Lulu souhaite te rencontrer

Rencontrer Lulu… Bien sûr, Maëlle ne voulait pas dire physiquement, mais faire connaissance sur le net. Elle avait prévu de l'inviter ce week-end afin de nous mettre en contact. Je me demande bien ce que sa camarade doit avoir derrière la tête, mais étant donné qu'elle a profité d'une séance photo pour pervertir ma douce fille, je me doute que ses intentions ne sont pas très catholiques.

C'est au cours de la semaine suivante que Maëlle me demande l'autorisation d'inviter son amie Lucie à la maison. Comme son admirateur est d'accord pour « rencontrer » Lulu, il ne manque plus que son père donne son accord pour qu'elle vienne. Bien sûr, Maëlle ne lui a rien dit de leurs projets. Et en attendant la venue de son amie, quasiment chaque soir de la semaine est ponctué par des séances de webcam qui nous apportent beaucoup de plaisir. Maëlle parle plus en détail de Lulu à son admirateur, des choses que je connaissais déjà en tant que père.

Lulu est débordante d'énergie, malicieuse et espiègle. Elle a souvent le mot pour rire et l'esprit affûté. Elle prend un malin plaisir à taquiner, à retourner vos mots ou vos actes contre vous. Question physique, elle a les cheveux roux coupés à la garçonne, de magnifiques yeux verts – tout comme Maëlle – et des lèvres pulpeuses. Sa poitrine est plus menue que celle de ma fille mais ressort bien, vu son corps svelte. Chez cette demoiselle, le plus attirant est son derrière : j'ai rarement vu un cul aussi bien dessiné. Bien qu'elle soit une amie de ma fille, j'avoue que mon regard s'est plusieurs fois attardé sur cette croupe.

Maëlle et elle se connaissent depuis le début du lycée. Leur rencontre a été très positive pour ma fille qui ne sortait vraiment plus du tout et qui n'avait presque aucune vie sociale depuis le décès de sa mère. Elle s'était renfermée sur elle, mais la fraîcheur et la fougue de sa jeune camarade lui ont permis de retrouver le sourire. Ainsi, ma porte a toujours été ouverte à Lulu.

Vendredi soir, notre invitée n'est toujours pas arrivée. Là, je suis en train de préparer le dîner, des tomates farcies. J'ai les mains plongées dans la préparation de la farce. Soudain, la voix de Maëlle résonne derrière mon dos :

— Tiens, papa, t'avais laissé ton téléphone dans le salon. Tu as reçu un message.
— Ah, OK. Pose le téléphone sur la table, je regarderai plus tard. Là, mes mains ne sont pas vraiment dispos.
— Si tu veux, je te le lis.
— Oui, pourquoi pas.
— Il faut juste que tu me donnes le code pour le déverrouiller.
— 3945.
— OK, merci. C'est un nouveau téléphone ? Il est tout rouge celui-là. Je ne me souviens pas l'avoir déjà vu…

Nouveau téléphone de couleur rouge ? MERDE ! Comme un con, j'ai laissé traîner le portable de l'admirateur. Paniqué, je me retourne et lui hurle de poser le portable, un peu comme si c'était une bombe. Stupéfaite, elle écarquille les yeux sans rien y comprendre. Je commence à bredouiller quelques explications pour tenter de rattraper le coup, mais rien de bien convaincant. Heureusement, la sonnette fait diversion : Lulu vient d'arriver. Ouf, sauvé par le gong !

Lulu montre la pointe de son fin nez dans la cuisine. Un sourire lui dessine des lèvres appétissantes. Elle s'appuie contre l'embrasure de la porte, les mains enfilées dans les poches de son jean slim. Ses cheveux courts et roux tiennent légèrement en l'air grâce à un peu de gel. Du mascara souligne son regard malicieux. Je lui lance un « coucou ». Elle s'avance vers moi pour me faire la bise, m'offrant accidentellement une vue sur le décolleté de son débardeur rose.

— Salut, Adam, comment vas-tu ?
— Très bien ; et toi ?

Me tutoyer, elle l'a fait dès le premier jour. Elle est très naturelle et spontanée. Parfois, un vrai ouragan. Elle a un an de plus que Maëlle, ayant redoublé une année de primaire à cause d'une longue maladie.

On discute rapidement – juste des banalités – puis elle rejoint ma fille pendant que je termine le repas. Elles montent dans la chambre tandis que je reste là à les imaginer déjà enlacées. Sans que je m'en sois aperçu, une érection me prend.

La cuisson finie, je mets les couverts et appelle les filles. Elles descendent, hilares, mais refusent de me mettre dans la confidence. Je sers l'apéro et nous entamons doucement le repas. Les filles discutent un peu du lycée. Lulu me détaille des points croustillants dont j'ignore tout. Au moment des tomates farcies, il y a un blanc dans la conversation ; c'est alors que Lulu se lance sur un sujet sensible :

— Alors, Ad, Ma m'a dit que tu t'es lancé sur Twibook.
— Oui, en effet, rougis-je, pas du tout prêt à évoquer le sujet.
— Ouais, c'est cool, ça ! Tu dragues de la minette, c'est ça ?

Me voici aussi rouge que le contenu de mon assiette. Au contraire, le visage de Maëlle a subitement blanchi.

— Lulu… rouspète ma fille.
— Ben quoi, c'est bien ce que tu m'as dit ?
— Je n'en étais pas sûre…
— Eh bien c'est l'occasion de savoir. Alors, Adam ?

Oui, je me souviens de la théorie de Maëlle qui voulait que ma présence sur le réseau social s'explique par une nouvelle relation. Je ne m'attendais pas à ce que Lulu la balance sur le tapis.

— Euh, c'est à dire que… bredouillé-je, il se pourrait que je voie quelqu'un, en effet.

Je n'ai rien trouvé d'autre à dire, sinon comment expliquer ma présence sur le réseau ? Maëlle baisse les yeux. Impossible de lire sa réaction.

— C'est cool que tu te mettes à Twibook. Tu me rajouteras à tes contacts ?

Maëlle relève la tête d'un coup et lui lance un regard noir.

— Mais pourquoi tu veux parler à mon père sur Twibook, toi ?
— Ben quoi, Ad a toujours été cool. J'aime bien discuter avec lui. Alors, Ad ?
— Ouais, ouais, si tu veux. Je t'ajouterai.

Va donc vraiment falloir que j'ouvre un compte officiel en plus de celui de l'admirateur ? Tout cela pour couvrir ma connerie… Ça commence à vraiment déconner, cette histoire !

— Twibook, c'est plutôt un truc de jeunes, reprend la rouquine. Tu les aimes jeunes, tes conquêtes ?

Gloups ! Je ravale ma salive, mal à l'aise. Lulu semble s'amuser à me torturer. Quelle saleté ! Maëlle n'est pas en reste, aussi gênée que moi.

— Ben, euh… non, pas tant que ça. Elle a la quarantaine.
— Ah ouais ? Mais tu es sûr de qui est derrière l'écran ? On ne sait jamais qui pourrait se cacher derrière ; n'est-ce pas, Maëlle ?

Là, c'est une référence évidente à l'admirateur qui n'a, bien entendu, pas échappé à une Maëlle rubiconde.

— Oui, oui, euh… mais ce n'est pas si important, non ? C'est la personnalité qui compte…
— Mais imagine que ce soit une vieille pleine de croûtes. Tu vas pas me faire croire que ton père a un avenir possible avec elle ? Il ferait mieux de…
— Non, ce n'est pas une mamie, la coupé-je.
— Ah oui, et comment tu le sais ? Tu t'es fait des plans cam avec ?
— Euh, oui, on a discuté par webcam…
— Elle ressemble à quoi, alors ?

Je ne sais pas pourquoi, je lui donne la description complète de Valérie, la nouvelle membre de mon équipe. Pourquoi elle ? Je n'en sais rien ; il me fallait répondre vite et j'ai pris la première personne qui m'est passée par la tête. Peut-être car c'est la dernière femme à m'avoir fait des avances.

— Ah oui ? C'est curieux, j'imaginais plutôt que ton type de femme était une blonde avec une jolie paire de seins.
— Lulu… se plaint Maëlle, et si on parlait d'autre chose ? Laisse mon père tranquille avec ça. Cela ne nous regarde pas.
— Très bien, concède son amie avec un sourire en coin. Ad, n'oublie pas de m'ajouter.
— Oui, oui…

Voilà, cette saleté de Lulu ne nous embête plus. À croire qu'elle se doute de quelque chose. Cherchait-elle à me tester ? Non, je n'ai rien laissé comme indice, aucune chance qu'elle me prenne pour l'admirateur, mais je me promets de faire très attention avec elle.

Le repas se termine donc sans aucune autre question gênante. Ouf, parce que Maëlle et moi ne savions plus où nous mettre, ce qui semblait beaucoup amuser la rouquine qui s'est toujours sentie libre de parler de tout.

Après le repas, les filles retournent dans la chambre. C'est l'heure de filer sur Twibook pour enfiler mon costume d'admirateur. La cam de ma fille s'allume. Maëlle et Lulu apparaissent toutes les deux assises l'une à côté de l'autre. Maëlle me salue d'un signe de main et m'offre un magnifique sourire. Quelles lèvres ! Je rêverais de les embrasser. Son amie l'observe en souriant en coin. Je suis quand même curieux ; qu'a-t-elle réellement en tête ?

« Bonsoir, Monsieur l'admirateur » tape Lulu.
« Bienvenue, Lulu. Ravi de faire ta connaissance. Alors comme cela, tu souhaitais me rencontrer ? Qu'est-ce que tu voulais ? »
« Déjà, de la curiosité. En fait, je me demandais quel homme avait bien pu pervertir notre trop sage Maëlle. Tu as l'air d'un sacré phénomène ! Qu'est-ce que tu attends vraiment d'elle, au juste ? »

Tiens… se méfie-t-elle de moi ? Est-elle inquiète pour son amie ? Ou peut-être un peu jalouse de moi ? Après tout, elle l'a dévergondée avant moi ; peut-être qu'elle nourrit des sentiments pour ma fille. Voilà au moins quelqu'un qui reste méfiant !

« Je ne sais pas si Maëlle t'a raconté en détail, mais à la base je ne cherchais qu'à discuter et à mieux la connaître. Je ne cherchais pas à la « pervertir ». À vrai dire, et elle pourra te le confirmer, c'est elle qui m'a grandement poussé sur cette voie. »

Sur l'écran, Maëlle hoche la tête, fière d'elle.

« Alors si j'ai bien compris, vous êtes quelqu'un de l'entourage de Maëlle mais vous refusez de dire qui. »
« Oui, c'est bien cela, Lucie. »
« Donc elle vous connaît forcément. Il y a de grandes chances que moi aussi, alors ! »
« C'est une possibilité, mais je ne te le confirmerai pas afin de ne pas donner d'indice sur mon identité. »
« Comme c'est pratique… » ironise Lulu.
« Que penses-tu de cette situation, Lucie ? Penses-tu qu'elle fait une erreur ? Penses-tu que je puisse être dangereux ? »
« Non, pas vraiment. À vrai dire, elle a l'air de prendre beaucoup de plaisir et de se lâcher un peu plus. C'est agréable de voir Maëlle de si bonne humeur. »
« Alors tu approuves notre relation ? »
« Pas complètement ; je trouve ça un peu bizarre, le coup de l'admirateur à l'identité cachée. Mais si c'est votre délire à tous les deux, pourquoi pas ? Mais tu n'as pas répondu vraiment à ma première question : qu'est-ce que tu attends d'elle ? Tu aimerais bien la baiser ? »

Oui, Lulu n'a jamais eu sa langue dans sa poche. La voilà qui me met au pied du mur.

« Oui, j'avoue, je ne serais pas malheureux de lui faire l'amour. »
« Quoi, c'est tout ? J'attendais plus de détails ! Comment voudrais-tu la baiser ? »
« Je voudrais l'embrasser, la caresser, la lécher partout, palper ses seins et embrasser ses fesses. Je voudrais l'allonger sur son lit et m'abreuver à sa source intime. Je voudrais la voir à genoux prête à me sucer. Je voudrais lui faire l'amour lentement dans son lit et la prendre sauvagement le long d'un mur. Je voudrais la voir à quatre pattes, le cul tendu, prête à me recevoir. Je voudrais lui offrir tout et la soumettre à mes moindres désirs en même temps. »
« Moi aussi… » m'écrit Maëlle les yeux rêveurs.
« Alors, qu'est-ce que tu attends ? » enchaîne Lulu.
« C'est impossible ! »
« Pourquoi ? »
« C'est compliqué… »
« Oh, vous m'agacez tous les deux. Tu la fais mouiller, elle te fait bander : alors baisez ensemble ! Je ne vois pas en quoi c'est compliqué. Je ne comprends pas pourquoi tous les deux vous vous mettez autant de barrières et que vous n'assumez pas vos désirs. »

Se mettre des barrières ? Ne pas assumer ? Tiens, j'ai comme qui dirait déjà lu un discours similaire. C'est à peu de chose près le même discours de Maëlle lorsqu'elle m'a lancé son ultimatum dans les premiers jours de nos échanges. Tout ne peut pas être si simple. C'est ma fille ; je serais vraiment un monstre si je franchissais le pas avec elle. Maëlle dit quelque chose à son amie. Elle a l'air de prendre ma défense. Lulu, a priori peu convaincue, lève les yeux au ciel.

« C'est vraiment compliqué, Lucie, mais je ne peux pas vraiment expliquer pourquoi. »
« Ce n'est pas grave, me répond Maëlle. Même si on se voit pas physiquement, je prends beaucoup de plaisir. Et puis j'aime vraiment le mystère de ton identité. »
« Oui, c'est ça. L'important, c'est de prendre du plaisir, et je suis heureux de pouvoir te permettre d'en prendre. »
« Alors c'est ça ? reprend Lulu. Vous cherchez juste à ce qu'elle prenne du plaisir ? »
« Oui, c'est ça. Je ne vais pas mentir : j'en prends aussi au passage. Mais oui, c'est ce que je veux. »
« Bon, OK, votre délire me plaît. Du coup, j'aimerais bien rentrer dans la partie. »

Ah oui ? Elle n'y va pas par quatre chemins ! Je me doutais qu'elle devait être assez volage – son caractère pétillant laissait peu de doutes – mais j'ignorais qu'elle avait aussi peu froid aux yeux.

« Attends, es-tu sûre de toi ? Tu ne me connais pas ; n'es-tu pas gênée ? »
« Bof, comme tu le sais déjà, Maëlle et moi nous avons déjà vécu un truc. J'avais juste hâte de recommencer. Ce sera plus marrant si un vieux pervers nous mate et nous donne des ordres. »

Maëlle est aussi rouge que lors du repas, même si elle semble moins mal à l'aise.

« Vas-y » me lance la rouquine.
« Vas-y quoi ? »
« Dis-nous comment nous tripoter, comme vous faites d'habitude. »

Euh, comme ça ? Je suis excité mais n'ai pas encore réfléchi à comment débuter. J'hésite plusieurs secondes et tape du bout de mes doigts tremblants :

« Peut-être pouvez-vous commencer par vous embrasser ? »

Maëlle fait les gros yeux, visiblement surprise. Si ça se trouve, elles ne l'ont jamais fait ; juste des cunnis. Ce serait une nouvelle étape. Quoi qu'il en soit, elle semble décidée à m'obéir. Elle tend timidement ses lèvres vers une Lulu qui l'attend avec un regard vorace.

Maëlle dépose un petit baiser de quelques secondes avant de se décoller. Pas satisfaite, la rouquine lui passe la main derrière le crâne et lui roule un patin. Cela dure près de deux minutes. J'ai même un aperçu des langues qui s'emmêlent. Maëlle semble tout émoustillée. Elle n'ose regarder l'écran, presque honteuse. Y'a pas de raison, le spectacle m'a ravi.

« Ensuite, Monsieur le voyeur ? »
« Caressez-vous les cheveux, les joues, doucement. »

Lulu fait une petite moue déçue. Elle espérait sûrement qu'on irait plus vite, mais je n'ose pas brusquer Maëlle. Ma fille pose une douce main sur la joue de son amie, puis son pouce descend sur les lèvres de Lulu. Il est très vite accueilli par une langue insatiable. Ses doigts finissent sur la nuque. De son côté, la rouquine glisse rapidement ses doigts dans la chevelure blonde de ma fille tandis que sa main se hâte d'empoigner un sein. À travers la cloison du mur, j'entends le cri de surprise de Maëlle.

Je commence à taper la suite du programme mais m'aperçois que Lulu prend des initiatives. La voilà qui commence à déshabiller Maëlle. Je m'installe confortablement dans mon lit pour admirer le spectacle. Le chemisier de ma fille saute très vite. Le visage de Lulu plonge dans le cou de ma belle puis elle lui lèche le haut de la poitrine. Elle fait voler son débardeur à l'autre bout de la pièce. Le soutien-gorge disparaît peu après. Lulu prend le visage de Maëlle et le lui colle entre ses deux seins pointus. Lucie lance un regard satisfait vers la caméra. Je bande.

La suite des opérations se passe sur le lit, sur lequel j'ai une vue parfaite. Les pantalons et culottes disparaissent rapidement. Lulu plaque sa main sur l'entrejambe de Maëlle qui retient des gémissements en se mordant les lèvres. Lucie pousse son amie et la force à s'allonger. D'un coup brusque, elle lui écarte les jambes. Sa tête plonge dans l'entrecuisse et commence, me semble-t-il, à lui dévorer le minou. Je ne vois pas en détail, mais cela semble beaucoup plaire à Maëlle qui gesticule. Accroupie, Lucie m'offre une vue idéale sur son cul parfait. Cela me met très en appétit. Je me masturbe.

Puis les deux filles échangent des paroles. Je n'entends pas, juste des murmures à travers le mur. Maëlle semble hésiter et finit par opiner de la tête. Satisfaite, Lulu l'installe de tout son long et se positionne en 69. Je savais que la dernière fois, elle n'avait reçu qu'un cunni, et voilà que maintenant Maëlle en offre aussi. Quel terrible spectacle ! Voir sa fille se pervertir ainsi avec sa sublime amie, c'est chaud. Je bouillonne ; elles semblent en faire autant. Je crois entendre des gémissements à travers le mur. Les voilà qui ne tiennent plus en place. Je jouis !

Elles mettent plusieurs minutes à finir, le temps que je laisse l'excitation tomber, mais sans que je quitte l'écran des yeux, complètement hypnotisé. Voilà de quoi inspirer des rêves sensuels, cette nuit.


Je me réveille vers deux heures du matin avec une envie d'uriner. Je descends et file aux toilettes me soulager. Quand j'en sors, Lulu se tient devant moi en culotte et débardeur. Ses seins pointent à travers son haut. Ses lèvres affichent un sourire espiègle.

— Alors, le spectacle t'a plu, Monsieur l'admirateur ?