Un après-midi crapuleux

Le lendemain, après déjeuner, au moment du café, je me joignis à la table d’un petit groupe composé de Mimi, de son mari et de quelques autres. À la fin du repas, m’étant retrouvé seul avec eux deux, je demandai innocemment :

— Vous allez à la plage cet après-midi ?
— Non, moi je vais faire la sieste. La plage, très peu pour moi… répondit Georges.
— Moi, je vais y aller. Et toi ?
— Oui, je vais y aller.

Nous nous retrouvâmes pour la deuxième fois tous les deux à la plage, un peu gênés, ne sachant que dire. Ce qui ne m’empêcha pas au bout d’une bonne heure de lui proposer de venir se doucher chez moi.

— Oui, d’accord ; mais sage, aujourd’hui. Je m’en veux pour hier. J’ai mauvaise conscience.
— Écoute, tu habites à 900 bornes de chez moi. Alors quelle conséquence il y aura ? On n’est pas près de se revoir après. Tu crois que tu tromperas encore ton mari, ensuite ?
— Non, bien sûr.
— De toute façon, le mal est fait. Nous avons péché : nous serons damnés ! dis-je en riant.
— Oh, toi alors…

Puis, après un silence, et avec un sourire malicieux, elle me glissa :

— Ne me dis pas que tu as encore envie de moi…
— Oh, que si ! C’était pas bien, hier ?
— Si. C’était formidable.
— Alors c’est toi qui vois. Tu es libre. Si tu veux qu’on ne le fasse plus jamais, OK. Mais dans le cas contraire je suis là.

Nous retournâmes à ma chambre. Elle fila dans la salle de bain. J’étais prêt à attendre sagement qu’elle ait fini, respectant son vœu d’en rester là. Mais tandis qu’elle était dans la salle d’eau depuis à peine deux minutes, elle passa la tête par la porte et me lança :

— Tu viens me laver ?

Évidemment, je ne me fis pas prier. En un instant j’y étais et m’étais mis nu. Elle était dans la baignoire ; elle m’ouvrit les bras. J’ouvris l’eau, la pris dans mes bras, la serrai contre moi, l’embrassai à pleine bouche. L’eau ruisselait contre nos deux corps.

Ce fut encore une douche longue et sensuelle, des massages de sa chair à pleines mains, mes paumes coulissant sur sa peau rendue glissante par le savon.

Je sortis en premier, me séchai et la vis avec stupéfaction enjamber la baignoire pour se mettre à genoux devant moi et me prendre le sexe en bouche. Je n’en revenais pas : ma Mimi prenait des initiatives de plus en plus osées ! Je contemplai ma belle blonde grasse, nue sur le tapis de la salle de bain, me sucer longuement et goulûment tout en me regardant la tête levée, ses beaux yeux bleus dans les miens. J’admirai son dos replet, ses bras ronds et ses hanches larges ; ainsi à genoux à mes pieds, elle était terriblement sensuelle !

Nous nous retrouvâmes sur le lit, entamant un 69. J’avais pris ses imposantes fesses dans mes mains, mangeant sa vulve, pénétrant sa chatte de ma langue tandis que sa bouche s’activait en vraie experte, me tétant le gland comme une vraie courtisane. Je caressai l’intérieur de ses fesses, sa rosette toute froncée, la pénétrant d’une phalange, la travaillant tout doucement, comme pour l’élargir.

Je la pris en levrette, son gros cul et ses hanches larges m’excitant au plus haut point. Je la besognai lentement, puis de plus en plus fort, mes mains crispées sur les bourrelets moelleux de ses hanches. Il y avait longtemps que je n’avais pas fait l’amour deux jours de suite, ce qui, physiologiquement, faisait que je pouvais durer plus longtemps. Je tombai sur elle à plat-ventre, la pris par les épaules et me mis à la ramoner à un rythme soutenu. Elle râlait, emportée par mon excitation et la sienne.

Mon désir et mon envie d’elle ne se calmaient pas ; j’exultais, ivre de son corps, de cette partie de baise lubrique, dans cette chambre luxueuse et spacieuse, sur les draps blanc immaculés.

— Ah, tu m’excites, ma belle, tu m’excites trop. Je vais te baiser comme tu n’as jamais été baisée. Tu m’excites, cochonne ; j’ai envie de toi. Je vais te partouzer !

Elle se laissait emporter par le flux et le reflux, ma vague montant et descendant vers elle, mon sexe la pistonnant avec force, mon pubis claquant contre son cul tandis je continuais à lui déverser des obscénités à l’oreille :

— Tu es bonne, ma grosse cochonne ! J’aime tes fesses, j’aime ta chatte, j’aime tes petits seins ; tu me fais bien bander. Tu la sens, ma grosse queue dans ton petit fourreau ?!
— Oui, je te sens bien. Tu me baises bien. C’est bon… J’ai jamais baisé comme ça.
— Hummm… Tu ne regrettes pas, hein ?
— Oh non, alors, c’est trop bon !

Je me retirai un moment pour mieux contempler son large fessier blanc étalé sur le lit. Je me mis à le peloter, à lui donner des petites tapes pour admirer l’onde de choc parcourir la chair molle du bas vers le haut. Je massai ses grosses fesses, les remontant, les écartant, les resserrant au maximum. Elle gloussa :

— Tu aimes mes fesses ? Elles t’excitent ?
— Oh, que oui !
— Et dire que j’en ai honte, que je voudrais perdre 15 kg…
— Quel sacrilège ! Ce serait une honte… Quelle grande perte !

Je lui écartai encore les fesses et lui passai ma langue dans un mouvement descendant, des reins jusqu’à sa rosette que je léchai avec méthode, l’agaçant de petits mouvements circulaires, cherchant à la pénétrer de petits coups de langue en pointe. Puis, encore à cheval sur ses cuisses, je plaçai ma queue raidie dans ce sillon fessier aguichant et me mis à baiser son entrefesse avec de lents et amples mouvements de bassin, mes mains plaquées sur ses épaules rondes, appuyant bien le membre raide en passant sur l’anus.
Ce faisant, je lui léchais le cou, lui suçais le lobe de l’oreille, lui arrachant des frissons d’excitation. Je lui murmurai à l’oreille :

— Tu sais ce que je vais te faire maintenant ?
— Oh… non. Par là ?
— Pourquoi ? Tu ne l’as jamais fait ?
— Si… Enfin, il y a longtemps. J’ai pas aimé.
— On peut essayer… On va y aller très doucement. Si tu as mal ou si tu n’aimes pas, j’arrêterai.
— OK.

La position sur le ventre n’étant pas la plus pratique, je lui demandai de se replacer à quatre pattes et d’avancer ses genoux. Elle obéit aussitôt et m’offrit la vue splendide que j’attendais : son cul était ainsi tendu, les cuisses grasses et luisantes écartées, en position d’attente. Elle était terriblement désirable, m’offrant une vue imprenable sur sa vulve bien fendue et l’œillet sombre bien ourlé.

Je sautai du lit et allai attraper près de la télé une mangue que les femmes de chambre laissaient chaque jour dans une petite corbeille. Je mordis sauvagement dedans, enduisis mon index de la chair luisante et visqueuse, caressai le pourtour de son anneau et la pénétrai tout doucement du bout de mon doigt qui glissa à l’intérieur, en douceur et sans problème : son orifice le plus intime se livrait sans résistance ; il était chaud et souple. Je fis quelques va-et-vient puis changeai de doigt pour finir en lui glissant le pouce dans le cul. Elle émit un petit son, mi-cri mi-soupir. Je lui travaillai l’orifice avec le pouce, l’enfonçant jusqu’à la première phalange, et même plus : elle s’ouvrait comme une fleur, prête comme une jeune fille.

Je vins me placer debout, jambes écartées au-dessus de son fessier. Je présentai mon vit encapuchonné de latex devant l’étroit orifice et poussai doucement mon gland contre celui-ci, qui céda sans résistance. Je sentais à peine les spasmes musculaires de l’anneau. Mimi, un peu crispée, prit ma queue sans protester, sans douleur. Je m’enfonçai lentement et arrivai en butée : elle l’avait tout entière dans le cul !

— Alors, tu as mal ?
— Non, non, ça va…
— C’est désagréable ?
— Non… continue.

Ainsi invité à explorer son fondement, je saisis ses fesses à pleines pognes et l’empalai rythmiquement sur moi, lentement puis en accélérant. Je continuai accroupi sur le lit, au-dessus de son volumineux derrière, à la pilonner très profondément. Elle haletait. Je sentais son excitation grandir. Elle commença à proférer des jurons (ce qui ne lui ressemblait pas, elle, une dame si bien élevée…) :

— Ah, putain ! Ah, la vache ! Nom de Dieu…

Elle découvrait des sensations inconnues : ma queue butait sur sa zone G, mes mains crispées sur ses seins pinçaient de plus en plus fort ses mamelons. Je sentis son orgasme monter, puis elle se mit à jouir en poussant un long feulement rauque.

Je ne la laissai pas souffler : je me replantai dans sa chatte et la poussai à plat-ventre pour continuer à la limer en la tenant par les épaules et en murmurant à son oreille tout ce que l’excitation au paroxysme faisait naître dans mon esprit :

— Ah, tu m’excites ! Tu as un beau dos ; il est si large, si gras… J’aimerais te faire goûter au martinet, te rougir la chair, faire valser tes grosses fesses au fouet, t’attacher sur un chevalet…

Mimi ne relevait pas, ne comprenant peut-être pas ce que je décrivais, laissant mon désir lubrique m’envahir tandis que je mordillais la chair replète de son dos et qu’elle gémissait sous les coups de boutoir qui finissaient de l’achever, ses pics orgasmiques se succédant et n’arrêtant plus de la secouer de spasmes et de tremblements de jouissance.

— Ah je ferai de toi ma pute ; je t’habillerai comme une salope, comme une poule. Je te sortirai et t’exhiberai comme ça, en talons hauts, minijupe, porte-jarretelles… Ahhhh !

Je finis en jouissant en elle, en longs jets qui furent presque douloureux, m’anéantissant tout à fait.

Les trois jours suivants (les derniers avant le retour), à l’heure de la sieste et sans passer par la plage, nous fîmes l’amour comme des déments. Je n’en revenais pas d’avoir retrouvé une telle forme et une telle libido à mon âge ; étaient-ce le soleil et la chaleur ambiante qui me montaient à la tête ? Étaient-ce les grosses fesses et les belles formes de Mimi qui me faisaient un tel effet ?

Malheureusement, le voyage s’acheva. Le groupe prit congé à l’aéroport de Roissy. Je fis deux grosses bises à Mimi. Nous avions échangé nos adresses mail afin de nous envoyer nos photos de vacances. Il n’était pas prévu que nous revoyions, du simple fait qu’elle habitait si loin de chez moi.

Nous nous envoyâmes nos photos souvenirs et entretînmes une relation épistolaire par mails, évidemment bien chaste et bien pudique : je ne savais pas si son mari pouvait lire ses mails, alors je m’abstins de tenir des propos licencieux. Une seule fois elle évoqua, tout en restant vague, les « bons moments que nous avons passés ensemble ». Pour le reste, je ressentais à travers les brèves banalités sur sa vie quotidienne un peu d’ennui, voire de la tristesse.

Notre correspondance s’espaça de plus en plus, ce qui est – hélas – souvent le cas entre des personnes trop éloignées géographiquement pour pouvoir se voir. À un moment elle me parla de son mari qui avait des soucis de santé, puis un assez long silence s’installa. Elle omit probablement de répondre à mon dernier mail.

Ça me laissa évidemment un peu triste – je repensais souvent avec nostalgie à elle et à nos moments coquins – mais la vie continuait, et contrairement à elle, ma vie sexuelle était loin d’être en tracé plat, par chance pimentée d’aventures suffisamment fréquentes pour maintenir ma forme, mon moral et mes performances sexuelles, sans véritable liaison durable (mais bon, j’aime ma liberté et ma tranquillité…)