Il fait très beau aujourd'hui et j'ai du mal à me concentrer sur mon travail ; consultant en sécurité informatique, divorcé sans enfants, j'ai quarante ans. En regardant par la fenêtre je constate que la maison en face, inoccupée depuis plusieurs mois, a ses volets ouverts.

Faisant partie des « voisins vigilants », je décide d'aller voir de près. Je tombe sur deux jeunes femmes d'une trentaine d'années qui sont occupées à sortir des cartons de leur voiture. L'une, brune aux cheveux longs, au port altier, marche un peu comme un pingouin, le corps droit, sa poitrine voluptueuse bien en avant, les bras le long du corps. Elle porte une robe qui moule son corps aux formes généreuses, son décolleté laissant apparaître la naissance de ses seins. L'autre, blonde aux cheveux coupés au carré, semble plus timide. Elle porte un short ultra-court qui met en valeur son cul bien cambré ; un crop top très décolleté cache à peine ses tétons qui semblent vouloir prendre l'air à chaque mouvement de son corps.

« Deux belles filles ! » : ce sont mes premières constatations. Je me présente à elles et, en tant que voisin vigilant, je leur demande la raison de leur présence.

La brune, qui semble être la responsable, m'indique qu'elles préparent la venue imminente d'un homme âgé – quatre-vingts ans – très riche qui vient de louer la villa meublée. Comme il est veuf et n'aime pas vivre seul (son couple n'ayant pas eu d'enfants), il a embauché deux gouvernantes pour maintenir la maison en état et lui faire la cuisine. Un jardinier viendra les rejoindre ultérieurement.

Je ne peux m'empêcher de penser que le vieux a de la chance d'être entouré de femmes aussi mignonnes ; je me fais certainement du cinéma à ce propos, m'imaginant brutalement qu'elles le pompent pour le faire juter.

Nous papotons quelques minutes ; elles sont avenantes et charmantes. Je les renseigne sur les usages du coin et leur souhaite la bienvenue. Je les sens curieuses, et l'une – la brune – faisant fi de tout savoir-vivre, me demande si je suis marié. Je réponds « Divorcé depuis maintenant cinq ans. »
Je regagne mes pénates et ne pense plus à cette conversation.


Dans les jours qui suivent je vois plusieurs camionnettes livrer des cartons, jusqu'au jour où le vieux monsieur débarque dans son Porsche Cayenne.

Quelques jours se passent ; on sonne à ma porte : c'est la blonde… Elle me dit que mon nouveau voisin aimerait faire ma connaissance : il m'invite à dîner la semaine suivante. N'ayant rien de particulier de prévu, je donne mon accord et la remercie de m'avoir transmis cette invitation.

Au jour dit je sonne à la porte de mon nouveau voisin, avec dans les mains une bouteille de champagne que j'avais au préalable mise au frais. On se présente mutuellement : lui c'est Roger, la brune, Élise et la blonde, Sophie. Quant à moi, c'est Marc.

Au cours de l'apéritif, j'apprends que Roger a dirigé une start-up qu'il a revendue en encaissant une énorme plus-value ; il vit désormais de ses rentes et peut apprécier la vie à sa juste valeur. Le champagne aidant – la bouteille initiale a été renouvelée – les langues se délient. Profitant de l'absence en cuisine d'Élise et de Sophie, Roger m'avoue qu'elles sont devenues au fil du temps plus que des gouvernantes : elles sont en fait ses maîtresses, ce qui lui permettait jusque-là d'égayer sa vie sexuelle jusqu'à sa dernière opération de la prostate. Depuis, il est totalement impuissant et ne peut plus les honorer. Comme elles sont bi, il les regarde se gougnoter en essayant de se masturber, mais il ne bande plus et ne peut donc finir.

J'avoue être estomaqué de cette franchise. Il y a à peine une heure je ne connaissais rien de lui, et voilà que je suis au courant de ses turpitudes.
Je n'ai pas le temps de réagir qu'Élise annonce qu'il faut passer à table. Elle me désigne un siège et je m'assois. C'est alors que je sens, sous la table, une main qui tente de me débraguetter. Surpris, je me laisse faire et m'affale un peu dans le fauteuil pour faciliter la tâche de celle qui ne peut être que Sophie. Ma queue, vite libérée de toute contrainte, est embouchée immédiatement. Vu la douceur de ses lèvres, je bande quasi instantanément.

On est dans l'irréel. Roger et Élise ne semblent pas concernés. J'entame mon entrée alors que Sophie me pompe toujours. D'une main je tiens ma fourchette, de l'autre je presse sa tête pour qu'elle m'avale bien au fond de sa gorge jusqu'au moment où, ne tenant plus, j'éjacule tout mon foutre dans sa bouche gourmande.

— Alors, vous avez aimé ce que vous a fait Sophie ? me demande Roger. C'est une experte de la turlute. Mais quand vous connaitrez Élise, il vous sera difficile de les départager.
— J'avoue que c'est surprenant ; je ne m'attendais pas à une telle soirée…
— Tu peux sortir, Sophie. Notre hôte est très content de tes services.

C'est alors que je vois émerger de dessous la table ma suceuse entièrement nue qui s'approche de moi. Du sperme suinte de la commissure de ses lèvres.

— Vous pouvez évaluer la marchandise, mon cher. Désormais mes femmes sont à votre disposition. La seule condition, c'est que je veux voir. C'est tout ce qu'il me reste.

Fort de cette permission, je plante un doigt dans le con de la belle Sophie. Elle est trempée. Manifestement, il lui manque une bite depuis longtemps. Elle est très belle, entièrement épilée, et ses seins bien plantés ne demandent qu'à être sucés. C'est ce que je m'empresse de faire en tétant alternativement ses tétons tout durs. Elle gémit, murmure qu'elle aime ça. J'en profite pour baratter sa chatte de deux doigts fureteurs qui viennent provoquer son point G. Elle écarte bien les cuisses pour que j'accentue ma pénétration. De mon autre main, j'attaque son anus avec les trois phalanges de mon majeur. Ça rentre tout seul : elle doit être adepte des plaisirs sodomites…

Élise, sur les ordres de Roger, s'est elle aussi déshabillée pendant que je m'occupais de Sophie. Au contraire d'elle, sa toison brune est fournie. Elle s'approche de moi et finit de retirer mon pantalon. Elle peut voir que je bande à nouveau.

— Vous avez une belle bite comme je les aime. Avant son opération, Roger en avait une belle aussi ; je l'appelais « mon pivot de la joie ». Je la veux tout de suite dans mon cul !

Ni une, ni deux : après avoir tourné mon fauteuil, elle s'encule dos à moi sur mon chibre alors que je m'occupe tant bien que mal de Sophie que je viens de faire jouir. Libéré de cette contrainte, Élise peut se sodomiser à son rythme. Je lui doigte la foufoune et lui pinçote son clito. Je la sens vibrer, son anus se contracte ; je tords l'un de ses seins et plante mes ongles dans son téton. Elle pousse un cri et jouit du cul alors que je m'épands en elle.

— Eh bien mon cher, on peut dire que vous savez y faire avec les femmes ! Elles ont joui toutes les deux, ça leur manquait. N'est-ce pas, mes chéries ?
— Oh oui, mon oncle ! disent-elles de concert. Merci pour ce cadeau que tu nous fais. De plus il est jeune et beau ; on l'a tout de suite repéré, notre voisin.

Tiens, c'est bizarre : elles l'appellent « mon oncle »… Devinant mes pensées, Roger précise :

— Oui. Comme ça, quand nous allons à l'extérieur, ça évite les réflexions salaces. Bon, vous avez pu goûter à mes deux belles salopes. Vous en dites quoi ?
— Ce sont de très jolies femmes ; elles ont des culs à faire damner des saints. Je sens que je vais bien aimer – avec votre permission – les fourrer à loisir.
— Au point où nous en sommes, tu peux désormais me tutoyer, gamin. Tu sais que pendant que tu enculais Élise j'ai un peu bandé ? Jamais jusqu'à aujourd'hui je ne les avais vues se faire mettre par quelqu'un d'autre. J'avoue que ça m'a stimulé. Si tu veux, je te propose de passer la nuit ici. Tu pourras te les faire à ta guise : elles sont sans tabous.
— Je pourrai tout leur faire ? Y compris les fesser, les fouetter ?
— Tout. De temps en temps j'utilise un paddle pour leur claquer les fesses : elles adorent. Pas vrai, les filles ?
— Oui ! répond Élise. Mais Sophie préfère le fouet. Pas vrai, ma chérie ?
— J'aime bien aussi quand tu me travailles les seins avec des pinces, acquiesce-t-elle.

J'avoue qu'après ces aveux je me laisse tenter par la proposition. On peut terminer le dîner, l'entrée ayant été interrompue de fort belle manière. Sophie me propose un café que je prends fort volontiers car je sens que la nuit va être longue… De la voir comme ça, nue devant la machine à café, me redonne de la vigueur. Je colle son dos à moi en pressant sa poitrine libre de toute entrave. Elle peut sentir mon vit entre ses fesses. Elle ronronne et me dit :

— Prends-moi dans l'anus, j'en ai très envie ! J'ai vu comme tu as fait jouir Élise, je veux la pareille.
— Tes désirs sont des ordres. Mais toi, je vais te défoncer le fion : tu as un trop beau cul ! Après ça, tu ne pourras plus que marcher les jambes écartées pendant plusieurs jours.

J'ajuste mon gland sur son entrée étoilée et force ses sphincters. Sur une seule poussée rectiligne j'écarte ses chairs anales. Elle pousse un hurlement : je suis en elle. Pour qu'elle me sente mieux, je la force à se mettre à genoux et lui fais ployer le corps pour que sa tête touche le sol. Les fesses bien en l'air, l'entrée de son anus est accessible à la verticale : la pénétration n'en est plus forte. Je demande à Élise de venir lui lécher le fion et de bien saliver autour de mon pieu. Elle s'exécute. C'est sublime : ma bite bien ointe par la bouche d'Élise, compressée par les muscles anaux de Sophie, s'enfonce au maximum dans son rectum. Sentant que je vais venir, et alors que Sophie est terrassée par un orgasme anal, je sors de son cul pour finir dans la bouche d'Élise qui avale tout.

— Eh bien, Marc, on peut dire que tu as la santé ! C'est vrai qu'avec la moitié de mon âge c'est plus facile.
— Il faut dire qu'avec des femmes comme elles, c'est facile de bander. Oh, désolé : ma réflexion est mal venue…
— Non, ne t'inquiète pas, je comprends tout à fait. Bon, il faut que tu te reposes un peu. Allez, les filles, montrez-lui comment des gouines peuvent se faire plaisir. Dans la chambre on sera mieux. Je pourrai vous regarder faire tous les trois, assis dans le fauteuil.

Je fais connaissance avec la chambre du maître de maison occupée par un immense lit. Je remarque tout de suite des caméras installées un peu partout dans la pièce. Je m'en étonne auprès de Roger, qui m'explique qu'il avait prévu de filmer Élise et Sophie en pleine action lorsqu'elles se gouinaient ou prises par des hommes qu'il aurait recrutés. Quand il a découvert qui était son nouveau voisin, il a pensé que je serais leur partenaire idéal : proche et disponible. Il leur en a parlé et elles ont dit oui, enchantées de cette opportunité. Elles espéraient que je sois d'accord… elles n'ont pas été déçues !

J'assiste alors à un spectacle saphique de toute beauté. En position de soixante-neuf, elles se gougnottent un moment, leurs moules débordant de leur cyprine et de leur salive mêlées. Leurs soupirs, leurs gémissements emplissent la pièce. Elles se font jouir plusieurs fois. Puis revenant en position côte à côte, elles s'embrassent à bouche-que-veux-tu, frottant leurs corps l'un contre l'autre. Leurs cuisses s'écartent, leurs foufounes se pressent l'une contre l'autre, elles se mettent mutuellement un doigt dans le cul jusqu'au moment où leurs corps splendides se tétanisent, emportés par un orgasme mutuel.

— Ne vous avais-je pas dit que mes femmes étaient sublimes ? Vous avez vu leur potentiel ? Mais ce qui leur manque, c'est de la bite bien dure ; elles ont du mal à s'en passer. Regardez, mes chéries : Marc bande ! C'est un bon partenaire que vous avez dégotté, il semble inépuisable. Vous avez envie de lui ?

Elles acquiescent toutes les deux.

— Marc, allonge-toi sur le dos. Élise va venir s'empaler sur toi et Sophie va venir sur ton visage pour que tu lui bouffes la moule. Elle adore ça, cette salope !

La scène qui se déroule alors est digne des plus beaux films pornos : Élise s'enfile sur ma queue et je broute le minou de Sophie. Je me régale tant il est goûteux à souhait. Son con ruisselle sur mon visage tant mes actions lui font du bien. Élise monte et descend sur mon vit turgescent. Elle ahane dans l'effort. Ses seins bien fermes sont tendus dans l'attente de mes mains qui viennent les compresser. J'entends alors Roger annoncer :

— Oh putain, je bande !
— Formidable ! Alors viens vite la prendre par le cul : on va lui faire une belle double et la faire monter au septième ciel.

Pour lui faciliter la tâche, j'écarte les fesses d'Élise et prépare la venue de Roger en lui doigtant l'anus. Elle se tortille sur mon sexe bien planté en elle puis, prenant la bite de Roger en main, elle la guide vers son puits interdit. Je ne tarde pas à sentir sa queue frotter contre la mienne, séparée par la fine paroi du rectum d'Élise qui crie :

— Oh putain, que c'est bon ! C'est la première fois que je suis prise en double… Je sens bien vos sexes noueux en moi ; prenez-moi bien fort. Oh, Marc, ton zob me fait du bien et toi, Roger, tu vois qu'il ne fallait pas désespérer : tu es capable de bien bander. Il suffisait d'être suffisamment stimulé.

Elle s'adresse alors à Sophie :

— Tu ne peux pas savoir quel plaisir il y a de se faire doublement pénétrer. Je suis en train de jouir sur leurs deux queues. Ils me remplissent complètement. Oh mon dieu, je ne peux plus résister, je viens ! Oh ouiiii…

Emportée par son orgasme, elle communique son enthousiasme à Sophie qui libère un flot de cyprine dans ma bouche en criant son bonheur.
Nous nous désaccouplons. Elise vient nettoyer le sexe de Roger qui sort de son cul et Sophie le mien qui a ramoné la chatte d'Élise.

Recrus de fatigue, nous nous endormons tous les quatre.


Au petit matin je rentre chez moi car j'ai une étude à rendre à l'un de mes clients. Contrairement à Roger, je ne suis pas rentier.

Il est onze heures ; j'entends sonner à ma porte. J'enfile juste un bermuda, sans caleçon. C'est Sophie. Elle porte une robe de plage retenue par des bretelles, pas de soutien-gorge – elle n'en a pas besoin. Elle est chaussée de sandales sans talons.

À peine la porte fermée elle se dévêt et s'attaque immédiatement à mon short en le baissant jusqu'à mes pieds. Sans me laisser le temps de réagir elle embouche mon sexe et me pompe comme une furie en me plantant un doigt dans le cul. Elle sait y faire, la salope… En quelques minutes elle m'amène à une érection hors du commun. Je suis dur comme de la pierre et je n'ai qu'une seule envie : l'enculer. Hier elle a aimé ; aujourd'hui je vais faire d'elle une accro à la sodomie.

C'est dans l'escalier de l'entrée que je vais la prendre. Penchée sur les marches, son cul bien relevé, je la sodomise sans aucune précaution. Elle crie mais je n'en ai cure. Bien emmanchée, mes mains agrippées à sa poitrine que je pétris, je commence à la promener dans toute la maison pour la lui faire visiter.

Une courte halte dans les toilettes pour lui plonger la tête dans la cuvette et on se retrouve dans la buanderie – elle pue la pisse car je n'avais pas tiré la chasse dans les WC après avoir fait mes besoins ce matin – où je prends le tuyau d'arrosage qui s'y trouve, règle en jet fort et la nettoie. Elle suffoque tant la quantité d'eau qui l'asperge est importante.

Je la soulève alors et lui pose les fesses sur la machine à laver. Je programme l'essorage à la vitesse maximale et je la sodomise à nouveau. Les vibrations qui sont transmises dans son corps amplifient mes mouvements de bassin et font qu'elle jouit à nouveau, poussant un cri rauque qui me galvanise et me fait finir dans son fondement.

À peine terminé notre accouplement sauvage que la sonnette de la porte d'entrée retentit à nouveau. Je jette un coup œil dans l'œilleton et vois que c'est Roger. Je lui ouvre, nu.

— Ah, je vois que tu n'as pas perdu de temps… Sophie est venue te voir. Ce matin elle avait le feu au cul. La double pénétration d'Élise hier l'a fortement perturbée. Elle voulait qu'on lui en fasse autant.

Je lui explique longuement ce que je viens de faire avec elle. Il rétorque :

— Je suis sûr que ça ne lui suffit pas : on va la prendre en double debout. Approche, Sophie !

On l'encadre bien. Je prends sa chatte et Roger, qui bande à nouveau – ce n'était donc pas une exception hier soir – lui prend le cul. Il est tellement excité qu'il éjacule rapidement dans son anus et sort quasi immédiatement. Dommage ! Mais qu'à cela ne tienne, je vais bourrer alternativement Sophie devant et derrière. Comme je ne suis pas en période réfractaire, mon sexe est bien dur ; alors je lui travaille allègrement tous ses orifices. Elle est ballottée dans tous les sens et crie son bonheur d'être ainsi traitée. Enchaînant encore orgasme sur orgasme, elle n'en peut plus. J'ai pitié d'elle ; je la fais mettre à genoux pour me lécher les bourses, et c'est à longs jets que j'expulse mon sperme sur son visage. Ses cheveux, ses yeux, sa bouche sont maculés par ma semence.


Pendant quelques mois nous allons vivre ensemble. Élise et Sophie sont des bêtes de sexe, toujours prêtes à se faire prendre la nuit, le jour, dans des lieux les plus insolites… Elles ne connaissent pas d'autres hommes que Roger et moi et sont à notre disposition en permanence, obéissantes, soumises.

Un beau matin j'entends un cri strident : c'est Élise qui vient de découvrir le corps de Roger gisant par terre au pied de son lit. Appelé, le SAMU ne peut que constater le décès : crise cardiaque. Il faut dire que la veille au soir nous avions eu tous les quatre une séance de baise intense.

Après son enterrement qui fut sobre, nous sommes convoqués chez le notaire ; je suis surpris d'en faire partie.

En résumé, Roger a rédigé un testament authentique dans lequel il partage tous ses biens entre Élise, Sophie et moi. Les droits de succession versés, nous sommes devenus très riches tous les trois.

Je propose aux filles, si elles sont d'accord, de continuer à vivre ensemble en trouple ; elles sautent de joie à l'annonce de cette proposition.

Quelques mois plus tard nous avons acheté une splendide maison en bord de mer, au Cap d'Antibes, où nous vivons désormais heureux tous les trois. Les filles sont toujours autant portées sur le sexe, et quand je leur ai proposé de trouver de temps en temps un autre homme pour pimenter notre relation, elles ont décliné la proposition : je leur suffis largement, d'autant qu'elles sont amoureuses de moi.

J'ai eu beau rétorquer qu'elles ne pourraient plus être doublement pénétrées, elles ont répondu directement en commandant deux godes « cheval » hyperréalistes sur Amazon.

Depuis, il m'arrive souvent de les prendre, autant dans le cul que dans la chatte, avec le gode dans l'orifice libre.

Nous sommes heureux comme ça. Malgré ma proposition récente, elles n'ont aucune envie d'avoir un enfant.