Dieu de l'amour

Alors voilà : les deux nanas peuvent me voir, je parviens même à toucher l'une d'elles. J'ai essayé de toucher la main de Lauréline, mais sans aucun effet. Quant à Karen, elle fait la gueule.

Bon, OK, j'ai abusé ; mais tout mort que je suis, j'ai pris conscience que j'avais une envie furieuse de baiser. Et pas que l'envie : depuis une heure maintenant, j'ai une érection d'enfer !
Me voilà bien… Une bite bien dure, bien raide, et je sais même pas si je peux me foutre à poil sans perdre mes fringues. Bah oui, mes fringues aussi sont fantômes. Je fais quoi si je les retire et que je ne les retrouve pas ? Je me balade le reste de l'éternité la bite au vent ?

Pour détendre l'atmosphère, je raconte mes déboires à haute voix, et Karen – qui a enfin retrouvé son joli sourire – les relate à sa coloc qui ne m'entend toujours pas. Elles se marrent toutes les deux, et comme elles sont toujours nues, Lauréline me lance :

— T'as qu'à essayer ; si tu te désapes ici, tu devrais retrouver tes fringues, ce n'est pas si grand.

Ouais, voyons si c'est jouable. En même temps, pour faire quoi ? Elles ne peuvent pas grand-chose pour moi, et puis je ne vais pas me palucher devant ces deux gamines.

Karen, me voyant hésitant et s'étant remise de ses émotions, se lève et avance vers moi. Ne comprenant pas où elle veut en venir, je reste immobile. À ma grande surprise, elle s'approche si près qu'elle peut maintenant me flatter à loisir le sexe au travers de mon jean.
Je ne sais pas pour elle, mais moi je sens bien la caresse et je me mets à bander plus fort encore. Je défais mon ceinturon et baisse jean et boxer. Ma bite jaillit joyeusement de son emballage et je vois les yeux de la blonde et de la brune briller intensément.

Ouais… Soit elles sont excitées à fond et la simple vue de ma queue les rend gourmandes, soit elles n'en ont pas vu depuis longtemps, parce que je ne suis pas doté plus généreusement que les autres, et il n'y a pas vraiment de quoi ouvrir de si grands yeux. Quoique… En baissant les yeux sur ma virilité – plus pour m'assurer de sa présence que pour l'admirer – je découvre un engin que je n'ai jamais vu chez moi : au moins 25 cm de long, et beaucoup plus large qu'habituellement. Ce n'est pas ma bite, ça ! Bah, faut croire que si… Putain, équipé comme un acteur de porno, et même pas sûr de pouvoir m'en servir : je suis maudit ! Ça doit être cela, l'enfer !
Karen a eu la même pensée que moi et s'écrie :

— Ouah ! Belle bite ! Dommage que l'on ne puisse pas jouer avec, moi qui suis en manque et ma cop's qui en voudrait aussi… Vraiment dommage ! Je peux essayer de toucher ?
— Bah, vas-y, fais-toi plaisir. Pas sûr que cela marche.

Je me garde bien de leur faire savoir que je n'ai jamais été aussi bien monté. Et je suis étonné de sentir les petits doigts de Karen très précisément sur mon nouvel engin. Lauréline s'est avancée, voyant sa coloc commencer à me toucher et voulant elle aussi en tâter. Alors que Karen me branle doucement le manche, sa copine essaye de me toucher les couilles, mais je ne sens que d'infimes picotements.

— Tu sais, il faut que Lauréline croie en mon existence pour pouvoir jouer.

Karen se tourne vers sa copine pour lui dire ce que cette dernière n'a pas entendu. Elle lui explique que je ne prends consistance que si l'on croit en moi, en mon existence. Lauréline ferme les yeux, semblant se concentrer ; et pour vérifier si elle a atteint le bon niveau de croyance, elle approche sa petite bouche de mon gland. Ses lèvres s'arrondissent pour me gober. À la manière dont ses yeux s'écarquillent, je devine qu'elle sent enfin quelque chose, moi également, et c'est tout naturellement qu'elle avance encore un peu et parvient à prendre mon gland énorme dans sa toute petite bouche.

Je suis aux anges ; les deux jolies poupées s'occupent de mon dard avec application, l'enfournant tour à tour (sans trop y arriver tant la queue est large et longue). Étonnamment, je ne ressens aucunement l'envie de jouir immédiatement. Pourtant, avec ces mois d'abstinence… Tant mieux, je vais faire durer le plaisir.
Lauréline, la première, retourne s'allonger sur le lit, écarte largement les cuisses, et me désignant son minou elle me dit :

— Voyons si ta bouche est aussi divine que ta bite.

Oui, c'est ça : voyons cela, ma belle. Je m'allonge entre ses jambes et entreprends d'embrasser l'intérieur si doux de ses cuisses, puis j'avance vers son sexe luisant de désir et des léchouilles de sa copine. Je pose ma langue sur son clitoris, lentement, puis je descends entre ses lèvres cherchant l'entrée de son puits pour y récolter un peu de son jus. J'en ramasse une perle ; elle a bon goût, la brunette ! J'enfonce un peu ma langue, puis de plus en plus loin. Elle gémit fort… Comme pour ma queue, ma langue semble ne pas avoir de limites ; ses nouvelles dimensions me permettent d'aller de plus en plus profondément en elle ! Elle se met à crier alors que je visite l'intérieur de son sexe, et elle jouit par saccades, m'aspergeant de cyprine et se contorsionnant sur le lit tant l'orgasme doit être puissant.

Je me recule après avoir léché son sexe jusqu'à la dernière goutte. Elle revient doucement à la surface et déclare :

— Tu es un dieu de l'amour ! Jamais je n'ai connu une telle sensation, une telle jouissance… Et regarde-moi cette queue : on dirait qu'elle a encore grossi !

Je me penche pour suivre son regard et, oh surprise, ma verge semble en effet avoir encore grossi. Un dieu de l'amour : cela expliquerait bien des choses… Non, soyons sérieux ; je suis mort, quand même !

Heureux de ce que je viens de découvrir et tout auréolé de ce statut d'amant étrange mais efficace, j'ai bien l'intention de profiter un peu de cette situation. Karen également : avant même que je ne lui propose quoi que ce soit, elle vient se mettre à genoux sur le lit et reprend les caresses buccales là où sa colocataire les avais laissées. Elle me dit, les lèvres déjà barbouillées de la cyprine abondante de sa brune amie :

— Allez, à mon tour de vérifier si je crois assez en ton existence.

Ce disant, elle me tend sa croupe, m'offrant généreusement son sexe que je vois déjà ruisselant. Je ne me fais pas prier et présente ma queue à l'entrée de sa chatte brûlante. Je pousse doucement et prends possession de l'endroit en un instant. C'est divinement accueillant, et je commence mes allées et venues dans son antre pour son plus grand plaisir. Je vais doucement car je me sens un peu à l'étroit : mon sexe qui a pris une taille imposante écarte les chairs de la belle mais la remplit complètement aussi.

Occupée comme elle l'est à dévorer le minou de sa comparse, je me dis que cela va prendre un peu de temps avant qu'elle ne se laisse aller, mais il semble que ma grosse queue la propulse plus rapidement vers l'extase, et c'est dans un hurlement qu'elle jouit, m'arrosant de son jus. Mais je n'ai toujours pas pris mon pied, et Lauréline, gourmande, me demande :

— Il te reste encore un peu d'énergie pour moi ?
— Oui, viens là… Mais, tu m'entends ?
— Oui, clairement. Allez, à mon tour, baise-moi fort !

Je ne vais pas me faire prier. La belle brune s'allonge sur le dos près de son amie affalée qui récupère de sa précédente jouissance. Je saisis ses chevilles, les monte haut et pénètre son sexe sans préavis. Elle crie sa surprise, mais rapidement commence à ronronner. Même scénario ; je la ramone doucement, sa copine lui dévore les seins, et elle jouit puissamment.

Moi, je n'en peux plus : ma queue est dure, et j'ai besoin de libérer mon plaisir. Mais juste le fait d'y penser et je sens la sève monter dans mon dard. Karen se précipite sur mon gland et se met à le téter goulûment, au moment même où je jouis avec force. Les jets sont nombreux, le liquide épais et en telle quantité qu'elle ne parvient pas à tout prendre dans sa bouche. Lauréline vient elle aussi goûter à la source qui semble intarissable. Sa bouche à elle aussi est pleine, et je n'arrête pas de jouir. Je les asperge de mon nectar, arrosant tout ce qui est à ma portée : seins, fesses et cuisses.
Je finis par m'effondrer sur le lit à côté de mes deux maîtresses.

— Putain, t'es trop doué !
— Et puis t'es bien équipé…

Au moins, les deux demoiselles sont d'accord sur le sujet.

— Ouais, et en plus, vous savez quoi ? Bah, j'ai encore envie !