Caroline y prend goût

Caroline commençait à s'attacher à moi. En tout cas elle revenait régulièrement me voir, me prévenant par SMS pour être sûre que je serais bien chez moi.
Lors de son premier retour elle était entrée, m'avait claqué deux bises, puis était tombée à genoux, comme ça, direct, dans mon entrée. Elle portait une ravissante jupe à plis, un peu courte (au-dessus du genou), des bas sombres, gris, et des escarpins classiques (ce qui n'était pas dans ses habitudes : je la voyais beaucoup plus souvent en bottes ou en mocassins presque plats).

Puis elle s'était retroussée lentement, remontant sa jupe courte sur sa taille, la tire-bouchonnant un peu afin qu'elle ne retombe pas, révélant son somptueux fessier… nu ! Aussi blanc que le haut de ses cuisses mafflues au-dessus des bas autofixants. Elle avait placé ses mains dans le dos en signe de soumission, juste après avoir posé devant elle une paire de menottes. Très rouge, comme d'habitude, elle avait levé les yeux vers moi juste un instant – j'y avais lu une lueur d'effronterie, de trouble et de désir intense – et avait prononcé ces mots avant de baisser les yeux :

— Votre Carolinette est une vilaine fille ; elle est venue chercher ce qu'elle mérite.

Bien entendu, j'étais immédiatement entré dans son jeu ; je n'allais pas bouder cette offrande ni mépriser son désir qui était aussi le mien : elle me faisait tellement d'effet, et cette petite mise en scène simple et rapide s'avérait rudement efficace ! Bien que surpris, je m'étais retrouvé immédiatement en érection, une gaule terrible.

— Hum, Carolinette. Vous avez lu Les malheurs de Sophie ?
— Bien sûr, comme beaucoup de petites filles.
— Et alors ?
— À l'époque, ça m'avait beaucoup troublée… mais je n'avais pas compris pourquoi. Mais en y repensant plus tard, à l'adolescence, et les relisant… je…
— Oui ?
— J'en ai été toute mouillée, ajouta-t-elle d'une voix presque éteinte.
— Je vois que vous avez une prédisposition très ancienne pour les jeux de soumission ; ça vient de loin. Mais la petite Sophie, même si elle ne faisait que des bêtises, était très jeune ; elle était excusable, n'ayant pas atteint l'âge de raison. Alors qu'à votre âge… Et puis vous êtes un peu trop rebelle, et vous attacher me semble justifié et bien plus prudent, dis-je en me baissant pour lui menotter les poignets derrière le dos.

Et ce faisant, tandis que mon visage était près de son cou, je sentis qu'elle frissonnait.

— Venez jusqu'ici. Avancez sur les genoux, venez me confesser vos bêtises, dis-je en lui désignant l'endroit où je tirai la chaise et m'assis.

Elle se déplaça à genoux jusqu'à moi. Je lui demandai de se placer sur mon côté droit, légèrement penchée en avant, et de prendre un air contrit afin de me confesser ses fautes et ses pensées impures.

— Bon, pour commencer, pourquoi n'avez-vous pas de culotte ?
— Parce que je l'ai enlevée avant de partir, répondit-elle avec une tout petite voix.
— Et pour quelle raison, Carolinette ?
— Je tenais à me présenter chez vous fesses nues sous ma jupe.
— Pour quelle raison ?
— Je vous voulais vous faire une surprise ; et un cadeau. C'est pour vous montrer que mes fesses vous appartiennent, et que je suis disponible.
— Hum… je suis très touché. Néanmoins, ça prouve également que vous êtes une petite allumeuse, une petite vicieuse… et ce vice sera à ajouter à la liste de vos travers pour lesquels vous devrez être punie. Et où est-elle, cette culotte ?
— Dans mon sac à main.
— Eh bien je la prends. Voilà, confisquée ! Vous rentrerez chez vous cul nu. Fesses toutes rouges et cul nu !
— Oh !
— Il y a combien de temps que vous préparez cette petite mise en scène ?
— … Ça fait plusieurs jours… Je…
— Combien de jours ?
— Plus d'une semaine…
— Hum. Vous y avez pensé souvent ? La nuit ?
— Oui. Et dans la journée, parfois…
— Parfois ?
— Euh… non, souvent.
— Vous avez travaillé tous les détails ?
— Oui.
— Je m'en doutais. Et même votre tenue a été réfléchie, n'est-ce pas ?
— Oui, j'ai tout mis au point.
— Perfectionniste…
— Oui, j'avais peur que quelque chose ne vous plaise pas ; j'avais peur de louper… que ça vous déplaise.
— Rassurez-vous, j'ai apprécié. Je trouve ça très réussi.
— Merci !
— Et dans quel état étiez-vous quand vous réfléchissiez à votre plan, dans vos moments perdus ?
— Hum, j'étais très troublée…
— Troublée ?
— Je mouillais…
— Beaucoup ?
— Oh oui, abondamment, comme une jeune fille ! J'étais trempée ; je me surprenais moi-même.
— Et là, en ce moment, comment êtes-vous ?
— Oh… je dégouline !
— Permettez-moi de vérifier ; je n'aime pas les petites menteuses.

Je me penchai. La petite salope avait déjà écarté les cuisses pour me laisser le passage libre. Ma main glissa sur ses reins, la voûte de sa fesse, et plongea en direction de sa vulve. Mes doigts s'insinuèrent dans le satin de sa fente. Elle ne m'avait pas menti : elle était littéralement trempée !
Je caressai doucement ses douces muqueuses, titillai l'orée de sa grotte, effleurai son bourgeon… Elle se mit à haleter. J'insistai un peu puis me redressai pour reprendre ma posture de confesseur.

— Et vous pensez parfois à moi, le soir, avant de vous endormir ?
— Oui…
— Je vous fais donc fantasmer ?
— Oh oui !
— Qu'est-ce que vous imaginez ? Qu'est-ce que vous rêvez qu'il vous arrive ? Ici, dans ma maison ?
— Je rêve que vous me fessez. Une longue fessée, douce d'abord puis de plus en plus forte, donnée à plat ventre en travers de vos genoux, comme à une sale gamine. Une fessée humiliante et sévère, qui me marque ! Je rêve que vous me fessez jusqu'à ce que j'éclate en sanglots. Je rêve d'être votre petite chienne… que vous me faites plein de choses…
— Hum, je vois le genre ; je suis sûr que vous vous branlez comme une pensionnaire impudique dans un internat de jeunes filles.
— Oh oui, ça m'arrive.
— Et alors ? J'espère que vous avez honte ?
— Non, c'est bon ; je mouille… je me fais jouir.
— Et vous n'en avez pas honte ?
— Non, j'assume. Curieusement, en vous l'avouant aujourd'hui comme ça, à genoux, le cul à l'air devant vous, je n'en n'éprouve pas de honte ; au contraire, ça me soulage et ça m'excite encore plus.
— Tu seras punie pour ça aussi !
— Hummm…

Elle fermait à demi les yeux, le visage écarlate, au bord de l'implosion.

— Tu ne perds rien pour attendre ! Tu es vraiment une petite perverse, sous tes airs de fille bien sage, avec ton visage d'ange. Je te promets qu'aujourd'hui tu vas recevoir la fessée de ta vie ! Celle que tu attends, que tu espères, dont tu rêves… et que tu mérites ! Mais d'abord, en attendant, je vais détacher tes poignets quelques instants, et tu vas te branler. Je vais te regarder te caresser, à genoux, devant moi. Je vais te regarder prendre ton pied et jouir comme une jeune fille en chaleur, comme une petite salope.

Elle me regarda, manifestement un peu surprise, et plus troublée que je ne l'aurais pensé.

Je fis ce que je venais d'annoncer. Elle fit bouger ses avant-bras qui devaient être un peu ankylosés. Je lui ordonnai de bien relever sa jupe, de la rouler sur sa taille et de passer sa ceinture par-dessus, afin qu'elle ne retombe pas.

Elle passa sa main droite par devant, entre ses cuisses, et commença à s'astiquer lentement d'abord, les yeux mi-clos, puis de plus en plus vite. Elle fut tentée de fermer les yeux mais je saisis son menton et le levai vers moi :

— Je veux que tu me regardes dans les yeux ! Je veux voir tes yeux quand tu vas jouir !
— Oh, salaud…
— Comment ?!
— Non, je veux dire… j'ai honte. C'est humiliant…
— Tu as dit que tu voulais devenir ma petite chienne ; alors voilà ce que ça implique. Mais tu seras punie plus sévèrement pour ce mot.
— Pardon… dit-elle d'une petite voix éteinte.
— Contente-toi de te caresser.
— Je préférerais que ça soit vous…
— Pas pour le moment. Si tu es sage, tu seras récompensée… quand tu l'auras mérité. Et je ne l'ai pas encore décidé.

Elle accélérait le rythme, manifestement très excitée.
Je la regardais amoureusement, avec tendresse.

— Fais-moi ce cadeau. Allez, donne-moi tout.

Quand son excitation monta d'un cran, quand je sentis qu'elle était au bord de l'explosion, je me penchai et pris sa bouche ; elle me rendit ma galoche avec une frénésie qu'elle n'arrivait pas à maîtriser.

— Allez, branle-toi, petite Caroline ! Astique-toi, fais-toi jouir ! Dis-moi ce que tu ressens, à quoi tu penses en même temps.
— Ah, je pense à votre queue… J'aimerais l'avoir en moi…

Les premiers soubresauts de la jouissance la firent partir. Les premières salves, puis d'autres :

— AH, AAAAH !
— Oui, donne-moi tout. Raconte-moi…
— Mettez-moi un doigt dans le cul… AAAH, AAAH !
— Pas maintenant, Caroline. Vas-y, branle, branle !

Elle se fit jouir deux fois, trois fois, puis j'y mis fin :

— ARRÊTE MAINTENANT !
— Oui, Maître, répondit-elle docilement, sans se faire prier, semblant soulagée comme si ça l'obligeait à revenir au calme.

J'étais surpris et touché : c'était la première fois qu'elle m'appelait « Maître », et je ne lui avais pas demandé.

— J'ai l'impression que tu mets beaucoup de cœur à jouer ton rôle de soumise. Ça a l'air de te plaire.
— Oui, Maître, dit-elle en souriant.

C'était un sourire de satisfaction mais où perçait une pointe d'ironie. Je n'en pris point ombrage : la coquine ne se moquait pas de moi, mais la situation, malgré le trouble, devait l'amuser un peu. Je la connaissais bien : la secrétaire pleine de caractère, jamais en reste quand il s'agissait de s'affirmer – quitte à se rebeller – était bien là.

— Bien. Tourne-toi face à moi, maintenant, en restant dans cette position qui te va si bien et t'embellit : à genoux sur tes talons, les cuisses bien écartées… et remets tes mains dans le dos. Je vais chercher un accessoire indispensable que j'ai acheté spécialement pour toi.

Elle obéit tandis que je me levais pour aller prendre trois objets dans un tiroir de mon buffet.

— Je vais te mettre ce beau collier en cuir qui sent encore le neuf. Ainsi tu sentiras encore mieux que tu es ma petite chienne, dis-je en le refermant sur son joli cou ferme.

Le cuir noir était encore raide. Il se fermait par trois boucles que patiemment je verrouillai sur sa chair.

— Il n'est pas trop serré ?
— Non, ça va. Je le sens, c'est tout.
— Oui, il faut que tu le sentes. Maintenant tu m'appartiens.
— Hummm…

Ses lèvres étaient très rouges, ses joues écarlates, et ses yeux brillaient comme jamais.

— On sent qu'il est tout neuf : il sent fort le cuir.
— Oui, tu as raison. Tu aimes ?
— Oh oui, ça m'excite !
— Moi aussi. Et il y a aussi une petite boucle. Tiens, j'y attache le mousqueton de cette laisse toute neuve également, tout en cuir tressé. Une laisse courte. Une soumise, ça doit être tenue bien court. Tu sens désormais que je te tiens quand je tire sur ta laisse ? Je te guide, je te conduis d'une traction sur ton cou.
— Oh oui, Maître !
— Tu me fais un sacré effet, tu sais… Eh bien tu vas prendre ma queue dans ta bouche. Tu vas garder tes mains dans le dos et je vais te guider en tirant sur la laisse. Et avec la cravache, des petits coups bien secs sur tes grosses fesses si tu ne suces pas bien. Je ne te rattache pas les poignets : on va garder ça pour la fessée – celle dont tu rêves – car je sais que tu es bien docile, bien appliquée.
— Oh oui, Maître, tout ce que vous voudrez. Je suis votre petite salope. Mais embrassez-moi, s'il vous plaît, ajouta-t-elle avec une toute petite voix.
— Entendu. Normalement, une soumise n'a pas à émettre de requête ; mais bon, tu l'as mérité.

Son cou était tendu vers moi, sa bouche entrouverte attendant, presque implorante mais patiente, les yeux mi-clos. Je me penchai et l'embrassai tendrement, suçai sa langue, butinai ses lèvres ; mon érection en devint encore plus puissante.

Je mesurais combien cette fille me kiffait, de plus en plus convaincu qu'elle était amoureuse de moi. Mais bizarrement, ça ne m'effrayait pas.

Je sortis mon vit dur comme du bois. Elle contempla l'organe quelques instants et se pencha lentement, comme pour faire durer l'attente. Tout doucement elle referma ses lèvres pulpeuses sur mon gland tendu à exploser. Je ne pus que soupirer d'aise et savourer le plaisir de ce contact. Elle le suça lentement en faisant des mouvements de va-et-vient de faible amplitude tout d'abord, en serrant et desserrant avec délicatesse le fourreau de sa bouche, mesurant bien la pression : du grand art ! La diablesse voulait à coup sûr me faire la démonstration de son talent, de son zèle, et de son affection pour moi.

Je la laissai faire, et me mis seulement à caresser ses courts cheveux méchés de blond, à effleurer ses joues.

Peu à peu, son mouvement devint plus ample ; elle se mit à descendre plus bas sur la hampe, jusqu'à finalement l'engainer totalement : un vrai bonheur ! Elle devait manifestement être contente de l'effet produit puisqu'elle ne recevait ni coup de cravache ni traction sur la laisse.

Ça devait lui manquer, à cette petite gueuse effrontée, car à un moment je suis sûr qu'elle fit exprès de mal sucer ; je tirai sur la laisse et lui appliquai un coup sec sur la fesse droite. Elle ne fit que gémir légèrement. Elle montra alors une application toute relative, se mettant à sucer moins bien ; je compris, et commençai à lui administrer des coups de cravache lents mais réguliers, alternant fesse droite, fesse gauche.
À un moment donné je feins même de me mettre en colère : je me levai de ma chaise et lui ordonnai :

— Ça suffit ! Tu es une petite paresseuse, et tu joues à la petite gourdasse ! Tu vas recevoir ce que tu mérites. À quatre pattes !

Elle ne protesta pas, fit la grimace, se préparant au traitement qu'elle avait cherché.

— Garde tes mains à plat au sol, et cambre-toi bien. Tends bien ta croupe ! Allez, présente-moi bien tes fesses.

Et là, la retenant par la laisse, la tenant bien court, la nuque dressée comme une chienne en arrêt, je me mis à abattre sur ses fesses et ses cuisses une pluie lente mais régulière, un cinglage qui fit claquer sèchement le plat de la cravache en cuir sur ses chairs replètes.
Elle se mit à pousser des petits cris désespérés.

La drache tomba drue mais ne dura pas. Quand elle cessa, je l'entendis haleter. Je caressai ses deux hémisphères bien rebondis qui s'étaient couverts de petites marques rouge pâle. Mes doigts glissèrent dans son sillon fessier, effleurèrent le petit cratère bien caché et descendirent jusqu'à sa fente : elle dégoulinait !

— Hum, j'adore te voir dans cette position, tendue comme un arc, bien cambrée, bien offerte. Mais tu peux faire encore mieux. Je suppose qu'on ne t'a jamais harnachée avec un crochet à boule ?
— Un crochet à boule ?
— Oui. C'est un long crochet métallique terminé par une petite boule qu'on enfonce dans l'anus de la soumise. L'autre extrémité se termine par un anneau : il n'y a plus qu'à y passer une ficelle et la relier au crochet de ton collier… et surtout à bien le tendre ! Ça te maintiendra ainsi bien cambrée et la nuque en arrière, sinon tu sentiras l'effet dans ton cul.
— OH !
— En attendant, marche un peu, petite chienne, avance à quatre pattes. Tu vas apprendre à marcher en laisse dans la maison. Et ne te plains pas : je pourrais te faire marcher dans le jardin, mais il y a des voisins qui pourraient profiter de la vue…
— OH NON ! protesta-t-elle brusquement, avec un air mi-révolté mi-implorant.
— Ne t'inquiète pas : je t'ai dit que je ne le ferais pas ; je ne le ferai jamais. Tu es ma petite soumise rien qu'à moi… une vraie petite femme d'intérieur ! rigolai-je.
— Hum… fit-elle sur un ton désapprobateur.
— Allez, marche ! fis-je en tirant sur sa laisse, que je me repaisse de ce spectacle, de ce joli corps si bien exposé. Et marche avec les cuisses un peu écartées, et toujours bien cambrée, que je profite de la vue sur ton abricot et ta petite praline !
— Oh… soupira-t-elle d'un ton rassuré et presque fier, excitée que j'apprécie son corps que son mari devait dénigrer.
— Allez, chose promise, chose due !

Puisqu'elle n'avait pas exprimé d'opposition manifeste, j'allai à mon buffet et en sortis mon fameux crochet à boule, en métal argenté flambant neuf.

— Voilà l'objet, dis-je en le lui mettant sous les yeux.
— Ohhh, fit-elle en louchant sur la tige métallique mais surtout sur l'extrémité ovoïde.
— Écarte bien tes cuisses offre bien tes fesses.

Elle obéit du mieux qu'elle put. J'enduisis sa petite rosette ainsi que l'extrémité du crochet de gel à l'eau. À genoux derrière elle qui attendait bien docilement, je forçai légèrement sur son petit anneau plissé avec l'extrémité effilée en effectuant de légères allées et venues jusqu'à l'enfoncer de moitié. Je remis du gel.
Elle grimaça et geignit un peu quand je forçai plus avant sa rondelle et que j'arrivai enfin à faire disparaître l'extrémité allongée du métal.

— Voilà, fis-je. Il ne me reste plus qu'à passer cette ficelle dans l'anneau du crochet, la relier à ton collier et tendre tout ça au maximum.

Je joignis le geste à la parole. L'anneau lui tira sur l'anus. Elle poussa un petit râle. Je remontai son collier en haut du cou, tendant la ficelle de quelques millimètres supplémentaires.

— Allez, cambre-toi davantage, ça tirera moins sur ton trou du cul. Voilà, c'est parfait. Que tu es belle comme ça… une vraie chienne d'arrêt ! Allez, tu vas marcher un peu en laisse autour de la table.
— Hmmm, hummpf… Oh, ah ! fit-elle en avançant précautionneusement ses genoux tout en coordonnant le plus délicatement possible ses « quatre pattes ».

Je fis exprès de tirer plus fort sur sa laisse ; elle commença à suffoquer, ne comprenant manifestement pas ce que j'attendais d'elle. Alors, pour être plus explicite, je lui demandai d'avancer plus vite. Elle eut du mal à suivre, devant toujours garder la nuque bien tendue en arrière pour que le crochet à boule ne lui arrache pas la rosette. Elle gémissait à chaque pas.

J'arrêtai l'exercice.

— C'est bien. Ah, tu m'excites, petite salope ! Tu ne fais que m'allumer avec ton beau cul épanoui ; tu mérites une correction, petite gueuse !

Je retirai le crochet-boule de son petit trou et la ficelle du mousqueton de son collier, puis m'assis sur la chaise.

— Allez, viens. Viens t'allonger à plat ventre et prendre la fessée que tu mérites. La longue et puissante fessée que tu as rêvée et qu'il te faut pour soulager ta conscience, pour t'alléger de tes fautes. Mais d'abord, enlève le haut : je veux voir tes beaux nichons bien blancs pendre dans le vide et ballotter au rythme de ta fessée.

Elle se releva, un petit sourire gêné teinté d'une bonne dose d'excitation, les joues framboise, et sans se presser déboutonna son chemisier, dégrafa et ôta son soutien-gorge.

À presque cinquante ans elle avait vraiment un corps magnifique ; sa poitrine, qui se tenait encore très bien, était aussi bandante que sa croupe, ses fesses développées.

— Hum, tu as vraiment des seins ravissants, Carolinette. Reste un peu debout devant moi, les mains sur la nuque, cuisses écartées.

Elle obéit aussitôt avec un zèle empressé. Je me relevai, empaumai doucement ces deux belles pêches aux pointes roses, les caressai longuement, titillai entre pouce et index les jolis mamelons qui devinrent durs et tout froncés.

— Hum, il va vraiment falloir que je m'occupe de ces pointes… murmurai-je d'une voix suffisamment audible et bien vicieuse.

Je voyais, juste sous mes yeux, sa chatte écartée, ses lèvres rose vif bien brillantes, et même… un filet de bave translucide qui commençait à pendouiller !

— Hummm… fis-je en caressant ses fines nymphes toutes douces.

Elle se mordit les lèvres, ferma à demi les yeux. Je la branlai tout doucement, introduisis le bout d'une phalange dans son petit con, recueillis la sève translucide avant qu'elle ne tombe et la portai à ma bouche et suçai mes doigts.

— Hum, délicieux… j'aime le goût de ton désir. Allez, maintenant, la punition ! Il y a un temps pour le plaisir et un temps pour le devoir ; tout se paie dans la vie.

Je saisis son poignet gauche pour l'attirer lentement à moi et la fis s'allonger à plat ventre en travers de mes cuisses. Elle se laissa guider bien docilement.

— Tu peux poser tes doigts sur le sol, ou attraper les pieds de la chaise ; c'est comme tu préfères.

Elle posa le bout de ses cinq doigts sur mon parquet.
J'avais juste sous mes yeux sa splendide croupe, bien exposée, prête à être sacrifiée.

Je commençai la claquée. D'abord très lentement, mais avec des claques fermes, alternant méthodiquement fesse droite, fesse gauche. Elle poussait un « HUMM » à chaque impact, me montrant qu'elle ressentait bien ma main, qui d'ailleurs imprima rapidement la marque de mes cinq doigts en rose vif sur sa peau de nacre, puis j'accélérai très progressivement. Je m'interrompais régulièrement pour insinuer mes doigts jusqu'à sa vulve afin d'être sûr qu'elle appréciait. Je recommençai au même rythme, puis en accélérant et tapant plus fort. Elle poussait de petits cris.

Je fis une pause, juste quelques secondes pour caresser ses hémisphères bien rebondis, insinuer mes doigts dans le sillon, caresser l'anus resté entrouvert ; je la sentis frissonner.
Pour me faciliter le passage, elle écartait ses cuisses sans que je le lui demande, n'attendant que ça : que je caresse l'intérieur tout gluant de sa fleur en m'y attardant pour déclencher ses soupirs, puis je reprenais.

J'accélérai encore, atteignant un rythme de croisière soutenu. Elle soufflait en cadence, puis finit par pousser de petits « Ah… ah… », me prouvant que ce n'était pas du chiqué : elle encaissait mais voulait montrer que son maître savait y faire et ne l'épargnait pas ; elle n'était plus une petite fille.

Puis je me penchai, saisis les menottes et lui ordonnai de remettre ses mains dans le dos sans quitter sa position. Je les verrouillai sur ses poignets. Elle souffla, chuchotant presque, pas rassurée :

— Tenez-moi bien, ne me laissez par tomber…
— Ne t'inquiète pas, Carolinette, dis-je en cramponnant sa taille replète.

Je repris la fessée à un rythme lent pour accélérer aussitôt, couvrant harmonieusement tout son fessier de claques fortes et sèches. Elle se lâcha, poussa des cris brefs qui n'étaient pas exagérés. Je la fis durer ainsi une bonne minute puis m'interrompis.

— J'aime beaucoup voir tes nichons qui ballottent, mais on peut encore améliorer ça, la vue comme ta sensation. Relève-toi.

Je l'aidai et, les mains dans le dos, elle reprit spontanément une posture bien docile, une posture de soumise obéissante, jambes légèrement écartées, poignets attachés dans le dos, face à moi.

J'allai jusqu'à mon buffet, ouvris un tiroir et revins avec un objet que je lui mis sous le nez pour bien le lui montrer : des pinces à tétons.

— Chose promise…

Elle frémit :

— Ouuh…

Je pris entre les doigts de ma main gauche la pointe d'un sein, et de l'autre ouvris la petite pince.

— Une pince pour débutante, précisai-je en la refermant doucement sur son téton.

Elle se mit à haleter, puis à souffler, lèvres serrées et crispées, mais ne quitta pas sa position. Je fis de même avec l'autre, reliant ainsi les deux mamelons par la jolie petite chaîne dorée qui y était attachée.

— Te voilà bien ornée, ma belle Caroline… dis-je en commençant à exercer de petites tractions sur la chaînette. J'aime te voir parée des bijoux que j'ai choisis exprès pour toi. Tu sais qu'il existe des bijoux encore plus personnels ? Si tu étais à moi, je suis sûr que j'aurais envie de te les offrir.
— Quels bijoux ? demanda-t-elle en grimaçant, essayant d'oublier la morsure des pinces.
— Oh, des petits anneaux en or, des piercings qu'on place sur chacune des petites lèvres, par exemple. Ensuite, il n'y a plus qu'à mettre un petit cadenas, histoire de fermer la tirelire, en interdire l'entrée… histoire de montrer qu'on en est le propriétaire.
— Un cadenas de chasteté, donc ?
— Oui, c'est un peu ça.
— Mais vous n'auriez pas besoin de le fermer… Moi, je serais toute à vous…
— Oh, comme elle est mignonne !

Et lui montrant combien elle me faisait craquer, je l'embrassai doucement sur la bouche.

— Mais je vois que tu es une fille courageuse ; aussi je vais lester cette jolie chaîne d'un petit poids prévu à cet effet. Voilà, 100 grammes pour commencer…

Elle grimaça mais ne cria pas quand le poids tira davantage ses petits mamelons vers le bas, sous l'effet de la pesanteur. Je poursuivis :

— Ça va ajouter un peu de piquant à la fessée : quand elle aura atteint un rythme et une intensité élevée, je vais me repaître du spectacle de tes tétons malmenés par balancement de la chaîne causés par les soubresauts que tu ne pourras réprimer sous l'effet de ma main ferme et implacable sur tes fesses !
— Oh… gémit-elle.
— Assez de paroles ; passons à l'action !

Là, je repris la fessée en claquant de plus en plus fort, en distribuant par moments des salves plus rapides. Je claquai même le haut de ses cuisses en descendant ; elle poussa des cris stridents mais je ne dépassai pas quatre claques à chaque fois. Les chaînes et les poids se balançaient avec violence et tendaient ses tendres tétons roses, et il était difficile de savoir ce qui la faisait le plus crier : la tension qui tiraillait ses pointes de sein par secousses ou les claques cuisantes sur sa chair.

La pluie tombait drue mais s'arrêtait souvent, et pour la récompenser de son endurance, de sa parfaite adhésion au traitement et de sa soumission (elle n'essaya à aucun moment de tenter de protéger ses fesses avec ses mains attachées), je me mis à la masturber franchement, et très rapidement elle gémit énergiquement, emportée par des mini-orgasmes. J'enduisis de mouille sa petite rosette puis repris la drache qui tombait désormais en une vraie pluie d'orage, violente, rageuse, accablante. Ses fesses tressautaient, ses cuisses étaient prises de soubresauts. Elle ne rigolait pas ; c'était du sérieux.

Je me repaissais du spectacle des ondes de choc qui parcouraient ses chairs à chaque impact, mais aussi de ses jambes qui s'étaient mises à battre l'air alors qu'elle portait toujours ses escarpins aux pieds : une vraie déesse, infiniment féminine et soumise, qui subissait une cuisante punition en dégoulinant de plaisir.

Je m'arrêtai, posai une main à plat sur chaque fesse pour en prendre la température (elles étaient brûlantes) et me mis à la branler doucement mais sûrement. Elle m'ouvrait largement les cuisses, se cambrait, m'offrait son intimité, et je lui donnais sa récompense. Entre deux séquences d'orages de claques je finis même par caresser son anus, y introduisis une phalange qui glissa sans problème, accueilli par un « Oooh… » enthousiaste.

Je finis par la branler énergiquement, le majeur jouant avec son bourgeon et faisant des allers et venues dans son fourreau tandis que le pouce s'était frayé un chemin dans son sphincter ; elle avait poussé un « Oohhh ! » un peu plus puissant, mais l'anneau étroit avait absorbé mes deux phalanges sans problème. Désormais la pince pouce-majeur se livrait à un ballet diabolique et son corps se tendait comme un arc ; je voyais sa nuque se redresser convulsivement et sentais tout son corps ainsi que ses chairs intimes s'agiter de spasmes : elle déchargeait, la petite gueuse !

Je libérai ses orifices, lui intimai de se relever, l'aidant en soutenant son torse, et lui ôtai ses menottes.

— Penche-toi en avant sur la table, ma petite salope.
— Oh oui, Maître.

Après avoir claqué chaque fesse de mes deux mains – ce qui lui arracha un cri supplémentaire – je plantai ma pine dans sa fleur bien ouverte et, refermant telles des serres mes mains sur sa taille, je me mis à la saillir.
Je la besognai lentement mais bien à fond.
Elle appréciait : elle se lâchait, m'offrant tout le registre sonore dont elle disposait, vocalisant sans retenue.

J'interrompis soudain l'action ; elle me faisait un effet que je commençais à avoir du mal à contrôler. J'en profitai pour aller prendre du gel et en enduisis copieusement sa rosette, l'étalant bien consciencieusement, ne laissant aucun doute sur ce qu'elle allait subir. Mais je la détrompai partiellement :

— Je vais te garnir, ma petite chérie, dis-je en prenant un plug anal de taille moyenne.

Et patiemment, l'extrémité conique de l'objet fit des allers-retours dans son petit trou jusqu'à ce que, enfin, la partie la plus large passe l'anneau et se fixe à l'intérieur, le plug bien bloqué dans son cul.

— Allez, à genoux sur la chaise ! ordonnai-je fermement.

Les mains toujours menottées sur ses reins, les chaînes sur l'extrémité de ses seins, elle obéit sans discuter. Je la saisis par la taille et me replantai en elle pour la retravailler à longs coups souples. Mes mains prirent possession de ses seins, les pressant comme des agrumes, jouant avec les pointes douloureusement emprisonnées par le métal.

L'une après l'autre j'ouvris les pinces, lui arrachant un cri déchirant, puis je ressaisis les pointes tout endolories et jouai doucement avec elles. Elle poussait des petits « Aah… Aah… » en cadence, au rythme de mes doigts et du piston qui allait et venait en elle.
Ma bouche faisait des glissades dans son cou. Je sentis son plaisir revenir ; il remontait.

— Oui, oui, ouiii ! Ah, tu me baises bien…
— Tu aimes ?
— Oh oui… que oui ! Je suis toute à toi…

Ma bouche attrapa ses lobes d'oreille, puis ses lèvres, sa langue qu'elle m'offrait. Elle était excitée comme jamais, en délire, et je n'étais pas mieux.
Mes lentes entrées en elle se terminaient par un puissant coup de boutoir.

— Ah, comme tu me prends bien… Je sens l'objet dans mon cul… Tu vas me le remonter…
— Tu aimes ça ?
— Oh oui !
— Tu vas me donner ton cul ? Tu veux bien que je jouisse de lui ?
— Oh oui !
— Descends et installe-toi à califourchon sur la chaise.

Elle ne se fit pas prier. Je lui libérai les poignets pour qu'elle puisse poser ses avant-bras sur le haut du dossier.

— Recule-toi, cambre-toi bien, mets ton cul bien au bord, offre-le-moi bien… et que ta vulve soit accessible à mes doigts.
— Oh ouiii…

Je pris l'extrémité du plug entre mes doigts et le tirai lentement. Quand il ressortit, elle poussa un petit cri.

— Ne t'inquiète pas, Carolinette ; je ne vais pas te laisser avec cette sensation de vide.

Et je présentai mon gland devant l'orifice tout rond encore bien ouvert où il prit la place de l'objet métallique. Caroline l'accueillit avec un soupir de contentement.

— Un aussi beau cul, aussi excitant, à faire bander les hommes et tous les saints, c'est tout ce qu'il mérite ; n'est-ce pas, Carolinette ?
— Oh oui, soupira-t-elle avec un plaisir non feint. Enculez-moi, souffla-t-elle, presque religieusement.

Ainsi encouragé, je poussai lentement mon avantage, et tout mon membre coulissa dans son rectum jusqu'à arriver en butée. Collé contre elle, je pris ses seins à pleines mains et plaquai son buste tout contre moi. Elle m'offrit sa bouche ; je pris sa langue, et elle en gémit d'aise, son feulement de plaisir étouffé par ma bouche.

— Tu m'appartiens… lui murmurai-je sensuellement.
— Oh oui, je suis tout à vous maintenant…
— Ma petite salope, continuai-je tendrement… et… hummm… il est bon, ton cul…
— Oui, c'est vrai ?
— Tu es brûlante comme l'enfer… et tu me serres, petite diablesse !
— Et c'est booon… Je n'ai jamais apprécié ça avant aujourd'hui ; il me faisait mal… Et là, c'est bon. C'est si troublant, si excitant…
— Oui, je t'encule en douceur, ma belle…
— Oh oui, tu m'as si bien préparée, c'est si bon… Allez, travaille-moi… lentement…
— Hum…
— Oui, j'ai enviiiie…

Mes mains bloquèrent son bassin moelleux de chaque côté de sa taille, et je me mis lentement à aller et venir en elle, ressortant presque le gland et l'enfonçant jusqu'au fond, butant tout au fond de ses entrailles.

— Hum, ahh, ahh, ouii…
— Branle-toi, ma petite salope !

Elle glissa une main sous elle et commença à s'astiquer la fleur tandis que j'accélérais le mouvement. Au bout de trois ou quatre allers-retours elle se mit à crier son plaisir ; au bout de dix, elle m'aspergea littéralement les couilles de cyprine. Chaque fois que je butais tout au fond d'elle je lui claquais le fessier vigoureusement à deux mains, lui arrachant un cri supplémentaire.

Finalement, glissant ma main gauche sous ma queue, je lui enfonçai le pouce dans la chatte, mes autres doigts rencontrant ses doigts qui s'agitaient frénétiquement sur sa vulve, et elle se mit à beugler à cris désespérés ! Je pris son ventre à bras le corps, la serrant contre moi et, n'ayant pas l'ultime énergie pour me retirer, je lui envoyai tout mon foutre dans son intestin : elle se prit un véritable lavement de sperme ! Ses jambes tremblaient, agitées de saccades. Elle n'en finissait pas de jouir, collée contre moi qui rugissais comme une bête blessée à mort.

Nous restâmes ainsi unis et soudés, amoureusement, tandis que je picorais de petits baisers ses épaules, ses joues, son cou.

Il fallut bien pourtant nous désunir.
Elle passa à la salle de bain, d'autant que ses joues et son fessier nécessitaient un peu d'eau froide pour redevenir présentables. Quand elle ressortit sèche et rayonnante, elle avait encore le visage rouge et les yeux brillants.
Nous bûmes un verre, tendrement, le temps de faire redescendre la température.

— Tu peux me redonner ma culotte ?
— Eh non. Je t'avais avertie : je dis ce que je fais et je fais ce que je dis.
— Mais je vais rentrer chez moi comme ça, cul nu ?
— Oui. Et il est bien rouge.
— Va falloir que je ruse, que je le cache quelques jours. En tout cas, tu n'as pas réussi à me faire éclater en sanglots sous la fessée.
— Je n'ai pas essayé. J'aurais pu. Mais si j'étais allé jusque-là, ce n'est pas seulement quelques jours que tu aurais dû cacher tes fesses à ton mari, mais au moins trois semaines parce que, crois-moi, les marques, tu en aurais gardé de belles, bien visibles, peut-être violacées… C'est ça que tu voudrais ?
— Oui, dit-elle en baissant les yeux.

Et elle ajouta, songeuse :

— Oui, pleurer et crier sous votre fessée… ta fessée…
— Si besoin, j'utiliserai mes belles strappes en cuir. J'en ai toute une collection.
— Oui, mais les marques… Il faudra programmer ça quand Steve emmènera les gosses chez sa mère, l'été prochain, dit-elle sur un ton plus bas.
— Voilà une charmante perspective ! dis-je en riant.
— Oui, tout un programme. De quoi me faire encore fantasmer durant de longs mois…

Puis elle prit congé. Je l'embrassai langoureusement sur le seuil avant d'ouvrir la porte, en passant ma main sous sa jupe pour caresser ses belles lunes… qui étaient encore toutes chaudes de leur traitement !

— À bientôt…
— Quand tu veux, petite Caroline. Tu sais où j'habite, ajoutai-je avec un clin d'œil.