Retour en Île de France

De longs mois après, alors que je ne m’attendais plus à avoir de ses nouvelles, elle m’écrivit pour me dire que son mari était décédé depuis quatre mois et qu’elle se sentait vraiment seule et triste ; elle avait peu de moyens pour voyager, mais étant exilée dans le Sud et ses enfants et petits-enfants en région parisienne, elle pensait monter prochainement pour les visiter.
Elle me demandait si, à cette occasion, nous pouvions nous voir.

Bien sûr, je répondis favorablement, et que même si ses enfants manquaient de place pour l’héberger, je pouvais la loger pendant quelques jours, ayant une grande maison.

Elle répondit avec enthousiasme, et nous convînmes de sa venue ; j’allais la recevoir pendant deux semaines, séjour au cours duquel elle pourrait aller voir sa famille durant la semaine et certaines soirées – d’autant que je n’avais pas de congés – et passer avec moi au moins un week-end.
Elle devait monter en TGV.

Le jour de son arrivée je vins la chercher à la gare de Lyon afin qu’elle ne se perde pas dans les métros et RER qui émaillent le trajet de cette gare à chez moi.

Je m’attendais à trouver une femme âgée, vieillie par le temps passé, le veuvage et les épreuves. Quand je l’aperçus, je fus franchement et agréablement surpris : ses cheveux mi-longs toujours blonds décolorés avaient une coupe impeccable ; elle était légèrement maquillée avec goût, ce qui rehaussait avec grâce le bleu azur de ses yeux. Quant à sa tenue vestimentaire, elle n’avait rien de celle d’une retraitée : bottes, bas couleur fumée, jupe droite très classe au-dessus du genou et cintrée, chemisier blanc élégant à manches courtes qui mettait en valeur ses bras appétissants et ronds.

Je me dis qu’elle était sacrément coquette, mais aussi que j’avais la chance d’être probablement l’objet de cette attention et du soin particulier qu’elle avait portés à son apparence, avec sans doute le désir de me plaire.

Elle vint à ma rencontre avec un grand sourire et je l’embrassai sur les deux joues, mais en la pressant doucement contre moi, une main sur sa taille, une autre sur son bras plein.

Arrivés à la maison, nous primes un thé et entamâmes une longue conversation ; je m’enquis de comment elle allait, de ses soucis, sa famille, sa vie quotidienne. Elle se montra plutôt gaie et enjouée, ravie, semble-t-il, de me revoir et de sortir pour quelques jours de son quotidien triste et monotone.
Après cet agréable moment passé à bavarder, je l’invitai à monter déposer son bagage :

— Voilà, tu peux déposer tes affaires là ; c’est la chambre d’amis. La mienne est juste en face.

Puis après une petite pause :

— À moins que tu préfères dormir avec moi : il n’y a pas de problème.

Elle eut un sourire entendu et s’approcha de moi, presque à me toucher.

— Si tu me le proposes, je ne vais pas le refuser…
— C’est comme tu veux.

Elle se pressa doucement contre moi ; je déposai un baiser sur son front.

— Ça fait tellement longtemps… dit-elle sans préciser si elle parlait de nos ébats passés ou de son activité sexuelle en général, ou simplement de nous.

Le soir je lui confectionnai un petit dîner et nous mangeâmes en tête-à-tête avec un fond de musique douce.

Je l’invitai même à danser un slow langoureux. Ma main sur sa taille, je la pressai contre moi et elle fut obligée de sentir contre son ventre la raideur dans mon pantalon que son contact faisait naître en moi.

Je l’embrassai à pleine bouche. Mes mains descendirent sur ses fesses qu’elles caressèrent d’abord doucement, puis en se mettant à les palper fermement ; je constatai avec un réel plaisir qu’elles n’avaient rien perdu de leur fantastique volume, de leur abondance. Je la pelotai avidement, soupesant ces belles chairs, écartant un peu ses masses bandantes (enfin, autant que sa jupe droite permettait de le faire), descendant jusqu’à ses cuisses, lui remontant ses grosses lunes.

Elle avait les joues en feu, et le désir nous montait à la tête.

Il ne se passa pas longtemps avant de nous retrouver dans ma chambre. À mon grand plaisir, elle avait toujours ses bottes, et dans cette tenue je la trouvais super sexy ! Je m’allongeai sur le lit et lui annonçai qu’elle allait me faire un strip, mais pas n’importe comment ; j’avais des exigences :

— Avant d’enlever quoi que ce soit, je veux savoir ce que tu portes sous ta jupe.
— Un slip.
— Et… un collant ? Ou ce sont des bas ?
— Et si je ne veux pas te répondre ? énonça-t-elle d’un air espiègle.
— Alors, réponds juste à la question : des bas ou des collants ?

Un petit silence, un gloussement, puis d’une voix chantonnante :

— Ce ne sont pas des collants…

Là, j’étais vraiment scié. Elle avait mis le paquet !

— Alors enlève juste ta culotte ! Tu gardes tout le reste pour le moment.

Tant bien que mal, elle se contorsionna pour passer ses mains sous sa jupe étroite sans la faire remonter, fit glisser puis tomber sa culotte à ses pieds, une jolie culotte rouge en dentelle. Du bout du pied et habilement elle me la jeta. Je m’en saisis, la portai à mon visage et humai profondément son parfum intime, son odeur musquée de femme, profonde et envoûtante, qui avait eu le temps d’imprégner le tissu durant le voyage en train.

Elle était debout face à moi, avec un air coquin, un air de défi.

— Maintenant, remonte lentement ta jupe… Remonte-la jusqu’au milieu de tes reins.

Elle saisit le bas de sa jupe grise, et tout en me regardant droit dans les yeux commença à la remonter. Quand elle fut en haut des cuisses, j’aperçus les émouvantes bandes plus sombres, puis la peau nue et replète du haut de la cuisse… Ah, la petite cochonne, la petite allumeuse ! Elle avait mis des bas autofixants ! J’étais sûr qu’elle n’achetait pas ça du vivant de son mari…

Mais elle continua de remonter sa jupe et je ne fus pas au bout de mes surprises : je découvris un mont de Vénus proéminent, si blanc… et aussi lisse qu’il avait dû être lorsqu’elle était enfant ! Cette petite coquine l’avait entièrement rasé ! Elle voulait me rendre fou, c’était certain… Je me redressai d’un bond, m’assis sur le bord du lit, mes yeux hypnotisés par cette vision. Elle souriait, satisfaite d’elle-même.

— Avance… lui ordonnai-je d’une voix blanche.

Elle resta sans bouger pendant deux ou trois secondes, ses mains tenant toujours sa jupe retroussée sur ses reins, me regardant d’un air de défi, puis fit les deux pas qui me séparaient de moi.

— Écarte les jambes.

Je posai mes mains sur ses fesses et l’attirai vers moi. Sa vulve était juste à hauteur de ma bouche, et je la collai immédiatement à ce magnifique coquillage corail. Ma langue parcourut toute son intimité, de bas en haut, de haut en bas tandis qu’elle s’était légèrement renversée en arrière et soupirait profondément.

Je la gratifiai un long moment de cette caresse buccale ; ses mains s’étaient posées sur ma tête. Je m’imprégnai avec délectation de son goût délicat et épicé qui fit renaître dans mon cerveau le souvenir de ces après-midis coquins, ensemble, dans ma chambre d’hôtel si luxueuse à Cuba.
Je laissai presque à regret sa chatte si douce et lui intimai :

— Recule à nouveau et tourne-toi. Garde ta jupe relevée sur tes reins.

Elle ne se fit pas prier et s’exécuta lentement. J’eus alors ce spectacle éblouissant de deux belles lunes blanches immaculées dans la lumière tamisée de ma chambre. Quelles merveilles !

Cette fois c’est moi qui m’avançai à genoux, et mes mains fondirent à pleines paumes sur ces belles miches tendres et molles que je me mis à pétrir furieusement. Elle gloussa, toujours étonnée de ma fascination pour ses grosses fesses qui, elle, la complexaient toujours. Je les malaxai, les palpai, les pinçai, les serrai, les ouvris, les refermai, les fis glisser l’une sur l’autre. Ma bouche les couvrit de suçons, les aspira, les goba… Je finis par deux belles claques, sèches et bien sonores, main droite-main gauche.

— Allez, enlève ta jupe maintenant.

Elle fit tomber sa jupe et s’en débarrassa, terriblement sexy.

— Va te mettre à quatre pattes, là, sur le bord du lit… Non, tu gardes tes bottes !

Je la vis se placer, terriblement lascive, excitée de l’effet qu’elle me faisait.

— Cambre-toi bien. Écarte un peu tes cuisses. Tends tes fesses. Allez, offre bien ton cul !

Elle obéit, et ma main ne put s’empêcher de remonter du genou à l’intérieur de la cuisse jusqu’à l’endroit où la peau nue si douce, légèrement boudinée par le haut du bas, faisait un léger bourrelet bombé, d’effleurer sa vulve ainsi que tout son pourtour puis, l’empaumant, de la presser comme un fruit mûr et bien juteux.

— Tes fesses sont vraiment magnifiques, et si blanches… Tu as déjà reçu le martinet ?
— Euh… non.
— Il va falloir : j’ai trop envie de cingler ces belles chairs.
— Hé, mais j’ai pas envie d’avoir mal !
— T’inquiète pas, ma toute belle, je vais juste te chauffer un peu ; tu as un trop beau cul !

J’allai dans l’armoire de ma chambre où je garde précieusement certains instruments de plaisir. J’y pris mon martinet aux lamelles de cuir, un bel objet dont j’aime faire usage sur certaines rotondités appétissantes.

Je me plaçai derrière Mimi qui, patiemment, docilement – mais non sans crainte – attendait à quatre pattes que je me livre à mon caprice : un cul blanc et aussi large, saillant juste en dessous du chemisier élégant qui s’arrêtait à la taille et faisait ressortir ce bel objet.
Ce qu’elle était bandante ainsi, en bas et bottes, offerte à mon désir !

Retenant dans ma main gauche les lanières pour mesurer la force, je les abattis d’un premier coup sur sa lune majestueuse.

— Outchhh… !

Elle tressaillit, surprise et un peu effrayée par la morsure sèche des lanières sur sa peau tendre.

J’appliquai régulièrement, comme un métronome, mon martinet sur toute la surface des fesses, visant tantôt l’une, tantôt l’autre, mesurant bien ma force pour ne pas qu’elle se cabre à cause d’une douleur insupportable.
Sa tête était tournée vers moi, inquiète. Elle vit que j’avais fait tomber pantalon et slip, et que ma queue était dressée, prête à l’action.

Je m’interrompais régulièrement et venais caresser cette belle sphère fendue, constatant que mon traitement n’avait laissé que de fines zébrures roses.
Elle semblait apprécier cette caresse apaisante.

— Enlève ton chemisier et ton soutien-gorge, tu seras plus à l’aise.
— Oui, il commence à faire chaud…

Je finis par des petits coups secs, portés de près, qui lui firent pousser comme des petits cris de surprise et secouer avec grâce son gros popotin si excitant. Je fis glisser les lanières sur ses reins, ses hanches replètes, puis plusieurs fois dans la raie de ses fesses, d’une caresse sensuelle et troublante. Enfin, à la façon d’un balancier, je lui assénai quelques coups d’intensité croissante dans ce sillon fessier, visant l’anus tendre et les bords rebondis de sa vulve.

Elle cria plus fort, sursauta, mais ne protesta pas.

— Là, c’est bien, tu es une bonne fille, tu as bien encaissé. Je suis désolé, mais je n’ai pas pu m’empêcher de fustiger un aussi beau derrière. Et puis ce gros cul m’excite tellement… Il m’aguiche tant qu’il méritait d’être puni pour ça !

Ce disant, je m’étais agenouillé derrière elle et je couvrais de caresses tendres et passionnées l’objet de mon désir ; mes mains insistaient sur l’intérieur des fesses et frôlaient sa vulve bien ouverte. Ma langue se mit à parcourir le profond sillon, de haut en bas, de bas en haut, alternativement, s’attardant sur le petit cratère étoilé et sombre, fondant sur le corail rose de sa fente. Elle se mit à gémir, à haleter : elle n’en pouvait plus, la grosse mère !

— Je vais te prendre, maintenant.

Et joignant le geste à la parole, je me plaçai contre ses cuisses encore gainées de nylon et je pénétrai lentement sa chatte : elle était chaude et douce, à peine humidifiée, toute serrée. Mes mains bien campées sur ses hanches, je la pris à grands coups de reins, allant buter à chaque coup de boutoir tout au fond de sa chatte soyeuse.

Elle poussait un cri de plaisir à chaque coup de pine.

Mes mains jouaient avec ses petits tétons qui pendouillaient de façon obscène.
Tout son corps tressautait et je voyais des ondulations parcourir sa chair, ses bourrelets, comme des vagues montant à l’assaut de la plage ; ce spectacle digne d’un bon film érotique ainsi que celui de ses jambes gainées par les bas couleur fumée, avec les bottes encore aux pieds, m’excitait au plus haut point et j’exultais, proférant des obscénités, mes mains crispées sur ses poignées d’amour, la manœuvrant par les seins, butant de plus en plus fort contre son pubis.

— Retourne-toi : je vais te baiser à fond, comme j’aime !

Elle s’installa sur le dos. Je lui écartai grand les cuisses, les relevai le plus haut possible et posai ses bottes sur mes épaules.

Je lui branlai son beau coquillage rose de ma queue en la faisant glisser de bas en haut, de haut en bas, puis je fis pénétrer le gland tout en la fixant dans les yeux, ses yeux azur écarquillés par le plaisir. Elle avait le visage écarlate, excitée comme jamais.

Lentement, j’entrai en elle, jusqu’au fond, jusqu’à buter, écrasant son pubis moelleux.

Mes mains plaquées sur ses cuisses, je me mis à la baiser à grands coups de reins longs et puissants ; elle criait à chaque butée. Je lui arrachais des cris de plaisir, elle lâchait des jurons, sa tête dodelinait de droite et de gauche ; elle prenait son pied comme une folle, perdant tout contrôle.

Très excité et heureux de ses réactions, je la fis venir bruyamment. Elle hurla, ce qui eut pour effet de me faire jouir comme un dément : je lâchai tout en elle, me répandant en grandes saccades de plaisir avec des grognements désespérés.

Nous restâmes un moment ainsi imbriqués tandis que je lui caressais doucement les cuisses et les hanches. Puis allongés sur le lit l’un contre l’autre, nous parlâmes à voix douce, partageant avec plaisir un long moment de tendresse.

— Je n’avais jamais eu autant de plaisir en faisant l’amour ; tu es un amant extraordinaire !
— Je n’ai rien d’exceptionnel…
— Tu es tellement attentionné : on dirait que tu me connais tellement, tu sais comment m’amener au plaisir.
— Je connais peut-être un peu le corps des femmes…
— Et puis je n’aurais pas cru qu’à mon âge on pouvait encore avoir du plaisir. Avant qu’on fasse l’amour ensemble il y a deux ans à Cuba, je pensais que c’était fini : je n’avais plus de désirs, plus d’envie de faire l’amour, et je ne pensais pas que ça pourrait revenir… Aujourd’hui j’ai joui comme une jeune fille ; même plus fort qu’une jeune fille ! Oh, cet été tu viendras chez moi quelques jours et tu pourras profiter de la mer, de la chaleur, du soleil… et de moi.

Nous demeurâmes longtemps enlacés, et les quelques jours qu’elle passa avec moi furent absolument délectables. Nous fîmes l’amour très souvent, et si ça ne fut pas à chaque fois aussi intense que le premier soir, le plaisir et la tendresse s’unirent pour nous offrir la semblance d’un bonheur momentané.


Malgré la distance, nous continuâmes à nous voir deux à trois fois l’an et à prendre du bon temps. Ce fut à chaque fois pour moi un ravissement et une excitation renouvelée de retrouver les grosses fesses de Mimi.