(Thomas) Le cadeau

Incroyable ! Marraine m'a mené tout droit devant ma sœur Élodie prête à sucer tout ce qui lui passe devant la bouche. J'hésite quand même à profiter de la situation. Je suis sûr qu'Élodie me tuerait si elle apprenait qu'elle m'a sucé. Et puis, c'est ma sœur, quand même… Ce serait de l'inceste, même si j'ai fantasmé de nombreuses fois sur elle. En plus, elle ne sait même pas à qui elle a affaire.

Et puis merde, quoi ! C'est elle qui s'est mise dans cette situation. C'est elle qui a voulu rejoindre ce club et a accepté de sucer cinq bites en ayant les yeux bandés. Et bordel : j'en ai sacrément envie, moi !

— Bon alors, tu te décides ? me fait-elle en ne sachant pas à qui elle s'adresse.

C'en est de trop. Comment prendre une décision raisonnable dans une situation pareille ? Ma sœur m'est servie sur un plateau d'argent ; comment pourrais-je résister ? Je défais ma ceinture et fais lentement glisser la braguette tout en admirant mon cadeau.

— Hum, j'adore ce bruit, fait-elle en se léchant les babines.

Je m'approche lentement de ma sœur toujours à genoux. Une fois devant elle, je descends mon pantalon et libère mon sexe impatient. Élodie écoute le moindre de mes gestes avec un intérêt certain. Je prends ma bite en main et lui caresse le visage avec. Celle-ci se laisse faire et tend même la joue pour me faciliter le travail.

— Hum, elle est toute chaude et toute dure !

Mon gland se frotte maintenant le long de ses lèvres, attirant à lui une petite langue qui finit par s'enrouler autour. Une vague de frissons me fait frémir tandis que ma sœur gobe mon sexe.

« Cette fille n'est pas faite pour toi, frérot. » : c'est ce qu'Élodie m'avait affirmé le lendemain de la soirée chez marraine. « Je sais que tu t'imagines le contraire après la nuit que tu as passée avec elle, mais je te connais bien, Thomas ; alors, quand je te dis qu'elle n'est pas faite pour toi, c'est que c'est le cas. » Qu'est-ce que tu en sais, grande sœur ? Tu prétends me connaître mais tu ne sais pas grand-chose de moi. Tu m'as toujours ignoré et m'as toujours rejeté. Sarah est tout à fait ce qu'il me faut. Elle m'offre en ce moment même ce que je désire depuis longtemps. Dirais-tu la même chose, maintenant que ma bite visite ta bouche ?

En tout cas, grande sœur, je dois avouer que tu es vraiment très douée. On sent que tu as beaucoup d'expérience et que tu aimes ça ! On sent que des kilomètres de bites sont déjà passés par là. C'est un délice de sentir ta langue se promener sur ma bite ; c'est un délice de sentir tes lèvres faire pression sur mon membre et le branler ; c'est un délice de sentir tes mains masser délicatement mes couilles. C'est encore plus jouissif que tout ce que j'avais imaginé. Ah oui, ma sœur est douée ! Au moins aussi douée que marraine.

Elle aspire de façon gourmande, elle suçote amoureusement, elle pompe admirablement. Elle a l'air de vraiment aimer sucer la bite de son frère. Elle ne réagirait pas pareil si elle savait que c'est la mienne. Je me demande si elle ne s'en doute pas, finalement. Après le coup du plumeau tout à l'heure, peut-être a-t-elle compris que Sarah lui ferait un coup comme ça ; ou peut-être pas.

Je sens ma sève monter. Dois-je la prévenir ? Euh… non, je ne dois pas parler. Et puis marraine a dit, tout à l'heure, que les filles ne devaient pas en perdre une goutte. Oh putain ! Cela veut dire que ma sœur va avaler mon sperme ! J'en prends seulement conscience maintenant. Ah oui, c'est proche maintenant ; je donne quelques légers coups de reins pour lui faire accélérer le rythme, ce qu'elle ne tarde pas à faire. Cette fois c'est bon : je jouis dans la bouche de ma sœur. Oh oui ! Prends-toi ça dans la gueule, salope ! Après un bon nombre de soubresauts, j'ai l'impression de m'être totalement vidé en elle. Mes jambes en flageolent. Je me retire donc et observe Élodie avaler mon sperme jusqu'à la dernière goutte.

— Hum, c'était délicieux ! me fait-elle. Personne ne m'avait autant inondé la gorge avant toi.

C'est sur ces derniers mots que je la laisse et sors de la pièce après m'être rhabillé. Marraine m'attend à la sortie. Je m'approche d'elle et l'embrasse langoureusement pour la remercier.

Elle me raccompagne ensuite au cocotier où les quatre autres types sont déjà revenus. Elle me laisse et embarque cinq nouveaux mecs.

Je retourne sur le canapé aux côtés d'Aliénor qui m'accueille, toute souriante.

— Alors, tu as aimé ton cadeau ? me chuchote-t-elle à l'oreille.
— Tu étais au courant ? fais-je, surpris.
— Oui, mais chut : ne le crie pas sur les toits.

Nous passons les minutes suivantes à nous caresser mutuellement et à nous embrasser. Sans que nous leur portions une grande attention, la deuxième série de mecs revient et la troisième prend le relais. Je vois que certains de ceux qui se sont déjà vidé les couilles dans la bouche des recrues sont en train de déshabiller les filles présentes et ont commencé à les lécher. Je prends exemple sur eux et enlève la robe d'Aliénor. Après lui avoir léché la poitrine je l'allonge, commence à lui lécher la chatte et me régale de son nectar. Je n'ai pas beaucoup d'expérience mais j'essaie de m'appliquer. J'ai l'air de ne pas trop mal m'en sortir puisqu'Aliénor semble prendre son pied.

La troisième série de gars est revenue quand Aliénor vient s'empaler sur ma queue. Ils ont le plaisir de découvrir l'orgie qui gagne peu à peu la salle et se joignent à la fête. Aliénor et moi, toujours enlacés l'un dans l'autre, continuons de copuler sans faire grande attention à ce qui se passe autour. Après avoir doigté sa chatte, je la lui ai léchée et je suis maintenant bien au chaud en elle ; que dirais-tu si tu le savais, Louise ? Et pourquoi pensé-je soudainement à Louise alors que je suis en train de me taper sa marraine ? Peu importe !

Nous atteignons tous deux l'orgasme au moment où la dernière série de mecs part se vider les bourses dans la gorge des recrues.

Nous sommes maintenant de nouveau assis sur le canapé et recommençons à discuter tout en enchaînant les verres. Nous n'avons même pas pris la peine de nous rhabiller. Autour de nous, ça continue de baiser mais nous ne nous en préoccupons pas.

— Et vous aussi, vous avez fait ça pour votre initiation ? demandé-je, curieux.
— Bien sûr que oui ! Et je dois dire que j'ai trouvé très excitant de sucer cinq mecs dont nous ne savions pas grand-chose. Malheureusement, une des filles de troisième année s'est amusée à révéler qui avait sucé qui, et a gâché ainsi la magie de la soirée. Elle a donc été virée du club.
— Ah bon ?
— Bien sûr : le club interdit aux types en question de révéler qui les a sucés, comme tu le sais déjà, mais il interdit aussi aux nymphes de révéler ces informations. Et quand quelqu'un n'obéit pas aux règles, il est châtié sans remords.
— Eh ben, vous avez des règles bizarres… Et au fait, je me posais une question la dernière fois : qui était la présidente du club avant Sarah ?
— Elle s'appelle Émilie Richard, et c'est la marraine de Sarah. Elle était aussi présidente du BDE. Elle est partie avec d'autres filles de troisième année faire son année à l'étranger.
— Ah, OK ! C'est pour cela qu'il ne reste plus que trois filles de troisième année dans le club ?
— Exactement.
— Et donc, si Émilie était la marraine de Sarah, c'est tout à fait normal que Sarah soit présidente maintenant.
— Euh, non ; ce n'est pas vraiment comme cela que ça se passe, me corrige Aliénor. Certes, Émilie avait senti un bon potentiel chez Sarah, mais les choses ne se font pas comme cela. C'est plus compliqué ! En tout cas, Sarah est très vite devenue une légende ; et comme il n'y avait pas de concurrence pour le poste de présidente, elle n'a pas eu trop de mal à se faire élire.

La dernière série de mecs revient finalement, suivis peu après par les recrues. Je ne peux m'empêcher de sourire en voyant le retour de ma sœur. Très vite, sans que je réalise exactement comment, tout ce petit monde rejoint l'orgie. Après deux autres verres, je me retrouve – sans me souvenir comment à cause de l'alcool – en train de prendre en levrette une fille de seconde année dont j'ignore le nom.

Je me souviens aussi avoir vu marraine prise en sandwich par le président du BDE et un autre type, Aliénor sucer une queue et se faire lécher la chatte par Élisa, et enfin Élodie à quatre pattes, la bite de son parrain dans la bouche et celle du parrain d'Aliénor en train de lui ramoner la chatte.

Je me suis retrouvé après la soirée chez marraine où nous avons baisé une dernière fois avant que je m'endorme comme une masse.


Les cours ont repris le lundi suivant, et j'entame cette nouvelle semaine en me sentant un autre homme. Je n'ai jamais été plus heureux.

— Eh ben, t'as l'air d'avoir passé un bon week-end ! me fait Louise en cours d'économie.
— Si seulement tu savais…
— Vas-y, raconte ! fait-elle, curieuse.
— Non, je n'ai pas le droit !

Soudain, quelqu'un frappe à la porte et le prof dit d'entrer. Sarah, Aliénor et Camille font leur apparition. Mon cœur fait un bond de joie à leur vue.

— Excusez-moi, Monsieur Durand, entame marraine. Nous avons un papier à remettre à cinq de vos élèves. Cela vous dérange-t-il ?
— Absolument pas, Mademoiselle de Montferrat, fait-il avec un sourire charmeur. Allez-y.

Je ne suis pas étonné de voir que les destinataires ne sont qu'autre que ma sœur, Élisa Mannal, Anzhelina Kyakatzkyetsky, Marie Gauvin et la pouffiasse Natacha Grojean. Les trois filles partent tout de suite après en s'excusant une dernière fois auprès du prof.

— Putain, quel cul ! s'exprime la voix de David sans grande discrétion derrière nous.

Je remarque au passage que le prof écrit quelque chose sur une feuille.

— Pss devant ! nous apostrophe David.
— Quoi encore ? peste Louise.
— C'est quoi, ces bouts de papier ?
— Mais comment veux-tu que l'on sache ? lui demandé-je.
— Bah, je n'sais pas ; Sarah et Aliénor sont vos marraines, et Élodie la bonasse est ta sœur. Alors je me dis que vous devez bien être au courant de quelque chose.
— Ce n'est pas le cas, affirme sèchement Louise. Et même si ça l'était, je ne te le dirais pas.
— Ouais, idem ! rajouté-je.
— Oh, vous faites chier ! Pourquoi personne ne me dit jamais rien à moi ?

Après plusieurs minutes, le cours se termine. C'est l'heure du repas. Nous nous rendons alors au réfectoire et commençons à manger. Plusieurs seconde et troisième années viennent à moi me serrer la main pour me dire bonjour. Cela ne s'étant encore jamais produit, je vois que Louise commence à me lancer des coups d'œil intrigués.

Le repas se termine et me voilà aux toilettes en train de me vider la vessie. Je me rhabille, sors des toilettes et découvre une nouvelle surprise : la fille au nom imprononçable est là devant moi, affichant un sourire coquin. Elle porte un débardeur noir à tête de mort, une jupe écossaise, des collants troués, des rangers et des chaînes. Elle me pose la main sur la bite et me pousse dans la cabine. Deux secondes plus tard, elle est à genoux et m'ouvre le pantalon.

— Attends, je ne me souviens même plus de ton nom.
— Pas grave, c'est Anzhelina.
— Ah oui, c'est vrai !

Mon pantalon et mon boxer atterrissent peu après en bas de mes chevilles et elle prend en bouche mon sexe. Il ne faut pas longtemps pour qu'il se mette à grossir dans sa bouche. J'ignore pourquoi cette fille me fait ça, mais je me contente d'en profiter. Ce n'est pas tous les jours qu'on nous saute dessus pour nous sucer la bite. Miss Punk me pompe bien comme il faut, maintenant. Elle n'est pas aussi douée que Sarah ou Élodie, mais je sens qu'elle essaie de s'appliquer. Quand marraine me disait que je ne regretterais pas de sortir avec elle, j'ignorais encore à quelle point elle avait raison !

Miss Punk lâche maintenant ma bite et s'occupe de mes testicules, qu'elle gobe avec plaisir. Je la regarde faire tranquillement. Cette fille semble être une vraie furie ; elle me reprend en bouche et me pompe énergétiquement. Une main passe derrière pour me peloter les fesses. Bientôt un doigt s'engouffre d'un coup dans mon cul. Passée la surprise, je trouve ça plutôt agréable et excitant.
À me faire ainsi fouiller le cul tout en me faisant pomper, ma jouissance ne tarde pas à arriver. Je me libère dans sa bouche. Miss Punk se montre gourmande, avale tout et me nettoie la bite jusqu'à la dernière goutte.

— Et au fait, le bout de papier de tout à l'heure, c'était quoi ? lui demandé-je.
— Oh, fait-elle, juste l'énoncé de la seconde épreuve de l'initiation. Apparemment, nous devons nous taper un de nos profs, au choix !
— Ah OK ! fais-je en rattachant mon pantalon.

Miss Punk se relève, sort de la cabine et commence à s'en aller mais finalement se retourne.

— Au fait, tu passeras le bonjour à la présidente de ma part !
— OK, pas de soucis.

Je la regarde s'éloigner et sortir des toilettes en me rendant compte que j'ai encore oublié son nom.