(Élodie) La contre-attaque continue

Ha-ha, elle l'a bien cherché, cette petite idiote ! Quel plaisir d'assister à ce spectacle et quelle tronche elle tirait, la pauvre… Bon, il a fallu que me tape une nouvelle fois Gluau pour me le mettre dans la poche, mais ça en valait la peine. Quelque chose me dit en revanche que cela ne lui suffira pas. Si moi, je ne peux pas la convaincre d'arrêter, je connais quelqu'un qui le pourra.

Nous nous sommes rendues, Natacha, Élisa, Sandrine et moi, dans le réfectoire après ce magnifique cours de comptabilité. Soudain un intrus, un plateau-repas dans les mains, s'installe à notre table sans demander la permission. Il s'assoit aux côtés de Sandrine.

— Et qui t'a permis de venir à notre table ? demandé-je à David.
— Je vous rappelle que vous avez fait de moi un de vos favoris.
— Et alors ? Ça ne t'oblige pas à traîner dans nos pattes. Et puis n'oublie pas que rien ne nous oblige à te garder comme favori, lui rappellé-je.
— À part le fait que tu as besoin du maximum de votes possible pour t'assurer la victoire.

Tss, ce crétin n'a pas tort ! Chaque voix est importante, y compris celles des favoris, bien qu'elles ne vaillent que la moitié de celles des nymphes. Je ne dois pas négliger de voix si je veux assurer ma victoire.

— Bon, soit, finis-je par concéder ; tu peux rester avec nous pour cette fois.

C'est avec un grand sourire qu'il commence à déguster son repas en écoutant tranquillement nos conversations de filles.

— D'ailleurs, à propos de cette histoire de votes, nous coupe-t-il après plusieurs minutes, je me demande si je ne vais pas voter finalement pour Louise.
— Tu te fous de moi ? pesté-je.
— Absolument pas ! dit-il ironiquement. Il faut dire qu'elle nous a offert une prestation des plus excitantes, tout à l'heure. Elle a assuré comme une reine !
— On avait un marché, je te rappelle : Natacha se donnait à toi, on t'apportait Louise sur un plateau, et toi en échange tu devais nous apporter ton soutien aux élections.
— Mouais, mais je suis pas sûr d'être vraiment avantagé par ce marché ; et puis l'histoire avec Louise vous arrangeait bien plus que moi.
— Bon arrête de tourner autour du pot, m'énervé-je. Qu'est-ce que tu veux au juste ?
— Ben, j'me dis qu'avant de voter pour quelqu'un, il serait préférable de voir ce qu'elle a à offrir, si tu vois ce que je veux dire…
— Si tu crois que je vais baiser avec toi, tu te mets le doigt dans l'œil, mon pauvre.
— Bien ; comme tu veux ! Qui ne tente rien n'a rien, comme on dit, finit-il par conclure.

Et le repas se termine dans le silence. Nous débarrassons notre table et sortons du réfectoire. Je m'isole discrètement avec David et lui dis :

— Ce soir, retrouve-moi à mon appartement à dix-huit heures.

Après tout, pourquoi ne pas faire d'une pierre deux coups ?

Arrive donc le soir à l'appartement ; j'entends soudain frapper à la porte. Le timing est parfait. J'ouvre et fais entrer David qui affiche un grand sourire. Sans chercher à comprendre, je le pousse sur le canapé et m'installe à ses côtés. Je passe une main sur son entrejambe. Le volume me fait comprendre qu'il est déjà bien excité. Je détache son pantalon et sors son sexe que je prends rapidement en bouche. Je commence à pomper avec art tandis qu'il pousse un soupir de satisfaction. Profite bien… Dès que je serais présidente et que je n'aurai plus besoin de toi, je te détruis ta réputation. En attendant, moi aussi je compte en profiter au max. Cela fait déjà plusieurs minutes que je le suce quand je stoppe le mouvement. Il proteste mais je m'en contrefiche. Je retire mon haut et m'allonge sur le canapé en écartant les cuisses.

— À toi d'utiliser ta langue, maintenant.

Il ne se fait pas prier et commence à m'embrasser les seins. Sa bouche descend ensuite le long de mon ventre tandis que ses mains remontent ma jupe. Il commence enfin à me bouffer la chatte tout en la fouillant avec ses doigts. Il ne se débrouille pas trop mal, mais j'ai connu mieux. C'est en revanche suffisant pour me rendre bien humide et me mettre véritablement en appétit.

Ça y est ! La porte d'entrée s'ouvre et Thomas fait son apparition dans la pièce. Je savais qu'il devait rentrer vers cette heure. Il reste bloqué quelques secondes en découvrant cette scène. Voir l'un de ses potes se taper sa sœur a l'air de bien le chambouler. Son visage affiche un mélange de dégoût et, il me semble, d'envie.

David ne trouve rien d'autre à dire qu'un « Salut, Thomas ! ».

— Putain, t'as une chambre, bordel ! me gueule-t-il en claquant la porte de la sienne après y être entré.

Je fais signe à David de reprendre le boulot. Ce dernier, imperturbable, retourne donc à la tâche.

Maintenant que mon frère est rentré et qu'il s'est enfermé dans la pièce d'à côté, je me laisse aller à gémir. J'en rajoute même. J'aime qu'il m'entende me faire prendre.

Je me retourne, me mets à quatre pattes et tends ma croupe vers David en signe d'invitation. Ce dernier ne se fait une nouvelle fois pas prier et pénètre d'un coup ma chatte. Il me fait lâcher un petit cri et commence à me labourer avec plaisir. On sent que ça fait un bout de temps qu'il attend ce moment.

Tandis qu'il me pistonne, mes pensées vagabondent sur mon frère. Que fait-il ? Je suis sûr qu'il est attentif à ce qu'il se passe ici. Peut-être qu'il est en train de se branler. Oh oui, je suis sûre qu'il se branle. J'imagine sa main coulisser frénétiquement sur sa bite. Il doit souhaiter être à la place de son pote, à me défoncer. Cette pensée m'excite encore plus. Bien que l'idée de me taper mon frère me fasse horreur, je dois avouer que de savoir qu'il me désirait m'avait au fond toujours énormément excitée, et j'avais en de nombreuses occasions nourri cette attirance tout en lui montrant que jamais il ne me posséderait. Je crois qu'au fond je suis jalouse de toutes ces filles avec qui il baise maintenant : Sarah, Louise ou encore Aliénor. Elles me volent mon frère, elles font naître en ce petit con d'autres désirs. Ce pervers incestueux ne mérite pas ces connes ; il faut donc que je devienne présidente pour l'éloigner de ce club.

Je sens que David a bientôt fini son affaire. Ses gémissements me font revenir à la réalité. Pendant qu'il accélère la cadence pour le feu d'artifice final, je fais semblant de jouir comme si c'était la meilleure partie de baise de ma vie. Lui finit par vraiment jouir et se déverse en moi avant de se renverser sur le canapé et reprendre son souffle. Le voilà satisfait, mais moi j'ai encore de l'appétit. Je me lève, remets mon haut et lui balance ses affaires pour lui indiquer de se rhabiller. Une fois fait, je lui fais signe qu'il est temps qu'il s'en aille ; mais ce dernier, au lieu de se diriger vers la sortie, se positionne devant la porte de mon frère et frappe.

— Hé, Thomas, tu m'avais caché que ta sœur était une aussi bonne baiseuse !

Cette remarque me fait sourire. Il enfonce le clou, ce con. Pauvre frère !

— Hé, tu m'entends, Thomas ? insiste-t-il.

La porte s'ouvre et laisse apparaître le regard noir de mon frère. Je n'ai pas le temps de réagir que son poing s'écrase sur le visage de David qui pousse un cri de stupeur.

— Putain, mais t'es malade ! hurle ce dernier.

Thomas est prêt à rappliquer, mais je me positionne entre les deux pour le stopper.

— Putain, mais casse-toi maintenant, David ; tu fais chier ! lui gueulé-je.

Il finit par m'obéir et sort en colère de l'appartement en se frottant l'œil. J'observe alors Thomas : il tremble de rage.

Qu'est-ce qu'il lui a pris ? Est-ce… de la jalousie ? Il me désirerait donc au point de péter un câble par jalousie. Son envie de moi serait donc si puissante ? Cette idée me fait mouiller de nouveau.

— Mais t'es trop con ou quoi ! pesté-je. Qu'est-ce qu'il t'a pris ?
— Il l'avait cherché, dit-il simplement.
— Mais t'es débile ! Ça ne se fait pas, ce genre de truc, continué-je pour le pousser à bout, intriguée de voir sa réaction.
— Tais-toi ! crie-t-il plus fort.

Mais je ne me tais pas et continue à le traiter de tous les noms d'oiseaux. Qu'il ait frappé son pote ne me dérange pas vraiment. Au contraire, cela m'a plutôt amusée. Mais je ne l'ai jamais vu se comporter ainsi ; ma curiosité m'amène à le malmener encore plus.

De colère, il me pousse finalement sur le canapé et vient s'installer à califourchon sur moi. Je lui lâche encore quelques insultes avant de le frapper à la poitrine avec mes poings, mais mes coups ne lui font rien. Ses yeux brûlent de colère. Visiblement, il n'y a pas qu'à son pote qu'il en veut.

— Tout ça, c'est de ta faute, me confirme-t-il en m'agrippant les poignets.

Il me les serre à m'en faire mal et les maintient d'une main au-dessus de ma tête. Je n'ai jamais vu mon frère si violent. J'ai l'impression d'avoir un autre homme en face de moi. Je suis à sa merci. Il pourrait me prendre de force, je ne pourrais pas lui résister. L'idée m'excite encore plus. C'est bien la première fois que je désire presque me faire baiser par mon frère. Oui, je suis à sa merci. Il n'a qu'à prendre son trophée.

Visiblement, il doit être arrivé à une conclusion similaire puisqu'il me semble voir apparaître une lueur d'excitation dans ses yeux. Sa main libre se pose sur mon ventre agité par une respiration saccadée et remonte jusqu'à atteindre un de mes seins. Ça y est, il a osé ! Depuis le temps qu'il devait rêver de l'atteindre… Sa main presse mon sein et finit par plonger à l'intérieur du décolleté pour se faire une idée de la douceur de la chose.

— Putain, mais arrête ça ! protesté-je faussement.

Ma manifestation semble lui faire retrouver l'esprit. Ses yeux changent d'un coup d'expression, laissant apparaître un mélange d'horreur et de honte. Il me lâche brusquement et bondit se réfugier tout au bout du canapé.

— Désolé, je n'aurais pas dû, lâche-t-il, prostré. Désolé…
— N'en fais pas tout un plat, le rassuré-je. T'es pas le premier à m'avoir touché aujourd'hui, je te rappelle. Je m'en remettrai.

Je me lève, remets un peu d'ordre à ma tenue et pars chercher deux verres et un peu d'alcool. Finalement, il semble vouloir combattre ses pulsions incestueuses. J'en suis presque navrée. Tant pis, c'est l'heure de changer de stratégie !

Thomas ne dit plus rien, son regard est vide. Je nous sers chacun un verre de vodka et m'installe à côté de lui. Au bout de quelques secondes je passe mes mains dans son dos et commence à lui masser les épaules.

— Qu'est-ce que tu fais ? me demande-t-il, surpris.
— Ça ne se voit pas ? Je te masse pour te calmer.
— Pourquoi ?
— Comment ça, pourquoi ? Je suis ta sœur, je te rappelle ; je prends juste soin de toi. Tourne-toi, sur le côté. Tu me faciliteras la tâche.

Il m'obéit sans poser plus de questions. Je suis maintenant plus à l'aise pour la tâche. Mes mains lui malaxent toujours les épaules et le dos. Mes gestes se font plus pressants. Je me rapproche plus près de lui jusqu'à venir coller ma poitrine contre son dos. J'ai envie de le chauffer encore, de voir jusqu'à où il est capable d'aller. Il est pris par une vague de frissons, signe que mon œuvre fait son effet. Il semble commencer à se détendre aussi. La vodka a peut-être eu aussi un rôle à jouer.

Après plusieurs minutes de massage, je le prends dans mes bras et pose la tête sur son épaule.

— Je sais très bien ce qu'affirment tes amies de moi…
— Comment cela ?
— Elles te disent que je veux me débarrasser de toi, n'est-ce pas ? Que je te veux du mal.

Il ne me répond pas mais il sait que c'est vrai.

— Pourquoi voudrais-je te faire du mal ? Tu es mon frère et je t'adore, prétends-je tendrement. Elles cherchent à nous séparer.

Va-t-il gober cela ? En tout cas, mon côté affectueux de ce soir doit le désarçonner et le faire douter. Il n'est pas habitué à ça de ma part.

— On n'a jamais été très proche l'un de l'autre, de toute façon, fait-il remarquer.
— C'est dommage… mais il est encore temps de se rattraper. Allez, à ton tour de me masser. J'en ai bien besoin moi aussi.

Je m'assieds sur le bord de ses genoux et il commence donc à me malaxer les épaules délicatement en y mettant la même tendresse que j'ai moi-même mise un peu plus tôt. Ses mains voyagent le long de ma colonne vertébrale, sur mes épaules et ma nuque. Je dois dire que c'est vraiment un moyen efficace pour se détendre.

— Hum, c'est agréable, lui murmuré-je. Continue…

Mais comme être assis au bord de ses genoux n'est pas confortable et que je souhaite continuer à le chauffer, je positionne mon fessier bien sur ses cuisses. Il semble surpris mais ne proteste pas et continue son œuvre. Ses mains vagabondent aussi au sommet de mon torse, pas loin de la naissance de mes seins. Je sens qu'il a envie d'aller plus loin, je le sens sous mes fesses, son sexe se fait de plus en plus dur.

— Putain, Thomas, je suis ta sœur quand même ! protesté-je doucement mais sans bouger.
— Désolé, je ne contrôle pas.

Mais je le laisse continuer sans rien dire. Je dois dire que je suis toujours très excitée, et le fait de le sentir sous mes fesses n'arrange rien. Ses mains s'attardent de plus en plus souvent sur mon torse et descendent de plus en plus bas vers mes seins.

— Encore désolé pour tout à l'heure, reprend-t-il. Je n'aurais pas dû de toucher comme cela.
— Comme je te l'ai dit, tu n'es pas le premier à m'avoir touchée aujourd'hui. Je te rappelle que c'est toujours la journée sans culotte. Techniquement, j'aurais même dû te laisser faire.

Et pour bien faire comprendre ce que j'attends maintenant de lui, je colle mon dos à son buste. S'il veut continuer de me masser, il ne peut maintenant s'occuper que d'un seul côté. Le message semble passer puisqu'il ne lui faut pas longtemps pour poser ses mains sur mes seins et commencer à me les masser. Ne me voyant pas protester, ses gestes s'enhardissent. Il ne s'occupe désormais plus que de cette zone. J'enlève finalement mon haut pour lui faciliter la tâche. Je ne me retrouve plus qu'habillée d'une courte jupe, assise sur les cuisses de mon frère pendant qu'il me caresse passionnément la poitrine. La situation m'excite bien plus que prévu, mais je ne dois pas oublier pourquoi je fais tout cela. Il est temps maintenant !

— Thomas, me désires-tu ?
— Oui… et toi ? ose-t-il me demander.
— Je ne sais pas, je ne sais plus. J'aimerais être sûre que tu m'aimes vraiment, que tu n'es pas qu'un simple pervers. Je ne pourrais pas me donner à toi avant.
— Comment te le prouver ? demande-t-il, intrigué.
— Sois à mes côtés pour la campagne. Demande à Louise de ne pas se présenter. Toi seul peux la convaincre.
— Alors, c'était donc pour ça, toute cette comédie ? s'énerve-t-il. Et moi qui ai cru que l'attirance que j'éprouvais à ton égard se révélait enfin réciproque…
— Non, je te jure Thomas, tout ça c'était vrai, lui dis-je en déposant sa main sur ma chatte trempée afin de lui prouver mon excitation. Pour Louise, toi et moi savons très bien qu'elle n'est pas faite pour ce rôle. Ce n'est que lui rendre service que de la convaincre d'arrêter maintenant. Convaincs-la et montre-moi par la même occasion que tu ne désires que moi. J'ai vraiment besoin de ça avant d'aller plus loin avec toi.
— Je sais pas, hésite-t-il.
— Allez, frérot, fais-le pour moi… le supplié-je pendant que ses doigts commencent à me caresser mes lèvres intimes.
— OK ! Je vais le faire, finit-il par céder.

Victoire ! J'ai gagné ! J'ai réussi à le rallier à ma cause. C'est lui qui va me débarrasser de cette petite conne ! C'est jouissif ; plus rien ne s'opposera à moi pour atteindre le sommet du club. Je me vois déjà avoir tout le monde à mes pieds. Cette pensée ainsi que l'action de ses doigts me mettent vraiment dans un état d'excitation absolue. J'ai envie de sexe ! Je quitte ses cuisses et m'accroupis devant lui. Il me regarde, incrédule, défaire son pantalon et libérer son sexe. J'ai moi-même du mal à croire ce que je m'apprête à faire. Je vais sucer mon frère. Ainsi je suis sûre de compléter mon emprise sur lui. Il ne pourra plus changer d'avis. Et comme promis, je baiserai avec lui quand il m'aura délivrée de la petite conne. Tout du moins, jusqu'aux élections, afin d'être sûre de le contrôler d'ici là. Je ne serais pas la première présidente à commettre un inceste pour sauver le club. Après tout, Ellen Martin l'a bien fait avant moi.

Mais une fois présidente, les choses vont changer, mon pervers de frère… Je me vengerai d'avoir dû en arriver là avec toi. Je t'expulserai du club et m'arrangerai pour te détruire comme je l'avais initialement prévu. Alors, petit frère, profite bien de ces petits moments que je t'offre, parce qu'ils ne dureront pas !

Quoi qu'il en soit, Thomas pousse un gémissement de bonheur quand mes lèvres se referment sur son gland. Je dois dire que ce n'est pas aussi désagréable que ce que j'avais jadis imaginé. Mon frère reste un homme avec une bite comme les autres ! Lui ou un autre, ça ne change pas grand-chose. En plus, j'ai la surprise de découvrir que mon frère est plutôt bien monté.

Thomas a l'air de prendre vraiment son pied ; en même temps, c'est normal, vu mes talents. J'ai du mal à croire que j'en sois arrivée à ce point ; sentir le sexe de mon frère coulisser entre mes lèvres me fait un drôle d'effet. Sucer son propre frère ! Même si cela sert mes intérêts, je dois être devenue folle d'arriver à ça. Mais comme précisé avant, je me vengerai en temps voulu. En attendant, rien ne m'empêche de prendre un étrange plaisir à suçoter cette virilité. Car oui, malgré tout, je prends vraiment plaisir à aspirer son gland, à lécher cette tige raide et à pomper. Tandis qu'une main lui masse les bourses, l'autre est partie stimuler mon propre sexe.

— Je vais jouir, me prévient-il.

Bien évidemment, cela devait arriver. Reste à savoir si je complète ou non cette fellation. Tandis que je continue à le pomper en délibérant mentalement si je dois l'avaler ou pas, mes doigts jouent frénétiquement avec mon clitoris. Tous mes sens s'activent en moi. Je me sens en ébullition. Je m'étonne de ressentir ça alors que je me régale de cette bite. Non, je ne peux pas avaler le sperme de mon frère, ça serait vraiment dégoûtant et dégradant pour moi. Et puis, je n'ai pas besoin de ça pour entériner le contrôle que j'exerce sur lui. C'est impossible, je ne peux pas faire ça. Pourtant, c'est bien malgré moi que je continue à le pomper frénétiquement alors que je le sens sur le point d'exploser. Je ne réagis pas plus quand finalement il se libère dans ma bouche. Je sens une marée d'un épais liquide se répandre. Je me retrouve à l'avaler sans réfléchir. C'est à ce moment précis que mes doigts sur mon sexe me procurent un orgasme saisissant.

Il me faut quelques secondes pour retrouver mon souffle, quel\-ques secondes où ma bouche a quitté la bite fraternelle. Quelques gouttes de sperme perlent encore sur son gland. C'est bien malgré moi que ma bouche plonge de nouveau pour le nettoyer complètement de cette semence. J'aime le sperme, je l'ai même toujours aimé. Celui de mon frère ne fait plus exception. Je crois même que j'en veux encore.