Chapitre 4

« Je vais me réveiller… Je vais me réveiller… » En fait, chaque fois que je jouis, je me retrouve dans une autre « aventure » avec la belle voisine. Là, je n'ai pas eu droit aux présentations ni à la surprise du remplacement de mon épouse par une autre. J'ouvre les yeux en pleine jouissance, et ce n'est plus ma cuisine et le cul de Stéphanie, mais un lit et la bouche de cette dernière.
Je suis nu, allongé sur un lit ; je ne reconnais pas l'endroit, et la jeune femme est en train de me sucer la queue vigoureusement.

— Il est vraiment pas mal, ce mec !

Je ne parviens pas à voir qui est à l'origine de cette phrase ; la voix vient du fond de la pièce, que je ne peux distinguer. Elle m'est pourtant familière. Je vais pour ramener mon bras, pour le moment tendu vers la tête de lit et me rends compte que je ne peux pas le faire : mes mains sont liées au-dessus de ma tête.
La deuxième femme apparaît dans mon champ de vision et, oh surprise (encore), c'est Sophie, mon épouse… enfin, dans la vraie vie.

— Ouais, il est vraiment bien foutu, ce mec : beau gosse, belle bite…

Ma Sophie ne parle pas comme ça, ce n'est pas elle. Et puis elle ne parlerait pas de moi à la troisième personne : là, je suis un étranger. Encore un de ces rêve érotico-bizarres !

Le pompage de la jolie blonde est assez efficace, et j'ai du mal à me contenir. La brune Sophie vient alors s'agenouiller près de sa copine, et après lui avoir roulé une pelle des plus torrides elle entreprend, elle aussi, de me sucer. La voisine blonde dit alors :

— Fais-le jouir, il en est pas loin. Je ne sais pas ce qu'il peut encore cracher après la partie de baise à trois de cette nuit, mais il mérite bien une dernière jouissance, hein, mon beau voisin ?

Voisin ? Je suis encore perdu… Donc la blonde est ma voisine, la brune pas ma femme… Et moi, je m'appelle comment ? Marc, ou Fred ? La réponse me vient de la bouche pleine de la divine Sophie :

— Laisse-toi aller, mon beauf préféré ! C'est pas ma sœur Carole qui doit te donner autant de plaisir.

Donc si je suis le mari de Carole, je m'appelle Bastien et je suis noir. Détail amusant que je n'avais pas encore remarqué, je suis effectivement de couleur, et la queue qu'elle tente d'avaler en entier est bien sûr de la couleur de ma peau. En même temps, mon champ de vision est si réduit que je ne pouvais pas m'en rendre compte facilement car la seule partie de mon corps que je peux apercevoir par intermittence est mon sexe, qui est plus souvent dans la bouche de l'une de ces deux femmes qu'à l'extérieur.
Stéphanie dit alors :

— Bon, soit il n'y a plus rien à en tirer, soit il est encore vraiment en forme.
— Ouais ! Nos bouches ne suffisent pas ; je vais me le mettre encore une fois dans la chatte.

Joignant le geste à la parole, Sophie vient immédiatement me chevaucher, s'empalant d'un coup sur ma queue (ou celle de Bastien, je ne sais plus qui je suis maintenant) et commençant à onduler du bassin. Sa consœur, ne voulant être en reste, s'agenouille à côté de moi, pose sa tête sur mon pubis et entreprend de lécher le clitoris de ma jolie femme (ou pas).

De là où je suis, je vois le corps de Sophie monter et descendre sur moi et celui de Stéphanie à genoux, perpendiculairement. Les seins de l'une ballottent au rythme qu'elle donne à sa chevauchée et ceux de l'autre pendent sous elle, me donnant une furieuse envie de les attraper à pleines mains pour les presser.

Voyant que je ne viens toujours pas, Stéphanie change de position : elle se place derrière sa copine et commence à me lécher les boules, aspirant mes bourses, gobant mes testicules chacun à leur tour. Parfois elle arrête de s'occuper de moi et, comme elle reste dans la même position, je la soupçonne de lécher le cul de sa copine. Mon soupçon se confirme quand Sophie se soulève un peu plus et saisit ma queue à pleine main pour l'introduire d'un coup dans son autre orifice ; c'est un peu plus serré. Elle recommence sa danse sur moi à une allure moins rapide. Stéphanie reprend son œuvre sur mes bourses.

La magnifique brune monte et descend sur ma verge. Parfois, elle la fait sortir de l'antre chaud et étroit où elle se trouve et je sens la bouche de sa camarade de jeu s'en emparer, me sucer avec vitalité puis me repositionner au plus profond de ce cul divin.

Un sourire éclaire le visage de celle qui dans la réalité est mon épouse (et qui pour le moment s'envoie en l'air avec son beau-frère) car elle sent que je vais jouir. Elle accélère le rythme, tout comme Stéphanie qui a pris mes deux boules en même temps dans sa si petite bouche et semble vouloir les avaler au rythme imposé pas sa partenaire.

La jouissance monte dans ma queue, je vais exploser ; je ne me retiens plus, et je jouis dans un râle guttural. Je ne veux pas fermer les yeux ; je ne veux pas encore quitter ce rêve, mais je suis pris d'un tournis de tête et ferme les yeux, au bord de l'évanouissement.

Quand j'ouvre les yeux, je suis étonné de trouver ma Sophie toujours en train de me chevaucher ; elle gémit mais contient au mieux son plaisir. Mes mains sont sur ses seins que je presse l'un contre l'autre. Je jouis en même temps qu'elle. Elle s'affale sur mon torse, et je prends alors conscience que :
– je suis dans ma chambre à coucher ;
– c'est bien ma femme qui est contre moi ;
– je suis de nouveau blanc ;
– nous ne sommes que tous les deux sur ce lit, et comme elle a contenu ses cris, notre fils doit être dans la chambre voisine.

Serais-je enfin de retour dans la réalité ?
Elle me murmure alors une toute petite phrase qui me fait dire que ce n'est pas le cas :

— Oh, mon amour… mon Fred… c'était divin !

Je m'appelle Marc.