Chapitre 5

Bon, c'est un pas vers un retour à la réalité : je suis avec ma femme, dans mon lit, chez moi. Bon, OK, elle m'appelle Fred, mais on s'approche doucement de ma vraie vie.
Avec tout cela, si on fait le compte, j'ai joui quatre fois en très peu de temps, et je suis épuisé. Je vais donc me laisser aller au sommeil, et peut-être que demain matin tout sera revenu à la normale.
Je me laisse donc glisser lentement vers le sommeil réparateur.


C'est mon réveil matin qui me tire de ma torpeur.
Je m'extirpe encore une fois des draps, prêtant ce matin attention à chaque détail. Tout semble normal. La maison, la déco, le prénom de mon fils sur la porte de sa chambre ; les photos dans la cuisine sont bien celles que j'ai encadrées. Bref, même ma femme est la bonne. Rassuré, je me dis que tout cela n'est qu'une série de rêves idiots qu'il me faut oublier rapidement.

Sorti de ma douche, je prends un petit déjeuner copieux en compagnie de Sophie, qui m'appelle par mon prénom, Marc, et je lui demande innocemment si elle a fait connaissance avec la voisine aperçue à l'école les jours précédents. Devant sa mine surprise, j'en déduis que non.
Nous sommes dimanche, et comme rien ne presse, nous prenons le temps de vivre et de nous préparer tranquillement. Alors que je me rase, Sophie me glisse :

— Pour ce soir, je m'épile totalement la chatte ou je la garde comme ça ?

La phrase me surprend tellement que je mets un coup trop appuyé sur ma joue avec le rasoir, et je saigne. Je grimace de douleur mais je me retourne vers Sophie pour lui répondre, tout en essayant d'assimiler ce qu'elle vient de me dire.
Elle est nue sous la douche et me montre son sexe décoré d'un tout petit peu de poils en triangle sur son pubis. Je dois avoir l'air ahuri car elle dit :

— Bah, quoi ? Simple question ; on va chez les voisins, et tu sais très bien comment cela se termine à chaque fois.

« Comment cela se termine à chaque fois. » ? Je ne suis définitivement pas dans la réalité : voilà que ma femme me parle de partouze avec les voisins… Je suis surpris, car dans la vraie vie mon épouse est plutôt timide et réservée sur ce sujet ; et bien que nous fassions l'amour souvent et avec beaucoup de plaisir, cela reste assez « classique ». Je la regarde un peu plus en détail cherchant dans son image d'autres différences avec l'originale. Hormis ce sexe épilé et un piercing sur le téton, rien ne diffère entre les deux femmes que je crois reconnaître… à chaque fois.
Elle m'a vu l'observer et me dit alors en posant une main sur sa chatte ruisselante d'eau de la douche :

— Tu ne viendrais pas avec moi sous la douche pour m'aider, des fois ?

Pourquoi pas ? Après tout, c'est encore un fantasme, un rêve dont je ne sors plus. Je vais donc, comme dans les précédents songes, en profiter pour assouvir mes fantasmes. Je me dévêts rapidement et rejoins cette femme qui me le demande si gentiment.

D'elle-même, elle remonte ses bras au-dessus de sa tête, s'adosse au mur de la douche et me présente ses deux magnifiques seins fermes dont les pointes se dressent. D'une main, je saisis ses poignets pour les maintenir dans la position qu'elle a prise, et de l'autre je m'empare de son sein pour le presser et amener le téton dans ma bouche. Je tète cette pointe de chair turgescente comme si je voulais m'y abreuver. Je lèche largement l'aréole et mordille doucement la pointe, puis applique le même traitement à son jumeau.
Sophie ne reste pas inactive : elle se saisit de mon sexe déjà au garde-à-vous et le masturbe doucement en faisant un anneau de ses doigts.

Nous restons ainsi sans bouger sous le jet de la douche pendant un long moment, profitant des douces caresses que nous nous prodiguons. Je descends ma main libre sur son ventre, puis sur son pubis, glisse un doigt sur son clitoris et descends encore un peu pour caresser doucement ses lèvres et l'entrée de sa vulve. Elle avance un peu son bassin pour accentuer la pression de mes doigts contre son sexe.

Lâchant ses poignets, je m'accroupis devant son ventre que j'embrasse tendrement. Passant à nouveau la main dans les quelques poils qui décorent son pubis, j'observe l'eau ruisseler sur eux pour former une petite mèche juste au-dessus de son clitoris. Je souris à cette image. Je cherche dans la douche le petit rasoir à main rose qu'elle utilise pour parfaire le dessin de ce triangle brun, et je le passe sur le haut de cette petite ligne de poils pour raser son pubis tout en douceur.

Ma partenaire pose alors ses deux mains sur son ventre pour en tendre la peau afin de me faciliter le rasage. Lentement et méthodiquement, j'élimine le moindre poil en descendant de plus en plus vers son sexe que je dévoile petit à petit.

Elle pose alors l'un de ses pieds contre le mur, ouvrant ainsi un peu plus ses cuisses pour me donner accès à son intimité. Ses mains sont descendues plus bas sur son pubis et tirent encore plus la peau de son pubis pour me présenter les derniers vestiges de pilosité qui décorent ses grandes lèvres. M'aidant de mon autre main, je maintiens les grandes lèvres et avance le petit objet rose entre sa cuisse et son sexe. Je rase délicatement la zone tendre et gratifie au passage son clitoris rosé d'un baiser.

Elle change de position, écartant l'autre jambe afin que je pratique de la même manière sur l'autre côté de son sexe. Tout doucement, je retire les derniers poils disgracieux et approche mon visage plus près encore, observant chaque centimètre de mon œuvre. Que ce sexe nu est beau et appétissant !

Raser ce sexe m'a beaucoup excité. Je le trouve joli ainsi dénudé, rendu humide par l'eau de la douche, offert à mon regard. Les gouttes d'eau dessinent des rivières sur le corps de Sophie, et presque toutes se rejoignent sur son pubis, puis ses lèvres entrouvertes. J'y pose un doigt, caressant seulement l'extérieur de ce sexe, attrape délicatement une grande lèvre entre mes doigts et tire doucement dessus pour en éprouver l'élasticité. Je l'écarte pour mettre à jour les fines petites lèvres que je caresse également du bout du doigt.

Elle avance son bassin pour approcher son sexe de mes mains exploratrices, mais je ne change en rien ma manière de faire : je garde le regard braqué sur lui – si proche de sa peau que mes cils pourraient papillonner dessus – et mes doigts la découvrent en douceur sans jamais toucher les zones les plus sensibles. J'évite volontairement son clitoris et son antre humide.
Elle coupe le jet de la douche et s'appuie contre le mur ; je sens qu'elle est prête à se laisser aller à mes envies.

Mes mains continuent de fouiller entre ses lèvres, effleurant leur peau, les tirant parfois, passant à droite puis à gauche, poussant quelquefois plus loin entre ses fesses, jouant sur les zones ou la peau est plus douce, sous la fesse, l'intérieur de la cuisse, sans toutefois toucher la pastille rose foncée.

Elle me laisse découvrir encore son corps, mon regard inquisiteur braqué sur son intimité. Je sors le bout de ma langue et le pose doucement sur son clitoris. Mes doigts, eux, se sont positionnés sur ses deux orifices, juste à l'entrée, effleurant à peine la peau brûlante sans le moindre mouvement ni tentative de pénétration. Je reste la langue dardée, immobile sur ce petit bout de chair. Le contact sur son clito l'électrise ; elle pousse sur son bassin pour se frotter sur ma bouche.

Je reste totalement immobile tandis qu'elle commence à se balancer, frottant son clitoris sur ma langue inactive ou cherchant la pénétration d'un orifice ou d'un autre. Placé comme je suis, elle ne peut profiter des trois caresses, alors il lui faut choisir ; mais pour le moment, indécise, elle se frotte sur chacune de mes propositions. Une fois elle avance son bassin vers ma bouche pour chercher ma langue, une autre fois elle recule son fessier, cherchant à enfiler l'un de mes doigts dans ses antres humides et brûlants.
Les mouvements désordonnés qu'elle fait avec son corps m'amusent, et je me délecte de la voir danser ainsi.

Elle est à point ! Pour se donner le plus de plaisir, elle ne sait plus où appuyer ses zones sensibles que j'ai volontairement titillées. Ne voulant surtout pas la laisser sans réponse à cette attente cruciale, je me permets de les satisfaire toutes d'un seul mouvement. J'attrape son clitoris entre mes lèvres pour l'aspirer fort, et dans le même mouvement j'enfile deux de mes doigts au fond de son sexe brûlant et un dans son anus béant. L'effet est instantané : ma belle se cabre, électrisée par ma triple caresse. En quelques petits mouvements du bassin, elle atteint l'orgasme en une seconde et inonde mes doigts de sa liqueur. Je lape alors son jus avec délectation jusqu'à la dernière goutte.

Me redressant, mais sans sortir le doigt que j'ai enfilé dans son anus, je la fais se pencher en avant et lui propose de poser ses mains au sol. Ainsi courbée, je peux facilement enfiler ma queue, déjà prête à exploser, dans son sexe qui m'avale goulûment avec un bruit humide.
Je me mets alors à ramoner son vagin par de longs coups de boutoir, ressortant presque puis m'enfonçant au plus profond d'elle, ressentant son fourreau intime sur toute la longueur de ma queue. Je sens également mon doigt qui lui fouille l'anus qui n'est séparé de ma queue que par quelques millimètres de chair.
Elle apprécie cette double pénétration et me le fait savoir :

— C'est bon, mon amour… Continue, défonce-moi la chatte… Oh oui, enfonce tes doigts, plus fort !

Mon index, qui jusque là n'avait qu'une phalange dans son antre serré, se décide alors à pousser plus loin son exploration et pénètre jusqu'à la garde dans ce puits étroit. Pas si étroit, puisque quelques secondes après il est rejoint par un second doigt tout aussi profondément installé dans le cul de la dame.

— Je jouis, mon chéri… Oh oui, je jouis ! Ahhhhh, c'est bon…

Je la sens vibrer et se laisser encore une fois aller au plaisir. À mon grand étonnement, cette femme qui est censée être la mienne me dit alors quelque chose qui n'est pas dans les habitudes de ma vraie épouse :

— Maintenant déchire-moi le cul, mon salaud… Je veux jouir du cul aussi…

Ne souhaitant surtout pas laisser ma propre femme sur une déception, je saisis ma queue trempée par les sécrétions de son vagin et retire mes doigts toujours profondément fichés en elle pour les remplacer par autre chose. En regardant ce que je fais, j'observe son anus distendu qui ne se referme pas après que j'en ai retiré mes doigts. J'étale sur la rondelle entrouverte un peu de la cyprine qui décore mon sexe et me positionne pour la pénétrer. Sa main remonte entre ses jambes, se saisit de ma queue et la place elle-même devant son entrée anale. Tenant fermement ma bite, d'un mouvement de reins elle vient s'empaler dessus avec un long râle de plaisir.

La main qui tenait ma queue vient caresser mes couilles, puis s'enfonce entre ses lèvres dégoulinantes de liqueur tiède, s'activant également sur son bouton. Je n'ai même pas besoin de bouger : elle fait tout elle-même, allant et venant de plus en plus vite sur ma queue et s'activant sur son propre sexe d'un même mouvement.

Je sens qu'elle jouit ; son anus se resserre sur ma queue et, les doigts immobilisés au plus profond dans sa chatte, elle crie son plaisir. C'en est trop pour moi ; je jouis en longs jets au fond de ce cul serré sur ma queue. Je ferme les yeux, tant le plaisir est intense puis, reprenant immédiatement conscience qu'à chaque jouissance je m'enfonce encore plus loin dans mon fantasme, j'ouvre les yeux et me dis… que ce n'est pas fini !

Quelques secondes pour reprendre mes esprits et prendre la mesure de ce que je vois.
Ma queue est toujours au chaud, cette fois dans la bouche de Carole, ma belle-sœur, et au milieu de la pièce où je me trouve, il y a un banc. Et sur ce banc est attachée Stéphanie, la voisine blonde entièrement nue, qui se fait lécher la chatte par Sophie, ma femme, et en même temps se fait baiser la bouche par Bastien, le mari de Carole.

La réalité est encore loin…