Chapitre 6

C'en est trop ! Trop de sexe, trop de situations abracadabrantes ; je veux retrouver ma réalité à moi. Cette réalité où Sophie est mon épouse, où je me contente de fantasmer sur ma voisine et où je ne connais pas intimement ma belle-sœur et son mari.

Comment retrouver le réel ? Aurais-je, comme dans le film Un jour sans fin, une mission à réussir ? J'ai beau chercher, je ne vois pas ce que j'ai raté. J'ai donné du plaisir à chaque femme qu'il m'a été donné de baiser depuis le début de ce rêve, j'ai honoré mon épouse comme elle me le demandait, j'ai été un amant attentionné… Je ne vois pas ce qu'il me faut accomplir pour être récompensé et retrouver ma vie. Peut être simplement assouvir les fantasmes de ma Sophie, ou alors la faire quitter ce monde de sexe débridé et la ramener à notre réalité ? Je ne sais plus. Ou alors, est-ce en rapport avec ma voisine ?

Tout à ma réflexion, je ne prête pas attention à la jolie Carole qui, depuis que je me suis réveillé dans ce nouveau rêve, suce consciencieusement ma queue bien dure et luisante de sa salive et qu'elle s'applique à enfoncer loin dans sa gorge. La sensation est très agréable.
Et si tout simplement je devais me laisser porter par le plaisir qui m'est offert sans essayer d'être l'auteur du scénario ? L'idée me séduit. Après tout, puisque ces moments torrides me sont offerts, profitons-en pleinement.

Carole lèche avec gourmandise mon gland, passant sa langue lentement dans ses moindres recoins, provoquant chez moi des frissons de plaisir. Sophie vient de laisser la dégustation de la chatte de Stéphanie à Bastien, qui après quelques coups de langue se décide à pénétrer avec rage la jolie blonde. Il donne de forts coups de boutoir et défonce littéralement le sexe de ma jolie voisine, qui semble apprécier le traitement.

Sophie vient alors s'agenouiller près de Carole entre mes jambes et lui administre une galoche pleine de passion et des sucs de Stéphanie. Elles se dévorent la bouche un long moment, partageant le goût du sexe de la voisine et de ma queue puis, dans un bel ensemble, se mettent à me sucer la bite, chacune à leur tour, l'une prenant mon gland entre ses lèvres, l'autre s'occupant de mes boules.

Je regarde les deux sœurs qui me donnent du plaisir ; leurs yeux sont plantés dans les miens, et la scène est absolument torride. Sophie, qui me connaît bien, a vu dans mon regard ainsi qu'à la texture de mes bourses que je suis au bord de l'orgasme. Elle se saisit alors de ma queue entre ses doigts et en serre un peu la base afin de contenir mon plaisir. Elle me regarde avec un grand sourire et dit à sa sœur :

— Il était sur le point de jouir ; j'en veux un peu plus.

Carole lui répond alors :

— Moi aussi j'en veux plus.

Prenant sa sœur par la main, Carole entraîne son acolyte vers un canapé, la fait se positionner à genoux devant le meuble, appuie sur ses épaules pour faire reposer son buste sur l'assise puis s'installe dans la même position à côté d'elle. D'un signe de la main, elle me fait m'approcher et, tout en guidant ma queue dans le sexe de ma femme me dit :

— Tu crois pouvoir assurer avec les deux sœurs ?
— Je ne sais pas ; vous êtes toutes les deux très excitantes. Mets-toi plutôt au-dessus d'elle : j'aurai vos deux sexes à ma portée.

Obéissant à ma proposition, Carole vient se positionner sur le dos de Sophie, et j'ai sous les yeux les quatre orifices des deux sœurs. Je commence à m'activer dans le sexe de ma femme, lentement, et en même temps enfile deux doigts dans celui de Carole. Puis je passe au sexe de ma belle-sœur, qui me semble un peu moins étroit, mais tout aussi chaud, humide et agréable, tout en caressant Sophie de ma main.

Je passe de l'une à l'autre, ramonant les deux sexes dégoulinants puis, pendant que je baise Sophie, j'enfile un doigt trempé de mouille dans l'anus de Carole. Quand arrive le tour de ma belle-sœur, je fais de même avec le cul de ma femme. Elles apprécient mes introductions digitales, et c'est naturellement que je finis par enfoncer mon mandrin dans le cul de ma femme. Ne souhaitant frustrer personne, je pratique la même opération sodomite sur Carole qui, le souffle court, me dit :

— Ohhh, salaud ! Je ne laisse pas Bastien entrer par là : sa queue est trop grosse. Mais que c'est bon ! Hummm…

Bastien, entendant son prénom, se tourne vers nous et voit la scène. Avec un sourire, il précise :

— Bah tu vois, Carole, ma queue aussi elle peut entrer dans un petit cul serré !

En disant cela, il montre sa longue queue de Black qui est en train de ramoner l'anus de la jolie blonde, toujours attachée sur la table et qui geint de plaisir sous les coups de bite qui lui ramonent le cul.

— Oui, mon chéri, tu pourras me la fourrer aussi par là ; c'est si bon ! D'ailleurs…

Et, joignant le geste à la parole, elle s'écarte de moi, me laissant la queue à la main et vient s'allonger sur la jolie blonde, l'embrassant à pleine bouche et présentant son cul en levrette au beau Black qui ne se fait pas prier et entreprend une pénétration du trou dilaté par ma queue. Cela a l'air de rentrer doucement, et Carole étouffe ses cris dans la bouche de Stéphanie.

Moi, je réinvestis le conduit étroit de mon épouse, toujours en levrette sur le bord du canapé. Elle enfonce sa tête entre les coussins et commence à crier son plaisir. J'accélère la cadence de ma pénétration, et lorsqu'elle atteint l'orgasme, aidée par ma main qui caresse son clitoris sans relâche depuis le début de nos ébats, je me laisse aller également, sortant ma queue de ce nid douillet pour décharger sur ses fesses que je trouve si jolies.

Je me laisse tomber sur le flanc, rejoignant ma Sophie. Je ferme les yeux et lui dis dans un souffle :

— C'était si bon, mon amour… Je t'aime.

Je n'entends pas sa réponse ; je m'endors.

À mon réveil, je constate que je ne suis plus dans la même pièce : je suis dans ma chambre, mon lit. Près de moi, Sophie dort, nue. Je me lève sans un bruit, fais le tour du salon : les photos sont normales. Serais-je revenu à la réalité ? Je regarde l'heure : il me faut me lever pour emmener mon garçon à l'école. Je vais vérifier qu'il est bien dans son lit. Tout est normal.
Sophie se lève, m'embrasse et me dit :

— Bonjour, mon Marc. J'ai adoré faire l'amour, hier soir ; c'était divin.

Dieu merci, elle m'a appelé par mon prénom, et tout semble cohérent.
Elle se colle à moi et ajoute :

— J'aime bien que tu me prennes comme cela par l'autre côté, mais je préfère que tu jouisses en moi.

Comment suis-je revenu à la réalité ? Je ne sais pas. Mon petit mot d'amour, peut-être ?
ET C'EST TOUT CE QU'IL ME FALLAIT FAIRE POUR REVENIR À LA RÉALITÉ ?

Drôle de fantasme !