(Nathan) Sous les projecteurs

Je fourre cette salope comme la dinde à Noël. Cette comparaison culinaire me paraît tout à fait appropriée vu que nous revenons tout juste des fêtes de fin d'année. La garce crie sous mes assauts virils. Elle ne peut pas résister à un coup de queue, celle-là ! Depuis qu'elle est venue me trouver l'année dernière, elle n'a pas arrêté de venir quémander de la quéquette. Je ne suis pas con, non plus : je sais bien que c'était principalement intéressé, mais n'empêche, la chaudasse est prête à tout. Elle sait qui est son maître et sait comment se comporter en conséquence. Mon lit grince sous les vigoureux coups de reins que je lui assène. Les cris de la garce résonnent dans tout mon appartement. Oh oui, cette sirène est vraiment une bombe ! Elle m'épuise tout de même…

— Mets-toi à genoux, lui ordonné-je. Tu vas me finir à la bouche.

La pute obéit en n'oubliant pas de sourire, en bonne petite chienne qu'elle est. Je m'assieds sur le bord de mon lit, le sexe – inondé de sa mouille – tendu dans sa direction. Ses lèvres se posent sur mon gland et sa langue lape la cyprine qui le recouvre. En quelques secondes elle m'a nettoyé de ses sécrétions vaginales. Elle me gratifie même d'une gorge profonde en me défiant du regard. Oh oui, qu'est-ce que cette garce est douée ! La pression grimpe rapidement. Elle le sent venir et me recrache le temps que ça redescende. Elle me sourit. Elle a l'intention de faire durer la gâterie.

Avant de me reprendre en bouche, elle coince ma grosse queue entre ses deux magnifiques nichons. Ce n'est pas ce que je lui avais demandé, mais je décide de la laisser faire. Voir sa bite coulisser entre une divine paire de seins est une vision des plus exquises.

— Alors, passé de bonnes vacances ? fait-elle semblant de s'intéresser.

« Putain… Élodie, si j'avais voulu te parler de mes vacances, je te l'aurais fait savoir. Tu n'es là que pour ton cul ! » Je décide tout de même de jouer le jeu.

— Ouais ; mes vieux m'ont offert une bagnole et ma copine m'a enfin offert son cul, alors c'était cool.
— Et moi je me suis pris la tête avec mon paternel. J'avais prévu de passer le réveillon avec un mec mais il m'a forcée à le passer en famille. Je suis pourtant majeure, merde ! Il n'a aucun droit de m'obliger à me taper ces ennuyeux repas de famille. Du coup, j'ai tout fait pour plomber l'ambiance. Il a bien regretté !

Rien à foutre de son histoire ! Avant qu'elle ne me bassine plus avec cette merde, j'appuie sur son crâne pour lui indiquer de me reprendre en bouche. Là, la gorge pleine, c'est beaucoup mieux ! Je lui enfonce bien profond, ce qui la fait baver comme une limace. Y'en a partout ! Je lui ramone le gosier sans ménagement, et la garce – en bonne soumise qu'elle est – se laisse faire et se permet même de se malaxer les nibards de façon obscène. Rien ne l'arrête, cette traînée ! Je sens le plaisir grimper en flèche. Je ne vais pas pouvoir tenir plus longtemps…

— Sur la tronche ! ordonné-je.

Élodie recrache ma pine et se met en position, prête à se faire maculer la face. Quelques coups de poignet supplémentaires me font enfin venir. Plusieurs longs jets de foutre jaillissent de ma bite et s'écrasent une première fois dans ses cheveux, puis sur son nez, sur une joue et sur ses lèvres. Elle accueille l'offrande en souriant. « Alors, qui c'est le maître ? » Ma semence coule sur son menton et vient s'écraser sur sa poitrine. Elle se frotte les seins pour l'étaler puis se racle le visage avec les doigts pour porter mon sperme à sa bouche. Bonne petite chienne… il n'y a même plus besoin de lui dire quoi faire, elle sait comment agir.

— Bien, ça c'est fait ! souris-je, satisfait. Maintenant, on va pouvoir parler de pourquoi je t'ai convoquée.
— J'écoute, s'intrigue-t-elle.
— Comme tu le sais, le BDE organise une nouvelle soirée vendredi. Je veux que toutes vos sirènes soient présentes, et en tenue sexy. À nos yeux, cette soirée est très importante ; j'ai donc besoin de vous à nos côtés et à nos ordres.
— À vos ordres ? se méfie-t-elle. Que sommes-nous censées faire ?
— Les salopes comme vous ont l'habitude. J'ai besoin que tous les invités soient dans les meilleures conditions possible. Bien sûr, mes gars ne refuseront pas non plus quelques petites faveurs.
— OK ! Je vais y réfléchir et je te donne une réponse.
— Pardon ? fais-je, abasourdi. C'est tout réfléchi ! Tu as voulu mon soutien pour ton club : je te l'ai donné. Tu as écarté ma fillote de moi : j'ai accepté. Tu devais m'envoyer la tienne : j'attends toujours. Alors maintenant tu fais ce que je te demande ou tu vas te faire voir, toi et ton club !
— OK, OK. Pas la peine de s'énerver mais garantis-moi que tu laisseras les filles, spécialement Morgane et Lorelei, agir à leur guise.
— Tu es bien exigeante, souris-je, mais marché conclu.

« Agir à leur guise ? Mais quelle drôle d'idée… Ce soir, elles vont faire ce qu'on leur dit ! »


La musique fait trembler les murs, les stroboscopes donnent une ambiance épileptique à la salle, les verres d'alcool se vident les uns derrière les autres ; nous avons mis les moyens pour transformer le cocotier en véritable boîte de nuit. La soirée bat son plein. Comme nous l'espérions, beaucoup sont venus, y compris quelques indésirables. Je m'avance vers Boris et Arthur.

— Tiens, les petits toutous des nymphes ! Je suis surpris de vous voir ici.
— Et pourquoi donc ? réplique Boris. La soirée était pourtant ouverte à tous.
— Certes, mais je m'imaginais que vous seriez trop occupés à lécher les pieds de vos nymphes adorées.

Ils ne sont pas les seuls indésirables puisque j'ai remarqué Noémie, de première année. Mais bon : elle, ce n'est pas étonnant étant donné son amitié avec Lula et Ondine. Et puis elle a adopté une tenue similaire à ses copines. Dans leur minijupe serrée, toutes les trois se déchaînent sur le rythme endiablé de la musique. Elles sont vraiment bandantes !

Plus loin, Élodie danse et allume un groupe de premières années. Elle joue son rôle à merveille. Encore plus loin, Delphine danse avec son parrain, ou plutôt elle se frotte à lui. Warmaster a bien choisi sa salope ! Manuel, mon vice-président, et David sont au bar en train de servir des boissons et de draguer des minettes. Je repère Simon, Idriss et leurs potes avancer vers moi. Ils ont sorti costards, cravates et lunettes de soleil ; la grande classe !

— Salut Préz' ! Superbe soirée, bravo !
— Merci, Simon. Alors, vous êtes prêts pour tout à l'heure ?
— Bien sûr, Préz' ! Tu n'as qu'à nous faire signe et on se met en position.
— Très bien. Et tu as ramené ce que je t'ai demandé ?

Simon confirme, ricane et sort de sa poche un téléphone qu'il me tend. J'attrape le précieux objet et le range dans la mienne. Idriss observe notre échange d'un œil curieux. Je leur conseille d'aller prendre un verre et m'éloigne ; je viens de repérer une proie de premier choix : longue cascade de cheveux noirs, maquillage léger, petite jupe noire moulante, top débardeur découvrant à moitié une paire de seins de rêve, elle est vraiment bandante ce soir.

— Salut, fillote ! Comment vas-tu depuis le temps ? Passé de bonnes vacances ?
— Nathan ? fait-elle, surprise et méfiante. Euh… oui, ça a été, je les ai passées avec mon copain.
— Ton copain ? Ah oui, le cocu… Dis donc, tu es vraiment ravissante ce soir !
— Qu'est-ce que tu veux, Nathan ? demande-t-elle, sur la défensive.
— Juste une petite danse. Tu ne vas pas refuser une danse à ton parrain, tout de même.

Elle accepte de mauvaise grâce tandis que des accords rock résonnent dans le cocotier. Nous dansons face à face. Elle garde une certaine distance de sécurité et, méfiante, ne me quitte pas des yeux. Je tente plusieurs approches mais elle esquive à chaque fois. Je souris : ce petit jeu du chat et de la souris me met en appétit. Je lui chope le poignet pour la faire tournoyer, imposant par la même occasion mon contrôle sur la partie de chasse. Après plusieurs mouvements, je me retrouve derrière elle. J'en profite pour me plaquer à elle et l'entourer de mes bras. Son parfum me saute aux narines. Elle essaie de se défaire, mais le piège est déjà refermé.

— Lâche-moi, putain ! s'énerve-t-elle.
— Du calme, fillote, laisse-toi faire : toi comme moi savons très bien que tu en as envie.
— Va te faire foutre ! peste-elle en essayant de me foutre un coup de talon dans les tibias.
— Allez, tu n'vas pas me faire croire le contraire, surtout après avoir sucé Idriss en plein cours. Tu es une salope et tu le sais. Manquerait plus que ton cher petit cocu le sache à son tour ! Ce qui pourrait très bien arriver si je lui envoyais une certaine vidéo…
— Une vidéo ? s'inquiète-t-elle.
— Oui, celle que Simon a réalisée tandis que tu accomplissais ta magnifique fellation. Un vrai chef-d'œuvre. Je parie que ton mec sera heureux de te voir à l'œuvre avec un autre. Mais peut-être préféreras-tu un autre arrangement… suggéré-je en lui empoignant un sein.
— Va te faire foutre ! crache-t-elle encore.
— Je vois que tu n'es pas décidée. Soit, tu as peut-être besoin de temps pour retrouver la raison. Je te laisse jusqu'à la fin de la soirée pour te décider. Passé ce délai, je pourrais « par accident » envoyer la vidéo à la mauvaise personne, fais-je en la narguant avec le téléphone de Simon dans la main.

Je la lâche. Elle me jette un regard noir et sort du cocotier. Hé-hé, elle ne peut pas reculer. Même si elle le trompe, elle tient beaucoup à son petit cocu. Elle va bientôt être de nouveau à moi. Je vais profiter d'elle encore et encore… « Tu as voulu me défier ; tu as ce que tu mérites. Je vais te mettre à genoux une fois pour toutes. »

Agir à leur guise ? On a laissé ces sirènes agir à leur guise bien trop longtemps. Élodie va apprendre par la même occasion que c'est moi qui commande. Elle a voulu me prendre ma fillote, elle ne m'a pas apporté les filles qu'elle m'avait promises. Il est temps de reprendre ce qui me revient de droit ! Et si elle n'est pas contente, tant pis pour elle ! De toute façon, que pourrait-elle faire ? Elle sait très bien qu'elle a besoin de mon soutien pour son club.

Bon, maintenant que ça c'est fait, il est temps de passer à l'autre partie de la soirée. Je fais un signe à Simon et ses potes ainsi qu'à mon équipe et m'empare de mon mégaphone. Je grimpe sur le bar tandis que notre DJ lance Kashmir de Led Zeppelin pour mettre de l'ambiance. Tous les regards se tournent vers moi ; dieu, comme j'aime ça !

— Alors, bande de troufions, vous vous éclatez ce soir ? hurlé-je dans mon mégaphone.
— OUAISSSS ! s'écrient-ils tous en chœur.
— Vous en voulez d'autres, des soirées comme cela ?
— OUAISSSS !
— Alors faites du bruit pour nos invités spéciaux !

Les projecteurs me quittent pour éclairer les portes du cocotier qui s'ouvrent. Simon et Idriss pénètrent dans la salle, suivis par leurs six potes.

— Ils sont jeunes, ils sont beaux, ils sont forts, et ils vont casser la baraque. Veuillez accueillir le futur BDE ! Simon et Idriss ont réuni autour d'eux une fine équipe motivée. Allez, faites du bruit pour eux ! Vous n'aurez pas meilleurs qu'eux pour animer vos soirées.

Les cris et les applaudissements retentissent de toute part. Simon sourit. Son entrée en scène est des plus réussies. Oui, il n'y a pas de meilleurs candidats que lui pour me succéder. Il est à mon image : fier et fort, et ne se laissera pas dominer par les nymphes ou les sirènes. Il saura les remettre à leur place, s'imposer et mener les élèves sur la bonne voie.

Simon me rejoint sur le bar. Je lui tends le mégaphone ; c'est à lui d'assurer le show, maintenant. Tout du moins pour ce soir ; après, je reprendrai ma place jusqu'à la passation de pouvoir. Je descends, récupère un verre de whisky et m'éloigne tandis que Simon commence son speech :

— Êtes-vous prêts pour une année de folie ? hurle-t-il dans le mégaphone.

La foule répond en chœur. Visiblement, ils sont déjà prêts à l'accepter. De toute façon, les autres candidats ne se bousculent pas pour le moment. Et avec une candidature comme la sienne, je ne pense pas qu'il y aura beaucoup de volontaires pour l'affronter.

Mélangé au public, je lui hurle des encouragements. Il a l'air très à l'aise sur son piédestal. D'un seul coup, quelqu'un me bouscule et je manque de faire tomber mon verre de sky. La moitié a cependant été répandue au sol. Je me retourne et tombe sur ce crétin d'Arthur.

— Putain, Ducon ! Tu peux pas faire attention ? pesté-je.
— Désolé, Préz' ; je n'ai pas fait exprès.

Et il s'éloigne sans demander son reste. Quel boulet, celui-là ! Pas étonnant que les nymphes se le trimballent.

Après plusieurs minutes, Simon a fini son speech. Je le rejoins pour trinquer avec lui et son futur vice-président, Idriss. Je le félicite pour sa performance et nous échangeons plusieurs verres pour fêter ça. Je commence à me sentir bien échauffé. Élodie vient flatter mon héritier et lui assure son soutien. Ses sirènes se comportent comme elles le doivent : tout se passe comme prévu. Elle est rejointe quelques minutes plus tard par Ondine tandis que l'alcool commence vraiment à me monter à la tête.

Elle commence à parler et à blaguer avec mon héritier. Je ris mais ne calcule rien de ce qu'elle raconte, trop obnubilé par sa jolie poitrine. Nous sommes déjà en janvier et je n'ai pas encore posé la main sur cette bombe ! Il faut rattraper le retard. Je m'approche donc d'elle discrètement, attends un peu et pose ma main sur son cul bombé. Elle ne proteste pas mais se déplace lentement pour se dégager. Pas grave ! Je recommence, mais de façon plus pressante. Elle se dégage une nouvelle fois comme si de rien n'était.

Plus loin, David a repéré mon manège et m'observe d'un œil mauvais. Serait-il jaloux ? C'est sa fillote, et jusqu'à maintenant il se l'était réservée au sein du BDE. Mais il ne doit pas oublier que je suis le président et que je prends ce que je veux. De plus, c'est moi qui l'ai choisie dans notre BDE : sans moi, il n'aurait jamais pu se la taper.

Finalement je me colle au dos d'Ondine, le sexe calé entre ses deux globes fessiers et l'enserre par la taille pour l'empêcher de trop bouger. Je renifle son parfum et lui murmure à l'oreille :

— J'ai très envie de me vider les couilles au fond de ta gorge. J'ai aussi très envie de te prendre le cul.

Je n'y vais pas par quatre chemins ; après tout, je sais à qui j'ai affaire. La métisse lance un coup d'œil à sa présidente. Élodie semble lui indiquer de coopérer.

— Ce serait un honneur, président ! Tout ce que tu voudras.
— Malheureusement pas ce soir, j'ai autre chose de prévu. Mais viens chez moi ce week-end, je m'occuperai de toi.
— Ce week-end je ne peux pas, Nathan : j'ai un mariage dans ma famille.
— Bien, on se fera ça une autre fois.
— OK, j'ai hâte !

Elle joue bien la comédie, mais peu importe : tant qu'elle comprend où est sa place et est prête à se soumettre, cela me va. Je me réjouis de son obéissance et quitte la petite bande, à la recherche d'une autre sirène. Il est temps de voir si Morgane se montrera aussi intelligente qu'Ondine. Je repère la brune fatale dans un coin de la pièce. Elle se tend en me voyant approcher.

— Alors, fillote, as-tu pris une sage décision ? Prête à te faire défoncer ?
— Jamais plus tu ne me toucheras, Nathan ! crache-t-elle en reculant d'un pas.

Vraiment ? Elle tient réellement à jouer à ce jeu ? Je plonge une main dans ma poche pour lui rappeler que j'ai un moyen de pression, mais quelque chose cloche : ma poche est vide. Ce n'est pas possible ; j'avais mis le téléphone de Simon ici, j'en suis sûr ! Où est-il passé ?

— C'est cela que tu cherches, cher président ? me lance Arthur en agitant un petit appareil blanc.

Le téléphone ! Comment a-t-il eu ça ? La bousculade ? Oui, il a dû me le prendre à ce moment-là.

— Toi, rends-moi ça ! ordonné-je sèchement.
— Tiens, le voilà, me dit-il en me lançant l'objet, mais j'ai bien peur qu'il ait eu quelques allègements au niveau de la mémoire et qu'une certaine vidéo en ait fait les frais.
— Comment as-tu osé, sale petit merdeux ?
— Et toi, comment as-tu osé faire du chantage à une fille pour la pousser à coucher avec toi ? lance Boris qui vient lui aussi d'arriver.
— De quoi vous mêlez-vous ? Ça ne vous regarde pas ! grogné-je. Et toi, Morgane, depuis combien de temps tu collabores avec les chiens des nymphes ? Tu me fais pitié !
— Va te faire foutre, Nathan ! Je ne leur ai rien demandé. C'est eux qui ont proposé de l'aide. Tu ne m'as pas laissé d'autre choix que de l'accepter.
— En effet, nous avons assisté à distance à votre échange de tout à l'heure et avons compris que quelque chose n'allait pas. Nous avons donc agi en conséquence, confirme Arthur.
— Et tu auras toute l'aide dont tu as besoin au sein du club des nymphes, enchaîne Boris à l'intention de Morgane. Élodie ne peut pas vraiment te protéger de Nathan, étant donné qu'elle a des intérêts avec lui. Tu ne peux pas compter non plus sur vos favoris qui n'ont pas hésité à te vendre. Rejoins Louise ; elle sera ravie de t'aider.

Je n'y crois pas ! Ces fumiers osent tenter de l'éloigner encore plus de moi et crachent une putain de propagande pour leur merde de club dans les oreilles de ma filleule. Ils vont me le payer ! De rage, mes mains tremblent et mes poings se serrent. Je ne réfléchis plus et me précipite sur Boris. J'enchaîne plusieurs coups rapides, un dans la mâchoire et deux dans les côtes. Il ne se laisse pourtant pas désarçonner et contre-attaque. J'esquive. Arthur réagit et se porte au secours de son pote. Une balayette est suffisante pour le mettre à terre, mais la diversion permet à Boris d'écraser son poing sur ma face. Ma vision se brouille soudain et une énorme douleur me lance dans le nez. Complètement frénétique, je me jette sur lui et lance une série de coups désordonnés. Plusieurs atteignent leur cible. Boris hurle de douleur. Morgane me hurle d'arrêter mes conneries. Rien à secouer : ma proie est à terre et à ma merci. Je frappe de toutes mes forces. J'ai les poings en sang. Soudain, des bras m'attrapent et me tirent en arrière. Je me débats mais ils sont trop nombreux. Boris gît par terre, le visage en sang.