Stéphanie paie l’addition

Le jour convenu, à quatorze heures tapantes, je sonnai chez elle puis j’entrai directement. Elle m'avait en effet envoyé un texto dix minutes avant pour me prévenir que la porte serait ouverte. J'imaginais bien qu'elle n'avait pas envie de se montrer à la porte de chez elle en robe de mariée !
Je me rendis dans son séjour où je la trouvai qui m'attendait.

— Bonjour, Monsieur le maire.
— Bonjour, Stéphanie. Vous êtes vraiment ravissante, resplendissante !
— Merci, Monsieur le maire. C'est normal, je vous dois bien ça. J'ai juste dû reprendre ma robe pour faire de la place pour mon ventre ; heureusement que je suis douée en couture ! gloussa-t-elle.
— Et cela vous va à ravir ! J'ai toujours trouvé les femmes enceintes délicieusement belles, et tellement bandantes…
— Merci. Aujourd'hui, c'est la jeune mariée qui se donne à vous… et je serai toute à vous.
— Humm… Vous êtes si sexy, si désirable… Allons dans votre chambre si vous le voulez bien.
— Comme il vous plaira… tout ce qu'il vous plaira.

Je la suivis et nous gravîmes les marches qui montaient à sa chambre. Elle devait, ce faisant, retrousser légèrement sa robe, dévoilant le bas de ses jambes, et le froufroutement du tissu me faisait un effet bœuf. De plus, la suivant de près, je trouvai que son bassin avait pris un peu d'ampleur, ce qui n'était pas pour me déplaire (auparavant, je l'avais toujours trouvée trop mince, avec un cul un peu petit).

Sa grossesse lui donnait quelques formes qui ne la rendaient que plus « intéressante » ; un peu pulpeuse, sans aucun embonpoint. Elle ne ressemblait pas à ces femmes en fin de grossesse que je voyais parfois dans mon cabinet et qui ressemblaient à de grosses poules grasses couvant leur œuf, poules que j'aurais bien – il faut l'avouer – culbutées quand même, et farcies !
Pour moi, le must en terme de puissance d'excitation sexuelle, c'est quand le fessier plantureux de la femme enceinte reste plus large que son ventre devenu ovoïde.

Une fois arrivée dans sa chambre, elle se retourna vers moi avec un petit sourire, une moue délicieuse, interrogative, qui attendait mes consignes.
Ne souhaitant pas perdre de temps ni la faire languir, je lui intimai immédiatement, d’un ton sans appel :

— À quatre pattes, Stéphanie ! Par terre, la tête tournée vers le mur.

Naturellement, elle ne discuta pas. Mais la manœuvre fut un peu compliquée à cause de la longueur de la robe. Je la vis donc d’abord s’agenouiller en me tournant le dos, puis se pencher en avant, et elle s’appuya lentement et délicieusement sur ses avant-bras gainés de soie blanche.

Je n’eus pas besoin de lui demander de se cambrer et de creuser les reins : elle s’était installée en me présentant sa croupe encore empaquetée dans mon emballage-cadeau que représentait cette robe-fourreau seyante, bien offerte, bien tendue vers moi, et ses jambes étaient dans un écartement commode. Seuls dépassaient du tissu froncé ses fines chevilles gainées de nylon pâle et ses escarpins blancs et brillants.

Je sortis discrètement mon appareil photo compact de ma poche, que j’avais réglé en mode silencieux, et pris rapidement et furtivement un premier cliché. Ce tableau en valait vraiment la peine. Puis je m’approchai, me penchai, et commençai à caresser la seule partie découverte par la robe et l’escarpin : le dos du pied, la cheville douce. Mes doigts crissèrent sur le nylon.

J’avais le cœur qui battait. J’avais l’impression d’être un marié à qui l’on vient d’offrir un joli corps féminin, encore pur et encore vierge, dont il vient de prendre livraison et qu’il va posséder dans un court instant, celui d’une quasi-inconnue en la personne d’une fraîche jeune femme qu’on lui a donnée comme épouse.

J’avais également l’impression d’être un ignoble usurpateur, un invité pervers qui allait ravir la primeur et la fraîcheur de la toute jeune épousée à son légitime et tout récent mari, qui allait prendre son pucelage à sa place, et cette imminente profanation avait le goût délicieux de la dépravation la plus éhontée… Bref, tout une série de vieux fantasmes vicieux qui passaient en enfilade dans ma tête d’homme mûr.

Alors, lentement, je pris l’arrière de la robe entre mes doigts et commençai à la remonter délicatement, dévoilant tout d’abord les mollets ronds, puis les genoux, puis le bas des cuisses, tout ceci du même blanc opaque et nacré.
Je m’arrêtai une seconde, le sang martelant mes tempes, puis je tirai un peu plus vers le haut et je vis apparaître la peau nue du haut des cuisses, au-dessus d’une jarretière… Elle avait mis des bas autofixants !

Ne m’arrêtant plus, je levai et remontai encore le tissu, et alors m’apparut le plus beau des spectacles : une pêche bien fendue et d’un beau volume, surmontant un petit abricot. La petite salope n’avait pas mis de culotte !

Je m’agenouillai devant cet objet de culte et me mis à caresser passionnément et de mes deux mains ces belles fesses oblongues et jumelles. Que d’harmonie, que de beauté, que de douceur sous mes paumes… Mes mains descendirent jusqu’en haut des cuisses, s’égarèrent dans le sillon séparant ces belles demi-lunes déployées et bien épanouies. Il commençait à me venir des idées criminelles !

Du bout des doigts j’effleurai la petite tirelire aux rebords charnus qui la refermaient, en insistant de plus en plus. Je finis par les écarter de mes pouces : un délicieux coquillage rose pâle apparut. J’y plongeai le bout de mes doigts avec délectation pour m’apercevoir qu’il était tout humide de rosée : cette petite garce, dans sa tenue d’ingénue, avait l’air d’apprécier le jeu puisqu’elle commençait à mouiller d’un désir honteux et coupable !

Je commençai à caresser les muqueuses intimes de cette petite salope, à entrouvrir les fines lèvres vulvaires de sa chatte, douce comme une fleur de satin. Elle se mit à soupirer, à gémir légèrement : elle avait l'air d'aimer le traitement. Puis, délicatement, je fis pénétrer deux doigts en elle et me mis à la branler doucement : elle était brûlante et toute humide de sève. Elle était en train de me payer sa dette, mais je me demandais qui se faisait payer en nature !
Je retirai mes doigts et les lui mis devant le visage.

— Regardez dans quel état vous êtes, Stéphanie… Vous êtes vraiment une petite chienne ; je ne vous aurais pas crue comme ça !

Ses yeux brillaient en regardant avec un air des plus troubles mes deux doigts tout luisants de sa sève.

— Sucez-les, Stéphanie, goûtez à votre propre mouille. Montrez-moi quelle petite salope vous êtes !

Elle ne se fit pas prier, et sans hésiter elle aspira mes deux doigts et les suça en de longs allers-retours tout en me fixant très vicieusement dans les yeux. Elle s'attendait certainement à ce que je sorte ma queue et que je la lui fourre dans la bouche pour remplacer ceux-là, mais je fis le tour de son corps et retournai à son cul charmant.
Je sortis un tube de gel lubrifiant de ma poche et commençai à lui enduire toute la raie de ses fesses, insistant bien sur la petite rosette. Elle frissonna sous le contact froid du fluide.

— Eh oui, ma petite Stéphanie… ponctuai-je l'opération, vous ne pensiez quand même pas que vous alliez vous en tirer à si bon compte ? Pour le prix que vous avez à me payer, je ne vais pas me contenter de votre bouche et de votre chatte : votre cul aussi va y passer ! Vous avez signé : je vais vous prendre les trois orifices.

Elle ne protesta pas, soumise, acceptant le sort que j'avais prévu de lui réserver.

— Et puis, ajoutai-je, je n'ai encore jamais enculé une femme enceinte de sept mois. Ça va être une vraie fête !

Mes doigts se firent de plus en plus insistants en passant sur sa petite rosette froncée, puis lentement, le bout de mon majeur déprima le petit anneau culier et s'y enfonça doucement. Il ne rencontra aucune résistance. L’anus se referma sur mon doigt, le serrant comme une bague.
Lentement mes phalanges progressèrent dans le petit nid douillet, faisant d'abord des allées et venues pour assouplir le tonique orifice jusqu'à ce que ma main arrive finalement en butée contre ses fesses.

J'introduisis un deuxième doigt, dilatant davantage l'anneau, et la jeune femme émit une petite plainte étouffée. Je prenais possession de son cul, commençant à l'ouvrir, à l'élargir un peu plus. Sans perdre de temps, je pris dans mon sac le plug de bonne taille qui s'y trouvait et annonçai à Stéphanie :

— Je vais préparer votre cul comme il se doit, ma belle Stéphanie : je vais vous garnir.

Et sans autre forme de procès je présentai le bout arrondi du plug qui, prenant la place que venaient d'occuper mes doigts, s'enfonça lentement dans ses entrailles. Je vis son visage – elle avait tourné la tête vers moi – se crisper en une petite grimace, ses lèvres se pincer, mais le plug glissa en elle sans effort jus­qu'à se bloquer grâce au cran prévu à cet effet.

La laissant toujours le cul à l'air (et désormais orné en son centre par l'objet qui dilatait son petit anneau), je retournai à sa tête. Je la saisis par les cheveux pour qu'elle se relève sur les genoux, et tandis que je la maintenais ainsi de la main droite, ma main gauche dégrafa ma ceinture, me déboutonna, abaissa mon boxer et sortit ma queue bien raide et bien bandée. Je lui présentai le membre qu'elle connaissait déjà et lui ordonnai :

— Allez, lèche, petite salope ! Lèche-la bien du bas jusqu'en haut, et sans te servir de tes mains !

Elle obéit avec zèle, et en sortant bien sa langue elle se mit à me lécher avec application, comme s'il s'agissait d'un esquimau glacé. Je la laissai procéder ainsi pendant une demi-minute, puis lui intimai :

— Ne bouge pas, reste comme ça.

J'enlevai mon pantalon pour être plus à l'aise et pris un objet dans mon sac. Elle me vit reprendre ma place avec un collier de cuir à la main.

— Un collier de chien… Enfin, pour être plus précis, un collier de chienne ! Un collier spécial soumise.

Je refermai le collier sur son cou, prenant soin de ne pas trop le serrer, mais en l’ajustant bien.

— La prochaine fois, je viendrai avec un collier-étrangleur, de ceux qu'on utilise pour les chiennes les plus récalcitrantes. Tu verras et découvriras comme c'est jouissif pour une femelle de se faire enculer en se faisant lentement et doucement étrangler…

Elle leva vers moi un regard étrange où je crus voir de l'inquiétude, de l'humiliation, mais aussi une ombre de dépit.

— Allez, ouvre la bouche, petite salope : je vais baiser ta bouche de petite pute. Mais n'oublie pas de sucer comme il faut !

Ses lèvres se refermèrent sur ma hampe. L’attrapant d'une main par le collier et de l'autre par la tête, je me mis à faire des va-et-vient, mes reins oscillant d'avant en arrière, et je baisai la bouche divine et sensuelle de la mariée.
L'amplitude de mes mouvements augmenta rapidement pour être au maximum ; je butais au fond de sa gorge avec des gargouillis insolites, lui arrachant des haut-le-cœur par moments sans qu'elle tente néanmoins de se dérober à cette gorge profonde forcée.
Elle ne se débrouillait pas mal ; et si c'était sa première fois, je dois avouer qu'elle apprenait vite et bien.

Elle m'excitait en diable ! Son rimmel coulait sur ses joues, et j'imaginais déjà le moment où j'allais m'enfoncer dans son cul… Je me mis à baiser sa petite gueule de salope à un rythme soutenu, mes deux mains bloquant l’arrière de sa tête, besognant cette jeune femelle comme un malade ; après tout, elle n'avait que ce qu'elle méritait !

J'aurais bien pris un cliché à ce moment-là, mais elle s'en serait aperçu et n'aurait sans doute pas été d'accord.
Finalement, j'abandonnai sa bouche à regret, mais pour une meilleure cause encore.

— Remets-toi à quatre pattes, petite pute ! lui ordonnai-je en lâchant sa tête.

Elle me lança un regard mauvais mais s'exécuta sans discuter. J'avais l'impression qu'elle n'appréciait pas la façon avec laquelle je m'adressais à elle. J'étais emporté par mon excitation, jouissant intérieurement de la traiter comme un objet sexuel en lui faisant payer la façon dont elle s'était comportée avec ma famille puis avec moi en ne payant pas sa dette et en nous menant en bateau.
Je me replaçai derrière elle. Un nouvel ordre tomba :

Redresse ton cou de putain, que je le voie bien serré par le collier de cuir ! Et cambre-toi bien, creuse les reins, fais-moi ressortir ta croupe de salope enceinte !

Elle obéit aussitôt, ce qui me permit de prendre un nouveau cliché (on verrait bien ainsi le cou d'esclave et le cul bien tendu orné du plug coloré) puis je me penchai, et brutalement je lui descendis le haut de sa robe tout en commentant mon geste :

— Je vais te foutre tes nichons à l'air, petite catin ! Regarde-les, maintenant. Regarde de quoi ils ont l'air, pendouillant lamentablement… On dirait une grosse vache prête à être branchée à la trayeuse !

Ses seins que je découvrais pour la première fois étaient d'un beau volume, gonflés par son état de grossesse, et les aréoles étaient larges et brunes, comme des médailles. Je vis avec satisfaction que les tétons coulaient, et gouttaient même un peu : elle était donc sensible au traitement que je lui infligeais et, gagnée par l'excitation, elle ne pouvait dissimuler ses réactions physiologiques. Ainsi donc se cachaient en elle des fantasmes de soumise. Et si elle n'avait encore jamais été soumise par un homme (le sien ou d'autres avant lui), cette petite séance révélait en elle ce désir trouble et inassouvi jusqu'alors. Elle allait bientôt me remercier, la petite chienne !

Je me plaçai à genoux derrière elle, enfilai rapidement un préservatif, et sans perdre de temps en fioritures je plaçai mon gland tout gonflé entre les lèvres de son sexe. Je la saisis par les hanches et d'un coup ferme je la tirai sur moi pour l'empaler direct sur mon dard ! Elle poussa un « Aaah… » de satisfaction. Je me sentis buter contre son utérus et, mes mains fermement agrippées à ses hanches, je me mis à la besogner avec force : elle se mit immédiatement à gueuler comme une femelle en manque.
Sa chatte dégoulinait de mouille qui sortait à chaque coup de pine et m'aspergeait les cuisses.
Je sentais le gode-plug dans son rectum à travers la mince paroi séparant les deux conduits, ce qui devait décupler son plaisir en lui ébranlant tout son bas-ventre.

— Mmmmh, quelle bonne chienne ! On voit que votre grossesse ne vous ampute pas de votre libido. T'aimes ça, te faire baiser, hein ?
— Oh ouiii !
— Tiens, prends ça dans ta chatte ! Je te bourre, salope !
— Oh oui, baise-moi, baise-moi comme ça, baise-moi fort, j'aime ça… J'aiiiiime !
— On va voir si tu vas aimer le traitement que je vais t'infliger ensuite, petite chienne…

Là-dessus, je continuai à la fourrer à un rythme soutenu pendant une bonne minute, et avant qu'elle ait eu le temps de prendre son pied je déconnai et la laissai en plan. Je pris dans mon sac une laisse et refermai le mousqueton sur le petit anneau métallique de son collier puis, me saisissant de deux belles pinces à tétons reliées à une chaînette, je les plaçai sur chacun de ses délicats mamelons : elle poussa un cri quand les petites mâchoires mordirent la tendre extrémité du téton à peau brune si sensible.

J'avais fait en sorte que la chaînette passe par-dessus son dos : ainsi, je pouvais manœuvrer cette belle salope en la tenant par la laisse, ses longs cheveux, ou le bout de ses deux tétons. Pour tester l'efficacité du système, je me remis debout en face de sa tête, saisis la chaînette et me mis à la tirer vers le haut afin qu'elle se redresse : elle se mit à hurler !

— Eh bien, Stéphanie, vous devez comprendre rapidement ce qu'on attend de vous, même quand l'ordre n'est pas verbal…

Elle avait fini par se redresser, la bouche ouverte sous la douleur vive causée par les pinces qui étiraient ses tétons : j'y enfournai ma queue gonflée comme jamais et me mis à baiser sa bouche sans lâcher la chaînette et en la tenant par le collier. Elle suçait bien, avalant ses propres sécrétions intimes.
J'étais aux anges, contemplant cette belle salope toujours en bas, escarpins et longs gants, sa robe de mariée bouchonnée sur son gros ventre.

— Hummmm, quelle bonne petite pute…

Après m'être fait sucer quelques instants, je la lâchai brutalement et criai durement :

— À quatre pattes !

Elle se remit en position, maintenant bien conditionnée et ayant compris depuis un moment, je pense, que je ne la baiserais que dans cette position ou à genoux, étant donné qu'elle ne méritait pas autre chose.

— On va passer aux choses sérieuses maintenant, Stéphanie. Votre cul va y passer ; vous ne méritez que ça !

Et tout en me penchant sur sa croupe, je ponctuai mes propos par deux belles claques sur ses fesses, qui retentirent dans la chambre tant elles avaient été fortes et sèches. Stéphanie y répondit par un violent cri de surprise.

Je plongeai à nouveau deux doigts tout au fond de sa chatte, la branlant avec force, ce qui la fit gueuler son plaisir. Je m'arrêtai rapidement avant qu'elle ait eu le temps de jouir. Je retirai lentement le plug de son cul, laissant son anus bien ouvert et bâillant comme l'entrée d'un petit tunnel, obscène. Je remis une dose de gel sur mon gland puis l'enfonçai immédiatement dans la petite bouche ronde et noire avant qu'elle ne se referme, tout en restant accroupi. Je la pénétrai profondément.
Ma queue plongea dans ses entrailles qui se resserrèrent sur moi : elle était brûlante et délicieusement serrée.
En réponse, elle poussa des « Oohhh… Aahhh ! » angoissés.

— Humm, il est bon ton cul, ma petite Stéphanie… Un régal ! C’est délicieux de t'enculer.

Et sur ce je commençai à monter et descendre en rythme, plongeant à chaque fois jusqu'au tréfonds de ses intestins. Elle me faisait un effet monumental.

— Ah, que c'est bon ! Tu es brûlante comme l'enfer ! Et si serrée… Quel pied ! Je vais t'en mettre plein ton trou de balle… Tu vas en prendre plein ton cul, ma Stéphanie !

Et continuant de l'embrocher, je me mis à la pilonner en cadence. Elle était complètement affalée, le ventre sur un coussin qu'elle m'avait réclamé, et se prenait mes coups de boutoir en les ponctuant de râles saccadés. Elle essayait de s'agripper au sol, de s'y accrocher pour ne pas glisser, pour ne pas que je la promène à coups de pine sur tout le parquet de la chambre.
De mon côté, je la retenais par les cheveux et la laisse, comme une bonne chienne.

Elle encaissait bien, la salope. Et elle avait l'air d'apprécier le traitement, même si, objectivement, je lui défonçais le cul comme un malade ! Elle ponctuait mes coups de pine par des « Louis ! Louis ! Louis !… » Elle m'excitait comme un dingue, et mes mains lui pelotaient les fesses, les malaxaient, les pinçaient durement… d'autant qu'elle avait fait quelques réserves depuis le début de sa grossesse.

J'arrêtai soudain car je sentais mon plaisir monter, et je ne voulais pas jouir déjà ; par ailleurs, son corps donnait lui aussi des signes avant-coureurs de jouissance, et je n'étais pas décidé à ce qu'elle prenne son fade.
Je me levai, et cette fois je pris un bandeau dans mon sac.

— Je vais te bander les yeux, ma salope. Tu seras encore plus bandante les yeux bandés, si je puis dire.

Je l'aveuglai avec la pièce d'étoffe noire, et la tenant fermement par les cheveux, j'essuyai en frottant sur son visage, sa bouche et son menton mon vit tout maculé de traces douteuses. Elle prit un air écœuré.

— Ne te plains pas, petite salope ! Si je voulais, je te la ferais sucer, ma queue que je viens de sortir de ton cul merdeux !

Les yeux masqués, elle ne put voir ainsi que je tenais dans la main droite un martinet à longues lanières. Je retirai ma capote et lui fourrai ma pine dans sa bouche, l'enfonçant tout au fond de sa jolie petite gueule en lui disant :

— T'inquiète pas, ma petite pute, j'ai retiré le caoutchouc… Vas-y, régale-toi, montre-moi l’étendue de tes talents de bouffeuse de queue ! Ah, t'as dû en bouffer des kilomètres de bites pour sucer comme ça… Une vraie putain !

Je fis quelques allers-retours entre ses lèvres, la maintenant par la chaînette qui étirait cruellement le bout de ses nichons, puis je la lâchai brutalement.

— À quatre pattes, putain ! Offre ton cul !

Elle s'attendait certainement à ce que je l'enfile à nouveau ou que je lui prenne encore sauvagement le cul, mais cette fois j'attrapai la laisse de la main gauche pour la retenir et empêcher toute velléité de fuite de sa part, et de la main droite j'abattis le martinet sur ses fesses. Elle hurla, surprise.

— Laisse-toi fouetter le cul, petite salope, sinon je t'attache ! Tu ne reçois que ce que tu as mérité ; et ne te plains pas : ce n'est qu'un banal martinet qui ne laissera aucune trace sur ta peau blanche et veloutée.

Elle ruait, se débattait comme une vraie chienne, mais les lanières, implacables et précises, cinglèrent ses douces fesses de jeune femme.

— J'en ai matées d'autres, moi, des jeunes pouliches de ton espèce ; je vais te dresser, chiennasse !

Elle poussait des petits cris mais avait finalement accepté son sort, se rendant compte sans doute que le traitement n'était pas très douloureux. Elle était surtout humiliée, et pleurnichait à moitié, gémissait sous les coups de martinet.

— Je remarque que tu préfères les coups de pine dans ton cul aux coups de martinet, hein, petite catin ! Mais voilà, tu t'es trompée sur mon sort. Et les petites péteuses de ton genre qui ne paient pas les professionnels et laissent des ardoises partout, elles ne méritent pas du plaisir. Voilà comment je les traite, petite pute !

Je me penchai et lui enlevai les pinces à seins. Elle hurla, tant la sensation de morsure était exacerbée sur les mamelons délicats et à fleur de peau d'une femme enceinte ; le sang devait revenir au bout de ses tétons en une brûlure pulsatile.

Je l'attrapai par les cheveux, la forçant à se redresser, et je me mis à lui asséner quelques cinglées bien appliquées sur ses gros nichons. Elle beugla, demanda grâce. Je n'insistai pas.
Je laissai tomber mon martinet et attrapai ces deux roploplos bien fermes, bien durs, bien globuleux, et les pressai comme un dingue, les malaxai comme si je voulais obtenir un jus de fruit pressé. Avec satisfaction, je vis quelques gouttes translucides perler du bout des mamelons.
Elle se mit à geindre, à haleter. Je recueillis sur mes doigts les gouttes avant qu'elles ne tombent et les suçai goulûment, puis je lui enfonçai à nouveau ma pine toute raide dans sa petite gueule de catin mariée.

— Allez, suce-moi, salope !

Et tandis qu'elle me prenait en bouche et aspirait ma queue, je me remis à lui délivrer lentement et avec application, d'une force modérée, des coups de martinet sur les fesses. Elle poussait un gémissement après chaque claquement sec des lanières qui mordaient la chair de chacune de ses demi-lunes, mais n'ouvrait pas la bouche et, en bonne suceuse docile, continuait sa besogne.
Elle espérait sans doute me faire partir et mettre ainsi fin à sa séance, mais celle-ci n'était pas encore terminée. Je l'attrapai par la laisse.

— Allez, avance, petite pute ! Tu vas apprendre à te déplacer sur les genoux, comme une bonne petite salope, une petite pute domestique, une esclave sexuelle qui a bien compris quelle est sa place et son rôle !

Je lui fis faire quelques pas. Elle se déplaçait avec peine, d'abord parce qu'elle était toujours aveuglée par le bandeau qui ceignait ses yeux, mais aussi parce qu'elle était engoncée dans sa robe de mariée, bouchonnée et roulée au-dessus de son gros ventre qui prenait de la place et la déséquilibrait ; et puis, je ne suis pas sûr qu'elle savait marcher à genoux…

Elle buta contre quelque chose et ne dut pas comprendre. Ma belle-sœur Isabelle qui se tenait là, la jupe retroussée sur les reins et sans culotte, attira sa tête contre sa chatte et lui ordonna :

— Allez, bouffe-moi la chatte, salope ! Montre ce que tu sais faire !

Stéphanie, surprise tant par le contact des cuisses nues et un peu plantureuses d'Isabelle que par la voix féminine qui lui faisait soudain prendre conscience qu'il y avait une troisième personne dans la chambre (sans savoir depuis combien de temps), eut une réaction un peu paniquée et tenta de se débattre.
Je la rappelai à l'ordre :

— Hé, tu as entendu ce qu’on t’ordonne ? Bouffe cette chatte ! Et ne te débats pas, sinon je t'attache les poignets dans le dos ! Ouvre la bouche, sors ta langue et lèche-moi cette vulve comme il faut !

Pour l'aider un peu, j'avais saisi ses cheveux et j’appuyai sa tête contre l'entrejambe de ma belle-sœur qui avait écarté ses cuisses largement et de façon obscène pour lui faciliter la tâche. Stéphanie n'eut d'autre choix que de sortir sa menteuse et, maladroitement, de commencer à faire reluire les muqueuses intimes de ma belle-sœur que je voyais pour la première fois.

Mon frère, trop honnête, n'avait pas été mis dans la confidence ; et même si je n'avais aucune intention d'avoir la moindre relation sexuelle avec sa femme (pas plus qu'elle, d'ailleurs), celle-ci avait mis sa pudeur de côté devant une pareille occasion. Elle se vengeait de la belle jeune femme qui avait tenté de la flouer et l'avait trop traitée avec mépris, comme une noble aurait traité une domestique.

Elle m'avait, derrière le dos de son frère, tanné littéralement pendant des mois pour savoir où en était l'affaire – même si la dette ne lui était plus due à elle – et j'avais dû me justifier, pour finalement avouer ce que je comptais faire pour me la faire payer (et faire payer Stéphanie, au sens propre comme au sens figuré). Loin d'être choquée par mes intentions (elle avait juste estimé qu'elle s'en sortait à trop bon compte), elle avait vu là une occasion unique de laver l'affront qui lui avait été fait et d'humilier, de rabaisser, « d'avilir cette salope », pour employer ses propres mots.

C'est elle qui m'avait apporté mon sac avec tous les accessoires que j'avais utilisés sur Stéphanie. Elle était arrivée un bon moment après moi, la maison étant restée ouverte.

Stéphanie, qui ne devait pas être portée sur les femmes ni sur la gougnotterie, était en train de lécher comme un jeune chiot (une jeune chienne, devrais-je dire) la chatte d'Isabelle. J'avais commencé à lui appuyer la tête sur l’entrecuisse de sa dominatrice pour forcer sa motivation, puis j'avais passé le relais à ma belle-sœur qui, grâce à la laisse, avait trouvé un moyen commode de la contrôler en l’ayant passée derrière sa nuque, ce qui m'avait permis de me reculer et de prendre un nouveau cliché. Avec des signes de la main, j'avais demandé le consentement d'Isabelle qui avait acquiescé avec satisfaction.

— Allez, applique-toi bien, petite pute ! lui dit-elle. Même si t'es pas gouine, fais comme tu voudrais qu'on te fasse. Fais comme ton cornard de mari te le fait… s'il te le fait, et s'il sait le faire !

Stéphanie ouvrit mieux la bouche, se mit téter les petites lèvres roses, suçota le bouton puis, prise d'un enthousiasme frénétique (que je mis sur le compte de l'empressement à ce que ça se termine au plus vite), elle se mit à la lécher de bas en haut avec avidité.
Le tableau était charmant, et je fis même une petite vidéo.

Ma belle-sœur, les yeux mi-clos, commençait à se renverser en arrière. C'était la première fois que je voyais ses fesses épanouies, et je dus réprimer mon envie de les caresser. J'avoue que je lui aurais bien fourré un doigt dans le cul, mais ce n'était pas possible : c'était la femme de mon frère.

J'avais la queue raide et à l'air, que je maintenais dans un état de parfaite rigidité en l'astiquant lentement (elle était dressée et arquée) ; ma belle-sœur avait le cul et la chatte nus, mais je devais me concentrer sur Stéphanie. Nous étions juste réunis là dans cet état peu décent pour une famille convenable pour faire payer sa dette à Stéphanie et nous venger, et c'était sur elle que je devais me défouler.

Isabelle commençait à osciller sur ses jambes, à plier les genoux en lentes ondulations : son plaisir montait. Elle invectivait Stéphanie, la vomissait d'injures, la traitait de tous les noms, jouissant de l'humilier comme elle n'avait sans doute jamais espéré le faire (mais comme elle avait dû en rêver depuis que je lui avais avoué mon projet sous son insistance et en lui faisant promettre de n'en rien dire à mon frère). Je voyais sa chatte qui dégoulinait de mouille, aspergeant littéralement le visage de Stéphanie qui était désormais tout luisant ; de la cyprine lui coulait même du menton tandis qu'elle avait la bouche enfouie dans la profondeur de sa vulve, le nez collé sur son pubis, à tel point que je me demandais comment elle faisait pour respirer.
Si elle n'avait jamais léché une femme, elle apprenait vite !

Ce qui devait arriver arriva : ma belle-sœur hurla son orgasme, la traitant encore de salope, de putain, lui envoyant des jets de mouille puissants, ce qui me permit de découvrir qu'elle était une femme fontaine. Elle resta ainsi encore quelques instants, pantelante. Stéphanie respirait à nouveau, très rouge néanmoins, mais avec toujours les yeux bandés.

À ce stade, je me demandais si elle avait reconnu la voix d'Isabelle, qu'elle n'avait pas dû voir depuis au moins dix-huit mois. Je n'allais pas tarder à être fixé, car si j'avais proposé à ma belle-sœur de partir aussitôt sa petite affaire faite sans se dévoiler, elle ne m'avait pas confirmé quelle était son intention.
Et c'est alors, qu'ayant repris ses esprits, elle retira de façon soudaine et d'un geste brusque le bandeau des yeux de Stéphanie qui écarquilla les yeux, stupéfaite, en la découvrant. Visiblement, elle n'avait pas deviné quelle femme elle avait gouinée et avait fait jouir ; elle s’était sans doute imaginé que c’était une de mes maîtresses.

— Tu me reconnais, petite pute ? lui jeta ma belle-sœur d'un air mauvais et des plus vicieux, avec un sourire satisfait de l'effet produit, tandis que ses yeux brillaient encore du plaisir qu'elle venait de prendre.

Stéphanie restait muette, honteuse, humiliée.

— Vous… arriva-t-elle à balbutier.
— Eh oui, moi ! lui lança, méprisante, ma belle-sœur. Moi, la petite charcutière qui se lève tous les matins aux aurores pour régaler à l'œil des petites bourges et des petites bêcheuses de ton espèce ! En attendant, tu n’as plus la même allure comme ça, tu ne fais plus ta fière ! Si tes invités t'avaient vue comme ça le jour de ton mariage, petite pétasse, tu l’aurais moins ramenée ! Tu les aurais ravalées, tes manières hautaines ! S'ils savaient quelle petite pute tu es, ils en auraient peut-être profité aussi, de ton cul ! En tout cas, je suis bien contente que mon beau-frère ait eu cette bonne idée de te baiser et de t'avilir en robe de mariée : quel plaisir pour moi ! Je n'ai rien raté de la scène ; j'étais là, tu sais ? J'ai adoré te voir avec un plug dans le cul, j'ai adoré voir Louis t'enculer à fond jusqu'à ce que les yeux te sortent de la tête, j'ai adoré te voir ramper à mes pieds comme une bonne petite chienne, j'ai adoré te voir subir le traitement qu'il t'avait réservé. Mais c'est que je ne le connaissais pas comme ça, mon beau-frère ! Il a remonté dans mon estime, tu sais ? Il t'a bien humiliée ; il a su se venger et nous venger tous. Je t'avoue que j'ai pris mon pied comme jamais, pas tant que parce que tu m'as bouffé la chatte. Tu lèches mal, et mon mari – tu sais, le petit charcutier dont tu t'es bien moquée – il me lèche bien mieux que ça. C’est normal, d'ailleurs : ils sont doués dans la famille, ils ont de l'imagination (elle me fit un petit clin d'œil en disant ça). Mais surtout parce que te voir ainsi à mes pieds comme une chiennasse, en train de me lécher, quelle jouissance mentale ! D'ailleurs, tiens, petite pute ! Prends ça !

Et sur ce, je vis ma belle-sœur rapprocher le visage de Stéphanie de sa chatte en la tirant par la tignasse qu'elle n'avait pas lâchée depuis tout à l'heure et se soulager : un abondant jet d'urine jaune gicla sur le nez et les joues de la jeune femme et lui coula sur les épaules et les seins. Elle cracha, essaya de se soustraire à la douche de pisse, fermant les yeux, mais la garce visait bien.

— Oh mais, salope, tu en as laissé échapper, et tu m'as souillé mes chaussures ! railla Isabelle.

Elle appuya de toutes ses forces sur sa nuque.

— Allez, salope, lèche mes godasses : j'en veux plus une seule goutte ! Tu me salis, tu me dégoûtes !

À contrecœur, Stéphanie, maintenue fermement par la pogne nerveuse et forte de ma charcutière de belle-sœur, dut se pencher en avant et lécher les gouttes d’urine qui avaient souillé les escarpins d’Isabelle. Puis, prenant la direction des opérations (elle découvrait manifestement la jouissance que procure un jeu de domination) elle lui cria d’une voix forte, autoritaire et sans appel cet ordre impérieux :

— À quatre pattes, salope !

Stéphanie s’exécuta et tourna sa croupe vers Isabelle en levant un regard implorant de chiot vers moi, mais je contemplais la scène en affectant un air neutre et indifférent, et n’intervins pas.

— Regardez-moi ce cul de soumise… Regardez-moi cette chatte de salope, toute ouverte, qui bâille de façon obscène… et elle mouille, en plus ! C’est vraiment une grosse pute !

Isabelle leva son pied et caressa la chatte rose aux lèvres corail du bout de son escarpin, tentant d’y faire pénétrer l’extrémité de la chaussure, faisant des petits mouvements de va-et-vient : elle la branlait ! Stéphanie râlait, geignait comme une génisse en chaleur.

— Quel gros cul de catin ! Louis, donne-moi ta ceinture !

Je n’osai pas contrarier ma belle-sœur et ramassai ma ceinture Louis Vuitton en cuir de vachette véritable.

Quand le premier coup s'abattit en travers de son fessier bien bombé, Stéphanie rua puis tenta de s'échapper en avançant à quatre pattes, mais je la saisis par le collier et maintins sa nuque fermement. Lentement, Isabelle lui administra une demi-douzaine de coups de ceinture qui laissèrent des marques rouges sur la peau veloutée de ses fesses. Stéphanie ponctuait chacun de ses coups par un « AAAH ! » retentissant.

Ayant terminé sa besogne, elle regarda avec mépris une dernière fois la croupe nue et offerte, désormais zébrée de marques rouges et bien nettes, et cracha dessus. Puis elle lâcha ma ceinture et déclara :

— Vas-y, Louis. Encule-la encore un coup ; défonce-lui la rondelle, à cette salope ! Ça lui fera les pieds.

Étant toujours en proie à une érection presque douloureuse, je m'accroupis au-dessus du jeune et frais cul féminin et forçai la rosette encore lubrifiée.

— OOOAAAAHH !

Stéphanie cria tandis que je m'enfonçais lentement en elle jusqu'au fond de ses entrailles. Son cul serré palpitait et se refermait sur mon vit en feu. Je la pris par les reins et l'embrochai en de longs va-et-vient, me mis à la pilonner en cadence.

Isabelle, qui en avait assez vu et se sentait suffisamment vengée, me fit un petit signe pour m'indiquer qu'elle s'en allait discrètement. Je continuai ma besogne, bourrant la jeune femme avec force, la faisant gueuler, haleter. Elle avait l'air d'apprécier le traitement : ses cris montaient crescendo, annonçant l'acmé proche de son plaisir.
N'ayant pas envie de la faire jouir, je me retirai et lui lançai cet ordre qui claqua :

— À genoux, Stéphanie ! Je n'ai pas l'intention de vous faire jouir : je ne suis pas là pour ça. Maintenant, si vous voulez vous branler, vous pouvez…

Je commençai à me faire reluire, à me polir le chinois à une cadence rapide, ma queue tout près de son visage, puis je m'accroupis pour descendre un peu plus bas et j'attrapai ses deux nichons fermes à pleines pognes. Je plaçai ma queue entre ses roploplos et me mis à lui baiser les seins en les serrant l'un contre l'autre autour de mon membre.

Stéphanie avait glissé une main entre ses cuisses et se caressait la chatte, ses lèvres intimes, et avait glissé en elle un doigt qui ne restait pas inactif.

Mon plaisir mettait du temps à venir. À un moment donné, je retirai ma queue et lui intimai de me sucer le gland. Elle le fit du mieux qu'elle put, le tétant comme elle aurait fait d'un sein.

Elle s'astiquait de plus en plus fort, de plus en plus violemment, et les yeux mi-clos elle faisait monter la pression dans son sexe en gémissant, se donnant du plaisir de façon éhontée. Ah, la chienne ! Je n'aurais jamais cru qu'elle fût aussi salope ! Je n'aurais pas cru que ce traitement eût contribué à lui faire prendre son pied.

Finalement, excité comme jamais, je me remis à me branler, m'interrompant de temps en temps quelques secondes pour lui administrer une ou deux gifles à chaque fois. Elle en avait les joues en feu, mais ses orgasmes silencieux secouaient manifestement son corps de petits tremblements nerveux.

Quand je sentis que la sève montait inexorablement, je dirigeai ma queue vers ses seins, et avec une rare violence le sperme gicla en longues saccades et aspergea ses mamelles de chienne en gestation. Des flaques crème brillaient sur ses mamelons élargis et bruns.
Je lui fis sucer les dernières gouttes qui perlaient de mon méat, puis essuyai copieusement mes mains dans ses cheveux.

— Hum… ça, c'était une belle jouissance, Stéphanie. J'ai bien pris mon pied. Aujourd'hui, j'en ai eu pour mon fric… enfin, pour une toute petite partie, bien entendu. Mais vous pourrez me payer encore quelques traites avant d'accoucher. Votre gros ventre ne me rebute pas. Même à neuf mois, je pourrai encore vous baiser, sur le dos, et au bord du lit : ça ne sera pas un souci.
Et ne tentez pas de vous défiler, Miss, parce que j'ai pris quelques clichés de vous bien harnachée et bien équipée, et je saurai en faire bon usage si, d'aventure, il vous venait à l'idée de me refuser votre porte, votre corps, et vos orifices… du moins, tant que vous n'aurez pas payé totalement votre dette. OK ? À très bientôt, Stéphanie.

Je ramassai mon sac, la laissant en plan, à genoux, pantelante, comme vidée, souillée de sperme et d'urine, avec sa robe de mariée froissée et piteuse, ses Dim-up blancs tout plissés, ses nichons pendouillants et fatigués, son cul et sa chatte encore entrouverts.

Elle avait toujours ses escarpins nacrés aux pieds.


La semaine suivante, elle ne vint pas à la réunion du Conseil Municipal.

Plusieurs jours après, j'appris qu'elle avait déménagé à la cloche de bois avec son mari. Ils étaient partis dans le Sud, à ce qu’on disait. On me dit qu'elle n'avait ni donné son préavis à son bailleur, ni payé ses derniers loyers.

Au fur et à mesure que le temps passait, les langues se déliaient et on apprit qu'ils avaient laissé des ardoises dans tout le « pays » (comme on dit dans nos provinces). Je m'étais un peu attendu à ce genre d'épilogue ; c'est pourquoi j'avais bien profité de son corps et m'étais bien payé sur la bête, et ma belle-sœur également qui s'était sentie soulagée et vengée après cette séance.

Elle ne donna même pas sa démission du Conseil Municipal. Je ne cherchai pas à la retrouver. Je n'entendis plus jamais parler d'elle.

Mais depuis cette époque, je dois ajouter qu'on peut visionner sur Xhamster deux ou trois vidéos montrant une vraie chiennasse aux mèches blondes avec une robe de mariée retroussée sur les reins, en bas et escarpins blancs, équipée de pinces à seins, un collier de cuir autour du cou et les yeux aveuglés par un bandeau en train de se faire enculer à fond par un homme, et aussi lécher une femme.

On ne voit pas le visage des deux autres protagonistes.