La cliente de la pharmacie - II

Lâchant le bas du body, je caressai lentement ses épaules rondes et douces, remontai mes mains sur ses bras moelleux et satinés. C'était vraiment une belle femme. Quelle belle surprise, quel magnifique cadeau m'avait offert cette belle journée ! Je les caressai jusqu'aux poignets tandis que je posai doucement ma bouche sur sa nuque. Je la sentis frissonner et toute sa peau s'ériger en une intense chair de poule.

Je détachai ses poignets le temps qu'elle puisse baisser les bras pour les reposer, fis glisser doucement l'une après l'autre les fines bretelles du body par-dessus ses épaules, et je lui murmurai près l'oreille :

— Je vais vous foutre à poil, chère Madame.

Et sans attendre, après m'être replacé devant elle, sans empressement et le plus lentement possible, je descendis le body, dévoilant deux beaux seins volumineux et encore assez ronds, puis son ventre souple et blanc, beau comme celui d'une danseuse orientale, puis sa chatte replète… et le body tomba à ses pieds.

Le mont de Vénus n'était couvert que d'une très fine toison claire, presque aussi fine qu'un duvet. Elle avait rapproché ses cuisses pour laisser tomber le vêtement à ses chevilles, et s'en débarrassa en levant les pieds l'un après l'autre.

La dame mûre se prêtait magnifiquement au jeu. Elle ne s'offusquait pas de son traitement, et ne me posait plus de questions stupides sur les thérapies que je connaissais et que les autres médecins ignoraient, ni sur quels maux je soignais et prétendais guérir.
En tout cas elle avait l'air d'apprécier le traitement que j'étais en train de lui administrer !

Je joignis l'index et le majeur de ma main droite et les approchai de sa bouche, lui ordonnant :

— Sucez !

Elle ouvrit la bouche sans discuter et je fis faire quelques va-et-vient entre ses lèvres ; j'y introduisis même un troisième doigt. Puis, la saisissant de la main gauche par le menton pour qu'elle me fixe bien dans les yeux, délicatement, des doigts de la main droite j'écartai les lèvres de son sexe et me mis à caresser doucement l'intérieur de sa vulve d'arrière en avant.
Elle se laissait faire en soupirant, en soutenant mon regard. Je continuai, puis introduisis l'index puis le majeur dans l'orée de son sexe.

— Mmmm… bonne petite chatte… lui susurrai-je sans cesser de la branler lentement.

Puis je pris sa bouche, collant mes lèvres sur les siennes qui s'entrouvrirent, et elle me rendit mon baiser, un baiser lent et passionné, ma menteuse explorant sa langue, ses dents, toute sa cavité buccale.

Je lâchai sa bouche à regret, puis toujours en fixant ses yeux bleus, je remontai mes doigts tout luisants de sève, les portai à ma bouche et les suçai avec délectation.

— Mmmm, oui, vraiment, une bonne petite chatte. Goût subtil, épicé et poivré.

Puis j'attrapai ses seins à deux mains et me mis à les peloter doucement d'abord, puis de plus en plus fort tout en la regardant droit dans ses yeux azur. Imperceptiblement, elle eut un petit mouvement du menton vers le haut, un appel. Sans lâcher ses seins, je me mis à la galocher de nouveau.
Je lâchai ses seins et sa bouche, et lui dis :

— Vous êtes une femme curieuse, n'est-ce pas ?

Elle répondit d'une voix un peu éteinte et très émue :

— Oui, je l'avoue : je suis très curieuse, trop curieuse. On me l'a déjà dit. Ça me perdra.
— Je ne sais pas si ça vous perdra, mais ça se paie, en tout cas. Et moi je vais vous la traiter, votre curiosité. C'est avec votre curiosité que vous m'avez cherché… eh bien vous m'avez trouvé ! lui dis-je tout en lui détachant les poignets.

J'allai m'asseoir sur la chaise et, la regardant ne pas oser bouger sans mon ordre, je lui intimai :

— Venez ici. Venez vous allonger à plat-ventre en travers de mes genoux.

S'approchant d'un air très gauche, elle s'exécuta. Elle devait se retrouver dans la peau de la gamine de douze ans qu'elle avait été ; des souvenirs troublants devaient lui remonter pour la première fois. Je lui saisis le poignet pour la guider et elle se pencha. Ses gros nichons pendouillaient, terriblement bandants, et elle s'installa inconfortablement sur le ventre, sur moi. Je l'aidai à se repositionner correctement.

— Vous pouvez poser le bout de vos doigts sur le sol ou saisir les pieds de la chaise, comme vous voulez.

Son gros cul bien blanc saillait vers le haut, et j'avais ce bel objet juste sous ma main droite. De mes deux mains je lui écartai les fesses, inspectai longuement sa petite rosette sombre enfouie tout au fond du sillon fessier. Elle était bien plissée et bien propre, dénuée de tout poil à son pourtour.

— Moi aussi je suis curieux, ma petite dame. Et je vais tout connaître de votre anatomie. Je veux connaître parfaitement votre corps, jusqu'à la moindre parcelle de votre peau, tous les recoins. Je l'inspecterai sous toutes les coutures, sous tous ses replis, jusqu'à ce que je connaisse par cœur chaque centimètre carré de sa surface… comme chacune de vos réactions physiologiques. Hum, ce petit œillet m'a l'air bien froncé, et je suis sûr qu'il est bien serré. Il me faudra sans doute utiliser un plug…
— C'est quoi, un plug ? osa-t-elle.
— Hum, vous si curieuse, vous ne savez pas ce que c'est ? Vous saurez ; ne vous impatientez pas. C'est un objet qui permettra que votre petit orifice soit aussi souple que votre chatte.
— Oh… dit-elle dans un frémissement.

Je caressai doucement les beaux hémisphères épanouis. La peau était douce, parcourue de quelques frissons.

— Bon, et si pour débuter on commençait le traitement ? Il est temps de vous administrer le remède qui va soigner votre curiosité maladive et vos penchants à tourner autour des hommes plus jeunes… surtout quand vous savez qu'ils sont médecins. On peut dire que vous êtes bien tombée aujourd'hui, Madame. Vous n'auriez pas imaginé ce matin, en vous levant, que vous alliez vous retrouvez à poil à plat-ventre sur les genoux de l'un d'eux, prête à vous faire fesser… ?

Je n'attendis pas sa réponse et la première claque tomba sur sa fesse droite, un peu sèchement mais pas très fort. La dame ne broncha pas. La même tomba sur la fesse gauche, puis d'autres suivirent, visant le sommet du postérieur, le dessous des rotondités, puis les côtés débordants.
J'interrompis un peu le traitement et lui ordonnai :

— Écartez un peu les cuisses.

Elle les ouvrit et je caressai les muqueuses intimes de sa vulve : elles étaient tout humides !

— Hum, on dirait que vous appréciez mon traitement, ma petite dame…
— Oui, osa-t-elle répondre d'une toute petite voix.

Je repris la fessée, sans trop appuyer mes claques. J'avais peur qu'elle demande grâce. Je voulais une fessée érotique, sensuelle. Je voulais la chauffer, l'exciter, et un peu châtier sa chair aussi. J'interrompais la fessée toutes les six ou huit claques pour la branler un peu, caresser sa vulve qui devenait toute glissante, insinuer un doigt en elle, lui branler sa zone G.

Elle accueillait mes attouchements avec force soupirs, puis je reprenais la claquée, lentement, méthodiquement, faisant tressauter ses chairs molles, contemplant avec fascination ce beau cul et les ondes de choc qui parcouraient sa chair et qui montaient jusqu'à ses hanches, puis je retournais à la source et en ressortais mes doigts tout luisants de mouille. Je lui en enduisis tout son sillon fessier, me mettant à caresser le petit cratère, l'humectant de cyprine par des mouvements circulaires, appuyant légèrement dessus, cherchant à en apprécier la résistance, l'élasticité, mais sans aller jusqu'à le pénétrer.

Je me remis à la fesser, prenant un peu plus d'élan, appuyant bien mes claques, deux-trois fois, puis je me mis à caresser ses cuisses lisses et bombées. De la main gauche je lui tripotai le sein adjacent, la pelotant vicieusement, puis je passai ma main sous son cou, le caressai, puis son menton. Je rentrai mon majeur gauche dans sa bouche, la forçant à le sucer. C'était vicieux, ça m'excitait ; elle suçait sans se faire prier.

Je bandais comme un cerf, et elle me donnait des envies de profanation. J'allais tringler cette vieille commère, et ma queue durcissait encore à cette idée. J'avais envie de son cul, j'avais envie de la fourrer et de l'entendre gueuler son plaisir.

Je lui claquai son gros fessier un peu plus longuement, de temps à autre un peu plus fort, puis ralentissant et dosant la force en la diminuant un peu. J'alternais petites claques sèches qui lui décollaient presque la peau du cul et lui faisaient pousser des petits cris aigus avec des grandes claques données la main grande ouverte qui appuyaient profondément sur la chair de ses grosses miches, la pressant, s'enfonçant dans le globe gras.

Je contemplai mon œuvre : sa mappemonde avait pris une belle teinte rosée. Je l'avais bien échauffée, et la sève qui perlait sur les lèvres de son sexe témoignait de son état d'excitation.
Je lui ordonnai :

— Relevez-vous maintenant !

Lourdement et avec difficulté elle se remit debout. Lui montrant le lit je lui intimai :

— Grimpez là-dessus et foutez-vous à quatre pattes. Comme une chienne !

Elle m'obéit et je croisai son regard tout trouble.
Elle s'installa, les genoux près du bord du lit, sans même que j'eusse besoin de corriger sa position, ayant même écarté les cuisses.
Je me levai de ma chaise et me plaçai à côté d'elle, contemplant le spectacle.

— Cambrez-vous bien, creusez les reins ! Tendez bien votre croupe… oui, c'est ça, offrez bien votre cul… comme ça !

Ses gros nichons pendaient comme deux outres, les petits bourrelets de son ventre faisaient comme une draperie… comme j'aime.

— Alors, on a l'air moins maline comme ça, hein ?! On est prête à recevoir son traitement. Ah, voilà un tableau que j'adore : une bonne soumise, une vieille cochonne, la chatte trempée, en proie à ses désirs secrets et lubriques !

Elle ne bronchait pas, attendait sans protester, montrant ainsi que j'étais dans le vrai, et mes mots devaient résonner dans sa tête et l'exciter encore plus.

Je me plaçai derrière sa croupe, empaumai ses fesses, les écartai, en examinai longuement l'intérieur puis je descendis plus bas. J'écartai les grandes lèvres, exposant les petites lèvres luisantes et rose vif, mes pouces les caressant, glissant sur les muqueuses grâce à la cyprine brillante qui les humectait.

— Une bonne chienne, prête pour la saillie ! J'adore enfiler les grosses et vieilles cochonnes ! lui déclarai-je avec une voix dont le ton trahissait l'excitation tandis que je me débarrassais du froc et du boxer.

Je posai à nouveau mes mains sur son cul et approchai mon dard arqué de la poule à sacrifier ; je présentai mon vit dont le gland était gonflé à craquer à l'orifice de sa vulve, et lentement je le fis glisser en elle : elle était brûlante et douce.

— Mmmm, quel délicieux fourreau ! Je vais bien te baiser, grosse salope !

Là-dessus, je la saisis par ses fortes hanches et je l'empalai à fond sur ma queue. Elle poussa un « Ahh… » de satisfaction et je commençai à la baiser lentement, mais bien à fond. À chaque coup de pine je butais tout au fond de son ventre, lui ébranlant tous ses organes…

— Alors, chère Madame, vous me demandiez si je connaissais des traitements que les autres médecins ignorent. Vous connaissiez celui-là ?
— Oh non !
— Vous avez certainement des douleurs, de l'arthrose, des problèmes de sommeil, non ?
— Ah oui, souvent… Comment vous le savez ? répondit-elle en gémissant, la voix saccadée sous mes coups de boutoir.
— C'est mon boulot de savoir. Eh bien, je peux vous garantir que le plaisir sexuel, en libérant des endorphines – des molécules proches de la morphine, que le système nerveux sécrète – est un magnifique remède contre les douleurs chroniques comme contre les insomnies. Vous viendrez prendre votre traitement directement chez moi… mais pas trop souvent… il ne faut pas abuser… des bonnes choses… Hummm…

La serrant fort par la taille, je me mis à la besogner à un rythme croissant. Son fourreau était brûlant et bien moite. Elle répondait à mes coups de boutoir par des petits cris de femme excitée, des cris à l'intensité rapidement croissante.
Rapidement elle se mit à gueuler comme jamais : elle déchargeait, la vieille salope !

— Hum, mais tu sais que tu es une bonne baiseuse, une bonne salope, ma cochonne  ? Tu prends ton pied, hein ?!
— Oh oui, c'est bon ! Tu me baises bien, mon salaud !
— Eh bien, on dirait que la petite dame se lâche… Il y avait longtemps que vous n'aviez pas été baisée, ma petite dame ?
— Oh oui… depuis que mon mari est invalide… ça fait au moins cinq ans.
— Je comprends un peu mieux… Vous aviez de la réserve. Et le manque d'orgasmes vous a minée. Il est temps de remettre la machine en marche, de remettre votre corps dans le cercle vertueux de la bonne santé… par une bonne baise, une baise régulière et salutaire.

Elle semblait soudain un peu vidée par l'orgasme qui venait de l'étreindre puissamment.
Renonçant à jouir dans l'instant, je me retirai d'elle et lui déclarai :

— Et si on s'occupait de ce cul, ce cul plantureux et magnifique ?

Et joignant le geste à la parole, je me mis à le caresser, à appuyer les paumes de mes mains sur toute la surface de ses deux hémisphères, les écartai, les relâchai, et ainsi de suite, exposant bien sa rosette et sa chatte toute luisante.
Je caressai d'abord de la pulpe de mon pouce l'œillet bien froncé, la jolie étoile qui n'attendait qu'à être explorée.

Je pris dans mon « coffret aux plaisirs » un petit plug translucide à l'extrémité effilée que j'enduisis de gel lubrifiant. Je caressai ensuite le petit cratère avec mon instrument, le testant, appuyant un peu comme si j'allais le forcer, mais celui-ci semblait bien tonique. Je renonçai donc à l'entreprise et déposai une bonne dose de gel sur la petite cupule bistre que je me mis à caresser du bout de l'index avec des mouvements circulaires.

Elle tourna la tête vers moi. Sa nature de soumise que je lui avais sans doute révélée faisait qu'elle avait gardé jusque là, avec discipline, la même position sans oser bouger (ou bien n'était-elle pas encore rassasiée). Elle me demanda :

— Qu'est-ce que vous allez faire…?
— Qu'est-ce que vous croyez ? Votre cul va y passer, ma petite dame. Je n'ai pas l'habitude de recevoir d'aussi belles poules avec un pareil cul, un cul aussi bandant, et de les laisser partir avant de les avoir enculées !
— Oh… Ça, j'ai jamais fait… Enfin, pas depuis très très longtemps… Et j'en garde pas un bon souvenir, j'avais eu très mal…
— Vous en faites pas, ma petite dame : vous avez affaire à un spécialiste, et pas à une brute. Et je ne fais rien qui ne procure pas de plaisir à mes patientes. Et je prends toujours le temps qu'il faut ; pour l'heure c'est moi qui me montre toujours patient… Qu'importe le temps qu'il me faudra, que ça prendra ; mais votre cul, je vais vous l'ouvrir progressivement, et croyez-moi, il se livrera sans effort. Quand je lui aurais administré mon traitement, ma pine y entrera comme dans du beurre ! Je vous le promets. Détendez-vous, laissez-vous aller…

Et en même temps que je prononçais cette dernière phrase, mon index s'enfonçait lentement dans son petit trou, trouvant son chemin. C'est vrai qu'elle était serrée, la vieille garce ! Son petit conduit serrait mon doigt, se refermait sur lui, et je fis de lents aller-et-retours pour bien le lubrifier. Je repris du gel, retirai totalement mon index, en remis une bonne dose, et il repartit à l'assaut de la forteresse.

Elle commençait à se détendre ; l'étroit et brûlant canal commençait à s'assouplir. Je n'hésitai plus à faire pénétrer mon doigt tout au fond d'elle, jusqu'à la garde, et à le faire tourner. Je remis du gel et commençai à enfoncer précautionneusement le majeur à côté du premier ; elle poussa une brève et légère plainte, mais j'investis son fondement un peu plus. Tout son conduit se livrait, non sans tonicité, mais je venais à bout de sa résistance.

Je retirai mes doigts qui glissaient maintenant en douceur, les remplaçai par mon pouce qui entra sans effort et sans heurt. Je l'enfonçai à fond, jusqu'à la base de la première phalange, plus large, et je sentis que son orifice s'était bien assoupli.

— Voyez comme votre plus petit orifice se rend. Je ne vous fais pas mal ?
— Non.
— Je suis en train de vous ouvrir le cul, ma belle ; je suis sur le point d'aboutir. Votre cul est sur le point de m'appartenir, je suis en train de le conquérir.
— Oui, je le sens.
— Vous aimez ça ?
— Oui, c'est bon…
— Vous voyez ? J'ai appris il y a longtemps qu'une femme ne vous appartient pas tant qu'on ne l'a pas enculée… Et vous allez bientôt m'appartenir.
— Ooh…

Je fis quelques va-et-vient puis le retirai, et ce fut le moment que je choisis pour présenter le plug dont l'extrémité entra sans difficulté. Je le fis aller et venir avec des mouvements de plus en plus lents. J'entendais respirer plus fort, la grosse chienne… Elle poussa un petit cri : je venais de le pousser jusqu'à la partie plus large, la dilatant au maximum, puis jusqu'au rétrécissement sur lequel le sphincter s'était refermé. Il était fiché en elle.

— Là, ma belle. Vous voilà garnie, bien ornée. Que c'est beau, un bon gros cul comme le vôtre ainsi décoré d'un plug !

Là-dessus, je lui ordonnai de reculer un peu et d'écarter les cuisses, ce qu'elle fit. Ses genoux étaient désormais tout au bord du lit. J'avais une vue imprenable sur son cul qu'elle maintenait avec zèle bien cambré et sur sa chatte juste en dessous, aux lèvres bien ourlées, bien charnues et toujours ouvertes, le petit orifice rose comme un appel.

Je présentai à nouveau mon vit à l'entrée du sanctuaire et l'enfilai sans prendre de gants. Son conduit était toujours bien lubrifié, ce qui me permit de glisser en elle d'une seule poussée ; elle accueillit cette nouvelle saillie avec un gloussement de plaisir. Je me remis à la besogner à grands coups de reins longs et souples ; sa chatte était parfaite, chaude, soyeuse, et m'enveloppait parfaitement bien la pine, comme si elle était moulée maintenant pour moi.

Le plug fiché dans son anus et occupant une partie de son rectum devait lui procurer des sensations nouvelles et plus intenses. En tout cas, elle poussait des cris plus forts. Elle m'excitait en diable, cette chienne !

Je me retirai au bout de quelques minutes car je ne voulais pas jouir trop vite. Je montai sur le lit, à genoux près de sa tête, mais gardant son cul et ses nichons à portée de main. Je lui tournai la tête vers moi de la main gauche et lui intimai :

— Allez, suce-moi, grosse cochonne !

Elle ne fit pas la fine mouche et s'avéra au contraire une bonne bouche : ses lèvres se refermèrent sur mon gland et elle se mit à faire des va-et-vient englobant tout mon dard, de la tête jusqu'à la hampe. Ah, elle suçait bien, la vieille garce ! Elle ne semblait pas experte mais elle s'appliquait, y allant de tout son cœur.
Je la félicitai :

— Hum, c'est bon… C'est bien, tu t'appliques bien. J'adore avoir de bonnes élèves comme toi qui font ce qu'on leur dit sans discuter et mettent de la bonne volonté pour progresser.

En même temps je caressais ses fesses rebondies, attrapant du bout des doigts le plug, lui imprimant des pressions avec des mouvements lents, sans le retirer pour autant. De l'autre main je la tenais par les cheveux, l'encourageant à bien s'activer. Tantôt je lui pelotais son nichon qui balançait en cadence, au rythme de sa succion.

— Tu seras récompensée pour tes efforts. Pour ça, tu vas avoir le droit de découvrir les plaisirs de la sodomie. Tu vas être comblée, ma chérie.

Elle leva les yeux vers moi, la bouche pleine ; son visage révélait un air inquiet. J'affichais un air tranquille et satisfait. Je flattai de ma main la divine salope.

Je lui demandai de cesser quelques instants pour me repositionner bien face à elle, et une fois en place je lui remis tout le morceau dans la bouche. Je pris sa tête à deux mains et me mis à baiser sa cavité buccale à une vitesse accrue. Sa bouche émettait des bruits de succion obscènes ; elle s'appliquait, mais elle avait du mal à suivre, d'autant que je lui envoyais mon phallus jusqu'au fond de la gorge, mais elle s'accrochait.

— Hum, c'est bien, ma chérie. Quel zèle ! Je te félicite : tu es vraiment une excellente suceuse. Allez, descends du lit maintenant. Prends la carpette, mets-la ici, et installe-toi dessus confortablement… à quatre pattes, naturellement ! Oui, là, comme ça, parfaitement. Tu creuses bien tes reins, tu te cambres bien ; oui ; comme ça. C'est parfait, on n'a presque rien à te demander : tu t'offres, tu offres ton cul à merveille. Quelle belle salope tu fais !

Je repris du gel, attrapai l'extrémité du plug et tirai lentement dessus. Il vint en faisant un "plop". Je remis une bonne dose de gel lubrifiant sur le bout de l'objet, en versai aussi sur son anus tout rond qui restait un peu entrouvert, et je lui remis le plug qui rentra tout seul, et jusqu'au bout. Je le fis ressortir et rentrer une demi-douzaine de fois ; le canal était bien souple, laissant glisser le toy sans difficulté.

Je le posai sur le lit et lui déclarai solennellement :

— C'est parfait ; tu es prête à être enculée, ma belle !

Je posai mes deux mains sur ses fesses bien déployées ; leur surface était bien tendue, puis je m'accroupis au-dessus de son fessier ainsi exposé. La rondelle qui bâillait était un appel, offerte au sacrifice. Je pris ma queue raide dans ma main et la guidai vers son petit trou borgne. Le gland passa sans difficulté. J'enfonçai lentement ma grosse pine dans le petit orifice de la retraitée vicieuse. Il était serré, mais mon vit glissa sans douleur ni résistance ; je sentais les spasmes de son muscle anal me presser la queue, mais son cul se rendait sans heurt.
Je descendis, lui enfonçant mon dard jusqu'à la garde, et je la félicitai :

— C'est bien : vous avez pris toute ma pine dans le cul ! Maintenant je vais vous besogner, vous enculer comme vous le méritez.

La bonne femme n'avait quasiment pas bronché ; elle encaissait bien. Elle se faisait sodomiser sans faiblir. Je me mis à la pilonner lentement, à lui prendre le fondement à longs coups de bite souples. Ces mouvements eurent l'air de lui faire de l'effet : elle se mit à râler, à pousser de longues plaintes saccadées, au rythme de la saillie.

Je pris ses larges hanches à pleines mains et me mis littéralement à lui défoncer le cul, ce qu'elle eut l'air d'apprécier. Elle se mit à beugler, à pousser des cris de bête blessée ; elle avait l'air de commencer à jouir, et de façon ininterrompue. Tout son corps replet était secoué par mes coups de boutoir et par les spasmes de jouissance qui la faisaient trembler tout entière ; ses jambes durent même faiblir car elle s'affaissa et s'affala à plat-ventre, mais je restai collé contre son gros derrière et continuai à la pilonner à grands coups de pine.

Ma jouissance monta d'un seul coup ; je rugis et lui envoyai de puissants jets de foutre tout au fond de son cul. Je me vidai en elle, lui offrant un lavement gratuit.

Elle semblait anéantie, et je ne valais guère mieux. J'étais allongé sur elle, collé de tout mon poids sur son dos que je caressais tendrement, l'embrassant sur le cou, les épaules.
Elle s'ébroua, eut un rire nerveux, disant que je la chatouillais.
Je finis par sortir de son canal étroit et l'aidai à se relever.

Manifestement, cela faisait longtemps qu'elle ne s'était pas livrée à une pareille partie de baise, qu'elle n'avait pas eu l'occasion de fournir un tel effort physique. Que d'émotion !
Elle avait le visage rouge, ses yeux bleu pâle brillaient sous l'effet du plaisir.

Je la pris par la main, l'amenai à la douche et lui donnai un drap de bain. Elle affichait un sourire de satisfaction. Elle semblait épanouie, transformée. La thérapie avait l'air de fonctionner.

Quand elle ressortit de la douche, je la gratifiai d'un charmant sourire :

— Alors, Madame, comment vous sentez-vous ? Mieux, j'espère.

Elle baissa un instant les yeux, un peu gênée.

— Je ne vais pas vous mentir : j'ai eu beaucoup de plaisir… mais vous m'avez bien eue avec vos thérapies nouvelles ! ajouta-t-elle en souriant.
— Oui ça je vous ai eue… au sens propre, en tout cas. Mais c'est vous qui croyiez trop aux nouveautés, alors qu'il n'y a rien de mieux que les vieilles méthodes curatives ; elles sont veilles comme le monde, et très bien éprouvées ! Et je ne vous ai pas menti sur les bénéfices de ces thérapies : l'orgasme, c'est bon pour tout. Vous n'allez pas tarder à le ressentir.
— Je vous crois… En tout cas, j'espère bien !

Il y eut un petit silence tandis qu'elle se rhabillait, puis elle ajouta :

— Mais maintenant que vous avez commencé à me « soigner », vous allez devoir me consulter à intervalles réguliers… Vous savez ce que c'est quand on vieillit : les maux deviennent chroniques, ils ne sont jamais guéris. J'espère bien que vous pourrez m'administrer votre traitement de temps en temps…
— Bien entendu ; je n'abandonne jamais mes patientes. Je vais vous donner mon numéro de portable, et je vous consulterai… en fonction de mes disponibilités.

Elle s'approcha de moi et m'enlaça doucement, probablement en signe de reconnaissance ; je pris sa bouche et l'embrassai longuement, puis, je repris mes esprits.

— Vous voulez prendre un petit thé avant de partir ?
— Oui, volontiers.

J'avais donc une nouvelle amante. Décidément, j'allais être vraiment occupé !