Marcia - II

Honnêtement, je ne savais pas si elle reviendrait me voir. Si elle ne revenait pas, tant pis, j'en prendrais mon parti. J'avais le sentiment qu'elle m'avait remis sur les rails, m'avait déculpabilisé, achevé de m'ôter mes derniers scrupules.

Dans les mois qui suivirent, j'eus en effet plusieurs aventures assez décomplexées. Pour certaines, ce ne fut pas vraiment une réussite.

Avec une femme, le week-end passé ensemble avait été des plus agréables, mais au lit je m'étais ennuyé ferme tant elle était coincée. Et à notre deuxième rencontre j'avais eu une « panne », mon corps me signifiant que je n'avais pas vraiment envie de renouveler l'expérience parce que le sexe avec elle avait été trop frustrant. Le corps parle parfois ainsi, à notre place, ce qui, je dois dire, dans certains cas nous arrange.
En effet, elle ne reprit pas contact après ce fiasco, et franchement je ne cherchai pas non plus à la rappeler.

Avec une autre, nos ébats avaient été assez satisfaisants, quoique pas super torrides ; par contre, je m'aperçus vite qu'elle était chiante comme la mort et que nous n'avions aucun centre d'intérêt commun, aucune possibilité d'avoir une conversation intéressante et encore moins épanouissante ; quelque chose me gênait dans ce début de relation qui n'eut donc aucune suite.

Il y en eut d'autres trop occupées et de qui, après un premier rendez-vous, j'attendis en vain un signe.

Je me fis donc une raison et décidai d'avoir une vie professionnelle et sociale bien occupée pour meubler le temps, pour ne pas être dans l'attente d'un hypothétique « coup » entre la poire et le fromage. Dans ce contexte, il m'arrivait de repenser avec nostalgie et émotion à la partie fine à laquelle que nous nous étions livrés avec Marcia.

Et un jour, en une fin d'après-midi, elle était de retour à ma porte.

J'avoue que, malgré moi, je m'étais fait un peu de souci pour elle. Je m'étais dit qu'il lui était peut-être arrivé quelque chose, un ennui de santé, des problèmes familiaux. Je n'avais pas osé l'appeler cependant – bien qu'ayant toujours gardé son numéro de portable – mais je n'avais pas voulu la déranger au boulot ni lui donner l'impression que je la relançais, que j'étais en manque.

J'étais rassuré. Elle allait bien. Et dès que je la vis je compris que j'étais en manque d'elle, de son corps, de nos étreintes, de la fougue avec laquelle nous avions fait l'amour.

Je lui fis la bise (après ce que nous avions fait, je n'allais quand même pas lui serrer la main ; par contre lui rouler une pelle dehors, avec d'éventuels voisins aux fenêtres, n'aurait pas été très prudent) et lui fis comprendre que ça me faisait du bien de la voir, tant parce qu'elle avait l'air d'aller bien que parce que sa présence me mettait en joie.

Elle avait un joli chemisier blanc, vaporeux et assez transparent (ce qui me surprit chez elle, d'habitude si sage, parce qu'il laissait voir ses seins que son soutien-gorge minimaliste ne cachait pas vraiment), un pantalon sombre moulant et brillant comme on fait maintenant, et des bottes (on s'attendait à ce qu'elle parte randonner à cheval… je pensais déjà à qui elle allait chevaucher !).

Nous nous assîmes à la table de cuisine, comme à notre habitude, et je ne pus m'empêcher de penser en regardant cette table à la façon dont elle nous avait servi la dernière fois. Devant sa tasse de thé, elle me sourit avec plaisir en me regardant. Elle se sentait bien ici, dans cette pièce, et avec moi.

Je posai ma main sur la sienne, lui répondis que moi aussi j'étais bien avec elle, et que sa présence me faisait du bien, tellement de bien. J'ajoutai que j'allais beaucoup mieux et que c'était grâce à elle : elle m'avait aidé à passer un cap, j'avais repris confiance en moi, retrouvé de l'assurance.

— Mon pauvre, c'est vrai que la première fois que je suis venue vous… te voir, tu étais en piteux état.
— Oui, j'étais un peu au trente-sixième dessous. C'est grâce à toi si je vais mieux aujourd'hui. Tu m'as aidé à remonter à la surface ; ta chaleur m'a fait tellement de bien…
— Oui, je t'ai prodigué une rééducation… efficace !

Je ris de ces termes choisis avec humour.

— Je suppose que maintenant tu vas aller de l'avant, sans doute même refaire ta vie. Tu as certainement trouvé une « petite copine »… ?
— Penses-tu. J'ai eu quelques aventures, mais c'était que des chieuses. Quant à refaire ma vie, c'est exclu. Je ne retrouverai jamais quelqu'un comme ma femme, quelqu'un que j'aime assez et qui me donne envie de partager ma vie avec elle.
— On dit ça… En tout cas, c'est bien. Je suis contente pour toi. Tu n'as plus besoin de tata Marcia pour te remettre sur les rails.
— Plus besoin, plus besoin… c'est vite dit, ironisai-je. Je vais mieux sans doute, mais je ne suis pas prêt à me passer de toi, moi…

Elle sourit en buvant une gorgée de thé, flattée et charmée.

— Tu veux dire qu'il ne faut pas interrompre la thérapie… sous peine de rechute ?
— Exactement ! affirmai-je en souriant.
— Bon, fit-elle en reposant sa tasse, je suis contente de voir que tu vas beaucoup mieux.
— C'est grâce à ta présence réconfortante. Tu es comme du baume apaisant sur mon cœur.
— Tant mieux ! fit-elle en se levant, me faisant comprendre qu'elle s'en allait.
— Tu t'en vas déjà ?
— Il est tard, mon bon…
— Bon, OK. Je ne veux pas te retenir.

Elle se leva, l'air un peu gêné. Dans ses yeux baissés je crus voir du dépit, comme un semblant d'amertume. Notre conversation – et surtout ma dernière réplique – pouvait laisser croire qu'elle avait été une étape pour moi, et que nos ébats de la dernière fois n'étaient pas appelés à se renouveler ; qu'en somme je ne voulais plus d'elle et que je me contentais de son amitié. J'eus un pincement au cœur, réalisant qu'elle pouvait à cet instant se considérer comme un Kleenex, comme un coup accidentel d'un jour, d'un moment d'égarement, alors que ce n'était qu'un quiproquo, une incompréhension mutuelle, une espèce de retenue entre nous, une gêne qui s'était installée on ne sait comment ni pourquoi. Pourtant, elle était encore plus sexy que la dernière fois, et cette attention qu'elle avait apportée dans sa tenue ne pouvait pas être due qu'au hasard.

En fait, inconsciemment, je voulais sans doute voir jusqu'où elle irait, si elle ferait le premier pas ; ce n'était apparemment pas le cas. La peur d'être rejetée, l'impression de se sentir vieille, la crainte de passer pour la salope – l'éternelle histoire de la femme en lutte avec son image.

Heureusement, elle ne s'était pas encore dirigée vers la porte ; elle montrait peu d'énergie pour s'en aller, ne semblant pas vraiment décidée à ce qui risquait de devenir un adieu. Elle était debout près du frigo, levant ses yeux clairs vers moi, et ne disait mot. Sans hésiter, je posai ma main sur sa joue et la caressai. Elle ferma d'abord les yeux sous cette sensation, ce signe tellement espéré, puis posa sa main sur cette main, inclina la tête pour mieux ressentir la pression de ma main sur son visage, puis elle embrassa ma main, geste qui ressemblait à s'y méprendre à un geste de gratitude.

Attendri et excité tout à la fois, je fis glisser mon pouce sur ses lèvres boudeuses pour les caresser. Elle entrouvrit la bouche, absorba le bout de mon doigt et le suça en me regardant droit de ses yeux bleu clair ; soutenant son regard, je me mis à faire des va-et-vient avec ce doigt entre ses lèvres. Je n'attendis pas plus : je m'approchai, l'attirai à moi en refermant mes mains sur sa taille fragile et l'embrassai à pleine bouche. Elle me rendit mon baiser de façon lente d'abord puis, quand je me mis à explorer sa bouche de fond en comble avec ma langue, elle m'embrassa fougueusement, comme si je venais de réveiller ses sens.

Quand je lâchai sa bouche, hors d'haleine, je lui dis dans un soupir :

— Tu m'as manqué…

Elle gloussa un peu, avec un sourire de contentement, le sourire d'une femme heureuse d'être aimée, ou au moins désirée. Elle me le confirma en m'expliquant presque à voix basse :

— Tu sais, je n'ai pas refait l'amour depuis la dernière fois avec toi. Mon mari est plus âgé que moi ; il n'a plus de désir, il ne bande plus et ne me baise plus. Tu es mon seul amant, mon corps est à toi.
— Oui, tu es toute à moi. Tu me reviens comme une vierge, vierge de tout homme. Si ça se trouve, tu as encore mon odeur en toi. Ça m'excite ! Je vais t'honorer, je vais te baiser. Oui, je vais bien te baiser, je vais te baiser à fond !

Elle gémit :

— Oui, prends-moi, baise-moi, je suis toute à toi. Fais-moi l'amour, donne-moi du plaisir, donne-nous du bonheur, fais-moi jouir !

Je repris sa bouche, lui roulai une pelle monumentale et commençai avec mes deux mains à défaire les boutons son chemisier un à un, en débutant par le haut. Profitant d'une courte pause entre deux langues fourrées, je lui glissai vicieusement :

— Je vais te foutre à poil ! Je veux te voir complètement à poil !
— Oh… feignit-elle de s'indigner, le sourire aux lèvres.
— Parfaitement : je te veux à poil dans ma cuisine. Tu vas te retrouver à poil devant ton client, dans cette cuisine que tu lui as fait visiter il y a à peine un an. Tu n'imaginais pas, hein, à ce moment-là ?
— Ah non, c'est sûr, je n'aurais jamais imaginé ça ! rit-elle.

Mais déjà je lui faisais passer les bretelles du soutien-gorge par-dessus les épaules en la regardant droit dans les yeux pendant qu'elle le dégrafait derrière pour que ça aille plus vite. Je le lui arrachai, tandis que nous étions les yeux dans les yeux, pleins d'un désir fou.

— Ah, ces jolis petits nichons… qu'est-ce qu'ils m'ont manqué !

Je m'en emparai ; elle ferma les yeux quelques secondes, s'abandonnant à mon empoignade. Les petites pointes étaient déjà toutes dures et toutes dressées. Ma bouche fondit dessus et je les suçai, les aspirai fortement, puis cherchant à gober tout le sein. Elle poussa un petit cri. Je m'attaquai à sa ceinture et levai à nouveau mes yeux vers ses beaux yeux bleu acier.

— Je vais te déculotter, Marcia. J'adore te déculotter. Je veux ta chatte et ton cul !
— Humm… ils sont tout à toi ; tu sais qu'ils sont tout à toi… murmura-t-elle tendrement en caressant mes cheveux.

D'un geste un peu brutal je lui baissai d'un seul coup pantalon et slip, dévoilant un pubis que j'eus la surprise et le bonheur de découvrir lisse comme un œuf. Devant mon air satisfait, elle me sourit :

— Je l'ai fait pour toi. J'étais sûre que ça te plairait.
— Humm, oui… grognai-je avec contentement et en prenant dans ma main la belle vulve charnue et douce comme du satin. Mais tu vas y gagner aussi : tu sais que ça va attirer ma langue…

Je l'aidai à se débarrasser de ses bottes et de son pantalon, et elle fut enfin nue. Elle était si belle et émouvante, avec un air tellement fragile avec son corps mûr et offert dans son simple appareil, livré à mes regards, dans ma cuisine spacieuse.

Je lui pris la main et l'invitai à monter sur la grande table, puis à s'y mettre à genoux, cuisses écartées près du bord, face à moi ; ce qu'elle fit de bonne grâce. Elle ne semblait pas éprouver de gêne dans cette posture, son mont de Vénus glabre bombant fièrement en avant ; elle me faisait penser à la figure de proue d'un bateau, ma petite sirène à moi.

Je m'assis confortablement devant elle et je la pris par les fesses, attirant sa chatte voluptueuse contre ma bouche ouverte, et je plongeai avec délectation dans l'exploration de sa petite grotte d'amour. Elle se mit à roucouler immédiatement, ses mains caressant mes cheveux.

Ma langue glissait dans tous ses recoins ; je suçais ses tendres muqueuses, butinant son petit bouton de rose. Elle se mit à pousser des gémissements de plus en plus forts, puis des cris aigus de femme blessée : elle était touchée, elle coulait, et je recueillais son nectar, n'en perdant pas une gouttelette, léchant son miel sur sa petite pêche fendue, au creux de sa fleur rose, et même sur ses cuisses luisantes. La machine se remettait en marche ; elle coulait comme une fontaine. Je sentis à nouveau ses cuisses trembler : elle se remettait à jouir, agitée de spasmes qui lui arrachaient des longues plaintes qu'elle poussait sans aucune retenue.

Je mis fin au « supplice », ne voulant la vider entièrement de sa substance : nous avions d'autres plaisirs variés à partager. Je me levai de ma chaise ; elle me susurra en soupirant tendrement :

— Oh, tu m'as encore fait jouir très fort, mon chéri. J'en avais besoin. Ça m'a tellement manqué…
— Et ce n'est pas fini : ça ne fait que commencer ! lui confiai-je avec un clin d'œil.

Je la fis descendre de la table puis pris un préservatif (j'avais quand même baisé deux ou trois femmes différentes ces derniers mois), et tandis que je m'efforçais de le déballer, la petite cochonne s'était agenouillée devant moi, avait pris ma queue dans sa main et s'efforçait de lui redonner de la vigueur, vigueur qu'elle avait un peu perdue pendant que je faisais reluire sa chatte avec ma bouche.

Comme une vraie petite cochonne elle me branlait doucement tout en prenant le gland dans sa bouche, le suçant comme une friandise ; la voir faire ceci avec ses yeux bleus perçants qui me mataient vicieusement à travers ses lunettes sages de femme d'âge respectable me fit redurcir la pine en un temps record.

Je caressai ses bras, pelotai ses petits seins, puis la fis se relever. Saisissant sa taille, je lui fis comprendre que j'avais envie d'elle à califourchon sur moi, face à moi. Elle ne se fit pas prier et s'empala lentement sur mon vit dressé en poussant un « Ahh… » de contentement.

J'avais son joli petit corps sur moi, j'étais aux anges. Elle se mit à faire des va-et-vient d'avant en arrière, comme sur une balançoire. Ma queue raide allait et venait dans son délicieux petit fourreau. J'avais ses fesses dans les mains, j'embrassais son cou, son épaule… Elle m'excitait comme un malade !

Je prenais sa bouche de temps en temps tout en me soulevant légèrement et en rythme pour accentuer mes coups de queue. Son joli pubis tout lisse, tout doux et dodu comme une caille frottait contre moi. Je la besognais en la tenant serrée par la taille, mais comme elle est assez petite, elle avait du mal à se tenir sur la pointe des pieds et à se soulever. Alors, voyant ça, je lui dis :

— Chérie, remets tes bottes, tu auras moins de mal.

Je la vis se lever de moi et aller enfiler ses bottes ; à poil, avec ses jolis petits nichons qui pendaient, elle me faisait un effet bœuf ! Elle revint vers moi juste vêtue de ses bottes. Une vraie déesse que j'avais envie de baiser comme jamais.

Elle écarta à nouveau les cuisses, s'assit sur ma pine. Elle était bien ancrée sur moi et s'offrait le luxe de se pencher en arrière pour se balancer lentement ; je la tenais par ses épaules frêles, l'accompagnant dans ses mouvements, puis je lui pelotai ses petits tétons doux et pointus, saisissant les extrémités toutes dures, les pressant jusqu'à ce qu'elle gémisse et me regarde d'un œil sévère, mais sans me demander de cesser.

Je n'en pouvais plus. Je l'enlaçai très fort en lui enserrant la taille et me mis à la pilonner rapidement, très fort et de plus en plus vite. Elle poussait des cris rythmés, de plus en plus violents, des râles, puis des exclamations : elle était en train de jouir, la petite dame si sérieuse.

— Oh oui, baise-moi ! Baise-moi fort ! Oh, c'est bon… Tu me fais jouir, mon salaud !

Je finis par la prendre sous les fesses et, la soulevant de terre comme un fétu, je la promenai sur moi, bien empalée, à travers ma cuisine puis mon séjour. Elle poussait des râles désespérés ; j'étais en train de l'emmener au septième ciel.

Je la reposai sur le rebord du dossier du canapé ; elle était à demi-debout, jambes pendantes. Je me mis à lui marteler la chatte à grands coups de reins en lui mordant les seins et lui enfonçai mon majeur dans le cul ; il entra comme dans du beurre. Elle poussa un « Oohhh ! » et se mit à jouir en rugissant comme un fauve, comme un dément. C'est alors que je partis dans sa chatte, lui balançant tout, toute la purée accumulée depuis des jours.

— Oh oui, c'est bon… Viens, jouis, mon grand, prends ton plaisir, jouis bien au fond de tata Marcia.

Je finis en lui assénant quelques coups de reins longs et lents tandis que j'enfouissais mon visage dans son cou puis nous restâmes quelques longues secondes tendrement enlacés, mes bras autour de sa taille, ses mains sur mes épaules, moi dans elle, ses jambes nouées autour de moi.

— Hum, c'est toujours aussi bon ! dit-elle d'une voix un peu rauque. J'espère que tu me feras encore du bien comme ça. Je repasserais bien te voir de temps en temps…
— Autant que tu veux, Marcia.


Nous étions mi-septembre. Six mois s'étaient écoulés depuis la dernière visite de Marcia. J'avais son numéro de portable, elle avait le mien, mais jamais nous ne nous téléphonions ni ne nous envoyions de SMS. Pour nous dire quoi ? C'était mieux ainsi. Quel intérêt d'entretenir une relation ennuyeuse où nous aurions échangé des banalités ? Et puis ses venues surprises étaient toujours un plaisir. Nous conservions ainsi – moi surtout – notre liberté, dont je profitais un peu. J'avais d'autres maîtresses avec qui les relations étaient aussi espacées, à part de temps en temps une semaine de vacances ou un week-end ensemble.

Évidemment, sans nous enquérir de ce que nous devenions, il y avait un risque que la situation évolue. Moi, je lui avais dit que je ne voulais aucune relation sérieuse et encore moins une nouvelle vie à deux avec quiconque. Mais elle n'était pas un lapin de six semaines, et elle connaissait la vie : bien qu'elle n'eût pas exprimé de doute lors de cette mienne affirmation, elle devait bien penser qu'un jour elle me trouverait ayant entamé une relation durable et exclusive avec quelqu'un. Ce qui ne l'avait pas décidée pour autant à prévenir avant de débarquer à l'improviste : elle préférait en prendre le risque, quitte à être déçue.

En même temps elle pouvait penser qu'ayant pris autant de plaisir tous les deux lors de nos petites galipettes, même engagé je pourrais céder à la tentation de remettre le couvert avec elle pour une petite partie discrète, ni vue ni connue. Peut-être le besoin, chez certaines femmes, d'évaluer le désir qu'elles peuvent encore nous inspirer, de tester leur pouvoir de séduction restant, et de le comparer avec celui d'une autre ? Mais bien qu'elle ne me connaissait que très peu, il était logique aussi qu'elle pensât que si je ne voulais plus la voir débarquer chez moi de façon impromptue parce que j'avais quelqu'un, je pouvais tout simplement la prévenir sobrement par texto.

Bon, il faut avouer que cela aurait été peu délicat, peu galant, un peu lâche et peu reconnaissant envers celle qui m'avait redonné goût à la vie et m'avait tant donné sur le plan sexuel. Pour moi, une visite d'elle serait toujours un cadeau-surprise : quel homme se plaindrait de voir débarquer à l'improviste une femme toute chaude, pleine de désir, d'envie de plaisirs sexuels, surtout après de longs mois sans l'avoir vue, espace de temps suffisant pour qu'elle lui manque ? De plus, le souvenir de nos ébats tellement jouissifs laissait toujours présager d'un véritable feu d'artifice, une fête des sens, un moment unique de félicité intense.

J'étais donc autant attaché à la surprise qu'à son évènement même, tant l'effet d'imprévu décuplait le plaisir de cette rencontre, de ce partage sensuel et charnel. Il est possible au demeurant qu'elle soit passée certains soirs où je n'étais pas encore rentré ou bien alors que j'étais sorti, mais elle ne m'en a jamais fait part ensuite.


En ce début d'automne, j'avais repris le boulot ainsi que la routine un peu triste depuis presque trois semaines.

DRING-DRING… : on sonnait à ma porte. Il était bien rare que j'eus de la visite à cette heure un peu tardive (hormis des colis que le facteur laissait à ma voisine durant mon absence en pleine journée), mais il me semblait ne pas en attendre. Et puis 18 h 30 – 19 h était souvent l'heure de Marcia. Aussi, tel celui d'un adolescent, mon cœur se mit à battre plus fort.

Elle était devant ma porte, toute radieuse, bronzée comme je ne l'avais jamais vue ; ses yeux bleu clair tranchaient comme jamais sur son visage tanné comme du pain d'épice.

— Bonjour ! En voilà une bonne surprise ! Dis-donc, tu es radieuse…
— Oui, je reviens de vacances ; j'ai repris le boulot hier.
— Entre. Tu en as bien profité, apparemment.
— Oui, tu penses… Nous étions en Thaïlande.
— Effectivement. Quelle chance !
— Oh oui, c'était un super voyage. Nous avons terminé par cinq jours de plage. Un endroit paradisiaque !
— J'imagine.

Nous étions à l'intérieur. Elle était toute dorée, plus séduisante que jamais ; ses cheveux avaient même viré au châtain.

— Je ne pouvais pas ne pas passer venir te dire un petit bonjour, d'autant que ça fait longtemps… et te montrer mon bronzage.
— Je vois. J'ai vu tout de suite !
— Oui, mais tu n'as pas tout vu. C'est encore plus impressionnant quand on le voit à côté de ce qui est resté blanc… ajouta-t-elle, coquine.
— Eh bien, montre. Tout de suite !
— Oui ? Tu veux ? gloussa-t-elle.
— Tu veux que je te l'ordonne ? Tu veux recevoir l'ordre d'exhiber ton petit cul et tes petits nichons ?
— Chiche ! J'ai envie de te voir autoritaire, en mâle dominateur, répondit-elle avec comme un frisson dans la voix.
— À poil ! ordonnai-je d'une voix forte.
— Hum… ça m'a manqué, dit-elle sensuellement tout en commençant à déboutonner son chemisier sage, en petite fille obéissante.
— Qu'est-ce qui t'a manqué ? la questionnai-je d'un ton neutre, étonné car elle n'avait pas eu l'habitude de me voir agir de façon autoritaire avec elle.
— Eh bien, de me déshabiller devant toi… pendant que tu regardes. Et puis, de venir ici te retrouver, et nos petites parties de jambes en l'air.
— Si ça t'avait manqué tant que ça, tu n'aurais pas attendu plus de huit mois avant de revenir ! lui fis-je remarquer sèchement.
— Oh, tu sais, ça n'a pas été très facile de trouver le temps de passer après le boulot ; j'ai souvent fini tard ces derniers…
— Je m'en fous de tes excuses vaseuses ! Si tu avais voulu, tu aurais pu. Je pense que tu n'avais pas très envie… dis-je en grimaçant, feignant la déception et la colère froide.
— Oh non, c'est pas vrai ! Je t'assure que j'avais…
— Fous-toi à poil au lieu d'essayer de te justifier avec tes excuses à deux balles ! Regarde-moi ça : t'as même pas encore enlevé ton soutien-gorge !

Du coup, elle s'activa. Je pouvais lire une certaine inquiétude dans son regard, comme une crainte. Elle n'avait pas compris que je jouais un rôle.

Elle se hâta et fit passer le soutien-gorge par-dessus et s'en débarrassa. La peau de ses seins semblait encore plus laiteuse à côté des épaules et des bras bien dorés. Les petites pointes roses ressortaient au milieu de façon indécente, semblables à une cible. Ses petits nichons pointus commençaient à m'exciter en diable.
Eux aussi, ils m'avaient manqué.

Elle resta quelques secondes immobile face à moi, torse nu, attendant sans doute un commentaire de ma part.

— Allez, le reste ! Déculotte-toi, dépêche-toi ! Je veux te voir entièrement à poil dans ma cuisine !

Elle baissa pantalon et slip, défit ses hautes bottes. Elle se retrouva enfin nue.

— Remets tes bottes, maintenant ! Tu auras l'air beaucoup plus salope comme ça.

Elle se rechaussa puis me regarda, docile et un peu craintive, attendant les ordres.

— Fais voir un peu que je te mate. Mets tes mains sur ta nuque ! Écarte un peu les cuisses. C'est bien, tu as la chatte bien épilée. Tire tes coudes en arrière. Oui, comme ça. Et un peu vers le haut. Et redresse-toi, mets en avant ta poitrine. Voilà. C'est bien.

Je pris le temps de la mater du haut en bas, faisant durer le plaisir et son attente.

— Hummm… Tu es sexy comme ça. Bien bandante. Tu as les seins tellement blancs que je suis sûr qu'on les verrait dans le noir…

Elle sourit.

— Allez, tourne-toi !

Elle s'exécuta et je vis le plus charmant des petits culs, dont le teint blafard tranchait violemment sur les reins et les cuisses parfaitement cuivrés.

— Hummm, voilà un joli petit fessier, mignon à croquer, et dont je vais ne faire qu'une bouchée. Mais il est vraiment très blanc, et moi je vais lui donner quelques couleurs. D'ailleurs ça t'apprendra à me délaisser pendant de longs mois, me privant de ton joli corps, de tes mignons petits nichons, de ton cul délicieux et de ta chatte toute lisse et toute douce. Allez, penche-toi sur la table, cuisses légèrement écartées.

Bien docile, elle se mit en position, sans illusions sur le sort que je réservais à son petit fessier. Elle posa ses mains bien à plat sur la table, se cambra sensuellement. Elle était vraiment bandante ainsi avec ses bottes qui montaient jusqu'au creux de ses genoux, une vraie chienne ! Elle me donnait l'envie de la fustiger à la cravache.

Elle me regarda à la dérobée et me susurra :

— Pas trop fort, s'il te plaît.
— Tu n'as rien à dire, ma petite salope ! Tu vas recevoir la punition que tu mérites. Et tant pis pour toi si tu rentres chez toi avec les fesses rouge tomate et le cul en feu !

Je pris la bonne distance par rapport à elle et je me mis à la fesser d'une main leste, à un rythme d'abord assez lent mais bien régulier. Ça claquait dans cette grande pièce ; les murs résonnaient des sons secs de la claquée.

Les pauvres petites fesses, peu rebondies, un peu affaissées et un peu ridées en prenaient d'autant plus pour leur grade qu'elles n'offraient qu'une faible surface ; elles prirent vite un ton rose vif.

Elle prenait sa punition de bonne grâce, sans broncher, comme si elle approuvait mes accusations de m'avoir délaissé (alors qu'en fait l'élasticité de notre relation, qui préservait notre liberté, me convenait parfaitement).

Son cul aussi était souple et élastique, et encore ferme (les muscles révélaient une bonne tonicité, signe d'un entretien physique suffisant), et ses fesses réagissaient en se contractant sous mes claques. Puis je me mis à accélérer ; ses petites miches virèrent au rouge. La grêlée s'abattait plus fortement et commença à lui arracher des cris.

Je ne voulais pas trop prolonger ce châtiment, ne souhaitant pas lui faire mal, mais juste lui chauffer assez le cul pour que le feu descende plus bas, entre ses cuisses. Je finis donc par six claques plus fortes, bien appuyées, qui la firent se pâmer, se tortiller, avec des petits cris vifs.

Sa tension retomba, elle se détendit ; et encore plus quand je passai deux doigts entre ses cuisses, écartant sa petite fleur souple et que je commençai à la masser, non sans l'avoir humectée de salive. Elle se mit à soupirer comme une jeune fille. Mes doigts la caressaient, glissaient sur ses pétales lisses, puis rentrèrent en elle, d'abord juste à l'entrée, puis de plus en plus loin. Elle commença à s'exciter vraiment ; son bassin allait à la rencontre de mes doigts, elle gémissait, tout son corps ondulait.

— Hum, j'aime bien te branler, ma petite salope. Et toi tu aimes ça aussi, hein… ? lui soufflai-je dans le cou.
— Oh ouiii, tu me fais du bien, tu es vraiment doué.

Je ressortis mes doigts, massant toute la longueur de sa vulve, du petit bourgeon gonflé jusqu'à l'arrière, puis remontant de plus en haut entre ses fesses, massant son petit cratère, l'enduisant de sa mouille toute luisante. Pour la première fois elle me donnait envie de son cul.

— Allez, à quatre pattes, salope !
— Où ça ? risqua-t-elle timidement.
— Ici, à mes pieds.

Elle obéit tandis que je la saisissais par la chevelure, la guidant vers la posture que je désirais.

— Écarte les cuisses, cambre-toi bien, tends bien ton cul ! Offre-le bien ! Ah, tu sais que tu es vraiment une belle chienne ? Tu m'excites terriblement comme ça, tu es vraiment bandante ! Prépare-toi, je vais te saillir. Je vais te baiser comme une salope ! Ça fait tellement longtemps que j'en ai envie.
— Oh, moi aussi j'en ai envie, osa-t-elle, la voix rauque.

Je défis mon pantalon et tout ce que j'avais en dessous de la ceinture pour être plus à l'aise. Je me mis à genoux derrière elle, caressai un peu son petit cul ferme, lui saisis la taille à deux mains et l'enserrai fort pour qu'elle sente qu'elle m'appartenait, qu'elle était ma chose, mon jouet sexuel.

— Je vais te prendre, ma petite salope !

Positionnant mon vit sur sa corolle entrouverte, je m'avançai suffisamment et la tirai sur moi, l'empalant jusqu'au fond.

— Ohhh… Hummm ! poussa-t-elle, de plaisir et de satisfaction.
— Oui, c'est bon, hein ?
— Oh oui… Le moment tant attendu…
— Tu n'avais qu'à venir avant, ma petite chienne.
— Oui, je sais…
— Dorénavant, quand tu auras envie de te faire prendre, tu passeras et je t'enfilerai.
— Oh oui ! J'hésiterai pas.

Je lui saisis ses petits nichons à pleines mains, les malaxant sans ménagement, les pressant, lui mordillant le cou tandis que je la couvrais comme une femelle, et je lui soufflai à l'oreille :

— Hummm… t'es ma petite pute. J'adore te baiser. Tu m'excites.
— Oui, je suis à toi, toute à toi. Tu me fais perdre la tête !

Je commençai à la besogner sérieusement, mes mains bien serrées sur sa taille au-dessus de ses hanches, et je lui donnai des coups de boutoir de plus en plus forts, tant en lui assénant des coups de reins puissants qu'en l'attirant à moi, la forçant à s'empaler à fond. Le jeu avait l'air de plaire à ma petite salope car elle poussait des cris de plus en plus forts, se lâchant sans retenue. J'allais et venais en elle, butant contre son cul ; ça faisait des « floc-floc ».

Cette belle sexagénaire à poil et en bottes, à quatre pattes à côté de mon frigo, cette commerciale si sérieuse, j'étais en train de lui défoncer la chatte et elle me rendait dingue, je prenais mon pied. Ses petits seins pendouillants se balançaient en cadence comme à un arbre de Noël. Elle me faisait bander comme un malade, et j'étais dans une forme olympique : mon plaisir ne montait pas et je ne ressentais aucune fatigue ; je la pilonnais sans aucun signe d'épuisement. Et elle, elle appréciait vraiment : ses hululements appuyés montraient que ses orgasmes se succédaient sans interruption.

Je sortis d'elle et lui ordonnai de ne pas bouger, de garder la position. Un peu inquiète, elle tourna la tête et me vit prendre ma ceinture. Son regard, de plus en plus craintif, m'interrogeait.

— Je vais tu punir, Marcia, pour deux raisons : d'abord parce que tu m'as manqué et que j'ai souvent pensé à toi en ton absence ; j'ai eu envie de toi et j'ai dû me branler (en pensant en plus que je ne te baiserais peut-être plus). Et deuxièmement parce que tu m'excites trop avec ton petit cul et ton air de ne pas y toucher, ton air de femme mûre très sage qui se comporte comme une petite salope dès qu'elle est à poil devant moi.

Elle gémit et se mit à vouloir se relever ; je la maintins dans sa position en appuyant sur sa nuque.

— Tu n'y vois aucune objection ?
— Si… Écoute, j'ai peur de… Je n'ai pas trop envie…
— Tu voulais que je sois autoritaire, que je te domine ? Eh bien te voilà servie. Je vais te dominer et tu vas te comporter en bonne petite fille soumise. Tu vas te plier à mes envies, à mes caprices, à mes désirs. Et tu vas me prouver que tu es une bonne petite salope !

Ses beaux yeux d'un bleu métallique étaient pleins d'inquiétude. Je la rassurai. Je baissai de ton :

— Rassure-toi, Marcia. Je ne vais pas te blesser. Je vais juste fouetter ton petit cul. Je vais t'administrer douze coups ; le cuir va mordre ta chair. Tu vas compter après chaque coup, et tu me diras « Merci, mon homme ! » OK ?
— Oui, mon chéri. Vas-y, je le mérite. Mais… doucement.

Je m'écartai, pris la mesure de la bonne distance. Je levai le bras et le cuir s'abattit en travers de son petit cul blanc. SCHLAAAK !

— AÏE !… Un.

Son petit fessier était si étroit que j'avais bien du mal à marquer la peau blanche de zébrures bien parallèles. Je dosai bien la force pour ne pas lui faire trop mal. Elle encaissait, mais quand j'arrivai à dix elle avait les yeux humides. Je marquai une petite pause, puis :

— Allez, plus que deux. Courage. Mais les deux derniers, tu vas les sentir passer !

J'envoyai ma ceinture avec force ; elle la toucha au sommet de son fessier. Elle cria et s'écroula sur le ventre. Du coup j'envoyai le dernier, encore plus fortement, et le cuir siffla et claqua sèchement le cul juste au-dessus de la racine des cuisses.
Elle poussa un long gémissement, porta la main à ses fesses et se frotta.

— Laisse, je vais m'en occuper. Je vais te passer un baume apaisant. Remets-toi en position ; ça ne te dispense pas d'obéir, de rester une bonne soumise.

Je lui passai de la crème sur son petit cul. Ses téguments étaient chauds, bouillants. Ils communiquaient à mes mains cette chaleur irradiée que la crème absorbait peu à peu.

Puis ma main s'égara, bien évidemment, entre ses cuisses, retrouvant ses pétales entrouverts et humides ; elle accueillit cette caresse avec un soupir de contentement, fermant les yeux, puis commençant à gémir et au fur et à mesure que mes doigts se mettaient à la branler.
Pendant ce temps, les doigts de ma main gauche ne restaient pas inactifs et s'étaient saisis de ses mamelons qu'ils s'amusaient à triturer l'un après l'autre, les tiraillant, pressant ses seins fuselés.

Je fis entrer deux doigts dans sa chatte et me mis à la baiser avec ceux-ci, lui arrachant cris aigus et gémissements de bête, puis je les ressortis et montai jusqu'à son sillon fessier, enduisis sa rosette froncée de mouille et lui dis d'une voix rauque et solennelle :

— Maintenant, Marcia, je vais te mettre ma pine dans le cul !
— Oh ! Dans le… ?
— Parfaitement. Tu as bien entendu, ma petite salope. Tu m'as d'ailleurs dit que tu étais toute à moi. Toute à moi veut bien dire ce que ça veut dire… et pour toi, « toute » sera bien entendu « sans exception » !

Elle ne protesta pas davantage et je continuai à lui caresser l'œillet. Je me mis à y introduire lentement une phalange, la ressortant, la lubrifiant un peu, poussant mon avantage, lui travaillant progressivement le cul. Elle était étroite, tellement serrée : il fallait m'armer de patience.

Étant donné qu'elle était à quatre pattes à côté du frigo, j'eus l'idée lumineuse d'en ouvrir la porte et d'y prendre la margarine. J'ouvris la barquette, en pris une bonne noisette et la déposai sur sa rosette.

Elle se laissait faire, bien docile, à poil avec ses bottes. Elle me donnait une furieuse envie de lui défoncer le cul ! Mon vit se dressait encore plus dur tandis que fis pénétrer de la margarine dans son petit trou pour assouplir le canal étroit, y enfonçant bientôt deux doigts, l'élargissant progressivement, en douceur et avec persévérance. Son canal anal s'assouplissait sous le traitement que je lui administrais. Elle semblait se détendre, confiante, sachant très probablement que je ne suis pas une brute et que je n'allais pas la forcer comme un Cosaque, au risque de la déchirer, de lui faire mal.

Je me plaçai derrière elle et m'accroupis en lui annonçant :

— Maintenant, ma petite Marcia, je vais bien t'enculer.

Elle se mit à geindre :

— Oh… va doucement…
— Ne t'en fais pas, je vais y aller lentement. N'aie pas peur, aie confiance. Allez, écarte bien les cuisses, avance tes genoux, cambre-toi bien, offre-moi bien ton cul.

Elle creusa ses reins davantage, avança ses jambes, écarta ses pieds, me présenta sa lune bien déployée, avec au centre la cible, sa petite rondelle toute luisante, à demi ouverte. J'y positionnai mon gland gonflé et durci et je poussai lentement, forçant légèrement l'orifice qui céda par à-coups.
Je la sentis se crisper, la bouche pincée, les doigts repliés. Je lui murmurai :

— Détends-toi, relâche ton petit muscle, livre-toi.

Elle respira fort, se concentra sur sa tâche et son cul s'ouvrit plus largement. Ma pine victorieuse s'enfonça lentement en elle, toute serrée par le petit canal. Je progressais peu à peu.

— C'est bien. Ouvre-toi bien, mon trésor. J'y suis. Je suis presque à fond.

Son cul s'offrit, finit de se livrer et j'arrivai tout au fond, mon pubis butant contre ses fesses. Elle était brûlante et douce.

— C'est bien, ma chérie. Tu es enculée à fond ! Je vais bien te travailler le cul ; tu vas aimer, tu vas voir…

Je la saisis par la taille, coulissai en arrière sans faire ressortir le gland, et redescendis, retournant à l'assaut de sa place forte qui s'était rendue.

Ses entrailles s'assouplissaient, ses tissus devenaient plus élastiques, s'abandonnaient à mes va-et-vient qui lui faisaient découvrir des sensations nouvelles en appuyant sur sa zone G à travers la mince paroi alors que je m'efforçais de faire descendre ma pine le plus verticalement possible pour stimuler cette zone-cible.

Je commençai à accélérer le mouvement, à la pilonner, lui donnant des coups de bélier qui ébranlaient tout son bas-ventre. Elle se mit à gueuler à chaque coup de boutoir qui lui arrachait manifestement de violents spasmes de plaisir. J'allais de plus en plus fort, excité comme jamais, et lui défonçais son petit cul profondément, jubilant, exultant, emporté par mon plaisir vicelard.

— Ah, c'est bon, ma Marcia… Je t'en mets plein le cul, je te défonce ! T'aimes ça, hein ?
— Oh oui, vas-y, c'est bon !

Je la saisis par les seins et continuai à la pilonner à un rythme accru. Elle beuglait, commençait à avancer à quatre pattes comme si elle cherchait à s'échapper, ou comme si mes coups de reins la propulsaient en avant. Elle finit par s'écrouler à plat-ventre, mais je restai planté dans son petit trou, allongeant mes jambes, et continuai à la sodomiser par de longs mouvements de hanches. Mes mains étaient plaquées sur ses épaules rondes. Je l'écrasais de mon corps. Elle criait d'une voix cassée et déchirante. Je crus qu'elle allait claquer sur mon carrelage.

Une longue plainte saccadée annonça qu'elle jouissait. Son petit trou se resserra, me faisant un effet bœuf. Je sentis mon plaisir monter d'un seul coup, brûlant et violent, et je lâchai tout en elle, lui envoyant mon sperme bien au fond de son cul, râlant comme une bête blessée à mort.

Je restai allongé sur elle un petit moment. Nous peinions à reprendre notre souffle ; ma queue était encore enserrée dans son petit œillet. Je finis par coulisser hors d'elle et la libérer, puis je l'aidai à se relever.

— Eh bien, mon bon, on peut dire que tu m'as bien défoncé le cul !
— Tu as aimé ?
— À ton avis ? Je ne vais pas dire que je n'ai pas aimé, mais je ne recommencerais pas ça tous les jours !

Elle se toucha le derrière.

— Je sens que je vais avoir du mal à m'asseoir pendant quelques jours…
— C'était pour la bonne cause, ris-je en lui claquant un baiser sur la bouche.


Cela vous étonnerait si je vous disais que Marcia ne passe plus me voir depuis ?

Tous les deux-trois mois, elle débarque entre 18 h 30 et 20 heures, toujours à l'improviste, les yeux brillants, et après quelques paroles échangées pour nous enquérir de comment nous allons l'un et l'autre, les mots qu'elle me jette d'une voix trouble sont invariablement « Déculotte-moi ! », ou « Baise-moi ! », ou « Je suis venue pour que tu me baises, salaud. Dépêche-toi de me prendre, j'ai pas beaucoup de temps ! »