Premier effet

J'ouvre donc la porte, persuadé que Laura va entrer dans la pièce, reprendre ce qu'elle a laissé et repartir sans un mot de plus et disparaître pour aller cacher son trouble ou sa gêne dans le fond de son canapé. Même pas sûr qu'elle continue de participer à cette expérimentation.
Mais ma surprise est grande quand en ouvrant je me retrouve, nez à nez, avec la blonde d'hier, Léa.

— Bonsoir, Léa, il est tard. Que puis-je faire pour vous ?
— Je suis très gênée, mais il faut que je vous parle. Je suis complètement « out ».
— Entrez, mettez-vous à l'aise ; Laura quitte à peine les lieux.

Elle entre, et tout en refermant la porte je la détaille un peu. La jolie blonde porte une jupe courte bleue, un peu serrée, un débardeur de la même couleur et des escarpins assortis. Elle pose son sac près d'elle sur le canapé où elle s'assoit.

— François, que m'avez-vous fait hier ?
— Juste une séance d'hypnose, avec peu de réussite d'ailleurs. Vous ne vous sentez pas mieux ?
— Si, si, mais je dois vous avouer honteusement que je suis excitée au plus haut point depuis cette « séance » ; mon sexe coule littéralement en permanence. J'ai une envie terrible de faire l'amour, et aussi de refaire une séance avec vous. C'est très bizarre, non ?

Là, c'est moi qui suis gêné. Le rouge me monte aux joues et j'essaie, tant bien que mal, de lui donner une explication.

— Peut-être a-t-on éveillé des désirs enfouis ?
— Ouais, mais je me sens si « down » que je me dis que peut-être vous pourriez m'aider.

Ma théorie ne semble pas l'avoir convaincue – elle ne m'aurait pas convaincu non plus – mais elle paraît prête à faire n'importe quoi pour remédier à cette gêne physique.

— Peut-être que si vous faisiez l'amour avec votre compagnon ?
— Sans résultat : il ne m'a pas fait jouir, et j'ai toujours envie. Non, je crois que c'est vous qui devez m'aider.
— Vous aider comment ?

Je joue les innocents, faisant mine de ne pas comprendre. Elle me regarde, légèrement incrédule et ajoute :

— Make me love right now !

Et pour me convaincre de son idée, elle se lève, se tourne, se met à quatre pattes sur le sofa, remonte sa jupe sur ses reins, me dévoilant une croupe divine dénuée de toute forme de tissu ; et me lançant un regard de braise, elle m'ordonne :

— Pas besoin de préliminaires, prends moi maintenant !

L'invitation ne se refuse pas : la belle blonde m'est offerte, et son cul est appétissant. Depuis déjà un moment ma queue est dure dans mon pantalon et je la cache en croisant les jambes. Je ne prends que la peine de sortir mon sexe de son logement et l'enfile, sans préambule, dans le volcan bouillonnant de Léa. À peine est-il enfilé que la belle feule, râle, geint, commençant à se balancer d'avant en arrière. Même pas besoin de bouger, elle fait tout, toute seule !

— Oh, putain, que c'est bon… Viens ! Come on, take me hard !

Je ne vais pas me faire prier. Je cramponne alors ses hanches fines et commence, moi aussi, à me balancer pour la baiser plus fort. Elle aime, la marketeuse, elle aime se faire prendre brutalement. Alors je lui donne tout ce que je peux. Je glisse ma main sous son ventre, cherchant son bouton, qui, à peine l'ai-je effleuré, la conduit au plaisir. Elle explose littéralement de jouissance et je l'accompagne bien volontiers, jouissant puissamment au fond de son vagin.

— C'était divin ! J'aime ta queue. Je me sens bien mieux.

Elle a dit cela en se levant, se penche, ramasse son sac, me gratifie d'un baiser sur la joue et repart aussi vite que sa comparse il y a quelques minutes à peine. La porte claque et je me retrouve seul, devant mon canapé, la bite à la main, avec encore une goutte de sperme au bout.

Bon, c'est un premier résultat ; pas tout à fait ce que son patron attend, mais la méthode peut fonctionner. Demain, je reçois la femme aux cheveux noirs : encore quelques infos croustillantes et, qui sait, peut-être un autre résultat.