Une chaude collaboration

Le lundi suivant, à 8 h 10 elle était à l'accueil. La standardiste lui prépara un badge et lui dit qu'elle pouvait monter. Buzzato n'étant pas encore arrivé, elle décida d'attendre devant la porte du bureau de son nouveau boss. Elle remarqua au-dessus de cette porte un drôle de petit feu tricolore qu'elle n'avait pas vu la première fois.

À peine cinq minutes s'étaient-elles écoulées qu'elle le vit sortir de l'ascenseur et la héler avec enthousiasme :

— Ah, Irène… En avance, en plus !
— Bonjour, Fabrizio.
— Pourquoi vous attendez là ? Allez prendre possession de votre bureau. Allez vous installer et prendre connaissance des lieux. Ensuite vous viendrez nous préparer un café et je vous expliquerai le job.
— À vos ordres, Fabrizio ! rit-elle.

Joyeusement, il posa une main sur sa taille pour la pousser vers la porte de son bureau à elle. Il était décidément toujours de bonne humeur, et toujours plein d'entrain.

Le bureau avait été débarrassé de tout objet personnel par l'assistante de direction précédente. La clé du tiroir du bureau était sur la serrure. Elle posa son sac avant de s'apercevoir en ouvrant toutes les armoires qu'il y avait un vestiaire à cet effet ; elle était encore abasourdie par le luxe de l'entreprise, par l'espace qu'on lui octroyait à elle, petite secrétaire.

Elle regarda les murs nus. Visiblement, des tableaux avaient été enlevés. « Il va falloir que j'habille un peu ça ; ça fait triste et nu. Je vais demander à Buzzato si j'aurai un petit budget pour la déco. »

L'interphone retentit.

— Oui ?
— Vous avez fait le café, Irène ?
— Ah non, pas encore, Monsieur Buzzato, je cherche…
— Tout est dans le petit meuble bas. Mettez ça en route puis venez avec les cafés.
— OK, Monsieur Buzzato. Je m'en occupe tout de suite.
— Irène ?
— Oui, Monsieur Buzzato ?
— Vous m'appelez Fabrizio, n'oubliez pas.
— Ah oui, Fabrizio. Bien sûr.

Elle trouva tout pour faire le café, comme annoncé. Elle fit passer deux expressos, les plaça sur un petit plateau en métal argenté qui devait servir à ça puis elle prit le plateau et frappa à la porte du bureau de son nouveau patron.

— Vous n'avez pas besoin de frapper, Irène, quand vous entrez par cette porte. Pour le reste, il y a l'interphone.
— Je suis désolée, Monsieur Buzz… Fabrizio. Je n'ai pas encore l'habitude.
— Bien entendu, rit-il.

Ils s'assirent dans le canapé ; elle posa le plateau sur la table basse.

— Ah, ma petite Irène, je suis content que vous travailliez avec moi, que vous soyez mon assistante, lui dit-il avec un bon sourire, et il lui caressa les cheveux.

Elle lui rendit son sourire, ravie :

— Moi aussi, Fabrizio. Je suis si heureuse, si vous saviez…
— En plus, vous êtes non seulement une grande professionnelle, mais vous êtes une si belle femme…

Il ponctua son propos en pressant doucement l'un de ses gros seins à travers le pull. Irène rougit, un peu surprise par son attitude, mais elle ne s'offusqua pas ; après tout, elle lui devait tout, elle était à lui.

— Vous me flattez, Fabrizio.
— Mais non. Vous savez que je vous apprécie et que vous me plaisez.
— Oui, je le sais, Fabrizio. Mais maintenant vous êtes mon patron. Il ne faudrait pas que les gens… je veux dire, dans l'entreprise…
— Pourquoi croyez-vous que j'ai un petit feu tricolore à l'entrée de mon bureau, Irène ? Et nous avons une porte de communication entre nos deux bureaux : elle est là pour qu'on s'en serve.

Tout en lui parlant il lui caressait la bouche du bout des doigts. Il semblait fasciné par le rose à lèvres brillant qui soulignait avec splendeur la petite bouche d'Irène.

— Vous savez ce qui me ferait plaisir, là, maintenant, Irène ?
— Euh, non…
— J'aimerais que vous me suciez pendant que je termine mon café.
— Euh… mais…

Et elle désigna la porte d'entrée.

— J'ai mis le feu rouge, ma petite Irène.

Elle sentit une chaleur et une rougeur intenses lui monter au visage, mais elle n'avait rien à lui refuser. Fabrizio était en train de lui peloter ses gros nichons, et il avait l'air très excité.

— Sortez ma queue, Irène, lui dit-il d'une voix grave et presque éteinte.

Elle s'était tournée et s'attaquait à sa braguette tandis qu'il lui malaxait littéralement les roploplos. Elle était terriblement troublée, et le fut encore plus quand elle extirpa du pantalon une queue épaisse et raide comme du bois.

Elle allait descendre du canapé pour se mettre à genoux quand Buzzato l'arrêta :

— Restez sur le sofa, ma petite Irène. Vous vous pencherez.

Elle dut s'installer tant bien que mal à quatre pattes et se pencher sur lui pour prendre sa queue en bouche ; elle se mit à la sucer lentement. Fabrizio ferma les yeux en soupirant de plaisir tandis que sa main errait sur le flanc d'Irène et descendit jusqu'à sa croupe ronde qu'il palpa avec délectation. Puis, tandis que la bouche féminine s'activait sur le gland et la hampe, il remonta son pull et dégrafa le soutien-gorge de sa pulpeuse secrétaire, libérant les gros nichons mous. Il les prit à deux mains, les malaxa, les pelota vicieusement, les faisant rouler entre ses doigts en grognant de satisfaction.

Il la supplia presque :

— Ah, Irène, caressez-moi la queue avec vos gros seins…

Elle interrompit sa fellation et, sans lâcher le vit, promena ses nichons sur le membre viril. Le contact était doux et chaud. La peau des seins était soyeuse.

Fabrizio continuait à la peloter sans retenue, puis il implora :

— Irène, je voudrais vous baiser entre les seins…

Elle sourit, charmée et flattée malgré elle par la fascination qu'il semblait ressentir pour ses grosses loches. Cette fois elle descendit du canapé pour se mettre à genoux entre les jambes de son patron. Elle prit son phallus, le plaça entre ses gros seins, les referma sur lui, puis entama des mouvements de piston, les interrompant de temps en temps pour gober le gland de l'homme.

Elle devenait vraiment salope. Elle s'étonnait elle-même.

Buzzato était aux anges ! Il caressait ses épaules et son dos replet, contemplant l'excitant tableau ; il adorait voir l'extrémité de son nœud disparaître entre les jolies petites lèvres roses d'Irène et coulisser en cadence entre ses gros nichons.

Elle sentit monter le plaisir de l'homme : le phallus durcissait et palpitait entre ses doigts, et elle l'entendit râler de plus en plus fort. Alors elle le prit en bouche et se mit à le pomper à une vitesse élevée et en y mettant tout son cœur, pressant de plus en plus fort ses lèvres sur le membre.

Elle se sentit victorieuse et pleinement satisfaite quand il lui déchargea dans la bouche en poussant des cris rauques. Elle reçut les jets de semence et s'empressa de tout déglutir : il s'agissait que la queue de son patron soit bien propre.

— Ah, Irène, Irène… quel plaisir de vous avoir à mes côtés !
— Mais c'est un plaisir partagé, Fabrizio, lui dit-elle avec un petit sourire de connivence.

Il reprenait peu à peu ses esprits. Irène rattacha son soutien-doudounes et remit sa coiffure en place.

— Oh, ma pauvre Irène… vous êtes excitée ?
— Je ne vais pas vous mentir, Fabrizio.

Elle effleura son entrejambe ; elle sentit qu'elle était toute mouillée.

— Venez ici, ma petite Irène.

Il glissa sa main sous sa jupe.

— Descendez votre culotte.

Comme une poupée, Irène se laissa faire. Elle n'eut d'ailleurs pas à s'exécuter puisque c'est son patron qui lui descendit son brésilien, qui tomba jusqu'à ses pieds. D'instinct, elle écarta les cuisses.

— Vous n'aurez pas besoin de culotte pour travailler avec moi, Irène. D'ailleurs, vous aurez la consigne de ne jamais en porter. Ainsi vous serez à tout moment parfaitement disponible.

Elle ferma les yeux tandis que les doigts de Buzzato étaient montés entre ses cuisses et avaient trouvé la vulve entrouverte et bien mouillée ; maintenant elle se laissait branler.

— Mmmm… j'aime votre chatte, Irène, murmura-t-il. Elle est toute douce et toute humide. Je suis ravi de savoir que c'est moi qui vous ai mis dans cet état…

Ses doigts glissaient d'arrière en avant dans sa fente toute gluante. Irène se laissait faire, les cuisses écartées, la jupe à peine retroussée. Elle avait conscience de sa posture obscène, mais elle s'en foutait : elle avait trop envie d'être soulagée, elle voulait être débarrassée de cette tension sexuelle. Sur un petit nuage, elle se laissait bercer par cette ambiance euphorique, érotique, et même dans ses souvenirs les plus chauds de l'époque où elle était jeune fille, elle n'avait jamais vécu de telles sensations.

Son plaisir monta très vite. Fabrizio la branlait de plus en plus vite, entrait une fois sur deux un doigt en elle tandis que son autre main lui caressait les fesses. Elle commença à pousser des petits couinements mêlés de soupirs, se mordait les lèvres, la bouche pincée pour se retenir de crier.

— Ne vous retenez pas, Irène ; jouissez, criez : les murs sont parfaitement isolés du point de vue phonique. Personne ne vous entendra.

Dans un geste charmant de coquetterie féminine, Irène mit son poing devant sa bouche, mais se mit à crier quand Buzzato lui glissa son majeur gauche dans l'anus tandis que le majeur droit branlait son vagin. Il porta les doigts de sa main droite à sa bouche, les suça goulûment, puis il saisit Irène par les fesses pour l'attirer à lui et colla sa bouche contre sa vulve pour la lécha en aspirant à grand bruit le suc de la femme mûre qui n'en finissait pas de jouir. Elle hoqueta. Son orgasme eut un nouveau paroxysme quand la langue de Fabrizio entra en elle et qu'il ventousa son bourgeon tout durci. Ses jambes eurent comme un tressautement puis elle soupira profondément ; son plaisir retombait.

Buzzato la contempla, et lui dit :

— Vous êtes belle, Irène. Vous êtes encore plus belle quand vous jouissez.

Elle eut un petit rire nerveux et lui caressa les cheveux.

— Vous comprenez maintenant pourquoi je ne voulais pas d'une jeune assistante débutante ? Qui mieux qu'une femme comme vous pourrait être aussi désinhibée ? Qui se donnerait si totalement à moi comme vous ?
— Oh oui, je suis à vous, Fabrizio, toute à vous !
— Bon, reprenons-nous. Nous allons nous mettre à bosser. Venez, je vais vous expliquer le boulot.

Il l'emmena vers son bureau. Il s'assit et attira Irène à lui, l'assit sur ses genoux. Elle gloussa, un peu surprise, mais c'était agréable, cette façon de ne pas rompre le charme érotique comme ça, d'un seul coup. Il lui expliqua ce qu'elle avait à faire, une main posée sur ses cuisses, l'autre sur sa hanche rebondie. Heureusement qu'ils s'étaient soulagés juste avant sinon il aurait été distrait par les gros lolos d'Irène qu'il avait sous les yeux, et il aurait eu les mains qui ventousent.

Fabrizio était souvent en déplacement, la plupart du temps à l'étranger ; il n'était au bureau qu'une à deux journées par semaine. Elle était chargée d'organiser ses déplacements, de réserver ses billets d'avion, ses nuitées à l'hôtel, ses locations de voiture. Il lui fournit une liste d'endroits où il avait l'habitude de descendre, ainsi que des solutions de rechange, au cas où. Elle devait gérer sa boîte mail, et aussi être joignable 24 heures sur 24 sur son portable, ce qui était la seule vraie contrainte. Une contrainte n'avait pas plu à l'assistante précédente, qui ne l'avait pas vraiment acceptée, et avec qui, du coup, ça ne s'était pas trop bien passé.

— Ça ne me dérange pas, Fabrizio. Parce que c'est vous. Il n'y a pas de raison que vous ne puissiez m'appeler même la nuit si vous êtes en galère au fin fond de l'Afrique. Et mon mari, s'il n'est pas content… Par contre, je continuerai à vous vouvoyer en toutes circonstances : je ne voudrais pas éveiller de soupçons. Et je ne veux pas de traitement de faveur. Je ferai mon boulot, et tout ce que vous me demanderez : je tiens à mériter mon salaire.
— Merci, ma petite Irène, lui répondit-il, ému et avec un sourire reconnaissant. Si tout se passe bien, je vous ferai peut-être passer cadre l'année prochaine.
— Ohhhh… je ne vous en demande pas tant, Fabrizio, c'est trop !
— Mais non, mais non, si vous le méritez… et je sais que vous le mériterez.


Le commencement de cette nouvelle carrière se passa formidablement bien. Irène, en bonne professionnelle, comprit vite ce qu'elle avait à faire et s'acquitta de ses tâches avec brio. Elle apprit vite ce qui tenait à cœur à Fabrizio dans l'organisation de ses déplacements, comme la gestion des clients, notamment quand il y avait des aléas. De toute façon Fabrizio, l'avait déjà vue à l'œuvre quand il était le client de SETI, et il savait combien elle savait se mettre en quatre pour arranger les choses, arrondir les angles  : c'était la parfaite petite secrétaire.

Bien entendu, tout n'était pas toujours facile, surtout pour le patron qui, bien que se montrant toujours cool, devait encaisser par moments une pression énorme. Il s'efforçait de ne pas le montrer, mais Irène, qui le connaissait bien, savait quand il était stressé. Elle essayait tant bien que mal de le détendre, ce qui n'était pas toujours totalement possible dans les moments les plus difficiles, mais il lui était reconnaissant des efforts qu'elle faisait pour qu'il se sente bien.

Même dans les pires moments de stress, il était content quand il pouvait prendre un moment pour se retrouver avec sa petite Irène dans son bureau, pour se faire cocooner. C'était une vraie détente, un précieux moment de paix où il pouvait décompresser alors qu'elle s'occupait de lui.

Ils fermaient les portes et tentaient d'oublier le monde extérieur et tous leurs soucis.

Un jour, le P.D.G. l'avait particulièrement mis sous pression, avait critiqué sa stratégie, remis en cause tout ce qu'il faisait, et il avait dû encaisser ça devant tout son staff. Il s'était défendu, avait serré les dents, mais c'est très remonté qu'il était retourné en fin de matinée dans son bureau. Mais, même dans ces moments-là, il ne passait pas sa mauvaise humeur sur Irène. Elle aurait bien essayé de le calmer, de le cajoler, mais il ne tenait pas en place, tournant en rond dans son grand bureau en vociférant. Les injures contre son P.D.G. pleuvaient. Heureusement, la pièce était parfaitement isolée.

Irène assistait à ce triste spectacle, impuissante. Elle essayait de l'apaiser, mais il était comme un lion. Elle n'essaya même pas de le toucher, ni de lui proposer un massage. Il finit par tarir son flot de récriminations envers son bourreau, à court d'arguments et de propos acides.

Irène tenta de le consoler en lui caressant le cou et les épaules. Il se laissa faire, mais ses mâchoires étaient toujours serrées et il avait un regard dur. Alors elle se laissa tomber à genoux devant lui et commença à lui caresser les cuisses en remontant, et guettant sa réaction. Elle avait peur qu'il l'envoie balader, mais il la laissa faire. Alors elle se sentit encouragée et continua en massant son entrejambe. Estimant qu'il n'avait pas trop la tête à ça, elle aurait compris qu'il la repoussât gentiment, mais il ne le fit pas et caressa les cheveux d'Irène un peu distraitement.

— Mon pauvre Fabrizio, vous ne méritez pas ça, je le sais. Laissez-moi faire, je vais vous détendre.

Elle ouvrit sa braguette. Elle avait peur de l'échec. Elle savait que les hommes, quand leur esprit est préoccupé, perturbé, ont parfois des réponses physiologiques stoppées, bloquées, même si elle savait que Fabrizio était plutôt un étalon toujours prêt pour la bagatelle. Il le lui avait prouvé à maintes reprises, quand, notamment en débarquant le matin après une mauvaise nuit passée dans l'avion, il l'avait saillie sur le canapé du bureau, témoignant de ressources étonnantes pour un homme fatigué.

C'est vrai qu'après quelques jours d'absence pour ses déplacements à l'étranger, leurs retrouvailles commençaient souvent par ce rituel.

Aussi ne fut-elle qu'à moitié surprise de constater que la queue de Fabrizio durcissait – et très rapidement – dans sa main ; il est vrai, sous l'effet des caresses dont elle était devenue experte. Elle la prit rapidement en bouche et se mit à la sucer comme elle savait si bien le faire, d'abord lentement en pressant bien le membre entre ses lèvres et sur sa langue, puis en augmentant l'amplitude de ses va-et-vient. Fabrizio commençait à se détendre en même temps que son vit continuait à se tendre, à durcir dans la charmante petite bouche d'Irène.

Il lui caressait la tête et le visage en murmurant :

— Hum, Irène… ma petite Irène… heureusement que vous êtes là… J'ai de la chance de vous avoir…

Elle continua de le sucer longtemps. Son membre ne mollissait pas, mais l'acte était parti pour s'éterniser. Irène ne savait pas quoi faire d'autre que de continuer. Alors, à un moment, Fabrizio prit le menton d'Irène dans sa main, l'invita à cesser sa fellation et lui dit :

— Venez, Irène ; venez sur le sofa.

Elle se releva et il l'entraîna vers le canapé en la prenant par la main, puis il lui intima d'une voix calme :

— Mettez-vous à genoux sur le bord.

Elle s'installa comme il le lui avait demandé, appuya ses mains sur le dossier et attendit. Fabrizio, soudain surexcité, remonta la jupe de sa secrétaire un peu brutalement et la replia sur ses reins, dévoilant la croupe sublime, bien mise en valeur par un collant-porte-jarretelles noir super sexy. Bien évidemment, se conformant aux consignes de son patron, elle ne mettait plus de culotte depuis qu'elle travaillait avec lui.

— Hummm, ma chère petite Irène, vous m'avez gâté aujourd'hui !

Ses mains, confirmant le ravissement qu'il éprouvait à une telle vue, se mirent à couvrir de caresses le beau fessier ainsi dégagé par l'échancrure du nylon noir. Il se mit à lui palper nerveusement les fesses, les pressant, lui pelotant l'intérieur des cuisses au passage. Puis soudain, d'un geste rageur, il arracha à deux mains les parties du collant servant de jarretelles, remonta avec violence la partie du haut, libérant ainsi totalement la croupe jusqu'au bas des reins, descendit brutalement les lambeaux de collant qui couvraient encore le haut des cuisses et les hanches, et pelota d'une main ferme et puissante les chairs ainsi mises à nu. Puis, sans autre forme de procès, il présenta son vit à l'orifice de la conque, et d'une seule poussée la pénétra à fond.

Irène poussa un cri de surprise. Son vagin était heureusement moite, mais elle sentit toute la longueur du phallus en elle, qui se mit aussitôt à la pilonner à grands coups de boutoir. Sous la saillie du vigoureux étalon, elle se mit à pousser de grands cris aigus de femelle. Elle s'accrochait au tissu du canapé qu'elle avait agrippé du bout des doigts, mais devait contenir les poussées du mâle qui ébranlait sa chatte comme s'il voulait la perforer.

Il se retira au bout de quelques instants puis dit d'un ton bas :

— Je suis désolé, Irène, mais aujourd'hui je veux plus de vous ; j'en ai besoin.

Et, lui écartant les fesses, il se mit à lui lécher la rosette à grand bruit.

Elle avait compris ; elle serra les dents. Ce qui ne l'empêcha pas de pousser un long râle quand Fabrizio força sa petite pastille et lui enfonça lentement mais sûrement sa pine longue et raide dans le cul ! Il ne fit même pas de pause dans sa progression : d'une seule poussée il l'avait embrochée jusqu'à la garde, jusqu'au fond de ses entrailles !

Ça faisait longtemps qu'il ne l'avait pas enculée, mais les fois précédentes il avait pris son temps ; il lui avait lubrifié longuement la rosette avec du gel avant de la sodomiser puissamment et avec fougue, et elle avait pris son pied, étonnée de jouir par le cul, chose qu'elle n'avait jamais ressenti avant. Mais là, elle avait l'impression d'être empalée, sacrifiée comme une grosse poule.

Fabrizio, conscient de la brutalité de la pénétration, attendit un peu avant de continuer, se retira lentement, la lubrifia davantage avec sa mouille, puis commença à la pilonner, lui perforant littéralement le petit trou. Elle sentait son canal qui s'ouvrait, l'absorbait ; la sensation qui lui avait coupé le souffle au début s'était estompée et elle commençait à apprécier, malgré la brûlure au niveau de l'orifice.

— Vas-y, mon grand, défoule-toi ! Baise-moi ! Sodomise-moi ! Venge-toi !

Tout heureux de cet encouragement, soudain déculpabilisé – car il avait eu honte une seconde d'avoir fait mal à son Irène – il se mit à l'enculer à grands coups de reins, longs et souples. Il lui avait mis les seins à l'air par-dessous le soutien-gorge et les malaxait avec passion. Il la baisait par le cul, se sentait bien serré, éprouvant une sensation incroyable et libératrice.

— Ah, c'est bon de t'enculer ! Tu prends bien, tu es bonne par le cul…!

Il l'avait fait se redresser un peu, lui léchait le cou, lui suçait les oreilles et, en bon baiseur, avait glissé deux doigts dans sa fente. Il la baisait par le fondement, l'enculait à une cadence accrue et la branlait en même temps avec fougue.

Elle retrouvait son Fabrizio, son mâle italien, son patron bienveillant et tendre.

Sous l'effet conjoint de cette caresse et du pieu qui lui ramonait les entrailles en appuyant sur sa zone G, elle se mit à partir bruyamment dans un long roucoulement, une plainte déchirante de femelle touchée, achevée par le plaisir.

La voir ainsi jouir sous son action, sous ses caresses, flatta son ego de mâle, de séducteur conquérant qui possédait sa petite blonde ; celle qu'il avait tant et longtemps désirée, et qui lui appartenait maintenant au-delà de ce qu'il aurait pu imaginer auparavant, cette jolie secrétaire quinqua, féminine et raffinée, qui prenait tellement soin de lui fit rapidement monter le plaisir en lui, et il déchargea en poussant des cris de bête blessée, lui envoyant son foutre tout au fond des entrailles.

Il resta un moment imbriqué en elle, encore haletant, son nœud coincé par le petit sphincter d'Irène, lui caressant doucement les seins et son cou. Un bras derrière elle, elle lui caressait les cheveux, toute heureuse d'être à lui, profitant de ce moment de tendresse.

— Ma petite Irène, lui murmura-t-il amoureusement, merci d'être là pour moi. Vous me faites tellement de bien… Heureusement que je vous ai !
— Oh, vous me faites du bien aussi, Fabrizio. Même si le début était un peu brutal, j'aime vous sentir ainsi en moi, j'aime vous voir à l'œuvre, mon grand mâle fougueux… C'est si bon, Fabrizio ! Nous n'aurions pas de telles baises, nous n'aurions pas de telles séances de plaisir si nous étions mari et femme.

Il sortit à regret de son petit trou, la libérant de son étreinte.

Il manquait une douche dans ce grand bureau ; ils s'essuyèrent avec les serviettes en papier et Irène se rafraîchit le visage avec de l'eau minérale, puis ils retournèrent à leurs activités avant le déjeuner.


Quelques mois après, elle passa cadre comme promis, bien que n'ayant aucun salarié sous ses ordres ; et cela grâce à Fabrizio, bien entendu. Cela allait avec de nombreux avantages et une augmentation plus que conséquente. Elle était ravie.

Elle ne manquait aucune occasion de montrer sa reconnaissance à Fabrizio, son patron chéri, pour qui elle était toujours disponible, tant physiquement que sexuellement. Elle acceptait d'être dérangée le samedi, voire le dimanche, d'être appelée la nuit, ce qui arrivait très rarement ; et encore, c'était souvent pour pas grand-chose, pour qu'elle l'écoute s'épancher, passer son vague à l'âme, évacuer son stress.

Elle était toujours attentive et tendre, chaleureuse, presque comme une mère.

Le mari d'Irène se plaignait, maugréait, lui reprochant d'être une esclave pour son patron, mais Irène le faisait vite taire quand elle lui rappelait quel salaire elle touchait (deux fois celui que lui avait avant de partir en retraite), et elle souriait intérieurement, pensant « Oui, je suis une esclave ; et si tu savais… même une esclave sexuelle, mais j'aime ça ! Je l'ai choisi. Et mon « maître » est un amour pour moi : il me comble à tous points de vue, et aussi sexuellement ! »

Elle était toujours prête et apprêtée pour lui, toujours disponible, son cul et sa chatte à portée de main sous sa jupe ou sa robe (elle ne portait des pantalons que lorsqu'il était en déplacement), toujours bien maquillée, élégante, féminine et sexy. Elle avait un gros budget coiffure, et son mari s'étonnait de la voir aussi coquette. Il se disait simplement qu'elle refusait de vieillir et qu'elle faisait des efforts désespérés pour plaire encore.

Mais il faut bien dire que c'était réussi…

Les jours où Fabrizio était au siège, quand Irène arrivait au bureau, après le bonjour le rituel du matin consistait en café qu'elle faisait couler pour eux deux, rien qu'eux deux (sauf quand il avait, rarement, des rendez-vous très tôt), puis souvent une pipe qu'elle lui prodiguait pendant qu'il dégustait la deuxième tasse. Elle s'était habituée à avoir ce goût sucré dans la bouche après avoir avalé sa semence blanche juste après le café.

Souvent, quand il avait besoin d'elle et qu'elle recevait ses consignes debout à côté de son bureau, il passait une main sous sa jupe et faisait glisser ses doigts entre ses fines lèvres sexuelles ; avant de la libérer, il suçait ses doigts goulûment. Parfois il glissait un doigt dans son sillon fessier jusqu'à trouver son œillet et l'y enfonçait avec félicité. Irène se tortillait, gloussait, se laisser branler le cul avec joie.

Désormais, ils avaient toujours des lingettes dans leur bureau.

Si à la fin de journée ils étaient restés tard pour travailler, ils profitaient que les bureaux étaient presque vides ; alors il la prenait, lentement, puis passionnément, et ils se donnaient du plaisir. Cette explosion orgasmique les vidait, les lavait de tous leurs soucis de la journée, de tout le stress accumulé.

C'était un méditerranéen, plutôt autoritaire, assez traditionnel, l'archétype de l'étalon séducteur, mais il n'était pas avare quand il s'agissait de lui donner du plaisir. Il faut dire qu'il la trouvait toujours appétissante ; après plusieurs années, elle lui faisait toujours autant d'effet : rien qu'à la voir en bottes avec ses bas noirs ou fumée, en jupe marquant bien sa croupe et avec un pull moulant ses gros roploplos, il bandait déjà !

Elle savait aussi ce qu'il aimait comme tenue vestimentaire, et elle n'en se privait pas.

Il lui arrivait donc souvent de lui ordonner de fermer la porte, les sourcils froncés, sans lever les yeux de son écran. Il allumait le petit feu rouge discrètement. Quand elle s'en apercevait, elle en frémissait d'avance. Puis il se levait, faisait le tour de son bureau, la renversait – plutôt qu'il l'asseyait – dessus, lui remontait jupe ou robe, et il lui bouffait littéralement la chatte comme un affamé. Parfois ça se terminait par une bonne levrette, penchée sur le bureau, et elle se faisait saillir avec force en admirant le magnifique panorama par les baies vitrées.


Fabrizio resta en poste pendant plus de huit ans, puis il fut mis sur la sellette. Il négocia son départ, sachant qu'il allait retrouver un job dans une entreprise importante aux Pays-Bas.

Le patron qui lui succéda était un type un peu plus jeune, sans état d'âme, plutôt indifférent. Au bout de six mois il voulut la remplacer par une assistante plus jeune et moins chère, mais comme ça lui aurait coûté bonbon de lourder Irène ou de lui faire signer une convention de rupture (vu son salaire et qu'on n'avait rien à lui reprocher car elle avait continué à faire son boulot avec zèle, les prestations sexuelles en moins), on la reclassa à un poste subalterne, sans intérêt, mais au même salaire. C'était une mise au placard, un poste ennuyeux, mais on lui foutait la paix.

Elle s'accrocha, travailla jusqu'à sa retraite à l'âge de 62 ans.

Elle continua à venir sans culotte, et les journées lui paraissaient moins longues quand elle glissait sa main sous sa jupe, sous son bureau, et se caressait la chatte en repensant à cette magnifique carrière au service de Fabrizio, à ses étreintes et à ses coups de reins.

Dans son bureau pour elle toute seule, petit mais tranquille, entre deux orgasmes elle essuyait une larme d'émotion.