Interaction

Avec tout ça, moi, je bande de nouveau ; je suis tout seul dans le couloir de l'immeuble d'Arnaud. Penaud, je rentre vers chez Karen, la queue entre les jambes. Arrivé devant l'immeuble, je remarque que les Bobos sont déjà rentrés : la voiture de madame est garée devant l'immeuble. Je décide d'aller jeter un coup d'œil chez eux ; ils m'ont bien amusé, l'autre fois…

Je monte jusqu'au deuxième et traverse la porte d'entrée pour me retrouver dans le salon. Je dois avoir un sixième sens pour ces trucs-là, parce que quand j'entre dans la pièce, je découvre une scène qui ne va pas apaiser mes envies : monsieur est allongé sur le canapé, nu, et madame le chevauche en bas et talons noirs. Les vêtements des deux protagonistes décorent le sol, et cette fois madame ne semble plus jouer les soumises. Au contraire, il me semble que c'est monsieur qui est menotté ; amusant revirement de situation !

La jolie trentenaire est en appui sur le torse de monsieur, qui lui dévore les seins (qu'elle a petits mais bien ronds), et elle gémit en s'empalant sur la queue de son partenaire. Je m'approche pour mater de plus près cette scène fort plaisante, et comme à chaque fois une idée me vient. Je me penche à l'oreille de la divine blonde :

— Je vais te prendre le cul ; tu va adorer.

Comme pour valider ma proposition, madame Bobo se laisse tomber sur le torse de monsieur puis écarte ses fesses, qu'elle a superbes d'ailleurs. Ne réfléchissant pas plus longtemps, je sors mon engin, déjà de belle taille, et en approche le gland de la pastille largement dilatée. Une de ses mains vient en caresser la corolle du bout du doigt et l'enduit d'une matière liquide et grasse. Elle se prépare à ma pénétration.

— Tu va jouir, ma belle…

Je pousse alors doucement mon mandrin contre l'entrée du conduit anal qui me livre passage sans avoir à forcer. J'entre lentement en elle et avance le plus loin possible, envahissant sa grotte. Elle se met à râler plus fort ; et quand elle se trouve empalée jusqu'à la garde, elle se met à crier. Je ne bouge plus, mais je sens ma queue grossir encore, et elle ne peut retenir un hurlement en sentant son anus se dilater encore plus. Au travers de la mince paroi qui sépare les deux conduits, je sens la queue de monsieur Bobo coulisser ; mais je pense que dans quelques secondes, madame sera tellement envahie par ma queue que ses mouvements ne pourront plus se faire.

Je me recule, me retirant entièrement, et regarde l'orifice où je me suis engagé : il est dilaté comme sûrement jamais ! Je pousse de nouveau, et elle se remet à hurler. Et même si je commence à la ramoner doucement, ses hurlements se font de plus en plus puissants et désordonnés. Son cul est magnifique et fort agréable à visiter ; j'y prends un vrai plaisir !

Monsieur Bobo, quant à lui, ne comprend pas tout ce qui se passe. Sa femme hurle littéralement son plaisir alors qu'elle ne bouge presque plus sur son sexe à lui. Un petit sourire éclaire alors son visage. De la fierté de mâle, sûrement. Il lui dit alors à l'oreille :

— Tu avais raison : varier les plaisirs nous fait du bien, surtout à toi !

Mais elle ne répond pas ; elle continue de crier. Un peu moins fort, maintenant qu'elle parvient à s'habituer à la taille hors norme de l'engin qui lui déforme l'anus. J'accélère maintenant mes coups de reins : je veux qu'elle prenne son pied rapidement, non que je sois pressé, mais ma queue grossit encore et j'ai peur que cela devienne compliqué de rester dans son « petit trou » devenu grand.

Elle reprend ses mouvements de coulisse sur la queue de son homme alors que je la prends de plus en plus vite. Elle jette la tête en arrière, hurle littéralement son plaisir et s'effondre sur le torse de son bobo de mari au moment même ou il jouit. Moi, je me laisse aller au fond de son cul, mais rapidement ma semence déborde de l'orifice ; alors je me retire pour finir de gicler sur ses fesses magnifiques. Les jets s'enchaînent sans discontinuer, lui recouvrant le cul, le dos et jusqu'aux épaules. Son anus plus que dilaté ne retient plus rien, et elle répand mon jus sur les couilles de son mari dont le sperme quitte timidement son antre.
Il sourit de plus belle :

— Waouh ! Quelle jouissance… Tu sens mon jus couler de toi ?

Elle se reprend à peine et lui murmure :

— Ce n'est pas le tien : c'est celui du mec qui vient de me défoncer le cul !

Il se redresse en pleine panique et cherche du regard l'intrus, sans rien voir.

— Qu'est ce que tu racontes ? Il n'y a personne d'autre que nous ici.

Surprise par ces mots, elle se redresse et quitte le canapé ; elle a tout à fait quitté la brume de son plaisir et se tourne vers moi. Elle me voit, nu comme un ver, la queue basse pendant entre mes cuisses.

— Bah, et lui ? Tu l'as bien invité pour un plan à trois, non ?

Le bobo s'est levé et cherche du regard un peu partout dans la pièce. Ne me voyant pas et constatant que la pièce est vide, il souffle en lui disant :

— Tu as perdu le sens de la réalité ; trop de plaisir, sûrement… Tu perds la boule !

Elle s'agace, sûre d'elle, se tenant près de moi.

— C'est toi qui perds la tête ! Lui, là, il m'a pris le cul !

Elle me désigne, mais pour lui l'emplacement est vide. Elle tourne alors son postérieur vers lui et écartant les fesses et lui dit :

— Regarde : il m'a défoncée, et je dégouline encore de son sperme.

Intrigué, il observe sans grand intérêt l'anus toujours ouvert de sa compagne.

— En effet, tu es dilatée ; mais c'est sûrement l'excitation de notre premier round.
— Premier round ? demande-t-elle sur un ton malicieux.

Il la saisit par les hanches et la ramène vers le canapé, l'incitant à venir s'asseoir sur ses genoux.

— Ton cul est bien ouvert et me fait envie ; je vais te baiser le cul !
— Humm, quel programme… Et lui, on en fait quoi ? ajoute madame Bobo en désignant l'endroit où je me trouve.
— Il n'y a personne ; mais si tu veux un plan à trois, je vais m'organiser. En attendant, enfile-toi donc ça dans le cul.

Elle, ne comprenant pas pourquoi il m'ignore, reprend le cours de son jeu amoureux et enfile sans difficulté la queue de son homme dans le conduit que j'ai dilaté.

Moi, j'en ai eu assez pour le moment, alors je me mets en quête de mes fringues. Dans la bagarre, je les ai virés dans tous les sens. Problème, je ne les retrouve pas : ils ont purement et simplement disparu. Me voilà bien… Je fais encore une fois le tour de la pièce, mais hormis les vêtements de mon petit couple préféré, pas trace des miens. J'essaie désespérément de me saisir de ceux de monsieur Bobo, mais je ne parviens pas à en attraper : toujours ce foutu problème d'interaction avec le monde réel ! Bon. Bah, me voilà bien…
Je quitte la pièce et monte à l'étage pour voir si les filles sont revenues.