Je devais me rendre à Paris. Je n'aime pas aller dans Paris, en tout cas de moins en moins. J'aime bien ma vie bien tranquille dans mon pavillon de grande banlieue, dans ma rue si calme, où l'ambiance est si paisible. L'agitation, le bruit, les klaxons, les touristes… si j'appréciais encore la capitale il y a une quinzaine d'années, ce n'est plus le cas. Peut-être perd-on l'habitude de ces endroits si agités au point d'en éprouver une appréhension irrationnelle et totalement démesurée par rapport aux risques rencontrés et aux possibles désagréments.

Je devais aller dans une agence de voyage pour un séjour au Japon que je voulais m'offrir. C'était une agence spécialisée dans l'Asie, et même si leurs prix étaient élevés, j'avais la garantie d'obtenir un séjour « sur mesure » où je pourrais me déplacer et effectuer des visites à mon rythme. J'avais effectivement eu une expérience désagréable lors de mon premier voyage dans ce pays, et j'avais juré que le tourisme de masse était définitivement terminé pour moi.

Étant donné qu'on était en période de vacances scolaires et qu'aucune grève n'était prévue, j'avais préféré m'y rendre en voiture. Tant pis si j'allais mettre un peu de temps pour rentrer, tant pis si ce n'était pas très écolo, j'y irais cool, je prendrais mon temps.

J'arrivai sans trop d'encombre jusqu'à Paris. Là, dans la ville intra-muros, il y avait comme d'habitude beaucoup de circulation ; on roulait au ralenti, mais ça allait.

À un moment donné, alors que je roulais tranquillement sur les boulevards extérieurs sans dépasser les 30 km/h (on ne sait plus où c'est limité, où ça va l'être bientôt, où ça ne l'est pas – mais de toute façon il est rare de faire des pointes à 40, vu la densité de la circulation), le feu passa à l'orange. Étant encore à une cinquantaine de mètres de celui-ci je freinai – assez tranquillement – ayant toujours une conduite assez souple.

Le choc me surprit. Je fus projeté en avant, heureusement arrêté par la ceinture de sécurité, le souffle un peu coupé quand même. Nom de dieu, quel abruti avait oublié de freiner ou avait cru que j'allais griller ce feu, comme si c'était tout à fait naturel ? Derrière moi, dans le rétroviseur, une voiture gris anthracite, de taille moyenne, comme la mienne. Je me dis que j'allais peut-être tomber sur un cinglé, un de ces jeunes excités qui roulent sous coke et croient que le monde leur appartient. N'empêche que, sous le coup de la colère (et non pas d'un quelconque stupéfiant) je ne ressentais aucune crainte. Je descendis, me disant qu'il fallait me calmer, que ça ne servait à rien d'en rajouter et de jeter de l'huile sur le feu : ce qui était fait était fait.
Je fus surpris de voir descendre lentement et avec un air catastrophé une petite dame aux cheveux gris et courts, qui ne devait pas faire plus d'un mètre cinquante-cinq.

— Oh, Monsieur, je suis désolée… j'ai été distraite, j'aurais dû regarder. En tout cas j'ai cru que vous alliez… Je ne croyais pas que le feu allait passer à l'orange…
— Ben oui, les feux y passent régulièrement : ils ne restent pas éternellement au vert, même sur ces grandes avenues, répondis-je d'un ton froid et coupant, maîtrisant ma colère.

La petite dame semblait désemparée, presque pétrifiée en dehors de ses bras qui s'agitaient bêtement. Son regard allait à sa voiture, puis à la mienne, puis revenait à la sienne, mais elle restait sur place, à la hauteur de son capot.

« Bon, me dis-je, si j'attends qu'elle fasse quelque chose… » J'allai donc constater les dégâts : son pare-choc était bien enfoncé (mais ça je m'en foutais), et le mien pas mal aussi. Le dessous de la porte du coffre semblait avoir un peu bougé.
Elle s'approcha à petits pas, comme si quelque chose allait lui sauter dessus, comme si en ralentissant elle pouvait remonter le temps.

— Oh bon, ça n'a pas l'air trop méchant, dit-elle.

J'ouvris mon coffre pour voir si la tôle avait plié. En effet, une très vieille expérience de la chose m'avait appris que s'il n'y a parfois pas grand-chose de visible à l'extérieur, il faut toujours aller voir si la base du coffre ne s'est pas déformée en encaissant le choc. Malheureusement, c'était le cas : en soulevant le tapis de sol je vis que la tôle était bien déformée, plus que froissée : pas étonnant, vu la violence du choc. Elle ne m'avait pas loupé, la vieille garce !

— Vous avez vu ? lui demandai-je. En apparence ça a souvent l'air léger, mais la carrosserie est pliée. Et je ne vous dis pas qu'il n'y a pas de problème jusqu'au train arrière… Ça, il n'y a que le garagiste qui le verra. Parce qu'il va falloir aller voir ; c'est une question de sécurité.

Elle me regardait sans rien dire, abasourdie, sans manifestement savoir ni quoi dire ni quoi faire.

— Bon, bah on va pas rester là, lui dis-je sur un ton dont on devait percevoir l‘énervement. On va s'avancer un peu, se mettre en double file et faire le constat.
— Euh oui… bon.

Je remontai dans ma voiture, passai le feu et me serrai à un endroit un peu plus large du boulevard. Je me disais qu'elle n'allait pas se tailler. Même si on ne peut se fier à personne, elle n'avait pas l'air d'une délinquante ou d'une droguée ; plutôt d'une mamie un peu perdue.
En effet, elle me suivit, s'arrêta à quelques mètres derrière moi. Je descendis, elle arriva.

— Le constat…
— Oui ?
— Ah j'avoue, j'en ai jamais fait… Comment…
— Ben on prend un formulaire pré-établi que donnent les assurances ; tout le monde a ça.
— Je… je sais pas…
— Moi j'en ai. Toujours.

Et je remontai dans ma voiture, fouillai dans ma boîte à gants.
Je fus surpris de la voir ouvrir la portière et s'asseoir à côté de moi, côté passager. Je la regardai avec un air interrogatif. Comme elle ne disait rien, je lui montrai :

— C'est ça, un constat.

Elle baissa les yeux :

— Oui, euh… Écoutez, Monsieur, tout ça m'embête. Vous comprenez, je ne suis assurée qu'au tiers. Et comme je suis en tort mon assurance ne paiera rien. Et, vous savez, je n'ai qu'une petite retraite. Est-ce que… est-ce qu'on ne pourrait pas s'arranger ?

 »Ça y est, me dis-je, elle va essayer de m'apitoyer. Elle ne croit quand même pas que je vais accepter de me faire entuber ? Que je vais passer l'éponge, la laisser partir, et que tout sera pour ma pomme ?

— S'arranger ? lui dis-je en grimaçant, avec l'air de celui qui vient de boire du vinaigre. Qu'est-ce que vous appelez « s'arranger » ? J'ai l'habitude des frais de carrosserie, même si je n'ai pas souvent eu des accrochages, et je peux vous dire qu'il y en a pour du fric ! Je vais pas vous en faire cadeau, désolé.
— Écoutez… je peux aller retirer du liquide… pas loin. Et je pourrai vous donner soixante… euh, quatre-vingts euros ?
— Non mais vous rigolez, ma petite dame ? Même si je suis pas un expert, par expérience je peux vous dire qu'il y en a au moins pour cinq cents euros minimum. Et encore s'il n'y a pas de dégât au train arrière !
— Bon, bon… dit-elle en se frottant nerveusement les mains, oui, oui, bien sûr, je comprends… mais comme je vous dis, ça va être compliqué pour moi. Écoutez, est-ce qu'on ne pourrait pas s'arranger… autrement ?
— Autrement ? C'est à dire ?

Elle rit nerveusement :

— Écoutez… Je sais que je ne suis plus… enfin, que j'ai soixante-douze ans, mais je ne les ai pas toujours eus. Et… (elle baissa la voix) je pourrais vous faire… une petite gâterie. J'étais très douée, vous savez ? ajouta-t-elle, presque avec fierté.
— Une gâterie ?! m'exclamai-je avec surprise plus qu'avec indignation.

Alors là, je m'attendais pas à ça ! La petite mamie qui pensait qu'elle allait acheter mon indulgence avec une pipe !

— Mais enfin, Madame, vous croyez qu'une pipe ça vaut cinq cents ou huit cents euros ?
— Non, d'accord, je sais bien… Mais je ne suis qu'une pauvre retraitée… pour qui les temps sont durs… Et puis vous pourriez être gentil… je veux dire « faire un geste ».
— Gentil… faire un geste… ?

C'était à mon tour d'être abasourdi. Elle avait un de ces culots, la vieille ! Elle n'était pas en train de se foutre de moi, là ? Elle roulait dans une 308 – un modèle récent – et elle cherchait à m'acheter, à m'attendrir pour ne pas assumer ses responsabilités. Elle n'avait pas froid aux yeux en tout cas. De plus en plus j'étais en train de me dire qu'elle savait ce qu'elle faisait : elle savait bien que je n'allais pas descendre en hurlant, en prenant tous les passants à témoins et leur crier que cette dame proposait de me faire une pipe pour que je ne fasse pas de constat et que je la laisse partir en me laissant régler la lourde addition de ma tôle qu'elle avait froissée.

— Non mais, je ne suis pas Crésus non plus, moi ! continuai-je.

Je me calmai un peu et repris, comme si j'avais été un peu touché par ses arguments, bien qu'encore sonné :

— Bon… et puis les pipes, c'est pas mon truc, moi.
— Vous êtes homosexuel ?
— Non, pas du tout !
— Oui, je sais, je ne suis plus appétissante, je le sais bien ; mais vous savez, une bouche c'est une bouche. Et la mienne… enfin, comme je l'ai dit, j'étais très douée, se vanta-t-elle.
— Oui, bon, ça va, lui répondis-je sur un ton presque choqué. Et alors, à supposer que je dise oui… où ? Ici, là, dans la voiture, en plein jour, sur le boulevard des maréchaux ? — Ben non… On pourrait aller dans un endroit plus tranquille…
— Oui, c'est ça. Au bois, au milieu des prostituées et des trans qui passent… Bien glauque, votre plan. Très peu pour moi ! Alors où ? Je suppose que vous n'allez pas payer l'hôtel, avec « votre petite retraite » ? dis-je sur un ton ironique.
— Non… D'autant que…
— Ça serait la honte, hein, c'est ça ? Un quinquagénaire avec une retraitée de soixante-treize ans !
— Soixante-douze. Je ne les ai pas encore, les soixante-treize.
— Alors ? Que proposez-vous ? Où ?
— Bon, dit-elle, hésitante et un peu craintive. On pourrait aller chez moi ; ce n'est pas très loin…

Je soupirai profondément. Si j'acceptais, j'allais devoir me payer les frais de réparation. Pourquoi je faisais ça ? Avais-je l'impression de faire une bonne action ?

— Bon, OK. Si vous êtes d'accord.
— Vous me promettez que vous n'allez pas me trucider, mon petit monsieur ?
— Pourquoi ? Pour vous faire payer ma tôle froissée ?

Elle sourit pour la première fois.

— Bon, allons-y. Vous me suivez ?

Je me disais que j'étais en train de me faire avoir. Bien entendu, cette petite mamie n'allait pas essayer de me semer dans Paris, mais je restais sur mes gardes.

Elle roula lentement. Naturellement, je me fis des films. Est-ce qu'elle n'allait pas m'emmener jusque chez ses fils qui allaient me faire la peau ? Ou chez des amis du milieu ? J'étais con. Con d'avoir dit oui. Con de me passer un film noir.

Nous traversâmes le 20e et elle s'arrêta devant l'entrée d'une cour. Elle descendit, vint me parler à ma vitre :

— Vous n'avez qu'à rentrer derrière moi. Aujourd'hui, à cette heure-là, il y a des places libres ; vous pourrez vous garer.
— OK.

En effet, je trouvai une place vide. Elle devait se dire que pour une petite gâterie, il n'y en aurait pas pour bien longtemps.

Je la suivis. Nous montâmes au troisième. Elle ouvrit la porte de son appartement, un deux-pièces pas si petit, en plein Paris, pour une « petite retraitée. » Elle me fit asseoir au salon, un peu vieillot, simple, mais pas franchement pauvre.

— Vous voulez boire quelque chose ?
— Une petite bière, si vous avez.
— Non, je n'en ai pas. Un verre de blanc frais ?
— OK, ça ira.

Elle me servit. Elle pas. Elle ne s'assit pas, fit un peu de rangement. Elle ne vint pas s'asseoir avec moi. Elle devait être pressée d'en finir. Une petite turlute vite fait et puis basta.
Mais si elle croyait s'en tirer comme ça…

J'avais bu la moitié de mon verre. Elle s'approcha, interrogative :

— Bon, on y va ?
— Où ça ? fis-je, un peu sec.
— Ben vous savez… la pipe.
— Comme je vous ai dit, chère Madame, je n'aime pas trop les pipes, c'est pas trop mon truc. Et puis pour ce que je vais devoir payer en réparations, j'estime qu'il va falloir que vous fassiez un petit effort.
— C'est à dire ? fit-elle, interloquée.
— À poil ! Déshabillez-vous.
— Non mais… Vous vous rendez compte… ? L'âge que j'ai. Je suis une vieille retraitée…
— Ça ne me dérange pas. Et puis c'est à moi d'en juger.
— Mais…
— Foutez-vous à poil, là, devant moi. Ça vous fera les pieds !
— Oh !
— Les pipes, c'est pas mon truc. Par contre je suis très voyeur. Allez, vous allez me faire plaisir. Je vais déjà me rincer l'œil.
— Oh mais, dit-elle d'une voix craintive, j'espère que vous n'allez pas me faire du mal, je vous en prie…
— Ne vous inquiétez pas : je ne vais pas me venger parce que vous m'êtes rentrée dans le cul – sans le faire exprès – et que vous n'avez pas les moyens de payer les réparations. Je ne vais pas vous fouetter avec ma ceinture, dis-je en souriant. Contentez-vous de vous désaper.

Elle hésita un moment puis, lentement, elle retira son gilet, déboutonna son chemisier, se tournant sur le côté par moments.

— Restez bien face à moi, que je mate.

Elle enleva ses chaussures et baissa lentement son pantalon.

Elle était désormais en culotte et soutien-gorge devant moi. Des sous-vêtements en dentelle crème, simples mais élégants. Je pouvais voir son ventre un peu rebondi, et remarquai qu'elle avait des cuisses un peu replètes et une poitrine d'un bon volume.

— Allez, le reste, ordonnai-je d'un doigt impérieux. À poil, complètement !

Elle dégrafa son soutien-gorge, le posa sur un fauteuil, puis se pencha pour baisser sa culotte et l'ôta complètement.

— Mettez vos mains dans le dos. Écartez un peu les jambes. Oui, comme ça.

Je me mis à la mater du haut en bas, en prenant tout mon temps. Elle gardait les yeux baissés, osant lever vers moi de temps en temps un regard gêné et un peu implorant, espérant que ça ne durerait pas trop longtemps, attendant à ce que je mettre fin à cet examen vicieux. Mais mes yeux, satisfaits du spectacle, redescendaient, s'attardaient, sur ses seins, son ventre.

— Tournez-vous ! lui ordonnai-je.

Elle fit lentement un demi-tour, et je pus apprécier la vue de son fessier encore bien rebondi.
Là encore, et bien qu'elle ne pouvait plus voir comment mon regard montait et descendait, je fis durer un peu mon plaisir voyeur.

— Retournez-vous.

Je recommençai l'examen de son côté face, que je fis durer quelques secondes encore.

— Approchez un peu.

Elle fit deux pas vers moi, mais resta à deux mètres.

— Approchez encore ! J'ai la vue un peu basse, il faut que je vous voie de près.

Elle s'approcha tout près, à portée de main. Son mont de Vénus était renflé, appétissant, à peine couvert d'une toison grise et rase. Je l'empaumai, le caressai lentement, le pressant doucement pour en apprécier la souplesse et la fermeté.

Je levai le nez : ses seins d'un bon volume (un petit C à vue de nez, d'après mon expérience) se tenaient encore plutôt bien pour son âge. Les aréoles étaient un peu larges, d'un beau rose sombre.

— Hum, vous avez des beaux seins, dis-je en levant les bras vers eux et en les saisissant à pleines mains.

Je les caressai doucement, les pressai légèrement, sans insistance, en effleurant les pointes avec mes pouces. Elles se dressèrent et les mamelons se froncèrent comme sous la vague d'un frisson. Durant tout cet examen elle me regardait d'un air un peu inquiet.
Je caressai ses hanches et le haut de ses cuisses à deux mains.

— Tournez-vous !

Elle obéit, empruntée, fit un demi-tour, m'offrant son fessier juste sous mon nez.

— Vous avez un beau cul, lui dis-je d'un ton affirmé. Vous êtes plutôt encore bien foutue pour votre âge !

Là-dessus je lui caressai les fesses, les pelotai à deux mains, empaumant son fessier comme j'aurais soulevé un globe terrestre, appréciant la douceur de sa peau d'albâtre.

— Bon, c'est pas le tout, dis-je en me levant de mon fauteuil et la prenant par la main, allons dans votre chambre.

Elle me regarda avec un air un peu craintif mais se laissa faire quand je l'entraînai doucement vers la pièce que j'avais repérée en arrivant puisque la porte en était restée ouverte. Nous arrivâmes devant un grand lit, fait soigneusement, avec des draps de dessus bien repassés.
Je lâchai sa main et lui dis sur un ton autoritaire, calme, ferme mais sans appel :

— Allongez-vous à plat ventre sur votre lit.

Elle tourna sa tête vers moi avec un air timoré, mais obéit en prenant son temps : elle monta lentement à genoux sur son lit et s'allongea de tout son long, jambes serrées. Son beau fessier faisait comme une double colline très blanche, plus haute que j'aurais pu imaginer.

— Écartez les jambes.

Elle ouvrit les ciseaux de ses cuisses jusqu'à faire apparaître son abricot pulpeux.
Je m'assis à côté de ses reins et commençai à lui caresser les fesses.

— Hum, murmurai-je, elle sont très douces. Vous savez que j'ai bien envie de vous faire payer pour l'accrochage, pour avoir défoncé ma voiture. Je pourrais vous administrer la fessée de votre vie… mais vous avez de la chance, comme je vous ai dit : je suis plutôt de bon poil aujourd'hui.

Ma main descendit vers l'intérieur de ses cuisses, là où la peau est si douce, et jusqu'au pli du genou puis remonta tout en haut pour caresser le bord de sa vulve et remonter vers le bord de son sillon fessier.

— Écartez-vous les fesses. Avec les deux mains !

Elle obéit après une brève hésitation. Je me rapprochai davantage de ses reins et matai durant de longues secondes le petit orifice borgne et froncé qui ornait le sillon plus sombre. Mon index descendit lentement dans le fond de ce cañon, allant jusqu'à sa vulve bien fendue, puis il remonta avec la même lenteur. Je passai plusieurs fois mon index sur la cupule plissée plus sombre qui palpita sous le contact. Elle réprima un frisson.

— Qu'allez-vous faire ? demanda-t-elle, inquiète en sentant mon geste insistant.
— Qu'est-ce que vous croyez ? Je vais me payer sur la bête. Vous avez défoncé l'arrière de ma voiture : il ne serait que justice que je vous défonce le cul.
— Oh nooon… protesta-t-elle.
— Ne vous inquiétez pas, je ne vais pas vous faire mal. Je vais prendre le temps qu'il faudra pour conquérir et investir chacun de vos orifices.
— Oh… pitié !
— Si vous préférez, on arrête là ; on fait un constat et vous paierez la facture. Vous avez le choix.
— Non, je ne peux pas. Je n'ai pas cet argent.
— Alors, que décidez-vous ?
— Bon… mais je ne veux pas attraper de maladies.
— Ne vous en faites pas : j'ai toujours des préservatifs sur moi ; vous ne risquez rien, dis-je, de bonne humeur. Allez, prenez un oreiller et glissez-le sous votre ventre. A part ça, vous devez bien avoir du beurre dans le frigo ? Ou de la margarine ?
— Oui… gémit-elle presque en attrapant son oreiller. Il y a de la margarine.
Je sautai sur mes jambes, filai jusqu'à la cuisine, ouvris le frigo et revins dare-dare avec la barquette de margarine.

— Du bio, en plus, lui dis-je. C'est meilleur pour votre peau.

Elle avait rehaussé son bassin avec l'oreiller et me présentait sa croupe large, laiteuse, et bien mise en valeur par cette posture. Je pris une noisette de margarine et commençai à la lui étaler sur les fesses. La peau devint brillante, tant que c'en était appétissant. Je me mis à masser l'intérieur du versant interne puis descendis jusque dans le sillon fessier que je me mis à enduire de haut en bas, puis du bas en haut en m'attardant bien sur la rosette froncée.

— Hummm, la poularde est bien beurrée… ne pus-je m'empêcher de dire.

Je me désapai, déballai un préservatif que je déroulai sur ma queue raide comme la justice et tendue comme un arc. Je m'allongeai de tout mon long sur elle, prenant bien soin de caler ma pine entre ses fesses. Je posai mes mains sur ses épaules – pour qu'elle se sente bien prise – et je commençai à faire des allées et venues entre ses fesses.

— Hummm, fis-je, j'adore me branler entre les bonnes grosses fesses d'une mémère. Croyez-moi, je préfère ça à une pipe.

Entre le lubrifiant du condom et la margarine étalée sur ses fesses, ça glissait tout seul.

— Et tout à l'heure, je me branlerai bien aussi entre vos nichons, vieille salope.

Je faisais coulisser ma queue raide, la faisant bien ressortir de la raie de ses fesses sur ses reins, puis lentement descendre jusqu'en bas et glisser sur son sillon vulvaire. Finalement, après une nouvelle descente, au lieu de remonter entre ses globes fessiers, je changeai de direction et la fis entrer entre ses lèvres et investis sa chatte. Elle poussa un petit « oooh » qui ressemblait à un soupir.

Son fourreau était tout chaud et bien serré. Je poussai jusqu'au bout, butai tout au fond d'elle. La posture (bassin surélevé) favorisait mon entreprise, et à longs coups de reins souples je me mis à la travailler au corps. Elle se crispa ; ses mains agrippèrent la couette : la vieille bique avait l'air de commencer à apprécier !

Mes mains verrouillées sur sa taille juste au-dessus de ses hanches maintenaient bien son bassin ; je lui envoyais désormais des coups de boutoir qui ébranlaient tout son corps. Passant mes mains sous sa poitrine, j'attrapai ses gros nichons et les pelotai vicieusement. Cette action fut accueillie d'un « Oh ouiii ! » enthousiaste.

Je prenais mon temps, la besognais lentement mais sûrement, et elle poussait de petites plaintes qui ressemblaient à s'y méprendre à des cris de jouissance. Je ressortais, me branlais entre ses fesses, réinvestissais sa chatte, la baisais sans ménagement. Lâchant ses seins, je m'appuyai sur les avant-bras pour défoncer sa chatte qui dégoulinait, faisait des floc-floc et commençait à devenir moins étroite.

Ressortant encore une fois ma queue, je la fis glisser dans son sillon fessier et trouvai la petite dépression en son centre. Mon gland s'y logea tant bien que mal et je me mis à forcer l'anneau étroit. Elle poussa un cri, se crispa ; la rosette se serra, se refusant à moi. Je n'insistai pas mais lui intimai avec énergie :

— J'ai envie de vous voir à quatre pattes : allez, installez-vous, bien cambrée, les genoux au bord du matelas. Les cuisses un peu écartées.

Elle obéit avec un air un peu piteux.
J'avais désormais une vue imprenable sur ses fesses bien déployées dans cette position, sur son œillet bistre, son abricot un peu rougi qui bâillait de manière obscène, prolongé vers le bas par son ventre qui pendait, un peu adipeux.

— Restez comme ça ! lui ordonnai-je.

Je filai à nouveau à la cuisine pour fouiller le frigo et tombai par chance sur ce que j'espérais. Je revins à fond de train.

— Une chance, vous aimez les carottes. Une chance pour moi… mais aussi pour vous : si je n'avais trouvé que des courgettes ou des concombres, cela aurait été plus compliqué (je sais, ça peut se tailler, mais je n'ai pas de talents de sculpteur).

Elle avait la tête tournée vers moi et contemplait la carotte effilée au bout – mais qui s'élargissait rapidement – que je tenais en main.

— Allez, hop, un peu de margarine ! dis-je en en mettant une noisette sur l'extrémité de la racine orangée et une autre sur l'anus rond. C'est dans les vieux pots qu'on fait les meilleures soupes ; n'est-ce pas, ma petite dame ?

Elle ne répondit rien mais son visage se crispa car l'extrémité de la carotte avait déjà disparu dans son orifice étroit. J'attendis que son sphincter s'habitue et se relâche un peu, puis commençai à faire des va-et-vient dans son petit trou. Le passage devenait plus facile ; elle s'assouplissait rapidement, les traits de son visage se détendaient aussi.

Je rentrai plus avant le légume et élargis davantage la vieille dame, puis à force de va-et-vient et d'oscillations dans son fondement je jugeai qu'elle était bien détendue. Je me plaçai debout derrière elle. Elle était bandante avec sa carotte rentrée de la moitié de sa longueur dans son cul… Je la fis glisser hors de son anus qui resta un peu ouvert, tout arrondi, et n'attendant pas qu'il se rétracte je le pénétrai de mon gland. Puis lentement, tout doucement, je rentrai mon dard gonflé d'envie, centimètre par centimètre. Là, elle ne protesta pas et accueillit toute la longueur de ma virilité dans son fondement.

— Hum… Alors, ma petite dame, ça fait quoi de se prendre une pine dans le cul ?
— Ooh, c'est… c'est… fort !
— Oh oui, ça, je vais t'enculer fort. Je vais t'enculer comme tu n'as jamais encore été enculée !

Debout derrière elle, bien campé sur mes jambes, j'attrapai ses chevilles et les maintins tandis que je commençai à longs coups de reins à lui ramoner le boyau. Son canal était étroit et brûlant, mais en accélérant un peu je sentis qu'il commençait à s'assouplir. Je fermai mes mains sur sa taille et me mis à la besogner de plus en plus vite, et bien à fond. La vieille bique geignait, soufflait, gémissait… elle s'en prenait plein le cul !

J'attrapai ses poignées d'amour à pleines pognes et l'empalai en cadence sur ma pine, lui lardant son petit trou à grands coups de bite. Elle me faisait de plus en plus d'effet. Et elle poussait désormais des « Aahh, aahh… » au rythme des enculades qui lui élargissaient de plus en plus son petit trou. Mais ces cris ne ressemblaient pas à des cris de douleur : elle avait l'air d'apprécier, la vieille salope ! En lui ouvrant son petit trou du cul je lui avais fait franchir une nouvelle porte des plaisirs.

Son petit canal commençait à m'échauffer la pine. Si ça continuait, ça allait finir par sentir le caoutchouc brûlé. Je me retirai et lui demandai de s'asseoir sur le bord du lit :

— Allez, viens, je vais me branler entre tes nichons.

Je lui enduisis l'intérieur des seins avec de la margarine et enlevai le préservatif.

— Allez, rapproche tes seins avec tes mains et tiens-les bien serrés. Je vais les baiser, tes gros nichons !

Sans se faire prier, elle fit avec zèle ce que je lui demandais. Je rentrai ma queue entre ses seins et me mis à ramoner le sillon entre ses globes à une cadence soutenue. Elle me regardait avec une expression satisfaite.

J'attrapai ses mamelons et, en proie à l'excitation, je les manipulai sans douceur, les tirant de plus en plus fort, les tordant un peu. Elle se mit à gémir, son visage empreint d'une expression de douleur mêlée à de l'excitation.

— Ah… vicieux ! laissa-t-elle échapper.

Je ne relevai pas, mais relâchant un peu la pression de mes doigts sur ses tendres fraises je ralentis, la baisant entre les seins bien consciencieusement tandis qu'elle s'appliquait à bien les tenir rapprochés pour me faire un délicieux fourreau.

Elle avait désormais baissé la tête pour voir de tout près ce spectacle, fascinée par la vue de mon gland violacé émergeant régulièrement de ses nichons, comme un piston bien huilé.

— Tu peux la prendre en bouche à chaque fois qu'elle sort, ma salope…

Elle répondit à mon invitation et goba à chaque sortie l'extrémité de ma tige.
Je lui ordonnai alors de s'allonger sur le dos en travers du lit, la tête en bas. Et reprenant ses nichons à pleines pognes, je les baisai à nouveau, mais dans l'autre sens, du haut en bas. De temps en temps je reculais et lui enfonçais ma queue dans la bouche que je me mettais à baiser avec application. Sa bouche se refermait et me suçait comme une bonne salope. Je la soupçonnais de vouloir me prouver qu'elle avait de vrais talents de suceuse.

Puis, avant de me remettre à baiser ses gros seins, je lui demandai de les reprendre et de les serrer elle-même à nouveau l'un contre l'autre. Je lui ramonai à nouveau la poitrine ; c'était doux, souple, excitant en diable.

Sa chatte était exposée sous mes yeux, pétales rosis bien ouverts ; je ne pus résister à la tentation de glisser mes doigts entre ses lèvres vulvaires ; elles étaient dégoulinantes de sève. Je me mis à la branler lentement mais sûrement, sûr de mon coup.
En effet il ne fallut pas plus de trente secondes avant que des plaintes d'intensité croissante montent de sa gorge. Révulsant son bassin, elle se mit à jouir en gueulant son plaisir.

J'avais projeté d'éjaculer sur ses seins, mais mon plaisir ne montait toujours pas. Ma bite était échauffée et brûlante, et je sentais que ça allait être un peu long à venir, mais j'étais toujours bien excité. Je lui lançai :

— Allez, à genoux, vieille bique ! J'en ai pas terminé avec toi ; je vais te finir. Et écarte bien tes cuisses !

Elle se plaça comme je le souhaitais, en plein milieu du lit, les reins cambrés comme une vraie chienne et sans que j'aie eu besoin de le lui demander. Je me plaçai derrière elle, lui attrapai les reins, et l'enfilai d'un seul coup. Elle poussa un gémissement brutal en sentant mon emprise et ma pine buter tout au fond de sa chatte.

La cramponnant bien, je me mis à la besogner sur un rythme soutenu. Elle émettait des « Aah ! Aah ! » provoqués par mes coups de reins, en oscillant sous mes coups de bite. Je saisis soudain ses seins à pleines mains, et tout en les malaxant, au summum de l'excitation, en lui mordillant l'épaule, je râlai à son intention :

— Je vais te la mettre dans le cul, vieille salope ! Je vais t'enculer encore et encore ! Je vais te défoncer le cul tellement fort que tu ne pourras pas t'asseoir pendant huit jours !

Ma main gauche lui pelotait vicieusement les deux seins tandis que la droite recommençait à astiquer sa fourche toute luisante, montant et descendant de ses pétales à son bonbon. A l'entendre haleter et pousser des petits cris à n'en plus finir, je compris qu'elle continuait à prendre son fade. Je sortis ma pine de sa chatte, bien décidé à l'embrocher encore par le cul, mais à peine cherchais-je à pénétrer son œillet que je lui giclai mon foutre entre les fesses. Elle se prit une douchette de sperme qui lui dégoulina sur la vulve.

— Raaah… Ah, la voilà, ta crème liquide… Tu peux être contente : tu sais encore satisfaire un homme.

Elle s'écroula sur le lit, peinant à reprendre son souffle. Quant à moi je ne valais guère mieux. Je me laissai tomber assis sur le fauteuil juste en face du lit.

Quand enfin nous commençâmes à reprendre nos esprits, elle se releva lentement sur le lit et osa :

— J'espère qu'avec ça tu vas considérer que j'ai bien payé ta carrosserie…
— Oui, ça va ; je pense que je me suis bien remboursé. Pour solde de tout compte, ajoutai-je ironiquement.
— Oui, tu me l'as pas ménagée, ma carrosserie à moi, dit-elle en caressant les bourrelets de ses hanches, rosis d'avoir été bien manipulés et pelotés.
— Faut dire que tu l'avais pas volé…
— Et toi tu m'as pas loupée !
— Oui je crois que je t'ai bien torpillée !
— Ah oui, j'ai mon compte. Si tu veux te doucher, te gène pas, la salle de bain est là-bas, me montra-t-elle en levant paresseusement son bras fatigué.
— Oui, merci, je crois bien que je vais me rafraîchir.

J'étais en train de laisser la pluie chaude de l'eau couler sur ma peau quand elle ouvrit la cabine et y entra.

— Hé, te gène pas ! Tu pourrais attendre…
— Tu m'as engluée avec ta semence toute collante, tu peux quand même faire un effort.
— Ah oui, parce qu'en plus c'est moi qui dois te laver ?
— Bah oui ; ça, c'est une bonne idée. Tu vas nous laver tous les deux.
— T'as de la chance que je sois de bonne composition, quand même…
— Ben oui, je sais, j'avais remarqué.

Elle se colla contre moi et je la savonnai avec les mains du haut en bas, sur les deux faces, insistant bien sur les seins, l'intérieur de ses cuisses, sa fleur, la raie de ses fesses, sa rosette…

Tout mon désir était retombé, mon énergie sexuelle partie pour de longues heures – peut-être quelques jours, tellement elle m'avait vidé – mais c'était agréable de jouer avec son corps moelleux, ses formes souples, mes doigts glissant sur sa peau douce comme sur un toboggan savonneux. Et elle, les yeux fermés, avait l'air d'apprécier, la tante.

Cette douche partagée dura bien une demi-heure, et quand nous finîmes par couper l'eau, avant de sortir de la cabine elle me gratifia d'un baiser et me souffla :

— Tu m'as bien baisée tout à l'heure. Ce n'est pas parce que je n'avais pas baisé depuis au moins huit ans, ni parce que je pensais que je ne baiserais plus jamais… mais je peux t'assurer qu'on ne m'avait jamais baisée comme ça. A moins que mes souvenirs me trompent, mais… ça n'avait jamais été aussi bon.

Flatté, je ne voulus pas lui dire modestement que nos sens sont trompés par le plaisir de l'instant présent qui crée peut-être une distorsion de la mémoire… Je n'en étais pas sûr, et après tout je préférais ne pas savoir si c'était vrai. Je préférai remettre une couche de grivoiserie :

— En tout cas, avoue que ce matin en te levant tu n'imaginais pas que l'après-midi même tu allais être baisée comme jamais dans ce même lit.
— Ça oui, j'avoue ! La vie nous réserve parfois de belles surprises…
— Même si ça commence parfois par une mauvaise… je fais allusion à notre accident.

Elle eut un rire franc.

— C'est toi qui as eu la bonne idée de vouloir que je te paie en nature. C'est grâce à toi, ça. Et aussi à tes mauvais réflexes.
— Je te jure, encore une fois, que je ne l'ai aucunement fait exprès. Quoique, ajouta-t-elle, si j'avais su que je devrais rembourser ainsi les frais à un bel homme et aussi doué que toi, j'aurais fait encore moins attention, se moqua-t-elle.
— Je te conseille quand même de ne pas essayer une autre fois : avec un inconnu, tu ne t'en sortiras certainement pas de la même façon.
— C'est sûr, il n'y a certainement pas beaucoup d'hommes qui aiment tringler les vieilles biques !
— Sans doute. Mais c'est aussi parce que j'ai vu tout de suite que tu étais baisable. Et que j'ai eu envie de te baiser.
— Tu ne serais pas un peu obsédé ?
— Pas avec n'importe quelle femme. Certaines – comme toi – me donnent envie de m'occuper d'elles.

Nous avions fini de nous sécher. Nous prîmes un rafraîchissement puis je me levai. Il était largement temps de m'éclipser.

— Bon, lança-t-elle alors que j'avais remis ma veste et que je m'apprêtai à partir, si le devis est élevé, n'hésite pas à repasser pour m'en parler ; je verrai ce que je peux faire, dit-elle, provocatrice.
— Chiche ! lui répondis-je. Si c'est vraiment cher je reviendrai me faire rembourser le surplus.
— Ne t'inquiète pas : je serai là.
— Et si la facture est vraiment salée, ton cul comprendra pourquoi on appelle ça une douloureuse.
— S'il faut en passer par là, je ne reculerai pas devant mes responsabilités, tu peux en être sûr.
— Oui. Ou c'est moi qui te ferai reculer sur autre chose…
— Tu acceptes les facilités de paiement ?
— C'est à dire ?
— Les paiements fractionnés… en plusieurs fois ? ajouta-t-elle pour être bien claire.
— S'il te faut payer… plusieurs fois, tant pis pour toi ! lui répondis-je vicieusement.
— Non : tant mieux. Ça passe mieux.
— Ça passera de toute façon. Faudra bien.
— Quand tu veux, dit-elle d'un ton sirupeux en me tendant ses lèvres avant que je prenne la porte.