Saison 1 : Une épouse presque fidèle (II)

Lioubov

Lorsque je rejoins Jennifer sous la couette, j'ai envie de lui faire un gros câlin. J'éprouve une immense tendresse pour elle ; plus question de domination ni de rapports pervers. Le fait d'avoir fumé m'éclaircit les idées : plus question de jouer ce rôle de macho pervers et dominateur. Désormais, je ne suis plus qu'un petit garçon désarmé qui prend soudainement conscience des sentiments qu'il avait jusque là refoulés… Cette belle femme, en plus de la désirer comme un fou, je l'aime. Oui : je l'aime !

Comment des sentiments aussi surannés peuvent-ils s'immiscer dans une relation qui ne se revendiquait que purement sexuelle ? Profondément troublé, je prends Jennifer dans mes bras et la serre très fort contre moi, longtemps. Très longtemps. J'apprécie le contact de son corps contre le mien qui m'apaise. Je suis bien. J'accède à un autre univers. Durant un moment incommensurable, nous échangeons une immense tendresse ; nos baisers deviennent… sincères.

Jennifer

Lioubov me rejoint sous la couette. Son lit est vraiment confortable ; je n'ai pas envie de le quitter. Je me blottis dans ses bras, contre sa douce peau de bébé. Nous nous câlinons. Ses lèvres se posent délicatement sur les miennes tandis que ma langue gourmande se fraie déjà un chemin entre elles. Nous échangeons un long et tendre baiser. Je soupire de contentement. Je me sens bien dans cette explosion de tendresse.

Ses lèvres quittent les miennes le temps de faire des allusions à son âge et au fait qu'il pourrait être mon père, voire même mon grand-père. Je m'attendais à ce qu'il en profite pour me proposer un scénario incestueux, mais non. Sa main se glisse d'elle-même entre mes cuisses. Je m'imagine lui répliquer « Oh, Papy, t'as pas le droit de me faire ça ! » Cette seule pensée me fait inonder ses doigts. Je le laisse me caresser longuement et je glisse ma main vers sa verge. Ma langue frétille déjà dans ma bouche ; son sexe endormi ne demande qu'à se réveiller entre mes lèvres gourmandes.

Lioubov

Jennifer quitte cependant mes bras pour descendre au niveau de mon bas-ventre. Il me semble lui avoir dit que je désire goûter à la douceur de ses lèvres sur mon vieux gland… Elle s'empare de ma verge en semi-érection et commence à la lécher en me jetant des regards coquins ; dans ces conditions, il me faut peu de temps pour retrouver une rigidité à toute épreuve. Elle se met à alterner des pompages du gland avec des gorges profondes ; le fait que je sois totalement épilé lui facilite la tâche. Elle me branle un peu aussi, sans omettre de placer son pouce sur mon frein (que j'ai très développé et hypersensible). Sachant que je suis toujours en train de filmer, elle pousse le souci du détail jusqu'à relever fréquemment ses cheveux qui pourraient masquer le délicieux traitement qu'elle procure à ma vieille bite !

Au bout d'une minute, elle se met à lécher le pourtour de mon méat, pointant même sa langue à l'entrée de mon urètre. Je sais ce qu'elle va faire : nous en avions déjà parlé. C'est pourquoi je ne suis pas surpris lorsqu'elle dépose de la salive sur son auriculaire et commence à le faire glisser sur l'extrémité de mon gland, tournant autour du méat pour s'en approcher de plus en plus. Elle appuie un peu à l'entrée et son doigt disparaît dans mon urètre jusqu'à la première phalange. Elle le ressort et le réintroduit à plusieurs reprises. Je commence à pousser des gémissements de plaisir.

— Tu m'arrêtes si je te fais mal…
— Non, continue. Plus loin. Continue, c'est bon… Force ! N'aie pas peur.

Jennifer maintient fermement ma verge entre ses doigts juste derrière mon gland que je vois se déformer tandis qu'elle appuie de plus en plus fort. Sur mon conseil, elle vient déposer un peu plus de salive pour faciliter cette introduction perverse ; un long filet de bave relie mon gland à ses lèvres lorsqu'elle se redresse pour contempler ce qu'elle me fait subir. C'est vrai qu'elle semble très intéressée par ce qu'elle fait ; qu'elle est belle ainsi, en pleine dépravation…

— Vas-y, n'aie pas peur : je n'ai pas mal.

Elle enserre fortement ma verge dans sa main et appuie encore plus fort ; ainsi emprisonné, mon gland devient rouge foncé.

— Oh oui, c'est bon… Ah, oui !

Mon urètre a maintenant absorbé deux phalanges ; Jennifer force encore mais ne parvient pas à faire pénétrer sa deuxième articulation. Elle n'essaie pas d'aller plus loin, craignant de me déchirer, mais elle continue cependant à mouvoir son doigt à l'intérieur de moi tout en me branlant de l'extérieur avec son autre main et en surveillant l'expression de mon visage sous cette délicieuse torture. Elle sourit et se mord les lèvres en regardant la progression de son doigt, qu'elle fait maintenant coulisser en le faisant pivoter, comme si elle vissait et dévissait…

Pour moi, la sensation est troublante ; je sens mon urètre se dilater en étant caressé de l'intérieur, où Jennifer découvre des zones extrêmement érogènes. Et puis cette autre main qui coulisse sur ma hampe tout en me serrant le gland lorsqu'elle remonte… Le plaisir est immense, et la douleur tout autant ; mais l'une et l'autre sensation se mêlent en un cocktail des plus agréables. Je sens mon sperme monter… « Non, ce n'est pas ainsi que je veux jouir. »

— Ta bouche, maintenant.

Sans la moindre hésitation, Jennifer se penche pour emboucher mon gland. Elle l'aspire très fort en me branlant la hampe, puis alterne avec des gorges profondes. À mes gémissements, elle doit penser que je ne vais pas tarder à jouir ; ses mouvements s'accélèrent, mais je tiens à faire durer le plaisir.

— Aspire-moi le gland…

M'obéissant instantanément, elle diminue l'amplitude de ses mouvements pour les concentrer uniquement sur mon gland, que je vois entrer et sortir de sa bouche ; lorsqu'elle l'a à l'intérieur, elle resserre ses lèvres gourmandes juste derrière la couronne, zone extrêmement sensible chez moi.

— Ah, comme c'est bon…

Elle continue de me téter le gland en m'envoyant des regards coquins…

— On mettra la vidéo sur le site ?
— Ah non !
— Ah-ah-ah ! Je te remets le bandeau, si tu veux.

Elle recommence une série de gorges profondes, mais un peu trop rapides à mon goût pour que je puisse apprécier à leur juste valeur ces caresses délicates.

— Tu sais, ce n'est pas la peine d'aller vite : vas-y doucement ; j'aime bien, aussi.

Obéissante, Jennifer l'est, assurément. Elle ralentit ses caresses buccales ; ça doit la soulager car ça fait une dizaine de minutes qu'elle me suce sans discontinuer.

— Oui… Oui ! Humm… humm… Oui ! Oui !

Mes yeux sont fixés sur le champignon obscène de mon gland qui disparaît par à-coups entre les lèvres de Jennifer. Je sens la pression monter… Elle me sourit chaque fois qu'elle laisse mon gland sortir de sa bouche, puis elle me lance des regards effrontés tout en me le léchant pendant qu'elle me caresse. Quelle délicieuse petite cochonne ! Elle me branle à présent tout en faisant virevolter sa langue autour de mon gland. Comment arrive-t-elle à me sourire en même temps, tout en me lançant des regards incendiaires ? Quelle salope ! Dans ma bouche, c'est un compliment.

Je commence à souffler comme une vieille locomotive à vapeur ; la jouissance approche… Mes halètements se font de plus en plus rapprochés. Jennifer prend alors ma verge en la serrant fortement dans sa main. Ses doigts glissent lentement sur mon gland brillant de salive tandis que son pouce décrit des mouvements rotatifs sur mon frein. Elle observe ma verge avec énormément d'intérêt… J'émets des gémissements incontrôlables entrecoupés de halètements irrépressibles. Elle me reprend encore en bouche ; mon regard éperdu de désir et de plaisir suit les mouvements de sa langue sur mon gland… Elle m'amène tout doucement aux portes de la jouissance… Ses lèvres se resserrent autour de mon gland pour l'aspirer avec une puissance incroyable…

— Oh… Oh… Oh !

Ma jouissance est toute proche. Je vois du sperme qui s'écoule de mon gland violacé à cinq ou six reprises ; Jennifer en prend une giclée sur le nez… mais le véritable orgasme n'est pas encore là. Elle continue de me triturer le gland pendant une quinzaine de secondes avant que l'orgasme me submerge. Mes cris de plaisir se transforment en véritables hurlements ! Jennifer n'arrête pas pour autant de me manipuler le gland ; je l'avais bien briefée au cours de nos correspondances enflammées : elle savait donc ce qu'elle devait faire pour m'amener jusqu'à cette explosion démentielle. Mais elle improvise pour augmenter encore – si c'est possible – mon plaisir : pendant que je hurle sous ses caresses, elle vient me lécher les bourses ! Un flash m'éblouit. Je perds presque conscience, puis la tension qui m'avait envahi s'apaise et je flotte dans un bien-être total. Jennifer revient vers moi pour s'allonger sous la couette. Je la prends dans mes bras et nous nous embrassons tendrement.

En regardant après coup cette séquence vidéo, j'ai constaté que mon orgasme avait duré une minute et dix secondes, dont cinquante-cinq secondes de hurlements démentiels !

Jennifer

J'ouvre les couvertures et me glisse vers sa verge, que je découvre enfin, totalement épilée et circoncise. Exactement comme je les aime ! Sans la toucher avec mes mains, je la lèche doucement sur toute sa longueur. Lioubov attrape son iPhone et commence à filmer. « Le coquin, il sait que j'aime ça ! Il veut voir une chienne ? Il va être servi ! Son pied, moi, je vais le lui faire prendre comme on n'a jamais osé ! »

Sa verge vibre sous les caresses de ma langue. J'aspire délicatement son gland entre mes lèvres et commence à le tétouiller tandis que la pointe de ma langue taquine son frein. Je suis excitée par le désir brûlant qui envahit ses yeux qui m'observent. J'absorbe lentement sa verge dans les profondeurs de ma bouche, puis je me concentre uniquement sur son gland, que je suce puissamment. Ensuite, j'absorbe vivement sa verge tout entière dans ma bouche. Je l'entends gémir : il aime ça ! Je continue ce traitement pendant quelques secondes en alternant avec des caresses de la main, le pouce courtisant son frein. Je peux ainsi en profiter pour guetter sur son visage la progression de son plaisir.

Sa verge est délicieuse. Je pourrais la sucer pendant des heures, mais Lioubov apprécie un plaisir bien différent de celui que peut fournir une simple fellation : un plaisir que je n'ai encore jamais donné de ma vie, et que j'ai très envie de lui offrir.

Je lèche et suce son gland en veillant à y déposer une grande quantité de salive. Je lèche l'orifice de son urètre qui s'ouvre sous la pointe de ma langue. Je le titille de l'intérieur. J'aimerais pouvoir rendre ma langue encore plus fine pour le pénétrer profondément. Je mouille mon auriculaire et le caresse avec ce doigt ; je suis surprise de le voir aussi dilaté. J'y insère lentement mon doigt jusqu'à la première phalange. C'est vraiment très serré, doux et brûlant. Je m'amuse à le ressortir et le réinsérer doucement plusieurs fois. Lioubov pousse des gémissements. Je lui souris, ravie de découvrir cela et de lui donner ce plaisir.

— Tu m'arrêtes si je te fais mal…

J'ai peur de le griffer avec mon ongle.

— Non, continue. Plus loin. Continue, c'est bon… Force ! N'aie pas peur.

Je maintiens fermement sa verge dans ma main gauche et pousse. Le pauvre gland se déforme sous mes yeux. Lioubov me conseille de mettre plus de salive ; je fais alors couler un filet de bave dans son urètre et réinsère doucement mon doigt que je mouille avant. La première phalange y glisse sans souci.

— Vas-y, n'aie pas peur : je n'ai pas mal.

Je serre encore plus fort sa verge dans ma main afin que son gland ne glisse pas entre mes doigts. Le pauvre devient rouge foncé. Mon auriculaire est comprimé dans son urètre et je sens de petites aspérités, comme le point G d'une femme.

— Oh oui, c'est bon… Ah, oui !

Je réussis à enfoncer deux phalanges mais ne force pas plus, de peur de me casser le doigt. Je décide de le caresser de l'intérieur pour détendre sa chair. La douceur est vraiment très agréable, bien que mon doigt commence à s'engourdir. Je titille les petites aspérités. Je m'aperçois que mon auriculaire déforme sa verge, faisant apparaître une bosse qui en redéfinit les contours. Je branle sa queue de l'extérieur : c'est une bien étrange sensation que je découvre, de pouvoir le caresser de l'intérieur et de l'extérieur simultanément. Je sens ma main sur mon auriculaire : je comprends que la paroi est tendre, et pas aussi épaisse qu'elle ne paraît.

J'ai envie d'enfoncer encore plus loin mon doigt dans son urètre pour continuer mon exploration. Je serre de nouveau sa verge dans ma main gauche et commence un mouvement de rotation avec mon auriculaire dans le but de l'enfoncer plus profondément. Lioubov gémit plus fort encore. Je souris en découvrant que je lui donne involontairement encore plus de plaisir. Je sens bien les aspérités sous mon doigt : j'avais bien deviné qu'il s'agissait d'une sorte de point G.

Toutefois, il m'avait dit éprouver du plaisir plus profondément encore ; l'idée se sortir les petits instruments que j'ai apportés avec moi pour expérimenter cette exploration s'impose à moi : il s'agit d'une aiguille à tricoter et d'un crochet. J'avais pensé insérer d'abord ce dernier en le faisant lentement coulisser dans son urètre, dans un mouvement de va-et-vient. Je retire lentement mon doigt engourdi de son sexe pour le lui proposer.

— Ta bouche, maintenant ! réclame-t-il.

Sans hésitation, mes lèvres fondent sur son gland que j'aspire très fort tout en le branlant. Puis j'alterne en absorbant vivement sa verge tout entière au plus profond de ma bouche. Ce faisant, ma langue compresse son frein à chaque passage. Ses gémissements, de plus en plus audibles, témoignent de son plaisir. J'adore cela : on ne me résiste pas !

— Aspire-moi le gland…

Je prends l'intéressé entre mes lèvres. Je le tète, le suce et le mordille doucement en regardant Lioubov qui filme toujours. Il est visiblement très intéressé par le spectacle que je lui offre. Je m'applique de plus belle… Aspirant fortement son gland, mes lèvres se referment juste derrière la couronne tandis que la pointe de ma langue fait des va-et-vient sur son frein.

— Ah, comme c'est bon…

Je continue ainsi en regardant le plaisir inonder ses yeux.

— On mettra la vidéo sur le site ?
— Ah non !
— Ah-ah-ah ! Je te remets le bandeau, si tu veux.

Je recommence à absorber entièrement sa verge en aspirant fortement son gland comme je le faisais précédemment. J'alterne avec des aspirations moins longues et moins fortes.

— Tu sais, ce n'est pas la peine d'aller vite : vas-y doucement ; j'aime bien, aussi.

Sa verge est si délicieuse que je ne m'étais pas rendu compte que j'étais en train de la lui dévorer. Ma gourmandise me fait sourire. J'adoucis la pression de ma langue et les mouvements sur son membre.

— Oui… Oui ! Humm… humm… Oui ! Oui !

L'extase se lit sur son visage ; son orgasme est très proche. Sa verge est bien raide entre mes petits doigts et prête à exploser, mais je ne veux pas qu'il jouisse tant que je ne l'ai pas décidé.

Je m'amuse à absorber vivement et entièrement par à-coups ce membre engorgé entre mes lèvres. J'alterne en léchant son gland tout en le branlant. Je lui souris en surveillant sa jouissance sur ses traits fins et délicats. Je m'apprête à comprimer son point de non-retour lorsqu'il jouira. Ainsi, un violent orgasme s'emparera de lui sans qu'il ait éjaculé. Je pourrai lui donner ce plaisir plusieurs fois, jusqu'à ce que je désire qu'il me donne enfin son sperme.

Il commence à haleter fortement : sa jouissance est proche. Je serre fortement sa verge dans ma main. Elle glisse lentement entre mes doigts. Je surveille attentivement son gland brillant de salive tandis que mon pouce décrit des mouvements rotatifs sur son frein.

La pression redescend lentement, comme ses halètements. Je le reprends doucement en bouche en léchant et suçant son gland. Je resserre mes lèvres autour de lui pour l'aspirer fortement. Lioubov pousse désormais des gémissements incontrôlés.

— Oh… Oh… Oh !

Je branle tout en douceur cette délicieuse verge lubrifiée de salive ; je sens qu'elle va exploser entre mes doigts. Je comprime de nouveau légèrement son point de non-retour. Trop tard ! Du sperme très clair s'écoule de son gland. Je continue de le caresser tout en faisant des mouvements rotatifs avec mon pouce sur son frein. Lioubov pousse des hurlements de plaisir ! L'idée qu'on pourrait l'entendre et tenter de le sauver d'un pseudo-assassinat me fait sourire. Je continue de caresser son frein et sa verge, comme il m'avait dit aimer. J'observe son sperme qui s'écoule en se mélangeant à ma salive. Sa verge brillante glisse entre mes doigts. Un désir m'envahit soudainement ; je m'autorise une dernière gourmandise : lécher délicatement ses bourses de la pointe de ma langue tout en le branlant. Il se met à hurler encore plus fort ! Je m'aperçois alors que j'ai du sperme qui coule le long de l'arête de mon nez.

Je reviens m'allonger sous la couette, fière de moi et espérant lui avoir laissé un souvenir inoubliable. Il m'invite dans ses bras où je me blottis tendrement. Nous échangeons ensuite de longs et langoureux baisers.

Lioubov

Pendant que nous échangeons beaucoup de tendresse et de baisers émoustillants, je réalise que Jennifer n'a pas encore eu sa dose de plaisir. Ma main, qui était jusque là dans son dos, au creux de ses reins, se déplace pour venir caresser l'une de ses cuisses, d'abord à l'extérieur, puis à l'intérieur. Progressant vers le haut, elle se retrouve à leur jointure où elle découvre le bourrelet de ses lèvres intimes qui dépasse largement de sa vulve. Mes doigts effleurent longuement cette protubérance et, lorsque j'appuie un peu, je sens ses lèvres s'écarter pour me donner accès à un cloaque inondé et brûlant. Mon index glisse doucement dans cette fissure, provoquant des petits clapotis obscènes.

Sèchement, ma main vient s'abattre sur cette vulve épanouie. Une claque, pas trop brutale quand même. Jennifer gémit… De douleur, ou de plaisir ? Je suis immédiatement rassuré lorsque je l'entends geindre faiblement « Oui… » Encore quelques caresses manuelles évanescentes entrecoupées de claques qui atteignent son sexe selon un rythme imprévisible et qui la font sursauter chaque fois que ma main s'abat. Sa corolle est à présent totalement ouverte ; j'ai envie de goûter ses pétales et son pistil…
Je demande à Jennifer de s'allonger sur le lit ; quant à moi, je m'agenouille par terre pour être à la bonne hauteur. Une idée perverse me vient.

— Mets-toi à plat-ventre, plutôt.

Jennifer s'exécute ; de ce fait, elle me présente son beau petit cul. Il attire irrésistiblement ma langue, que je passe dans sa raie à plusieurs reprises. Je m'attarde un peu en bas, là où je sais trouver son petit trou… Ma langue passe et repasse pour lubrifier son œillet puis, se faisant dure et pointue, elle vient en taquiner l'entrée, la pénétrant sur quelques centimètres. Les réactions de la belle enfant m'indiquent qu'elle apprécie ce traitement ! La pointe de ma langue effectue quelques va-et-vient, puis elle est remplacée par un doigt inquisiteur qui pénètre facilement son orifice secret dilaté ; bien qu'il soit serré, son anus semble également très souple. Mon doigt progresse à l'intérieur de la cavité en caressant ses parois. Mon pouce, une fois introduit dans son vagin, me permet de pincer l'intérieur du corps de Jennifer, mes doigts n'étant séparés que par les fines parois de ses fourreaux intimes. Mais, plus que son cul, c'est sa chatte qui m'attire irrésistiblement : je veux encore me régaler de ses lèvres phénoménales à l'intérieur de ma bouche ! Je l'invite à se retourner.

À nouveau sur le dos, Jennifer ouvre ses cuisses pour me faciliter l'accès à son trésor. Sa corolle épanouie scintille d'envie ; des filets de liquide gluant relient les replis intimes de sa vulve lorsque je joue avec ses lèvres… Ma bouche se pose avec délicatesse sur sa crevasse béante pour en absorber les fluides épicés. Je la bois littéralement : sa vulve est une coupe pleine de nectar… Comme elle est bonne ! Quel délice !

Comme tout à l'heure, je lui procure les caresses les plus subtiles avec mes lèvres ; mais cette fois-ci j'insère l'extrémité de mon index à l'entrée de son vagin et, tout en la léchant, je la caresse légèrement avec mon doigt. Lorsque je place ma bouche au sommet de sa vulve pour aspirer et taquiner ses lèvres en même temps que son clitoris, mon doigt accélère son rythme à l'entrée de son vagin, mais sans le pénétrer plus profondément.

Je sens la respiration de Jennifer devenir de plus en plus rapide ; son corps se tend et son bassin se soulève pour venir à la rencontre de cette bouche et de ce doigt qui l'amènent doucement, mais sûrement, au plaisir. Ses gémissements viennent me confirmer qu'elle jouit ; ma bouche se remplit d'un flot de nectar intime que j'avale avec délectation… J'enfonce mon index le plus loin possible à l'intérieur de son vagin et l'agite dans tous les sens jusqu'à ce que les soupirs de Jennifer remplacent ses gémissements. Elle a eu un orgasme, mais assez discret. « Et moi qui croyais qu'elle criait aussi fort que moi… Peut-être m'y suis-je mal pris ? »

Jennifer

Les mains de Lioubov caressent lentement mes fesses, mes cuisses et mon entrejambe tandis que nous nous embrassons langoureusement. Ses doigts habiles glissent sur mon clito et mon intimité qui s'ouvre de désir. Le plaisir m'embrase de sa douce chaleur. Mon clito érigé frétille sous ses tendres caresses. Un clapotement indécent envahit l'habitacle. Je soupire faiblement entre les lèvres délicates de Lioubov qui m'embrasse passionnément.

Sa main claque brutalement mon clito, m'arrachant un petit cri de douleur, puis ses tendres caresses reprennent. Cette punition, qui se répète plusieurs fois, m'entraîne vers une sensation inconnue où le plaisir et la douleur s'enlacent tendrement.

Lioubov me demande de m'allonger sur le ventre. Ses mains douces et chaudes effleurent mes fesses. Sa langue vient caresser lentement ma raie, puis faire des cercles autour de mon petit trou. Je le sens se dilater doucement sous l'agréable caresse, puis il s'ouvre délicatement sur le passage de l'inquisitrice qui s'insère dans mes profondeurs secrètes, me faisant gémir de désir.

Un doigt vient prendre la relève ; il masse doucement mon anneau en partant lentement à l'exploration de mes parois qui s'élargissent graduellement sur son passage. Cette intrusion progressive me procure énormément de plaisir. Ces profonds mouvements de rotation me dilatent totalement. L'intensité de mes gémissements augmente... Le désir si puissant de sentir son sexe glisser dans le doux fourreau de mon rectum me porte vers une jouissance imminente. Son doigt se retire lentement ; je tends alors instinctivement mes fesses, prête à accueillir sa verge en moi.

Mais au lieu d'introduire son sexe dans mon anus palpitant, Lioubov pose ses mains sur mes hanches pour m'inviter à me retourner sur le dos ; sa langue vient alors lécher ma minette. Il aspire délicatement mes lèvres entre les siennes tout en suçant mon clito, puis il insère un doigt à l'entrée de mon vagin et entame de lents va-et-vient. D'indécents clapotis se font entendre, couvrant mes gémissements.

Les succions de Lioubov se font plus précises, comme les pénétrations de son doigt en moi. Je me sens inonder sa langue et sa main ; le plaisir m'envahit de sa douce chaleur. Inconsciemment, je retiens l'orgasme, souhaitant faire durer le plus longtemps possible les délicieuses caresses de sa langue. Comme il s'applique à me les prodiguer depuis plusieurs minutes déjà, j'imagine que sa langue si agile doit commencer à s'engourdir…

« Laisse-toi aller, suggère une petite voix dans ma tête. Tu sais qu'il t'aime ; jouis pour lui ! »

Mon corps s'enflamme et se tend vers la bouche de Lioubov. J'ondule du bassin pour accompagner les caresses de son doigt fiché en moi, ces caresses qui s'intensifient, deviennent de plus en plus profondes et m'arrachent des gémissements de plaisir. Je jouis dans la bouche de Lioubov, ma main dans ses longs cheveux argentés et mes yeux dans les siens. Son regard me réchauffe par sa tendresse qui laisse présager un amour qui ne demande qu'à s'épanouir.

Lioubov

La belle, la sublime Jennifer doit bientôt repartir pour chercher ses filles à l'école. Jusqu'au dernier moment nous restons dans la douce chaleur de nos corps enfin apaisés qui s'étreignent sous la couette. Un moment de pur bonheur, de plénitude ; mais également d'amertume car nous savons qu'il nous sera extrêmement difficile de nous revoir.

Un coup de poignard me transperce le cœur lorsque la sonnerie du portable de Jennifer lui indique qu'il est 11 h 10 : l'heure de redevenir la respectable mère de famille, l'épouse (presque) fidèle dont elle souhaite donner l'image. Mais moi, je la connais sous un tout autre jour !

Je me lève pour la laisser descendre de la couche qui a connu nos ébats. Bien vite, elle se rhabille. Lorsqu'elle est prête à affronter le monde extérieur après avoir connu cette parenthèse de volupté, je la prends une dernière fois dans mes bras pour la serrer tout contre moi et déposer un ultime baiser sur ses lèvres gourmandes qui, il y a quelques minutes encore, formaient un délicieux collier autour de la couronne de mon gland…

— Je me souviendrai toujours de toi, Jennifer…
— Moi aussi, Lioubov.

Ça y est ; elle est partie. Je regarde avec nostalgie sa silhouette s'éloigner en s'estompant dans la grisaille et la pluie. Elle est partie… Mon tourment commence.

Pour prolonger les moments d'exception que je viens de partager avec Jennifer, je me plonge dans les vidéos que je viens d'enregistrer. Ah, combien de cigarettes vais-je devoir fumer pour tenter de calmer ma nervosité…

Jennifer

Nous sommes encore sous la couette… Ces quelques heures passées entre les bras de Lioubov m'ont apaisée ; elles se sont déroulées encore mieux que l'avais espéré. Je me blottis dans ses bras accueillants. Nous passons les dernières précieuses minutes ensemble à nous embrasser langoureusement, sa douce peau de bébé tout contre la mienne.

— Je suis vraiment contente d'avoir pu te rencontrer ; je me sens vraiment bien, là, avec toi. J'espère que tu garderas un bon souvenir de moi.

La sonnerie de mon portable nous ramène à la dure réalité. Je quitte difficilement la couche chaude et confortable qui a accueilli nos plaisirs pour repasser mes vêtements de mère de famille et d'épouse presque fidèle.

Les bras de Lioubov m'attirent dans une tendre étreinte, me serrant tout contre lui.

Ces mots – qu'il m'avait écrits au début de notre relation – font leur chemin en moi : « Si un jour le besoin se faisait trop pressant, pour toi comme pour moi, il faudrait alors nous résoudre à rendre ce fantasme réel ; ce qui reviendrait à le détruire. »

La crainte que nos échanges virtuels cessent – ces échanges qui me sont devenus aussi indispensables que l'air que je respire – me submerge.

— J'espère que rien ne changera entre nous, dis-je en partant.

Lioubov

Dix heures de conduite sur autoroute au volant du camping-car et deux paquets de Malboro plus tard, je suis arrivé chez moi. Après cette merveilleuse matinée dont je resterai à jamais reconnaissant envers Jennifer, la vie monotone a repris son train-train quotidien. Bien sûr, nous correspondons toujours ; bien sûr, nous pourrons même avoir des rapports érotiques virtuels sur MSN via nos webcams. Mais ce n'est pas pareil. Un pis-aller…

Je l'avais bien prévenue, pourtant : cela ne devait être qu'une histoire de cul, uniquement de cul, et rien d'autre. Surtout ne pas y mêler de sentiments. Trop dangereux… Facile à dire, mais beaucoup plus difficile à faire ! En fait, je crois que c'est surtout moi que j'essayais de convaincre lorsque j'avais averti Jennifer.

Je ne sais plus où j'en suis… C'est que j'y tiens, moi, à cette petite conne !

On verra bien… Mais je sais que je suis prêt à tout, ne serait-ce que pour revivre quelques heures aussi torrides que celles que j'ai partagées avec TOI, Jennifer !

Jennifer

Dans les heures qui suivent, mon esprit et mon corps sont encore dans les bras de Lioubov. Sa douce odeur m'enveloppe comme une bouffée d'air frais ; mon oxygène s'en retrouve purifié.

Dans les jours qui suivent, Lioubov me déclare sa flamme : je n'en suis pas surprise ; plutôt touchée. Je ne suis pas une femme extraordinaire ; pourtant il dépose ses armes à mes pieds et se présente nu à moi, avec ses sentiments pour uniques vêtements, ses sentiments qui me sont plus précieux que tout l'or et les diamants du monde.

Beaucoup de questions se bousculent dans ma tête. Pour moi, c'est un amour sans avenir : j'ai ma famille, que je ne désire pas quitter. Et puis il y a cette différence d'âge, sa femme et ses enfants. J'ai peur de le voir souffrir s'il m'idéalise trop, s'il garde l'espoir de voir naître une grande histoire d'amour entre nous.

Les semaines passent ; nos conversations par mails et MSN se poursuivent. Mais le 7 octobre, l'un de ces échanges vient bouleverser notre relation. Le voici :

Lioubov :

Tu me dis avoir eu peur de me voir quitter ma femme pour toi si tu n'avais aucune attache. La question ne se pose pas, étant donné que des attaches, tu en as. Et même sans attaches, tu ne m'aurais pas accepté à tes côtés puisque tu n'éprouves pas d'amour pour moi. Je ne serai pour toi qu'un objet sexuel ; mais de là à me supporter à longueur de temps, c'est une autre paire de manches !

Jennifer :

Mon pauvre Liou, je ne me souviens pas avoir dit que tu serais, a été, es, ou sera pour moi uniquement un objet sexuel. Tu balaies ma tendresse et mon affection de la main comme si elles n'avaient jamais existé. Pour une fois que je ne fais pas dans le tout ou rien – « tout » étant « éperdument amoureuse » et « rien » étant « objet sexuel à usage unique » – je te trouve une place exceptionnellement proche du « tout », je suis déçue. Surtout que je t'ai dit que ce sont des sentiments qui pourraient éventuellement évoluer, même basculer, dans le « éperdument amoureuse » si je les laisse évoluer. Et comme je ne peux empêcher mon cœur d'aimer, va savoir si je ne te déclarerai pas ma flamme éternelle dans une semaine ou un mois…

Lioubov lit cette première déclaration d'affection et de tendresse pendant que nous discutons sur MSN en vue d'organiser une prochaine rencontre, qu'il espère d'une durée plus longue (ce qui m'est impossible et nous frustre tous les deux). Il doute alors de ma sincérité. Ses mots me blessent : il détruit la forteresse que j'avais solidement élevée autour de mon cœur.

Je lui avoue alors que je tiens à lui plus que je ne l'aurais souhaité. Ces sentiments, que je me refusais d'éprouver, m'explosent alors au visage en une myriade de couleurs vives et lumineuses.

Quand deux dangereux pervers comme nous se rencontrent, c'est aussi torride physiquement que sentimentalement !

Lioubov

Depuis, nous passons énormément de temps à discuter sur MSN, jusqu'à cinq heures par jour. Ce n'est que le 8 octobre que Jennifer – pour la toute première fois – a fait exploser mon cœur en m'écrivant :

Un petit « je t'aime » qui deviendra grand.

Le lendemain, elle m'écrivait :

Je n'espérais pas tenir à toi. J'espérais ne pas t'aimer autant, si tôt. Je ne sais pas pourquoi je tiens à toi. J'en voulais pas, moi, de ces sentiments ! Je t'aime, mon petit voyou.

Aujourd'hui, 11 octobre, son dernier SMS se terminait par :

Je t'aime je t'aime je t'aime je t'aime je t'aime je t'aime je t'aime !!!

La taille des caractères allait croissant de 7,5 à 36. Jennifer ose enfin avouer (à moi, mais surtout à elle-même) les sentiments qu'elle me porte. De mon côté, je ne lui ai révélé que progressivement l'amour qu'elle m'inspire. À présent, nous sommes sur la même longueur d'onde ; nous discutons sans complexes des sentiments que nous partageons l'un pour l'autre. Nous nous désirons ardemment…

Pour satisfaire les besoins que nos corps appellent si fort, nous ne pouvons plus nous contenter de rencontres furtives. Nous envisageons un avenir commun… Nous avons encore beaucoup d'obstacles à abattre pour réaliser cet objectif, mais nos sentiments (et nos désirs physiques) sont tellement forts qu'ils en viendront à bout.

Dès que l'occasion se présentera, Jennifer se rapprochera de moi en venant résider dans le Sud-Ouest ; nous savons pertinemment l'un et l'autre que nous ne pourrons pas atteindre ce but avant quelques années. Mais un amour aussi fort que celui qui nous lie va triompher de tout !