiez collée contre moi, vos lèvres contre les miennes.

Elle rit, puis en bredouillant un peu, elle esquive la remarque :

— Vous la connaissez, cette brasserie où ils nous emmènent ?
— Oui, elle a bonne réputation.
— La femme, elle s'appelle Cécile je crois, m'a confié que son mari est intrigué par la chaînette que je porte à la cheville.
— Je ne crois pas qu'il soit seulement intrigué, comme vous dites, rétorque son amant en riant. Il a surtout compris que vous êtes disponible pour d'autres hommes…
— Euh… Je n'aurais pas dû porter ça : tous les hommes vont croire que… que je suis une salope… et…
— Auriez-vous peur tout à coup ? Ça ne vous excite pas de savoir que d'autres hommes ont envie de s'occuper de votre corps ?

À court d'argument, elle évite de répondre. Bien sûr elle est excitée par les caresses que son amant lui prodigue dans un lieu public, par les dessous plus que coquins qu'elle porte. Elle a réclamé d'autres jeux ; c'est certainement ce qui va se produire. Et cette femme aux seins bien plus gros que les siens, exposés aux yeux de tous, elle a envie de les pétrir. Dans sa tête, résonne cette phrase : « Salope… quelle salope, exhiber comme ça tes grosses mamelles… Salope, tu veux te faire baiser… salope ! » Plus elle se répète ces mots, plus l'excitation grimpe. « Salope, tu veux te faire baiser… comme moi ! »

Elle se tourne vers son amant :

— Pierre… avec vous, je suis bien. Vraiment bien.

Elle se penche vers lui pour déposer un baiser dans son cou.


Accueil très pro au restaurant. Manifestement, ce couple y est si bien connu qu'on leur a proposé une table dans un coin de la petite salle. Les deux femmes se sont installées côte à côte sur une banquette, faisant face à leurs hommes. Une serveuse d'une vingtaine d'années, cheveux attachés en queue de cheval et petites lunettes de myope, portant une jupe noire bien trop courte, chemisier blanc et chaussures à petits talons, s'occupe de leur table.

À deux mètres d'eux, une table où est installé un couple d'une soixantaine d'années.
Au cours du repas, Nicole se montre très volubile. Elle fait l'admiration du couple en expliquant ce qu'est vraiment l'art moderne, apportant moult détails sur le cheminement artistique de Jack Vettriano. Sa voisine de table a déjà, par deux fois, posé la main sur la cuisse de Nicole, entre le genou et l'ourlet de la jupe. Toutefois, elle ne l'a pas fait bouger, laissant plus ou moins croire qu'il s'agit d'un geste machinal et anodin.

Charles, le mari de Cécile, complimente Nicole pour son érudition :

— Bravo, Nicole, pour la clarté de vos explications. Je comprends maintenant bien mieux la démarche de cet artiste. C'est vraiment intéressant, et vous êtes très compétente !

Pierre intervient alors :

— C'est vrai, je suis moi-même admiratif des connaissances culturelles de Nicole. C'est un plaisir renouvelé chaque jour de l'avoir comme collaboratrice. Mais elle possède aussi bien d'autres compétences, tout aussi intéressantes. N'est-ce pas, Nicole ?

Nicole se raidit ; elle a compris. La petite flamme qui brille dans ses yeux ne trompe pas : le jeu va bientôt débuter. En fait, il commence immédiatement car d'un ton neutre qui ne souffre aucun refus, il lui demande :

— Nicole, retirez votre culotte et posez-la sur la table, voulez-vous ?

Un silence pesant s'installe. Tout le monde a bien entendu, attendant quelque peu impatiemment ce que va faire Nicole. Cinq, dix secondes interminables pendant lesquelles rien ne se passe. Cécile se décale de quelques centimètres pour laisser un peu de place à Nicole.

Retirer sa culotte devant ce couple qu'elle ne connaissait pas deux heures auparavant, c'est presque trop. Soumise, mais très excitée, elle le fait. Le regard braqué dans les yeux de son amant comme pour le défier, elle prend une bonne bouffée d'air pour se décontracter. Puis elle décolle les fesses de la banquette, retrousse sa jupe pour agripper les bords de sa culotte. Sa voisine de table n'en perd pas une miette ; s'adressant à son mari, elle indique :

— Charles, elle va beaucoup te plaire : ses bas sont tenus par un porte-jarretelles. J'aurais dû le faire aussi…

En se contorsionnant pour faire glisser la culotte le long de ses cuisses puis de ses mollets, le regard toujours fixé sur celui de son amant, elle lui fait passer un message silencieux : « Tu vois, je suis bien plus salope qu'elle. »

Elle n'en mène quand même pas large. S'exhiber comme elle l'avait déjà fait dans un lieu prévu pour ça n'avait pas été trop difficile ; mais ici c'est bien différent car c'est en public, dans un lieu pas du tout conçu pour faire des cochonneries. Le cœur battant à tout rompre, elle soulève un genou, puis l'autre, en tendant un bras vers le sol pour faire passer le tissu sous le talon de ses escarpins. Consciente que cinq paires d'yeux sont braqués sur ses gestes, elle se redresse, les joues un peu rouges malgré le maquillage, la culotte à la main, qu'elle pose prestement sur la nappe blanche, au risque de voir la serveuse apparaître à ce moment précis pour déposer les desserts.

Cécile la saisit immédiatement, la porte à ses narines, puis rompt le silence :

— Elle sent bon la femme ; un peu fort, d'ailleurs. Elle devait être déjà excitée avant de venir ici : le fond est très humide. Tiens, Charles, veux-tu sentir toi aussi ?

Sous les yeux de Nicole, silencieuse et tête baissée dans son assiette, la culotte passe de mains en mains, entraînant des commentaires un peu vulgaires, d'abord entre celles de Charles qui prend son temps en frottant sur son visage le tissu aux effluves chauds. Il apprécie tout particulièrement les odeurs intimes que déposent les femmes dans leurs culottes. Puis la femme de la table d'à côté la réclame elle aussi. À la surprise de Nicole, elle déclare :

— Je n'aurais sûrement jamais osé faire la même chose. Bravo, Madame, pour votre courage. Je suis admirative !

Elle la retourne, l'examine de près.

— Cette odeur… quel délice ! Et… bon sang… il y a semble-t-il quelques traces qui témoignent de votre excitation. Vous permettez ?

Nicole, toute honte bue, rougit violemment en réaction au commentaire quelque peu graveleux. Sous le regard de tous, la femme sort sa langue qu'elle pose sur le fond de la culotte, cherchant par là même à récolter quelques secrétions émises par l'intimité de Nicole.

Cécile repose une main sur la cuisse de Nicole, se faufilant cette fois-ci sous le tissu fluide de la jupe, glissant le long de la cuisse jusqu'à toucher quelques poils englués de cyprine. Elle se penche vers son visage et y dépose un baiser près de l'oreille en susurrant :

— Tu es très excitante… et tu es aussi très excitée !

Nicole, encore sous l'émotion du spectacle qu'elle vient d'offrir à la demande de son amant, retrouve un peu d'assurance. Elle tourne le visage vers sa voisine pour la regarder en souriant. Cécile en profite pour l'embrasser sur la bouche, tentant de glisser la langue entre les lèvres de Nicole. La main qui navigue le long de sa cuisse n'a pas réellement touché la vulve, prenant son temps en caressant lentement la cuisse offerte, avec la douceur que seule une femme sait employer.

— Hum… Messieurs-dames…

Suivi de la serveuse, tête baissée et mains croisées dans le dos, le patron du restaurant vient de s'approcher de leur table, interrompant le baiser langoureux des deux femmes.

— Pardon de vous déranger, mais… ma jeune serveuse vient de se plaindre. Il se passe ici, m'a-t-elle dit, des choses pas très catholiques… C'est bien ce que vous m'avez dit, Charlotte ?

Elle acquiesce, en montrant du doigt la culotte négligemment posée sur la nappe. Puis elle remet précipitamment ses mains dans le dos.
Son patron hoche la tête.
Nicole, rouge de honte et se sentant coupable, ne sait plus où se mettre.

— Ne vous inquiétez pas, Messieurs-dames, ma serveuse est un peu timorée, si j'ose dire. Quelle honte d'avoir osé dire du mal d'aussi bons clients que vous !

S'adressant aux deux hommes, il leur demande :

— Si vous permettez, il me faut la punir, et ce devant vous pour que cette punition soit efficace. Veuillez-vous écarter, je vous prie.

Puis, saisissant la serveuse par le bras :

— Viens ici, toi !

D'elle-même, elle pose ses coudes sur la table, visage couché sur la nappe. Alors le patron du restaurant relève la microjupe noire sur les reins de la jeune femme qui frémit en serrant les poings. Il baisse brutalement le collant en entraînant la culotte de coton, découvrant un derrière aux fesses bien rondes.

— Ma serveuse est un peu spéciale. Ce n'est pas la première fois qu'elle vient se plaindre de clients lui ayant mis les mains aux fesses ; il faut dire qu'elle fait tout pour ça, avec sa minijupe. D'habitude, je la punis dans l'arrière-cuisine, mais avec des clients ayant une telle ouverture d'esprit, il m'a semblé important de la punir devant vous.

Il lui applique alors une retentissante fessée. D'ailleurs il ne fait pas semblant, sa main alternant les claques douces et violentes sous les yeux des convives enchantés du spectacle qui leur est offert. Aux étonnements de tous, la jeune femme encaisse sans crier, mais quand même grimaçante, en tortillant du bassin, espérant atténuer la douleur provoquée par les coups. Cette attitude ne fait que renforcer la colère feinte de son patron qui redouble les claques sur le derrière marqué par ses grosses mains. Il tape là où les globes sont bien charnus. De temps en temps, la fessée est remplacée par une sorte de caresse sur les rondeurs devenues rouges.

Après deux minutes de cette étrange punition publique, il passe une main entre les cuisses de la jeune femme, la frottant contre ses parois intimes.

— Espèce de petite traînée ! clame-t-il en présentant à l'assistance ses doigts englués de cyprine collante, elle a joui ! Vérifiez vous-même : cette petite salope est trempée !

Il la redresse, la retourne en la courbant pour que le fessier soit face à la table. Charles tend la main, la fait glisser le long de la cuisse de la jeune femme en remontant vers la fourche. Pierre, plus vicieusement, saisissant les deux globes, les écarte, faisant gémir la serveuse, morte de honte. Les commentaires grivois et obscènes fusent.

— Si ça continue elle va encore jouir… ricane le patron.

Elle couine en subissant les assauts des deux hommes. Pierre lui met deux doigts dans la chatte, qu'il s'acharne à faire couler. L'autre homme lui fourre un doigt dans l'anus, en le faisant vicieusement aller et venir.

— Ahhh…

La jeune serveuse ne peut se retenir de crier ; la main de Pierre qui la doigte ne lui laisse aucun répit. Pour le laisser la fouiller, elle a écarté les jambes autant que possible avec ce collant coincé à mi-cuisses. Des gouttes de liquide tombent sur le sol, éclaboussant ses cuisses. Soudain elle se fige, bouche grande ouverte. Terrassée par l'orgasme, elle se laisse tomber sur les genoux, tremblante, la chatte dégoulinante de jus.
Tous la regardent silencieusement, sidérés par le spectacle que cette jeune femme leur a offert malgré elle.

Après quelques secondes, le patron de la brasserie intervient :

— Veuillez nous excuser, Messieurs-dames, pour ce spectacle dégradant que cette petite pute a donné. J'espère qu'elle retiendra la leçon.

Puis, s'adressant à la serveuse :

— Ça suffit, traînée ! File dans la cuisine !

Sous les rires graveleux et les quolibets des convives, la serveuse se redresse péniblement en reniflant, remet en place ses lunettes, et les quitte rapidement, oubliant de rabattre sa jupe sur son derrière.


Les quatre nouveaux amis, bien éméchés et excités, ont quitté la brasserie, les femmes accrochées aux bras de leurs partenaires, et se dirigent vers le parking où sont garés leurs véhicules.

Nicole est en feu, n'attendant qu'une chose : se retrouver seule avec son amant pour se faire enfiler, profondément, par sa « grosse bite », comme elle aime le penser. Arrivés au deuxième sous-sol, Cécile attrape Nicole par le bras, la coince contre une voiture pour l'embrasser, sa langue forçant le passage entre les lèvres pour s'engouffrer dans la bouche de la maîtresse de Pierre, qui cède sous l'emprise totale de ses envies. Elles se dévorent dans un interminable baiser obscène et dégoulinant de bave débordant des lèvres. Les deux hommes observent en silence le spectacle. Les femmes ne le savent peut-être pas, mais voir deux femmes s'embrasser langoureusement est un aphrodisiaque très puissant.

Quand enfin les visages se détachent, Pierre s'approche de Nicole et la serre contre lui :

— Vous êtes très belle, merveilleusement excitante…

Puis, lui indiquant le mur dans un endroit sombre face à sa voiture, il ajoute :

— Savez-vous de quoi j'ai envie, ma femelle préférée ?

Elle acquiesce d'un murmure, embrasse son amant d'un baiser profond, lui faisant goûter la saveur de la salive de l'autre femme, puis elle s'en détache et se dirige, d'une démarche lascive amplifiée par les escarpins aux très hauts talons, vers le mur de béton brut. Mains plaquées à la paroi, elle écarte les pieds, jambes tendues. Soudain, elle se retrouve dans un étroit flux de lumière : son amant a actionné les phares de sa voiture, l'éclairant comme sur une scène.

Une envie animale de s'exhiber la saisit, comme la femelle soumise à son amant qu'elle est devenue, la respiration haletante, le cœur battant la chamade. Bien consciente du spectacle qu'elle offre, elle saisit les rebords de sa jupe et remonte le tissu, exposant aux yeux des trois autres ses cuisses gainées de bas noirs, son porte-jarretelles, ses fesses nues, rondes, semblant appeler les caresses.

Elle attend, frémissante, brûlante. Elles sait qu'ils matent, qu'ils se repaissent de l'obscénité de l'image qu'elle offre : les cuisses pleines, les fesses amples, généreuses, au profond sillon qui les sépare. Elle se sent belle, belle et pute, avide de caresses vicieuses, entièrement sous l'emprise de la situation lubrique dans laquelle elle se trouve embarquée. L'excitation ne la quitte plus.

L'homme approche, pose une main sur ses fesses, les caresse. La femme vient aussi. Elle saisit le visage de Nicole pour l'embrasser. La main de l'homme est maintenant entre les cuisses de Nicole, tout en haut, fouillant entre les poils englués de mouille pour s'introduire dans la vulve enfiévrée, sous le regard de son amant.

La femme l'embrasse encore tout en infiltrant une main sous le léger pull de Nicole. Elle se met à pétrir les seins encore emprisonnés par le soutien-gorge au tissu si fin qu'elle peut saisir un téton et le pincer. Nicole gémit, se prête aux mains qui la caressent, qui la fouillent.

— Je voudrais que tu suces mon mari… Tu veux bien ?

Nicole repousse la main de l'homme qui fouillait entre ses cuisses. Consentante, avide de toucher cette bite, elle attrape la ceinture du pantalon, essaye nerveusement de la déboucler à l'aide de ses ongles manucurés, mais n'y arrive pas. Le type décide alors de l'aider. Il ouvre son pantalon, sort sa queue. Elle tourne la tête pour vérifier que son amant est bien là. Rassurée, elle le voit à quelques mètres, qui l'observe. Alors elle se penche pour gober cette bite impatiente de glisser entre ses lèvres chaudes. Elle n'est pas très grosse, mais ça conviendra.

La femme, vicieusement, attrape la queue de son mari et la guide elle-même dans la bouche de Nicole. Dans un état second, elle la suce, un peu maladroitement, à cause du désir de la faire gicler et de la main de la femme qui la gêne. Son amant, resté à quelques mètres, se masturbe lui aussi.

Abandonnant Nicole, ravie de pouvoir sucer cette belle queue comme elle l'entend, la femme rejoint Pierre qui se masturbe lentement en contemplant la scène.

— T'as une belle bite… Tu voudrais pas me…

Il ne la laisse pas finir sa phrase. Saisissant les rebords du chemisier, il les écarte pour mettre totalement à nu les gros seins puis il les empoigne, pétrit la chair élastique à deux mains, agrippe les tétons, les tord entre ses doigts. Elle pousse un petit cri, se cambre pour mieux s'offrir.

— Ils te plaisent, mes seins ? Tu veux que je m'occupe de ta bite avec mes seins ?
— Bonne idée, offre-moi tes gros nichons.

Comme il est bien plus grand qu'elle, il doit plier un peu les genoux. Elle s'accroupit, baisse la tête, laisse glisser un filet de bave dans le sillon ses deux globes. Les comprimant à l'aide de ses mains, elle les offre à l'homme qui se branle carrément dans la chair chaude et moelleuse.

Un grognement les fait se tourner vers l'autre couple : l'homme vient de jouir en déversant son foutre sur les lèvres de Nicole. Elle vient de faire jouir devant son amant un type qu'elle ne connaissait pas trois heures avant ! Des filaments gluants de sperme restent accrochés de la queue à la bouche de la femme. Hypocritement – et surtout malicieusement – elle n'a pas voulu qu'il se répande dans sa bouche. « Quand même, pas la première fois… lui a-t-elle dit ; je vous connais à peine ! »

La scène est d'une obscénité crue, renforcée par la lumière des phares. Pierre, terriblement excité par le spectacle que lui offre sa maîtresse, est surpris par la facilité avec laquelle elle vient de s'offrir à un couple d'inconnus, suçant à fond un homme qu'elle connaît à peine.

Nicole fait pivoter le visage vers son amant, le voit en train de se masturber entre les grosses mamelles de la femme du type qu'elle vient de faire cracher. Un peu honteuse, elle le regarde dans les yeux, cherchant dans son regard une approbation. Il lui sourit, lui demande d'approcher. Tout en continuant à faire glisser son chibre entre les gros seins, il lui tend un mouchoir de papier qu'il sort de sa poche. Elle le saisit, s'essuie les lèvres et le menton.

— Tu as aimé ? lui demande-t-il en employant machinalement le tutoiement.
— Oui, Pierre, j'ai aimé faire ça ; le faire devant toi, c'est ce qui m'a beaucoup excitée. Je n'ai pas voulu qu'il jouisse dans ma bouche : elle t'est réservée.
— Tu deviens perverse, Nicole !

Elle sourit, fière de lui montrer combien elle lui appartient.

— Elle te fait du bien, cette pute, avec ses grosses mamelles ? demande-t-elle en lui caressant les couilles.

Quand le désir d'être prise par son amant la dévore, sous l'emprise de ses pulsions, Nicole oublie ses bonnes manières, se laissant aller à utiliser un vocabulaire ordurier : « salope », « pute », « bite », « nichons » ; tous ces petits mots grossiers à connotation sexuelle et contraires à son éducation entraînent toujours un frémissement dans son bas-ventre.

Elle observe la queue de son amant, cette queue qu'elle aime tant, en train de glisser entre les gros globes de la femme. Un sentiment de jalousie l'envahit ; c'est entre ses propres seins que cette tige veineuse devrait s'épancher. Alors elle encourage la femme en l'insultant :

— Vas-y, grosse salope, fais-le gicler ! Ton mari, lui, n'a pas tenu longtemps.

Aucunement désarçonnée par l'injure, bien au contraire, la femme repousse la bite de ses seins pour la branler comme une morte de faim. Pour aider son amant à se soulager, Nicole agrippe les nichons de la femme, les fait ballotter, puis les comprime entre ses mains, vicieusement.

— Tu vas cracher ton sale foutre sur cette pute, Pierre ! Vas-y, lâche tout, elle n'attend que ça !

Le regard braqué sur les gros seins maltraités par Nicole, n'en pouvant plus, il jouit à son tour en faisant giclant son sperme chaud sur les grosses mamelles. Des filets de sperme fusent jusqu'au menton de la femme. Excitée de voir son amant cracher son foutre, Nicole penche son visage sur les seins et tire la langue pour lécher les gouttes de sperme.

— Cochonne !

Elle rit, heureuse de leur complicité qui ne fait que s'accentuer.

— On va rentrer ; j'ai très envie de t'enfiler, ma chérie.
— Oh oui ! J'ai la chatte en feu… Tu me baiseras fort, très fort, j'ai trop envie de ta bite.


Les deux hommes temporairement vidés, Nicole et Pierre ont quitté le couple. Conduisant d'une seule main – merci la boîte automatique – il caresse avec tendresse la cuisse de sa maîtresse. Avec une bouteille d'eau et quelques mouchoirs elle s'est nettoyé le menton et les lèvres où étaient encore collées les traces du sperme de l'homme qu'elle a sucé. Elle rectifie son maquillage, s'enduit les lèvres de rouge, dérapant légèrement quand la caresse de son amant se fait plus insistante sur la peau nue et moite au-dessus de la lisière des bas. En bougonnant un peu, elle réclame :

— Laissez-moi une minute, Pierre ; je veux me faire présentable pour vous quand nous arriverons chez moi.
— Présentable ? Vous ? Ma femelle préférée est toujours présentable pour moi.
— C'est gentil, mais laissez-moi m'arranger.

Tout en riant, il retire sa main. D'ailleurs, ils arrivent chez elle.
À peine entrés, elle le prend par la main et l'entraîne dans le séjour.

— Asseyez-vous !
— Ah oui… c'est un ordre ?
— Oui, c'est un ordre !

Il obtempère, amusé, et prend place dans le fauteuil qu'elle lui indique. Face à lui, bien campée sur ses escarpins, elle retire son léger pull, puis son soutien-gorge, laissant libre ses superbes seins qui s'affaissent un peu et ballottent avec sensualité au gré de ses mouvements. Elle plante ses yeux dans ceux de son mec, provocante, comme elle aime le penser.

— Vous aimez ma chatte ?
— J'adore votre chatte, votre vulve poilue bien entretenue, au goût prononcé de femelle en manque de bite…

Elle ricane un peu, puis :

— Vous avez encore envie que je vous la montre ?
— Bien sûr… cette grosse moule de salope que j'adore faire gicler !
— Alors je vous la montre.

Elle dégrafe sa jupe, la laisse tomber au sol. Maintenant presque nue, en bas, porte-jarretelles et escarpins, elle le toise. Remarquant enfin que le porte-jarretelles n'est pas blanc, mais noir, il l'interpelle :

— Vous avez délaissé le blanc pour le noir ?
— J'avais envie de changer. Ça ne vous plaît pas ?
— Oh si, j'aime quand vous prenez des initiatives.
— Vous avez aimé me voir sucer un autre homme ?
— Beaucoup, ma chère Nicole. Et que de progrès… Peut-être que toutes ces envies étaient enfouies en vous, n'attendant que l'opportunité de pouvoir éclater au grand jour.

Puis, la tutoyant :

— Approche. J'ai très envie de la bouffer, ta grosse chatte !

Elle ne bouge pas, le faisant attendre quelques secondes.

— J'aime quand vous me parlez de mon sexe. Vous en parlez en employant des mots crus, parfois même vulgaires, me disant que c'est une chatte de salope, une vulve de femelle excitée. J'aime quand vous mettez vos doigts dedans en me murmurant qu'elle est toute mouillée de sécrétions, avide d'être enfilée… J'aime quand vous dites que j'ai un gros cul. Je sais que vous aimez ça, les gros culs ; les gros nichons aussi. Ils sont assez gros pour vous ?

Elle s'arrête, reprend sa respiration, puis en proie à ses délires, continue ses aveux :

— C'est terriblement excitant de dire des cochonneries ! Je… quelle salope je suis… Putain, c'est bon d'être une salope… une… une… une sale cochonne qui aime la bite… une bite dans ma moule de salope ! Je te fais bander ? Salaud, tu as fait de moi une dépravée ! Il faudra que tu me punisses…

Elle se caresse lascivement le ventre, les seins, puis elle s'accroupit pour pouvoir plonger un doigt dans sa fente, qu'elle fait aller et venir devant son amant. Elle est belle, indécente et vraiment superbe. Dans la folie de ses envies, elle mélange tutoiement et vouvoiement :

— Ça me rend dingue de faire ça devant vous… Vos regards sur moi… je… j'ai la chatte en feu… Je vais mettre deux doigts dans ma chatte de… Bon dieu, je suis folle… trois doigts !

Elle se fouille de plus en plus vite, les doigts profondément enfouis dans son con, les ongles grattant au passage la paroi du vagin. Une crème blanchâtre dégorge de sa vulve qu'elle maltraite, engluant les poils et coulant lentement le long du périnée. Quelques gouttes tombent sur le sol. Les jambes tremblent, s'ouvrent et se referment convulsivement, la main s'agite plus violemment. La bouche grande ouverte, elle maltraite sa vulve en la fouillant de façon désordonnée. Tête jetée en arrière, torse tendu comme un arc, sa bouche s'ouvre en un rictus pour lâcher :

— Regarde bien… ça va gicler…

Elle s'insulte :

— Salope… salope… Ahhh !

Ravagée par l'orgasme, elle s'affaisse dans le canapé.

Il se redresse, s'approche d'elle, lui caresse tendrement la joue.

— Vous êtes très belle quand vous jouissez, ma chérie.

D'un doigt, il récupère un peu de crème qu'il porte à sa bouche. Rarement une femme l'avait excité à ce point.

Elle reprend vie, lentement. Les yeux mi-clos, elle le voit goûter la cyprine qu'elle a expulsée en jouissant. Alors le désir revient au galop. Avec désinvolture, elle écarte les cuisses, exhibant sa vulve poilue engluée de sécrétions, pour se faire enfin enfiler bien profond. Il présente sa queue à l'entrée de la moule baveuse à souhait, puis d'une poussée il s'y enfonce avec délectation.

Alternant les gémissements et les cris, folle de plaisir, elle éprouve le besoin de continuer à lui confier ce qu'elle ressent. Jusqu'à présent, il la faisait déraper en lui susurrant des insanités à l'oreille, mais cette fois-ci c'est elle qui crie les mots les plus vulgaires qui lui passent par la tête, ne se contrôlant plus du tout.

— Ouiii… baise-moi… salaud… j'aime montrer mon corps pour faire bander les hommes… J'aime regarder et toucher des bites… J'aime les sucer… baise-moi plus fort… j'aime ta bite… ta belle pine, elle me fait du bien… Tu l'aimes, ta femelle… hein, sale vicieux ! Un jour tu mettras ta bite dans mon cul !
— Salope… tu vas me faire tout cracher dans ta chatte !
— Ouiii… baise-moi… Ahhh !

Il tente de se retenir, guettant les prémices de l'orgasme dans le regard de Nicole, mais rien n'y fait. Hors de lui, tout en maltraitant les gros seins, il la bourre comme un forcené. Un dernier coup de reins, plus violent que les autres… Il se tétanise, et finit par lâcher son sperme en grondant. Bouche grande ouverte, les ongles enfoncés dans les flancs de l'homme qui vient de la remplir, l'orgasme explose en une immense vague qui emporte Nicole vers la jouissance.

Quelques secondes plus tard, elle pleure à chaudes larmes. Trop de jouissance. Du bonheur comme elle en a rarement ressenti. Alors il la prend dans ses bras et caresse ses cheveux avec une infinie tendresse.