Il m'est arrivé un truc ce soir

J'y suis peut-être allé trop fort sur ce coup-là. J'espère que tout se passera bien pour Maëlle aujourd'hui et qu'aucun mec ne va l'emmerder. Si je continue sur cette voie, je vais finir par lui donner une réputation de salope au lycée. Je lui envoie un message en cours de matinée pour savoir comment cela se passe. Elle me répond que tout va bien. Une photo accompagne son message : un selfie pris dans les toilettes, sur lequel elle a sorti un sein qu'elle tripote. J'ai soudain chaud.

À la pause café, je surprends une conversation entre deux de mes employés ; ils sont en train de parler du dernier Ninja Attack. Intrigué, je me joins à la conversation et j'apprends que l'épisode IV est sorti en DVD. Heureuse nouvelle, j'avais hâte de le revoir. Je ne manquerai pas de l'acheter et de le regarder avec Maëlle… Ah oui, je viens seulement de me souvenir qu'elle n'avait pas apprécié le film, chose que je ne suis pas censé savoir vu qu'elle n'en a parlé qu'à son admirateur. Tant pis. Au pire, je le regarderai tout seul.

Entre le film, les photos coquines que continue de m'envoyer Maëlle et l'arrivée du week-end, je suis excité toute la journée. Un peu après midi, je prends une décision ; je réunis mon équipe pour une annonce.

— Voilà, ça fait plusieurs semaines qu'on se donne tous à fond et qu'on a accompli ensemble un boulot sensationnel. Je suis fier d'avoir une équipe si soudée et efficace. Je pense qu'on a bien mérité de prendre un peu de temps pour soi. C'est pourquoi, je propose que l'on quitte le boulot quelques heures plus tôt aujourd'hui. Ne vous inquiétez pas, vos heures seront payées comme à l'habitude.

Bien entendu, tout le monde est heureux d'accepter ma proposition. Nous mettons donc fin à notre semaine peu après. En sortant, je cours dans une grande surface afin d'acheter le blue ray tant convoité. Je prends aussi une bouteille de champagne. Ceci fait, je rentre chez moi et profite d'un bon bain chaud.

Je suis dans le salon quand Maëlle rentre du lycée. Toujours dans la tenue souhaitée par son admirateur, elle ouvre la porte et reste pétrifiée en me voyant. Eh oui, ma belle, tu n'as pas eu le temps d'aller te changer : je t'ai piégée ! Je fais cependant mine de rien, lui souhaite la bienvenue et la serre dans mes bras.

— Euh, salut papa. Tu es rentré de bonne heure, dis donc !
— Oui, j'ai lâché l'équipe plus tôt, fais-je avec le sourire. Viens, rentre, installe-toi. J'ai une surprise pour toi !

Elle me regarde, intriguée, et obéit. Je me précipite dans la cuisine et lui sers une flûte de champagne que je lui apporte. Elle semble de plus en plus perplexe.

— C'est en quel honneur tout ça ? Tu as empoché un nouveau contrat, c'est ça ?
— Non, je voulais juste passer un bon moment avec toi. Et voilà de quoi nous assurer une meilleure soirée.

Je sors de sa cachette le blue ray de Ninja Attack IV et le lui montre. Elle mime un sourire, mais vu que je connais ses véritables sentiments par rapport au film, je suis capable de voir au-delà de l'illusion.

— Bah, qu'est-ce qu'il y a ? Tu n'as pas l'air si enthousiaste que ça. Je pensais que ça te ferait plaisir.
— Ben, j'ai une rédaction pour la semaine prochaine. Je pensais la commencer ce soir, histoire de m'avancer.

Menteuse ! Il est évident qu'elle espérait plutôt retrouver son prétendant.

— Tu es trop sérieuse, ma biquette ! Lâche-toi un peu et profite de ta soirée. Tu feras ta rédac' plus tard.

Comme elle ne semble pas bien convaincue, j'insiste un peu pour la pousser à cracher le morceau. Au final, elle abandonne et m'avoue la vérité. Nous avons ainsi à peu de chose près la même discussion qu'elle avait eue il y a quelque temps avec son admirateur. Elle est vraiment désolée parce qu'elle pense me faire de la peine. Je la prends dans mes bras pour la rassurer. J'en profite pour respirer son parfum envoûtant. Je la serre contre moi plus que de raison, appréciant la chaleur de son corps contre le mien.

Elle me quitte et rejoint sa chambre tandis que je prépare le repas. Je la rappelle une fois la table mise. Hé-hé, me voilà satisfait : cette fois elle ne s'est toujours pas changée. Maintenant qu'elle sait que je ne lui fais aucune remarque, elle ne s'embête pas à se cacher. D'ailleurs, un rapide coup d'œil m'indique que son soutien-gorge est toujours absent. Peut-être aussi sa culotte ?

Après le repas, je me cale sur le canapé et lance le film tandis que ma belle rejoint sa chambre. Une demi-heure plus tard, je sens mon nouveau portable vibrer. Je suppose que Maëlle s'impatiente de l'arrivée de son correspondant. Je lis le message : «  Je me connecterai plus tard ce soir, je vais mater un film avec mon père. » Ah ? Elle a changé d'avis ? En effet, la voilà qui pointe le bout de son nez quelques minutes plus tard. Je l'invite à s'installer à mes côtés.

— Je croyais que tu l'avais trouvé nul ?
— Oui, mais j'avais envie de passer un peu de temps avec toi, alors ça ne me dérange pas de le revoir.

Hé-hé, la soirée prend une bonne tournure ! Je nous sers à chacun une flûte de champagne et remets le film au début. Nous trinquons. Maëlle paraît amusée par ma bonne humeur, puis elle vient se blottir contre moi.

Le film avance et la bouteille de champagne se vide peu à peu. Bercé par la chaleur de l'alcool et celle de ma fille, je me sens bien, détendu.

— Non mais, regarde cet acteur de merde ! T'as vu la tête de gogol qu'il se tape, là ? Franchement, ils auraient pu choisir mieux pour le rôle principal !

La remarque de Maëlle me fait éclater de rire. Oui, j'avoue que sur le moment, l'expression de l'acteur traduit plus le mec pris de coliques monstrueuses que celui qui cherche à impressionner son adversaire.

Tournée sur le côté et collée à moi, la position de Maëlle laisse une partie de ses fesses dégagée. Voilà qui est très tentant. J'ai bien envie d'y déposer ma main et de tâter le terrain. Pour le moment, je me contente de caresser le bas de son dos et de tester ses réactions. Autre chose tentante : sa poitrine qui s'écrase contre mon torse et qui semble vouloir s'enfuir du décolleté.

Le film se poursuit et notre héros, le fils du Dragon, rencontre son love interest en la personne de la charmante Panthère farouche. J'avais adoré ce moment au cinéma – surtout parce que l'actrice est bien roulée et apparaît dans une tenue affriolante – mais bizarrement, ce soir, la scène me paraît bien plus banale. Peut-être juste la présence de Maëlle qui me distrait ?

— Et là, c'est pas écrit un peu n'importe comment, cette relation ? Genre, elle vient d'apprendre son existence il y a à peine cinq minutes et déjà elle l'aime à la folie et lui ouvre ses cuisses… C'est naze ! Une relation, ça se construit, ça monte en crescendo, ça surmonte les différents obstacles pour atteindre la consécration. Là, il n'y a aucun enjeu. L'intérêt narratif est donc nul.
— Attends, je veux bien, mais le film n'est pas centré sur leur histoire. Il se passe plein de choses à côté. Il n'a donc pas le temps de développer plus cet arc.
— D'autres choses à côté ? Ben, le scénario se base sur une simple histoire de vengeance. Rien d'exceptionnel là-dedans. Et puis avec le mystère qu'ils tentent d'instaurer autour des origines de la meuf, on sent bien que la relation entre les deux personnages va être centrale. Cela méritait donc un meilleur développement.
— Ouais, OK, un point pour toi.
— Et puis ce rebondissement à la con, genre en fait la meuf c'est sa demi-sœur cachée, c'est n'importe quoi !
— Quoi ? C'est l'inceste qui te dérange ?
— Non, pas vraiment. À vrai dire, l'inceste dans une histoire peut être un thème intéressant, mais encore faut-il qu'il soit bien traité. Là, dès qu'ils apprennent la vérité, on comprend que ça ne va pas changer grand-chose sur la suite du film. Elle proteste un peu mais elle va céder à coup sûr. Non, c'est surtout que j'ai prédis ce retournement gros comme une maison.

Plus le film avance, plus je commence à me dire qu'elle avait raison de le trouver nul. C'est bizarre, mais je le regarde d'un tout nouveau œil. Je ne suis plus aveuglé par la nostalgie et les effets spéciaux. C'est vrai qu'à y regarder de plus près, l'histoire n'a rien d'exceptionnel. Elle est même plutôt bancale et fait cliché. En fait, c'est tellement mal joué et écrit que ça en devient risible !

De son côté, ma main continue son petit bonhomme de chemin. Le manque de réaction de Maëlle m'a permis d'atteindre ses fesses que je commence à caresser avec tendresse. Malgré l'épaisseur de la jupe, on devine aisément le volume de ces charmants globes.

— Ha-ha, mais t'as vu ça, l'énorme faux-raccord ?
— Ah non, je n'ai pas vu. Remets en arrière pour voir.

Je le fais et lui indique du doigt où regarder. Alors que l'acteur est brun, lors d'une scène de combat sa doublure est blonde. De plus, un de ses adversaires disparaît littéralement le temps d'un plan. Cette fois, c'est bon, je me range à l'avis de Maëlle : ce film est une catastrophe tellement il est mauvais. Mine de rien, nous passons tout de même un excellent moment. Nous sommes pris de fous rires à chaque nouvelle boulette du film, d'autant plus que le champagne nous est à tous deux monté à la tête.

Mon regard a de plus en plus de mal à se concentrer sur le film, et je me retrouve à loucher très fréquemment dans le décolleté de Maëlle. L'alcool aidant, je me sens plus téméraire. Ma main commence à lui caresser plus franchement le cul. Je ne sens pas de trace de culotte. L'idée qu'elle n'en ait pas remis m'obsède de plus en plus. Il me faut vérifier d'une façon ou d'une autre.

Ma main tente un assaut sur le flanc de sa cuisse. Aucune réaction de la part de Maëlle. Je peux enfin apprécier la douceur et la chaleur de sa peau. Je caresse avec de petits gestes qui se font de plus en plus amples. Mes doigts jouent avec le bas de sa petite jupe. Toujours aucune réaction de sa part. Son attention semble concentrée sur le film. À moins qu'elle fasse semblant de ne rien remarquer.

Mon cœur bat la chamade tandis que deux petits doigts s'infiltrent doucement sous la jupe. J'ai très envie d'y plonger la main. Que se passerait-il ? Accepterait-elle ce contact sans broncher ? Me repousserait-elle ? Me prendrait-elle pour un cinglé ? C'est une folie, je sais ; mais l'esprit embrumé par l'alcool, je n'ai plus les idées claires. Je me lance.

Merde alors, je suis presque déçu de sentir le contact d'une culotte. C'est vraiment dommage, mais en même temps je peux la comprendre. Je n'ai rien dit en voyant la tenue qu'elle portait en revenant du lycée, mais elle n'allait pas tester ma réaction si jamais je m'apercevais qu'en plus elle ne portait pas de culotte.

Quoi qu'il en soit, je profite de ce cul offert et le caresse avec plaisir. Bien qu'elle ne montre toujours aucun signe de rejet, je décide de ne pas pousser ma chance plus loin et de ne pas glisser ma main sous la culotte. Ce n'est pas l'envie qui me manque, pourtant. Je bande comme un dingue. Heureusement, la semi-obscurité de la pièce camoufle un peu mon état. En revanche, la main de Maëlle posée sur ma cuisse à quelques centimètres me menace bien plus. Un geste maladroit de sa part et je serais trahi.

Le film se termine sans rien de plus de notable. Maëlle me souhaite une bonne nuit, m'offre un tendre baiser sur la joue et se sauve dans sa chambre, me laissant dans un état second. Bon, j'en aurai bien profité, mais il est maintenant temps de finir la soirée sur Twibook.

Hop, en un rien de temps je suis calé dans mon lit, l'ordinateur portable sur les genoux, prêt à découvrir la suite de la soirée. Un SMS de Maëlle m'a confirmé qu'elle attendait son admirateur. J'ouvre la page de discussion.

« Salut, écrit-elle. Je voudrais te raconter un truc, mais faut que tu me promettes de ne pas me juger. »
« Bien entendu, ma belle. Tu peux tout me dire, n'aie pas peur. »

Mon cœur fait un bond de joie. J'ai bien l'impression qu'elle va me parler de sa soirée avec son père, qu'il lui a caressé le cul. Je la vois déjà avouer que cela lui a plu et l'a excitée. Je ne suis donc pas le seul à fantasmer sur une relation incestueuse entre nous deux !

« Voilà, il m'est arrivé un truc ce soir. Tu promets vraiment de ne pas me juger ? »
« Mais oui, c'est promis ! »

Ah là la, elle fait durer le suspens, la garce !

« Tu sais qu'il y a des grèves de trains en ce moment. »
« Euh oui, pourquoi ? »

Hein ? Mais c'est quoi le rapport ?

« Ben, il y a beaucoup de personnes qui ont pris les bus à la place, et notamment celui que je prends pour revenir du lycée. »

Bon, je crois que je commence fortement à douter que son histoire ait un quelconque rapport avec son père. Quelle déception !

« Et là, ce soir, le bus était vraiment plein à ras bord. Impossible de trouver une place assise. J'ai dû me caler dans un coin et me tenir à ce que je pouvais pour ne pas tomber, ou plutôt pour éviter autant que possible d'écraser mes voisins à chaque cahot du bus. Ce n'était pas très pratique. J'avais la main sur une barre, mais malgré ça mon équilibre était précaire et je me suis retrouvée plusieurs fois à bousculer mes voisins. »
« Je vois. C'est toujours une plaie de prendre des transports en commun pleins à craquer. »
« Oui, mais ce n'est pas ça le souci. C'est qu'à un moment, j'ai commencé à sentir un contact sur mes fesses. Je me suis dis « Bon, on est tous serrés, la personne ne le fait sûrement pas exprès, ce n'est pas grave. » Sauf que ce contact a commencé à plaire au monsieur derrière, car oui, avec le truc que je sentais pointer, je n'ai pas eu de mal à identifier mon voisin de derrière. J'avais l'impression qu'à force, il faisait exprès de se coller encore plus à moi. De mon côté, je n'avais pas d'espace pour l'éviter, alors je n'avais pas trop de choix que de le laisser faire. »
« Tu aurais pu lui demander d'arrêter, aussi. »
« Oui, mais je ne l'ai pas fait. Je sais pas, je n'étais pas sûre qu'il le faisait exprès. Ça aurait été con de lui demander de reculer s'il n'avait pas d'espace derrière lui. Enfin bref, le mec s'est enhardi et a fini par me coller une main aux fesses. D'abord furtivement comme pour me tester, puis plus franchement. »
« Comment as-tu réagi ? »
« Ben, je n'ai rien fait. Au début, j'avais un peu la trouille. Je ne savais pas trop comment réagir. Après, je me suis imaginé que c'était peut-être toi derrière. »
« Moi ? »
« Ben oui, tu en sais beaucoup sur moi. Tu dois bien savoir quel bus je prends, et à quelle heure. Tu aurais peut-être pu profiter de la grève pour tenter une approche. Comme j'étais un peu perdue dans mes pensées en entrant dans le bus, je n'ai pas remarqué s'il y avait des gens que je connaissais. Oui, je sais, c'était peu probable que ce soit toi, mais cette faible probabilité commençait à m'exciter. J'ai donc décidé de laisser faire l'inconnu et de ne pas chercher à voir qui était derrière moi. Alors, tu ne me juges toujours pas ? »
« Je dois avouer que tu me surprends une nouvelle fois ; mais non, je ne te juge pas. Vas-y, continue ton récit. Je veux lire la suite. Comment cela s'est fini. »

Merde alors ! Un putain de connard a profité de la situation pour peloter ma fille ! Je suis partagé entre la colère mêlée à de la jalousie envers ce type, et une profonde excitation.

« Comme il a vu que je ne réagissais pas, il n'a pas mis beaucoup de temps avant de glisser sa main sous ma jupe et, comme tu le sais, je ne portais rien en dessous, il a dû penser que j'étais une grosse salope qui n'attendait que ça, alors il ne s'est pas gêné. Il m'a pincé les fesses, m'a caressé la chatte et me l'a doigtée ainsi que mon cul. Son autre main est même venue me peloter un sein à un moment. J'étais vraiment très excitée, et je coulais comme une fontaine. J'étais complètement à sa merci ; impossible de lui échapper, et je prenais plaisir à ça. Je fermais les yeux pour profiter au maximum de ces attouchements et du bien-être qu'ils me procuraient. J'avais l'impression que tout le monde savait ce qui était en train de se passer, et ça m'excitait encore plus. Le type a fini par sortir sa queue pour la glisser sous ma jupe et la frotter le long de mon cul. Ça m'a rendue encore plus dingue. J'ai accompagné ses mouvements, agaçant sa bite avec mon cul. J'avais envie qu'il me pénètre et qu'il me baise, là, devant tout le monde. J'étais prête à m'empaler sur lui mais il a joui avant. J'ai senti plusieurs jets chauds se répandre sur mon cul et glisser ensuite le long de mes jambes. J'aurais dû être dégoûtée, mais en fait j'en étais plus fière. Je dois être une immonde salope, non ? »
« Bien sûr que non. Tu as donné du plaisir à un inconnu et tu en as pris en même temps. Rien de mal à ça. »
« Alors tu ne m'en veux pas ? »
« Pourquoi je t'en voudrais ? »
« Ben, je sais que tu me désires, et en y réfléchissant après coup, je suis quasiment sûre que ce n'était pas toi. Je te vois mal prendre le risque de t'introduire dans mon bus pour me peloter. J'ai donc eu peur de te faire souffrir en laissant quelqu'un d'autre me faire ça. »
« Écoute, ma chérie, tu es majeure, tu fais ce que tu veux. Il y a un temps, oui, j'aurais pu t'en vouloir si j'avais appris cette histoire, mais aujourd'hui je me rends compte que ça ne m'atteint pas. Au contraire, ça m'a plutôt excité. Ce que nous partageons toi et moi est exceptionnel, et jamais je n'aurais pu rêver mieux. Ce n'est pas parce que tu vis quelque chose à côté que ça va changer quoi que ce soit entre nous deux. »
« Ouf, tu me rassures ! J'avais peur d'avoir fait une bêtise et que tu m'en veuilles. Du coup, j'ai quelque chose d'autre à te dire. »

Quelque chose d'autre ? Va-t-elle me parler de sa soirée avec son père ce coup-ci ? Mon espoir renaît !

« Tu te souviens de mon amie Lulu, celle qui m'a prise en photo ? »
« Oui, celle qui a fini par te faire un cunni… »
« Oui, c'est ça ! Elle est au courant pour nous deux. Ce n'est pas ma faute ; je ne lui ai rien dit. C'est elle qui a tout découvert toute seule. Disons que mes changements de comportement et de tenues lui ont mis la puce à l'oreille. »
« Ah mince, j'avoue que je préférerais éviter que ça se sache. »
« Je sais, mais ne t'inquiète pas : elle a promis de ne rien dire. Je pensais l'inviter à venir chez moi ce week-end. Lulu souhaite te rencontrer ; ça t'intéresse ? »