(Élodie) Le chant des sirènes

Je suis la plus heureuse du monde ! Je n'ai pas encore eu Thomas, mais le fait d'avoir été surprise par la petite conne de Louise me procure autant de joie que si j'avais pu regoûter à la bite fraternelle. Je ne sais pas comment cela s'est terminé entre eux deux, mais juste à voir la tête que se tapait Louise, ça en valait la peine. Putain, elle a pris cher, la conne, en un soir ! Je lui ai repris plus de la moitié de son club et presque mon frère. C'était la meilleure soirée de ma vie !

Bon, le seul point noir de la soirée a été le sale coup que m'a fait Nathan. Il m'avait promis Morgane mais se l'est gardée pour lui. Du coup, je me retrouve avec cette idiote de Lorelei. Qu'est-ce que je vais faire d'elle, bon sang ? Bon, elle n'est pas moche mais ne sait pas se mettre en valeur, et avec sa timidité elle ne doit pas avoir vu beaucoup de mecs à poil ! Elle doit être plutôt du genre à prendre ses jambes à son cou à chaque fois qu'un mec s'approche un peu trop près d'elle. Ce genre de filles me débecte !

J'ai dû faire un compromis avec Morgane pour sauvegarder mon alliance avec Nathan. Cela aurait été dommage que mon pacte avec lui se brise après tout le mal que je me suis donné depuis son élection pour l'avoir de mon côté et pour le monter contre Louise. Je me le serais tapé autant de fois pour rien ? Non, merci. Tant pis pour Morgane, je l'aurai autrement. Déjà que j'ai bien cru que Louise allait tout faire capoter lors de la réunion de préparation de la soirée… Elle hésitait à accepter les exigences du BDE, et si elle l'avait fait, ils auraient peut-être revu leur position. Heureusement que je savais comment elle réagirait à ma provocation. Elle a fait tout à fait ce que j'attendais d'elle : les envoyer balader !

Nouvelle semaine. Maintenant que mon club est officiel, il ne faut pas traîner pour recruter les nouvelles. Si je veux détruire le club des nymphes, je dois m'emparer de toutes les filles avant ma concurrente. On se souviendra alors de Louise comme celle qui a mené le club à sa perte tandis que moi je serai la nouvelle Samantha Angevin. Mes sirènes ont reçu l'ordre de chanter nos mérites. Nous avons l'avantage d'avoir la plupart des plus belles filles en fillotes. Le BDE a le reste et le BDE nous soutient. Je suis actuellement en compagnie d'Ondine, de Lula et de Noémie.

— Mais en gros, il a quoi de différent avec le club des nymphes ? me demande Noémie, peu convaincue par tout le discours que je viens de faire.
— Rien de bien différent de ce que devrait être le club des nymphes. Nous souhaitions juste revenir aux sources de ce qu'est vraiment le club. Depuis qu'elle a été élue présidente, la gestion de Louise est une catastrophe.
— Elle a l'air sympathique pourtant, s'étonne Ondine. Elle le gère si mal le club ?
— Bien sûr que Louise est une fille sympathique, et je l'adore, mens-je. Mais pourquoi crois-tu qu'autant de filles l'ont abandonnée et qu'elle se soit mis le BDE à dos ? Louise est devenue trop obnubilée par ses aspirations humanitaires et a oublié l'essence même du club : notre libération. Pire que ça, elle a pris la grosse tête et refuse presque d'entendre parler de libertinage. Imaginez… depuis qu'elle est avec Thomas, elle n'a couché avec personne d'autre.
— Thomas est son copain ? demande Lula. Il n'est pas un peu bizarre celui-là, non ?
— Pourquoi ? s'étonne Ondine.
— Bah, à la soirée parrainage, il a refusé de me donner du sirop de Cordom…
— Ah-ah-ah ! explosent de rire Noémie et Ondine.
— Bah quoi ?
— Pourtant Thomas n'est pas du genre à laisser l'occasion d'offrir son précieux sirop de corps d'homme, plaisanté-je.

Les deux autres filles rient tandis que Lula me regarde sans comprendre. Il faudra que quelqu'un lui explique un jour, mais en attendant ça risque d'être un bon sujet de blague. Trêve de plaisanterie, revenons au sujet.

— C'est pourtant une bonne chose aider des associations caritatives, non ? demande Ondine.
— Je ne dis pas que c'est un mal, bien au contraire. Mais ce n'est absolument pas le but du club des nymphes. Et puis honnêtement, vous vous apercevrez vite que nous n'avons pas de temps pour ce genre d'activité. Avec les cours et les devoirs que nous avons, c'est déjà heureux que nous trouvions du temps pour nous détendre. Et c'était vraiment le but des nymphes à la base : permettre aux filles de passer du bon temps pour décompresser, de vivre leurs envies comme elles veulent, sans être jugées, et non de se faire imposer du travail supplémentaire.
— Ouais, et franchement, qui a envie d'aller s'occuper de clodos dans la rue ? lâche Lula sans réfléchir.
— Louise a oublié tout cela, mais nous les sirènes, non ! Nous sommes les véritables héritières des premières nymphes. Dans notre club, vous allez devenir les reines de l'école. Mieux que ça, vous allez tellement gagner en influence que cela vous resservira dans votre vie professionnelle. Mais le club n'accepte que les filles les plus intéressées. Celles qui sont vraiment prêtes à se libérer. Pour nous rejoindre, vous aurez à passer des épreuves. Si vous y parvenez, vous serez dignes d'être des sirènes et une toute nouvelle vie va s'offrir à vous. Êtes-vous intéressées ?
— Ouais ! s'exclame Lula. C'est trop cool.
— C'est vrai que c'est tentant ! poursuit Ondine, enthousiaste.
— Je crois que moi je vais encore réfléchir un moment, déclare Noémie.
— OK. Je vous recontacterai pour vous dire quand aura lieu la première épreuve. Noémie, prends ton temps. Il vaut mieux être sûr de soi.

La journée passe rapidement. Élisa et Sandrine m'annoncent qu'elles ont recruté chacune leur fillote : Coralie et Marine. Tout marche sur des roulettes pour le moment. Les cours viennent de se terminer et je prends le métro pour rentrer, mais voilà que je tombe sur Lorelei. Contente de me trouver, elle veut faire le trajet avec moi. Et merde ! Moi qui voulais rester tranquille… Elle commence à me parler de sa journée de cours ; je ne l'écoute que d'une oreille. Je n'en ai pas grand-chose à faire. Elle me semble être une fille sympathique, mais aussi ennuyeuse. Si elle n'était pas ma filleule, je l'aurais déjà rembarrée. Mais voilà, trop c'est trop, alors je la coupe ; il faut à tout prix que je change de conversation.

— Tu aimes les mecs ?
— Euh… rougit-elle, surprise par cette question. Comment cela ?
— Tu aimes baiser ? Tu t'es déjà pris une bite ? T'as un petit ami ?
— Euh… hésite-t-elle, de plus en plus rouge, je n'ai pas de petit ami, mais j'en ai déjà eu un.
— Un seul ou plusieurs ?
— Un seul, mais j'ai déjà couché avec deux autres garçons ; mais ce n'était qu'une seule fois.
— Et tu as aimé ?
— Bien sûr !
— C'était quand la dernière fois ?
— Ça fait plusieurs mois.
— Ça te manque ?
— Non… Oui… Je crois…
— Et à l'école, y a-t-il un mec qui t'intéresse ?
— Euh, je ne sais pas, hésite-t-elle, méfiante.
— Vas-y, n'aie pas peur, dis-le-moi. Si tu pouvais choisir un gars dans toute l'école pour baiser avec, même une seule fois, tu prendrais qui ?
— Je… euh… Je ne sais pas, baragouine-t-elle.
— Parce que je pourrais t'arranger cela. Tu n'as qu'un nom à me donner et je t'arrange le coup. Réfléchis-y et tu me le dis plus tard, lui dis-je avant de descendre à ma station. Bonne soirée, fillote !

Bon, finalement cette conversation s'est révélée intéressante. Il y a peut-être moyen de jouer avec elle. J'ai déjà adoré la tête qu'elle a faite quand j'ai commencé à parler de cul ; elle ne s'y attendait pas. C'est étonnant : elle ne s'est pas enfuie en courant, et elle n'est plus vierge, apparemment. Je l'ai probablement sous-estimée. Elle n'est peut-être pas si timide. Bon, qu'est-ce que je fais si elle me donne vraiment un nom ? Je crois bien que je ferai l'expérience. Dans le cas contraire, avec un peu de chance, je lui ai fait peur et elle ne me collera plus. L'avenir nous le dira.


Delphine a été recrutée par mes suivantes. Les choses ont l'air de rouler comme sur des roulettes. Mais ce n'est pas suffisant à mon goût : il me faut Morgane. La plus jolie fille de première année doit à tout prix nous rejoindre. C'est la pause ; elle est là en train de fumer une clope seule en pianotant sur son téléphone. C'est le moment de chanter près de ses oreilles.
Je m'avance.

— Alors, comment tu vas ?
— Elodie ? fait-elle, surprise. Je ne t'avais pas vue. Ça va. Et toi ?
— Ça va très bien, bien qu'un peu débordée avec mon club.
— Le club des sirènes ? Ce n'est pas un peu pareil que le club des nymphes ?
— Pas exactement : nous, nous avons la classe. Louise t'en a un peu parlé ?
— Oui, mais je ne pense pas que ce soit trop mon genre. J'ai un copain, tu sais.
— À ce qu'il paraît. Mais tu sais, il est loin. Pourquoi t'imposer un régime sec ?
— Je l'aime bien ; il est gentil, lâche-t-elle, évasive.
— Ouah, ça a l'air d'être l'amour fou, me moqué-je, peu convaincue. Ce qu'il ne sait pas ne peut pas lui faire du mal. Pourquoi ne pas t'autoriser quelques petits écarts de temps en temps, histoire de te faire du bien ?
— C'est vrai, je pourrais, reconnaît-elle, mais je n'ai pas besoin d'avoir un club pour ça.
— Mais nous sommes plus qu'un club ! Nous sommes avant tout des amies qui se soutiennent et se protègent les unes et les autres. Nous sommes un peu une famille…
— Hé, mais c'est ma fillote préférée ! nous coupe une voix pas loin de nous.

Nathan s'avance d'une marche impérieuse. Il lui sourit chaleureusement et nous fait la bise. J'ai juste le temps d'apercevoir un froncement de sourcils avant qu'il ne me la fasse.

— Comment ça va, fillote adorée ? Bien, les cours ?
— Très bien. Tout à l'heure, nous avions économie ; c'est très intéressant.
— Cool ! Je te cherchais justement. J'ai quelque chose à te montrer ; tu peux venir ?
— Euh, j'étais en train de discuter avec Elodie, là…
— Bah, ça attendra une prochaine fois. Viens, insiste-t-il, je te jure que tu vas adorer.
— Bon, OK.

Et ils s'en vont tous les deux, me plantant là. Nathan me jette un autre froncement de sourcils tandis qu'ils s'éloignent. Hum, si j'avais l'esprit tordu, j'aurais l'impression qu'il ne veut pas que je m'approche d'elle. Mais en fait, oui : j'ai l'esprit tordu ! Pff, qu'est-ce qu'il s'imagine ? Il ne pourra pas m'empêcher de la recruter. Il va falloir en revanche que je joue finement pour ne pas me le mettre à dos.

Bon, je repars à la chasse aux recrues et explore les couloirs à la recherche de potentielles quand je tombe sur Lorelei, ce qui me rappelle que je l'avais quittée en plein milieu d'une conversation captivante.

— Alors, fillote, as-tu réfléchi à ma proposition ?
— Tu étais sérieuse ? Ce n'est pas une blague ? se méfie-t-elle encore.
— Bien sûr que oui, je suis sérieuse. Tu me penses incapable de t'arranger un coup ?
— Je ne sais pas… C'est bizarre quand même.
— Allez, donne-moi un nom, n'importe lequel. N'aie pas peur. Je peux t'offrir n'importe lequel. Tu n'as qu'à choisir et profiter. C'est mon cadeau. Il me faut juste un nom.
— C'est tentant, avoue-t-elle à mi-voix, mais je ne sais pas…
— Je peux t'en choisir un, si tu préfères.
— Mais qu'est-ce qu'il va penser après ?
— C'est ça qui te fait peur ? Tu sais, les gars adorent les salopes. Je ne serais pas si populaire sinon. Ils aiment tout comme nous pouvoir profiter d'une bonne partie de baise salutaire sans sentiments. Tu n'as pas à avoir peur pour ta réputation, crois-moi. Alors, viens à mon appartement demain soir et habille-toi sexy.

Et je la laisse sans attendre une quelconque confirmation. Je ne lui ai pas laissé le choix. Va-t-elle obéir ou va-t-elle se dérober ? Je suis curieuse. Reste plus qu'à lui trouver un mec. J'ai déjà ma petite idée : mon parrain. Je lui envoie un SMS. Il me répond qu'il est intéressé ; cela m'aurait étonnée qu'il refuse.

Elle arrive la première le lendemain, même avec pas mal d'avance. Je n'ai pas eu le temps de finir le ménage. Elle a osé. Je souris et suis impatiente de voir la suite. J'ouvre la porte et découvre ma filleule.

— C'est comme ça que tu t'habilles sexy ?

Sa tenue n'a rien de sexy. Certes, elle a enfilé une jupe, mais celle-ci n'a rien de glamour. Quant au haut, ses formes sont camouflées par un pull assez épais. De plus, son maquillage est loupé et sa queue de cheval lui donne un air de jeune fille coincée.

— Allez, entre, on va essayer d'arranger ça.

Je lui prends la main et l'emmène dans la chambre. Je lui demande de se déshabiller et fouille dans mon armoire. Elle m'obéit et se retrouve en sous-vêtements. Au moins, elle ne s'est pas trompée sur ce point-là : string et un soutien-gorge qui met bien ses petits seins en valeurs. Je sors tout un tas de fringues de mon armoire ; elle rougit. Je lui tends une petite jupe souple ainsi qu'un débardeur échancré.

— Je dois vraiment mettre ça ? hésite-t-elle. Ce n'est pas un peu trop…
— Un peu trop salope ? C'est ça ? Tu sais, Lorelei, il sait déjà pourquoi tu es venue et ce que tu veux ; alors autant le mettre en condition avec une tenue affriolante.

Elle essaye les habits. La jupe lui va ; on a envie de plonger une main dessous pour venir tâter ses fesses, mais le haut lui donne une allure bizarre. J'essaye avec un autre haut qui laisse le dos nu, mais cela ne lui va toujours pas. Après plusieurs essais, je trouve enfin la solution. Une petite chemise blanche à manches courtes lui va à ravir. Il suffit juste de laisser quelques boutons ouverts pour la rendre un peu plus tentante. Comme quoi, la simplicité peut être aussi très efficace. Elle a un petit air d'étudiante soumise comme on peut en voir dans les pornos.

— Il est comment, ce type ? demande-t-elle, nerveuse. Il est bien au moins ?
— Tu crois que je te choisirais un laideron ? Ne t'inquiète pas, il est beau et bien bâti. Il est fort et puissant ; il te fera crier, lui promets-je en sachant de quoi je parle.

On passe dans la salle de bain pour refaire son maquillage et la recoiffer. Je choisis quelque chose de léger. Mieux vaut ne pas en faire trop. Pour les cheveux, je lui fais deux petites couettes qui se marient bien à son look. Une fois l'opération finie, elle se regarde dans le miroir et est visiblement satisfaite du relooking. Un sourire fier illumine son visage.

On cogne à la porte : voilà Franck, mon parrain. Lorelei efface son sourire et m'attrape nerveusement le poignet alors que je m'apprête à ouvrir. Elle semble paniquer.

— C'est bon, ça va aller. Calme-toi, la rassuré-je.
— Est-ce que tu as un foulard ? demande-t-elle soudainement.
— Quoi ? lâché-je, surprise. Pour quoi faire ?
— Me le mettre sur les yeux… je préfère comme cela.

Je ne m'attendais pas du tout à ça et approuve l'initiative. En plus d'avoir rendez-vous avec un type qu'elle ne connaît pas pour baiser, elle ne souhaite même pas voir à quoi il ressemble. Elle a du potentiel, la petite ! C'est une fille qui aurait sûrement beaucoup aimé l'initiation chez les nymphes. Je fais patienter Franck et cache les yeux de ma filleule avec un bout de tissu.

Parrain pénètre dans la pièce à mon signal. Il est visiblement satisfait de la découverte. Il s'avance doucement et tourne autour d'elle d'un pas pesant pour l'admirer sous tous les angles. Elle ne bouge pas. Seule une lourde respiration soulève par saccades sa poitrine.

Franck laisse ses doigts parcourir le corps de sa petite-fillote. Dos, ventre, poitrine, fesses, cuisses sont ainsi explorés. La respiration de Lorelei s'intensifie. Elle est très réceptive, la petite ! Parrain lui prend la main et la dépose sur la grosse bosse qui déforme son pantalon. Elle comprend qu'elle doit la caresser. Parrain libère son engin et Lorelei se retrouve donc avec une grosse colonne de chair chaude entre les doigts qu'elle commence à branler doucement. À la vue de l'appareil, une chaleur envahit mon bas-ventre mais Franck n'est pas venu pour moi aujourd'hui ; je reste donc là où je suis. Je sais ce qu'il me demanderait si j'étais à la place de ma filleule.

— Agenouille-toi, ordonné-je à Lorelei. Les mains dans le dos.

Elle obéit ; Franck m'envoie un sourire complice. Il frotte le bout de son gland sur les joues de Lorelei puis sur ses lèvres qu'elle finit par ouvrir quand il fait pression. Sa bite s'engouffre à l'intérieur de la cavité buccale. Lorelei, qui a une mâchoire fine, peine à prendre la taille importante du sexe de Franck en bouche mais ne se laisse pas décourager. Elle semble s'adapter, et bientôt sa bouche coulisse sur le sexe de parrain. À voir les grimaces de ce dernier, la petite semble plutôt bien se débrouiller. À notre grande surprise, elle tente même une gorge profonde ; ce n'est qu'au troisième essai qu'elle réussit l'opération.

Franck est aux anges. Il se laisse faire un temps puis décide de prendre les choses en main et de profiter pleinement de cette fille offerte. Il prend dans ses mains les petites couettes et commence à donner des coups de reins dans la bouche. D'abord légers, il intensifie la manœuvre quand il ne voit aucune protestation. Il lui enfonce maintenant sa bite sans ménagement, et bien que par moments Lorelei ait des réflexes de recul, elle fait son possible pour s'offrir totalement.

Généralement, parrain arrête ici les préliminaires pour passer aux choses sérieuses, mais il a l'air de prendre tellement son pied que je le soupçonne de vouloir lui faire goûter son sperme. Il lui baise la bouche ; elle lui dévore la bite et bave abondamment. Sa chemise est trempée. Quand il lui enfonce son sexe au fond de la gorge, des soubresauts s'emparent de son corps. Il se retire et Lorelei recrache le trop-plein de sperme qu'elle n'a pas réussi à avaler.

Parrain n'attend pas longtemps pour passer à la suite des opérations. Il déshabille ma filleule, lui arrache presque sa chemise maculée et son string trempé, et s'arrête pour admirer sa nudité. C'est vrai qu'elle a plutôt un corps joli et mignon. Quelques claques lui font rougir les fesses, et ses doigts s'engouffrent entre ses lèvres intimes pour la branler furieusement. Visiblement, la petite apprécie cette intrusion…

Franck se dénude à son tour et n'attend pas plus longtemps pour l'allonger sur le tapis, les jambes écartées, et lui dévorer la chatte. Il a toujours adoré ça et est très doué. Je me caresse en admirant l'effet sensationnel qu'il produit sur Lorelei. La bouche de la jeune fille est grande ouverte comme si elle manquait d'air, et des cris étouffés peinent à s'échapper. Son corps entre en transe et oscille frénétiquement. Tandis qu'il lui lape le sexe, ses doigts ne restent pas inactifs. Plusieurs d'entre eux sont partis explorer le petit trou de Lorelei. À bout de souffle, elle finit par jouir à son tour ; tous ses muscles se contractent et elle laisse échapper une longue plainte.

Franck n'attend pas qu'elle s'en remette ; il la retourne et lui bouffe maintenant le cul. On dirait bien qu'il a une idée derrière la tête… Je lui ai toujours refusé la sodomie ; d'ailleurs, il n'y a qu'au directeur que j'ai autorisé cette pratique, mais avec lui je n'avais pas trop le choix. J'ai tout de même bien plus apprécié que ce à quoi je m'attendais ; mais je ne sais pas : je n'ai jamais été tentée de le faire avec d'autres, à part Thomas bien entendu. L'idée d'avoir Thomas dans le cul me fait atrocement mouiller, chose qui m'aurait parue aberrante il y a à peine un an.

— Lorelei, mon ami semble vouloir t'enculer, lui déclaré-je tout en me caressant et en rêvant de Thomas. Veux-tu te faire enculer ?
— Si c'est ce qu'il veut, oui… Oui.
— Demande-le-lui poliment.
— J'ai très envie de sentir votre queue dans mon cul, gémit-elle. Voulez-vous m'enculer ?

Je trouve mignon ce vouvoiement. En tout cas, tout cela a redonné la forme à Franck ; il est prêt pour son second round. Il se positionne au-dessus d'elle et son gland fait pression sur l'anus de Lorelei. Sa tige pénètre centimètre par centimètre ; Lorelei paraît s'asphyxier et son visage vire au rouge. Je me surprends à avoir crainte qu'il lui fasse mal, mais elle ne proteste pas et semble accompagner ses mouvements pour faciliter son introduction. Elle a plutôt un petit derrière, et lui est assez bien monté ; il doit vraiment être à l'étroit là-dedans ! Mais bien que petit, le cul de Lorelei semble se faire à la présence qui lui masse les entrailles, et ma filleule retrouve des couleurs un peu plus naturelles ; je me détends et reprends mes caresses en observant mon parrain enculer sa petite-filleule. Il a l'air de se faire bien plaisir. Thomas se ferait-il aussi plaisir s'il me défonçait le cul ? Je l'espère ! C'est ce que nous découvrirons plus tard, me promets-je. Chose promise, chose due.

Lorelei crie sous les assauts de Franck. Des cris qui donnent envie. Il n'y va pas de main morte ; il est complètement déchaîné. J'admire sa musculature en action tandis que mes doigts jouent avec mon clito. Mon fougueux parrain atteint finalement une seconde fois l'orgasme et s'écroule au sol, le long du corps svelte de Lorelei. Un sourire béat illumine les lèvres de ma fillote.

Il semble finalement que je vais pouvoir m'entendre parfaitement avec elle.