L'interview

— Voilà, ici nous ne serons pas dérangés.

Marina nous a menés dans une pièce à l'écart. Elle me montre où m'asseoir, sur un joli canapé de cuir. Elle me sert un verre de Chianti et s'assoit à son tour dans un fauteuil en face de moi, un sourire charmeur sur ses lèvres. Je ne peux m'empêcher de mater ses longues jambes effilées à peine couverte par le bas de sa robe. Sa pose impérieuse et son regard laissent transparaître sa totale confiance en elle.

— L'article que j'écrirai ne sera qu'un résumé de notre conversation, mais celle-ci sera entièrement enregistrée et disponible sur notre site internet. Cela te va ?
— Bien, entendu.
— Très bien.

Elle s'empare d'un petit enregistreur, l'allume et le pose sur une étagère près de son fauteuil. Première interview de ma vie, je suis nerveux. J'espère ne pas faire de bourdes ; il ne faudrait pas que le Grand Pope ait d'autres raisons de m'en vouloir.

— Bonsoir, chers auditeurs. Je suis Marina Solo, journaliste du Vrai Journal et, en cette soirée de gala de charité organisé par ma famille, j'ai l'honneur de recevoir un invité imprévu et exceptionnel. Pour nos auditeurs qui n'ont pas la chance de déjà te connaître, peux-tu te présenter ?
— Pas de souci : je m'appelle Francis Crampion et, depuis quelques mois, je suis le nouveau chevalier d'or du Bélier. Avant cela, j'étais l'un des gardiens éternels au service d'Aphrodite.
— Merci beaucoup, Francis. Pour commencer, comment vas-tu ?
— Plutôt bien. À vrai dire, je suis heureux de pouvoir faire cette interview puisque ce sera l'occasion pour moi de rétablir certaines vérités.
— Oui, et à ce propos, sache que tes dires ne seront absolument pas déformés : ils seront retranscrits avec une entière et absolue fidélité. Nous sommes un journal respectable, contrairement à certains concurrents. Et c'est aussi un honneur pour nous de recevoir l'un des plus grands héros du Sanctuaire.
— Ravi de l'entendre, et ravi de toute la publicité que votre journal me fait ; mais je disais souhaiter rétablir certaines vérités. La première, c'est comme disait un ancien chanteur de mon pays, « je ne suis pas un héros » ; en tout cas, pas comme vous avez l'habitude de le décrire dans vos articles.
— Pourtant tu as bien pris la défense des manifestants lors de leur occupation des arènes de combats. Le nies-tu ?
— Non : il était contre mon éthique de m'en prendre à des civils sans défense. Je ne me suis pas engagé pour cette mission, mais pour les protéger.
— Ton éthique ? Et si tu nous parlais un peu plus en détail de ton éthique et de quelle manière tu conçois la noble mission qui est la tienne ?
— Je ne considère pas que quelques habitants qui manifestent leur mécontentement représentent une réelle menace pour le Sanctuaire ; en tout cas, pas de celles que j'ai juré de combattre. J'ai fait vœu de combattre – jusqu'à la mort s'il le faut – tous les ennemis qui menacent le Sanctuaire. Je ne vais pas mentir : j'aime combattre, me plonger dans des combats déchirants dans lesquels je dois me dépasser afin de l'emporter. C'est la principale raison qui fait que je suis devenu chevalier. J'aime le défi que représentent de grands ennemis dotés de puissantes armures. Je n'aime pas m'attaquer à des faibles ; les civils ne représentent aucun défi pour moi.
— Comme tout chevalier, tu as juré de te battre pour la paix et la justice. Quel sens mets-tu dans ces deux mots ?

Merde, j'ai horreur des questions de ce style, limite philosophiques. Tentons de baragouiner quelques trucs là-dessus. Heureusement, j'avais jadis préparé quelques éléments de réponse avant mon entretien d'embauche avec le Grand Pope.

— La paix ? Eh bien, c'est un idéal que nous cherchons à atteindre sans jamais y arriver.
— Tu penses que c'est une utopie ?
— Je ne sais pas, mais le seul fait qu'on doive se battre quotidiennement pour la conserver ou pour l'obtenir fait qu'elle n'existe pas. C'est un combat incessant afin de trouver une quiétude de vie, une société qui satisfait tout le monde. Mais même si c'était une utopie, elle mérite qu'on se batte pour s'en approcher au plus près.
— Un peu comme le combat des manifestants afin de s'arroger une vie digne ?

Purée, ce regard de chienne en chaleur qu'elle me lance me déconcentre ! Depuis le début de l'entretien, j'ai l'impression qu'elle cherche à me chauffer…

— Oui un peu comme ça, en effet.
— Et la justice ? Quel genre de modèle défends-tu ?
— Un peu comme pour la paix : c'est un idéal où tout le monde y trouverait son compte, où personne ne serait lésé. Une bonne justice garantit à tout le monde de vivre en paix et en harmonie avec chacun.

Voilà, avec ces réponses, je ne passerai pas pour un salaud, et Marina ne pourra rien écrire qui fasse enrager le Grand Pope.

— Ce que tu décris ressemble beaucoup aux revendications d'une bonne partie de la population du Sanctuaire. Penses-tu que le Sanctuaire est loin de l'idéal ?

Hum, je vois ce qu'elle essaye de faire : elle veut que je prenne officiellement parti pour ou contre les grèves. Je ne vais pas lui faciliter la tâche ; mon but est de ne pas fâcher le Grand Pope. Mais je ne veux pas non plus me mettre à dos la population, parce que j'aime bien qu'elle m'apprécie.

— Je pense que les manifestants ont leurs raisons. La politique du Sanctuaire est certes perfectible, mais fait son maximum pour garantir le bien-être du tout le monde. Il y a un tas de facteurs, économique ou sociétal, qui entrent en compte indépendant de la volonté de chacun et qui influent aussi sur tout ça.
— Et pensez-vous réellement que la politique du Grand Pope soit au service du plus grand nombre ?

Tout en posant sa question, elle décroise ses jambes, les écarte, m'offrant une vue exceptionnelle sur son entrejambe nu, puis les recroise dans l'autre sens. Sa manœuvre me rappelle un vieux film que je matais en boucle tout juste adulte, et cette scène m'a toujours très inspiré. Ce soir, l'effet est décuplé. Je me sens soudain très tendu et je sue à grosses gouttes.

— Euh… c'est que… comment dire…

Je suis complètement déconcentré à cause de son petit jeu.

— Vous semblez hésiter, sourit-elle, satisfaite. Vous n'osez pas répondre ?
— Si, si, c'est que… euh…

Elle vient d'écarter les jambes en grand et remonte le bas de sa robe, m'offrant une vue des plus parfaites sur son intimité. Une de ses mains commence à caresser la cuisse, et doucement se rapproche de son sexe. J'en ai le souffle coupé.

— Laissez tomber pour ma question. Visiblement, vous ne pouvez répondre honnêtement à celle-ci sans vous mettre en danger. Je ne vais donc pas insister. Je ne voudrais pas vous forcer à mentir au peuple. Passons donc à la suite. Au Salon de l'Agriculture, je vous ai croisé en compagnie du Maquereau. Quelle est votre véritable relation ?

Et voilà, maintenant elle s'enfonce deux doigts dans la chatte, scène qu'elle offre sans aucune pudeur à mon regard hypnotisé ! Je comprends sa manœuvre : elle cherche à me déstabiliser pour que je réponde à côté. Toute cette interview cherche à ce que je me compromette vis-à-vis du Grand Pope. Je dois rester concentré et faire attention à ce que je dis.

— Je n'ai rien de plus à dire là-dessus que ce que je vous ai déjà dit ce jour-là.

Hop, les jambes se serrent d'un coup et sa robe redescend. Merde, fini le joli spectacle. Elle fronce les sourcils et fait « non » de la tête. Je crois comprendre le jeu pervers auquel nous sommes en train de jouer : si je réponds ce qu'elle attend de moi, j'ai le droit de me rincer l'œil. Argh, cruel dilemme !

— Justement, votre réponse laissait suggérer que votre emploi était en danger. Le Grand Pope vous menaçait-il de vous virer si vous ne jouiez pas la comédie au Salon ?

Elle remonte légèrement sa robe. Vais-je céder à l'appel de la chair et offrir une raison supplémentaire au Pope de m'en vouloir ? La situation est tentante, mais je ne peux me le permettre.

— Vous savez, les chevaliers d'or sont des employés comme les autres. Rien ne nous garantit la sûreté de l'emploi.
— Oui, je comprends. Mais le Grand Pope a-t-il oui ou non menacé de vous virer si vous ne consentiez pas à jouer la comédie avec le Maquereau ?

Là, c'est avec son décolleté qu'elle joue. Et toujours ce regard qui appelle la bite… Quelle diablesse ! Et moi qui avais super envie de découvrir ses nichons… Quel monde cruel !

— Il n'a jamais rien explicité de tel.

Par contre, je suis sûr qu'il le pensait très fort. Marina sourit. Visiblement, elle a compris qu'elle ne m'aurait pas avec cette stratégie. Eh bien, c'est bien la première fois que je résiste à ma plus grande faiblesse. Je suis fier de moi… mais j'ai toujours autant envie de me la faire !

— Bon, je crois que ce sera tout. Merci, cher Francis du Bélier, d'avoir donné de votre temps précieux pour répondre aux questions que se pose la population du Sanctuaire, et même toute la Grèce.
— Mais de rien. C'était un honneur pour moi.

Marina reprend son enregistreur et le coupe. Elle reste là, assise dans son fauteuil, à me provoquer du regard. L'heure est venue pour moi d'obtenir les infos que je suis venu chercher. N'oublions pas ma mission.

— Alors, Francis, cela t'a plu ? Tu t'en es bien tiré, bravo ! Personnellement, ça m'a beaucoup excitée. Pas toi ?
— Je mentirais si je disais le contraire. Par contre, j'avais moi aussi des questions pour toi.
— Tu veux encore discuter ? Je pensais que nous allions maintenant passer aux choses sérieuses. Bon, très bien, je répondrai à tes questions, mais permets-moi de me faire un peu de bien pendant ce temps.

Et elle offre de nouveau sa chatte à mon regard tandis que ses doigts commencent à astiquer son bouton sensible.

— Fais comme chez toi, souris-je. Bon, je ne vais pas y aller par quatre chemins. Le chevalier de la Vierge et moi, nous soupçonnons votre famille d'être derrière les chevaliers rebelles et chevaliers noirs, et de chercher à renverser le Sanctuaire.

Je fais un effort pour observer sa réaction plutôt que sa chatte. Elle a une expression surprise, mais je ne remarque rien qui s'apparente de près ou de loin à de la culpabilité.

— Vraiment ? Non, nous n'avons aucun intérêt à faire chuter le Sanctuaire. Si notre ligne éditoriale se montre critique envers le Sanctuaire, c'est uniquement par stratégie. Les gens perdaient confiance en la Gazette du Sanctuaire, BIFL TV, bref, les médias bien établis. Ils les trouvaient trop soumis au pouvoir et ils avaient bien raison. Nous avons donc vu un marché prometteur sur lequel entrer. Tous les médias étaient dépendants du pouvoir ; il n'y avait donc plus aucun discours dissident – ce que les gens recherchaient – et nous le leur avons offert… ou plutôt fait payer.

Elle continue de se masturber d'une main. De l'autre, elle a libéré ses seins et joue avec ses tétons. J'en ai l'eau à la bouche mais je dois rester concentré sur ma mission, ou j'en connais une qui me le fera payer au centuple, surtout si elle apprend la raison pour laquelle j'ai été déconcentré.

— Vous ne cherchez donc pas à renverser le Sanctuaire ? Ou le système ?
— Et pourquoi ne viendrais-tu pas me brouter la chatte pendant que je réponds à tes questions ? J'ai bien envie qu'une langue s'occupe de mon minou.

Bon, à y réfléchir, je peux tout à fait faire les deux en même temps. On ne refuse pas une si belle dégustation. Je m'avance vers elle et m'agenouille. J'ai une vue en gros plan sur ses lèvres écartées et trempées. Son odeur intime m'ouvre l'appétit. Je plonge la tête sur son entrejambe. Marina soupire d'aise puis reprend :

— Si tu veux tout savoir, nous nous en foutons complètement de qui règne sur le Sanctuaire. Nous tenons fermement au système en place. Mon père est l'un des plus riches hommes de Grèce ; crois-tu vraiment qu'il mettrait sa position en péril en soutenant un renversement du système ? Absolument pas. Nous nous servons de la contestation juste pour vendre du papier. Voilà notre seule motivation. Oh oui, que c'est bon !

Hé-hé, je vois qu'elle apprécie qu'on lui suçote le clitoris. Mes doigts ne restent pas inactifs et explorent l'intérieur de sa grotte humide. Le corps de la belle journaliste tient de moins en moins en place.

— … Oui, parmi nos journalistes il y a bien quelques idéalistes qui espèrent naïvement renverser les choses, mais ce n'est absolument pas l'objectif de notre journal. Nous savons les museler ou détourner leur attention ailleurs s'ils deviennent trop gênants. Oui, renverser l'ordre établi n'est pas notre but sinon nous parlerions des vrais problèmes, des vrais enjeux ; nous ne détournerions pas l'attention des lecteurs sur des sujets futiles comme l'interview de la poule Agathe, et nous n'aurions pas fait autant d'articles sur toi.
— Moi ?

Surpris qu'elle me mentionne, je viens de relever la tête, le visage inondé de sa mouille. Une main atterrit sur mon crâne et me force à reprendre le cunnilingus.

— Oui, toi et ta langue divine… Nous savons très bien que tu ne te préoccupes pas vraiment de leurs conditions de vie. Nous connaissons parfaitement tes véritables motivations ; ton combat n'est pas social ou politique : il consiste à péter des gueules ! Mais parce que tu as refusé de t'en prendre à des civils, nous avons vu l'opportunité de leur vendre un faux espoir. Nous avons fait de toi leur homme providentiel, celui qu'ils espèrent voir accéder au pouvoir afin d'arranger tous leurs soucis. C'est un mythe, bien entendu, une fiction, une mascarade. La seule façon pour eux qu'une politique soit menée dans leur intérêt, c'est qu'ils obtiennent tous ensemble le pouvoir. Tant qu'ils remettront leur destin dans les mains d'un tiers, ils seront toujours perdants. Le pouvoir sert toujours les intérêts de ceux qui le possèdent vraiment.

Purée, je ne m'imaginais pas tout ça. Quel cynisme ! Alors ils ne sont motivés que par l'idée de se faire un peu de fric sur le dos des plus pauvres ; bizarrement, je ne suis même pas étonné. J'aurais dû le voir plus tôt. Mais, hé-hé, ils ne savent pas ce que leur réserve le Grand Pope. On verra si les Solo arrivent encore à vendre leur papier quand la loi anti fake-news permettra de les censurer.

— Il y a encore un détail qui me gêne. Nous avons trouvé tout un stock de vos journaux dans vos entrepôts dans un village rebelle. Visiblement, ils y avaient facilement accès. Si vous n'avez rien à voir avec la rébellion, comment expliques-tu ceci ?
— Encore des questions ? N'en as-tu pas marre ? Tu voudrais pas me baiser à la place ?
— L'un n'empêche pas l'autre. Je ne repartirai pas sans réponse, affirmé-je en me déshabillant.

Je me positionne au-dessus d'elle et place mon gland impatient à l'entrée de sa fente. Je m'enfonce sans problème.

— Je pense que c'est mon frère aîné qui les a apportés là.
— Un frère ? Dis m'en plus sur lui.
— Mon frère, Han, est un peu le mouton noir de la famille. Il a très vite tourné le dos à l'entreprise familiale, suite à divers conflits avec mon père. Depuis, il s'est illustré dans des entreprises de contrebande. Il a toujours eu des problèmes avec l'autorité, alors ce n'est pas étonnant qu'il suive de très près les activités des rebelles. Je ne sais pas comment il fait, mais il réussit toujours à s'emparer de centaines des numéros de notre journal pour les distribuer gratuitement. Plus que pour soutenir la rébellion, c'est surtout pour emmerder mon père qui possède le Vrai Journal. Il n'est pas responsable de toute cette agitation qui règne au Sanctuaire, pas plus que le reste de notre famille, d'ailleurs. Tout comme nous, il ne fait que profiter des évènements pour servir ses propres objectifs. En vérité, il se contrefiche probablement totalement de la politique du Sanctuaire, son plus grand désir étant de mettre des bâtons dans les roues de notre père.

Elle me repousse puis se retourne pour que je la prenne en levrette. Elle tend le cul vers moi. Je repense rapidement à Marie qui me conseillait de maltraiter Marina pour la faire parler. Je lui claque donc le cul ; ses fesses rougissent rapidement et elle laisse échapper un hoquet de surprise.

— Ouais, ça, je pense que ce sera à moi à le déterminer lorsque je le rencontrerai. Où puis-je le trouver ?

Et je reprends ma place au chaud dans sa chatte d'un coup brusque. Marina gémit de plaisir. J'enchaîne de vifs allers-retours et lui claque de nouveau les fesses pour lui rappeler de me répondre.

— Aïe ! Oh !… Tu sais, il est toujours à bourlinguer sur les mers à bord du Goéland Millenium, un vieux rafiot qui flotte on ne sait comment mais très rapide. Il ne reste jamais très longtemps au même endroit puisqu'il est recherché par la police de nombreux pays pour ses activités de contrebande.
— À quoi ressemble-t-il ?
— Et si tu me prenais par le cul ?

Très bonne idée. J'aime défoncer le cul de jeunes garces ambitieuses ! Mes doigts commencent à jouer avec son cul et profitent de sa mouille dégoulinante pour humidifier le passage. Bien vite, un premier doigt part en exploration interne.

— Il est plutôt du genre beau gosse, le sourire narquois et le regard confiant. Ses cheveux sont mi-longs, châtain. Il est assez grand, un mètre quatre-vingt-cinq pour être précis. C'est le genre de type qui ferait mouillait toutes les gonzesses… C'est un peu étrange tout de même que je te parle de mon frère tandis que tu me trifouilles le cul, non ? Si ça peut t'aider, tu reconnaîtras plus facilement son compagnon qui ne le quitte jamais, un type encore plus grand que lui qui ne s'exprime que par borborygmes et qui semble phobique de tous ce qui s'apparente à une paire de ciseaux ou à un rasoir puisqu'il est doté d'une pilosité monstrueuse qui le fait ressembler à un animal.

Ma bite quitte son doux et chaud fourreau pour venir appuyer sur sa rondelle. Le passage ayant été bien creusé, elle ne rencontre guère de difficultés pour s'y engouffrer. Hum, que c'est bon !

— Oh oui, c'est ça, encule-moi comme le système encule le peuple ! Ça m'excite tellement !

Bon, nous pouvons toujours vérifier cette piste et trouver ce contrebandier Han Solo, mais je suis peu convaincu que ça nous mène quelque part. Si j'en crois Marina, ce n'est pas lui qui est derrière la rébellion. Et puis, visiblement, il sera très dur à trouver. C'est donc très probablement une fausse piste qui nous demandera beaucoup d'efforts et de temps ; autant l'abandonner. Bref, retour à la case départ. C'est Marie qui risque de ne pas du tout apprécier.

En attendant de savoir que faire pour poursuivre la mission, je me contente de défoncer ce cul offert. Frustré par cette mission qui stagne, frustré par ces puissants qui n'hésitent pas à jouer avec les petites gens et à les écraser, frustré par mes échecs avec Marie, j'ai besoin de déverser toute ma rage quelque part. C'est le cul de Marina qui paye pour tout, ce qui a l'air de ravir cette dernière au-delà de ses attentes.

Mes coups de reins sont tellement puissants que j'écrase contre le fauteuil la belle journaliste qui hurle de plaisir. Le plaisir atteint son paroxysme. J'arrose son fondement de plusieurs jets puissants de foutre brûlant.