La voisine d'en face

C'est fou comme quand on se retrouve veuf, on attire toutes les femelles ! C'est la découverte que je faisais depuis quelques mois. Ainsi, il n'y avait pas que Marcia que j'avais attirée comme la confiture attire les abeilles. Je trouvais, au début, que les femmes « qui savaient » me regardaient d'un drôle d'air. Du moins celles de mon âge ou un peu plus vieilles.
Évidemment je ne me mettais pas à attirer les jeunes filles de 20 ans, ou alors certaines, mais je ne le savais pas (je ne m'en apercevrais pas de toute façon.)

Mon quartier était très calme, constitué uniquement de maisons individuelles, et je ne connaissais – à peine – que les voisins des deux maisons jouxtant la mienne. Au bout de quelques mois on commence à reconnaître les voitures ainsi que les personnes qui en sortent, comme celles qui habitent la petite maison aux volets marron ou bien la maison accolée à l'autre, couleur béton, là-bas. Quand on tombe dans la rue en même temps qu'eux on se dit bonjour, et ça s'arrête là.

On commence à connaître les habitudes des gens du voisinage plus ou moins proche, ne serait-ce que parce que, tiens, celui-là part bosser à la même heure que moi, celui-ci, tiens, part en moto toujours quand je sors de la salle de bain. Celle-là passe devant chez moi à 7 h 30 tapantes, sans doute pour aller prendre son bus dont l'arrêt est au bout de la rue.

Le voisin d'en face, qui semble avoir dépassé l'âge de la retraite, part une demi-heure avant moi ; sa femme ne travaille pas ou plus. Je la vois ouvrir les fenêtres et les volets le matin, commencer son ménage sans doute, en robe confortable, aérer la literie.

Il y a des jours où je suis pressé : un rendez-vous, une réunion, et je me hâte parce que la circulation est dense en général le jeudi. Mais il y en a d'autres où je traîne un peu, me sachant sans contrainte horaire. Comme ce matin-là. Il faisait chaud ; j'aérais en grand la maison, faisant entrer la fraîcheur pour la journée.

J'avais vu le voisin partir. Au moment où j'ouvrais mon portail pour sortir ma voiture, je vis la voisine sur le pas de sa porte. Je la saluai mais elle m'interpella :

— Bonjour. Dites, s'il vous plaît…
— Oui ?

Je traversai la rue, allant à sa rencontre. Je ne l'avais jamais vue de près. Elle devait avoir dans les 60-62 ans (moins de 65, pensai-je), assez quelconque, châtain clair, le visage peu marqué par les ans. Un air d'inquiétude très marqué déformait ses traits.

— Mon mari vient de partir. Il est parti en déplacement deux jours, et je ne veux pas le rappeler car je sais qu'il serait en retard… mais j'ai un problème : je n'ai plus de courant ; je crois que quelque chose vient de disjoncter.
— Vous voulez que je vienne voir ? Je ne suis pas un spécialiste mais je peux déjà essayer de voir d'où vient le problème et vous aider.
— Oh oui, s'il vous plaît ! Vous seriez gentil…

Je la suivis dans sa maison. Elle portait une robe descendant aux chevilles, ample, mais me laissant deviner qu'elle avait de bonnes formes.

Nous descendîmes dans son sous-sol jusqu'au au tableau électrique que j'inspectai. J'examinai les disjoncteurs séparés ; l'un deux avait sauté en même temps que le général. Le secteur était donc isolé, il fallait juste essayer de trouver ce qui avait fait disjoncter.

Je réfléchissais, appliqué à chercher. La dame me regardait.
Soudain elle demanda :

— Dites, je peux vous poser une question… indiscrète ?

Je souris :

— Faites toujours.
— Je ne vois plus votre dame depuis un moment… Elle n'est pas malade ?
— Elle est décédée.
— Oh, pardonnez-moi, je suis désolée.
— Vous n'y êtes pour rien ; vous ne pouviez pas savoir. C'est comme ça.
— Oh, mon pauvre Monsieur… je vous plains.
— Il faut continuer à vivre. Chaque jour après l'autre. Il n'y a rien d'autre à faire.
— C'est terrible. C'est ce qu'on redoute tous…
— Et ça finit par arriver. C'est comme ça. On n'y peut rien. Et puis il y a pire – presque pire – que la mort : il y a la maladie.
— Elle… elle a souffert ?

Je lui répondis avec un triste sourire qui se voulait rassurant :

— Non, rassurez-vous. Ça a été brutal. Heureusement. Enfin, heureusement pour elle. Pour celui qui reste, il faut encaisser le coup.
— Oh, je comprends. Ça doit être dur. Mais vous… vous… ça va un peu mieux… ? demanda-t-elle en me regardant en face avec un sourire misérable.

Elle avait posé sa main sur mon avant-bras.

— Ça, ça va. Ça va mieux maintenant. J'ai passé le cap.
— Ah, c'est dur, c'est trop dur la vie parfois…
— C'est pour ça qu'il faut en profiter, profiter de chaque jour qui passe, sans attendre, lui dis-je droit dans les yeux, très donneur de leçon, un peu philosophe de bistrot.

À ce moment précis, je l'avais dit sans arrière-pensée. Bien entendu, j'avais bien maté son cul et essayé d'en deviner la forme quand elle m'avait précédé, mais c'était un réflexe chez moi – comme chez beaucoup de mecs – d'autant que pour moi, par principe, quelles que soient leur apparence et la première impression qu'elles laissent, il n'y a aucune femme qui ne soit pas baisable (si ce ne sont celles de moins de 35-40 ans qui ne m'intéressent pas, mais je crois l'avoir déjà dit…) ; mais je n'imaginais pas cette femme – que j'apercevais parfois le dimanche dire au-revoir à ses enfants et petits-enfants en compagnie de son mari – faire des galipettes adultères.

Je sais que je suis encore parfois un grand naïf et que j'ai tendance à oublier, dès que je ne réfléchis plus, que les femmes de plus de 60 ans ont été plus jeunes, et que certaines ont eu une libido débordante et une vie sexuelle plus que bien remplie !

— Bon, lui dis-je, je vais vous montrer ce qu'il faudra faire si ça se reproduit.

Je commençai à lui expliquer comment isoler un secteur électrique mais je me rendis vite compte qu'elle ne m'écoutait pas. Elle semblait troublée, son esprit était ailleurs, et son regard dans le vague. Elle resta quelques secondes ainsi avant de se rendre compte que j'attendais son attention.

— Oui, oui, excusez-moi. Oh, tout ça est très compliqué ; je ne sais pas si je saurai si ça recommence…

J'insistai, légèrement agacé. Je lui pris le bras et l'amenai devant le tableau électrique. L'endroit était exigu ; je dus la pousser un peu. J'étais juste derrière elle, et elle n'avançait pas assez, me laissant vraiment peu de place pour pouvoir tendre le bras et lui montrer les disjoncteurs. Je me retrouvai presque tout contre elle et je sentis même à un moment son fessier me frôler. C'est à ce moment-là que je me rendis compte qu'il devait être d'un bon volume.

Sans même le faire exprès, essayant de garder l'équilibre dans la posture instable qui était la mienne parce que j'avais peu de place pour mes pieds, je perdis un peu mon équilibre et posai ma main gauche sur sa taille ; je sentis sous ma paume un flanc généreux et moelleux. La dame n'eut aucun mouvement de répulsion, mais elle posa sa main droite sur cette main que je gardais en place. Je crus qu'elle allait la retirer – chose que je me serais empressé de faire, pensant qu'elle allait être gênée ou qu'elle allait s'imaginer que j'en profitais – mais à ma grande surprise elle laissa d'abord sa main posée sur la mienne puis la fit monter lentement, m'obligeant à caresser son corps. C'en était trop pour moi : je me mis immédiatement à avoir la gaule !

Je me retrouvais pressé contre une inconnue, une voisine, au corps que je commençais à deviner pulpeux, dans la faible lumière d'un sous-sol. Je ne voulus pas l'obliger à me faire poursuivre cette caresse sensuelle : pas question de lui faire croire que je me sentais contraint. Ma main monta jusqu'à sa poitrine et trouva à travers l'étoffe des seins étalés mais d'une bonne forme, me faisant comprendre qu'ils étaient libres, sans soutien-gorge : la dame s'était levée il y a peu, avait juste revêtu cette robe pour faire son ménage, et je la trouvais comme au sortir du lit. Mes deux mains s'y mirent et se chargèrent chacune de presser et de masser un sein, les faisant rouler de haut en bas.

Je sentis à travers le mince tissu les tétons dresser et pointer ; je saisis entre pouce et index des mamelons durcis d'une bonne taille. Ce faisant, bien entendu, j'en avais profité pour l'attirer sur moi, plaquant son corps contre le mien ; elle devait bien sentir ma queue raide sur ses fesses, d'autant que la robe était légère et que j'étais convaincu qu'elle n'avait pas plus de culotte que de soutien-gorge. Je me pressai contre son cul, montant et descendant en ondulant des reins, et je commençais vraiment à avoir faim !

Elle ne me fit pas languir plus longtemps, et pour me prouver qu'elle n'avait pas l'intention de se contenter de m'exciter, d'un seul coup elle prit elle-même sa robe, la fit monter et passer par-dessus sa tête. J'étais éberlué : elle était nue, seulement vêtue de ses chaussons, et offrait son corps à un quasi-inconnu, fût-il son voisin !

Je pris à pleines mains ses fesses, des fesses larges et souples, bien généreuses comme j'aime, un vrai cul de femme ! Je n'étais pas volé ! Je tombai littéralement à genoux, et tout en le massant avec fougue, je me mis à prendre leur chair dans ma bouche par pincées entières, les mordillant, léchant leur peau, la suçotant. Elle gémissait, gloussait comme si elle était surprise telle une vierge qui ne s'attendait pas à ce qu'on allait lui faire, mais mon audace et mes manières l'excitaient plutôt qu'autre chose.

Ma bouche descendit jusqu'au bas des fesses ; je léchai les sillons les séparant des cuisses tout en pelotant ces dernières et les lui faisant ouvrir. Elle avait une forte odeur de femme, une femme qui sort du lit, une odeur épicée et piquante.

Je voyais les grandes lèvres de son sexe qui semblaient bien charnues et parsemées de quelques poils fins ; je collai ma bouche sur cette chatte entrouverte et goûtai à ses muqueuses baveuses. Elle poussa un « Ooh ! » de surprise feinte comme si elle ne s'attendait pas à ce que je mette ma bouche sur une chatte aussi exposée et offerte, livrée comme du tout cuit, mais son petit cri se changea vite en une plainte d'acquiescement et de satisfaction comme si elle accueillait une caresse qu'elle n'avait pas connue depuis longtemps.

Elle se laissait aller, ondulait en pliant les genoux tandis que ma bouche ventousait littéralement sa fleur bien ouverte, ma langue la parcourant du bourgeon à l'orée du sexe. Je suçais, mordillais les petites lèvres que je happais au passage, puis ma langue entra dans sa chatte, essayant de la baiser le plus profond possible en enfin remonta entre ses fesses, trouva le petit cratère, le flécha ; il avait un goût corsé et amer.

Elle avait l'air d'apprécier particulièrement cette caresse car elle s'était penchée en avant et se tenait au mur, les paumes bien à plat sur celui-ci, pour se cambrer et mieux offrir son cul. J'insérai mon majeur dans sa chatte, fis des allers-retours, la fouillant bien tandis que ma langue essayait de pénétrer son petit œillet.

Elle se mit à pousser des cris étouffés, retenus certainement par pudeur, même si sa position et l'offrande qu'elle me faisait auraient semblé à un spectateur le comble de l'impudeur. Elle se mettait à jouir, la tante, elle prenait son pied, tressaillait sur ses jambes, secouée par un orgasme continu qui la prenait en saccades, collant spasmodiquement sa chatte grande ouverte sur ma bouche tandis que mon doigt lui pressait sa zone G en va-et-vient rapides.

J'avais vraiment envie d'elle ; j'avais envie de la saillir là, tout de suite, n'importe comment, mais je me demandais comment j'allais faire ça dans ce sous-sol malcommode (je sais, je suis un peu maniaque, mais j'aime bien mon confort). Et puis l'heure tournait, et je me rendis compte que j'allais finir par être vraiment en retard au boulot.

Elle dut entendre ma pensée ou bien eut envie de me rendre la pareille ; ou bien, maintenant qu'elle avait joui et était peut-être prise de remords, elle souhaitait en finir au plus vite : elle se retourna, et tandis que je me relevais, elle se laissa aller à genoux, empoigna mon vit qui reprit davantage de vigueur et l'emboucha sans autre forme de procès.

Sa bouche était douce et experte. Nom de Dieu, qu'est-ce qu'elle suçait bien ! Elle me fit une pipe magistrale et absolument divine : sa bouche coulissait d'avant en arrière sans jamais faire ressortir le gland qu'elle suçait goulûment, puis faisait rentrer ma queue jusqu'au tréfonds de sa gorge. Sa langue était de velours, ses muqueuses un délicieux fourreau. J'imaginai alors quel fourreau devait être sa chatte charnue et quel bonheur ce devait être de la pistonner lentement, ce qui fit monter mon plaisir irrémédiablement.

Je n'eus même pas la courtoisie de la prévenir, même si mes gémissements retenus et mes pressions sur sa tête ne pouvaient que l'avertir : je me mis à me répandre à longs traits tout au fond de sa bouche, et elle n'arrêta pas de sucer ! Je compris qu'elle m'avalait avec gourmandise, se repaissant au petit déjeuner de la substance de l'homme, un homme quasiment inconnu, mais tout de même son voisin d'en face, qu'elle devait imaginer respectable d'après ma tenue toujours tirée à quatre épingles, et qui sait, peut-être ma réputation.

Moi, j'avoue que je lui avais bouffé la chatte et le cul sans savoir qui elle était vraiment ; je ne connaissais – vaguement – que son habitat et sa petite famille pour l'avoir aperçue le dimanche. Curieux animaux que les humains, tout de même… Certains animaux se reniflent l'arrière-train et les parties génitales pour se connaître ; nous, nous nous étions littéralement bouffé cet endroit, et léché, lapé et avalé nos fluides sexuels… Il allait falloir que je médite là-dessus dans la journée.

Toujours est-il que je l'aidai à se relever, ce qu'elle fit lentement (elle avait beau avoir l'air souple, à cet âge on a souvent des problèmes articulaires, de genoux en particulier), et nous nous trouvâmes un peu gênés ainsi, elle nue avec ses seuls chaussons, moi encore vêtu mais la pine à l'air, quoique bien nettoyée.

Je nous sortis de cette situation un peu embarrassante en lui demandant où était la salle d'eau car je voulais rapidement me laver les bains, me poncer un peu le Pilate et me rincer la bouche, car j'allais partir au boulot, et là-bas enchaîner directement par des entretiens ; je voulais avoir l'haleine un peu plus fraîche… mais je ne lui donnai aucun détail, étant un galant homme !

Je dus prendre congé rapidement, lui disant à raison que j'allais être en retard au taf, mais qu'étant un homme dévoué à son prochain et qui ne fait rien à moitié, je repasserais le soir dès mon retour pour vérifier que son disjoncteur n'avait pas sauté dans la journée, car je ne voulais à aucun prix risquer qu'elle ne passe la nuit sans courant.

Je me montrais ainsi en homme serviable, qui n'abandonne jamais une femme esseulée dans la panade, et qui va au fond des choses (j'avais bien l'intention d'aller au fond, bien au fond, goûter à la douceur et à la moiteur de sa petite cave intime).


Le soir, vers 18 heures, je rentrai ma voiture dans mon garage, puis, encore en tenue de travail (costume-cravate), je sonnai chez elle. Elle m'ouvrit avec un petit sourire gêné – regardant à droite et à gauche comme pour vérifier si quelqu'un du voisinage pouvait nous voir – puis me fit entrer. Elle s'était changée dans la journée pour une robe d'été légère, d'un très joli bleu à motifs fleuris, et qui lui tombait aux chevilles. Elle portait de jolies chaussures d'été en toile, à semelle compensée.

— Alors, ça a été aujourd'hui ? Ça n'a pas disjoncté ?
— Non, non, j'ai fait comme vous m'avez dit ; j'ai laissé comme vous l'aviez mis, je n'ai touché à rien, et il ne s'est rien passé.
— Bon, eh bien c'est parfait. Vous n'aurez qu'à faire venir votre électricien ; vous verrez avec votre mari quand il rentrera.
— Oui. Il ne rentre que demain après-midi.

La coquine… elle avait vraiment besoin de me le redire, comme pour me préciser qu'il n'y avait rien à craindre aujourd'hui ?

— Voulez-vous boire quelque chose de frais ? Il a encore fait tellement chaud aujourd'hui…
— Oui, merci, c'est pas de refus. C'est vrai que c'est pénible, cette chaleur ; c'est pesant, même au bureau… mentis-je (car au bureau j'ai la climatisation). Quand on est à la maison comme vous, au moins on peut se rafraîchir, passer sous la douche autant de fois qu'on veut… et même profiter au besoin de la fraîcheur du sous-sol. Mais au boulot, il faut subir.
— C'est sûr qu'aujourd'hui je peux vous dire que je suis passée plusieurs fois sous la douche ; je me suis bien rafraîchie.
— Oui, vous avez l'air bien fraîche… dis-je en ayant bien conscience de l'ambiguïté du mot.

C'est vrai qu'elle avait attaché élégamment ses cheveux, et je percevais son parfum fleuri et frais. Si avec ça elle ne cherchait pas à me séduire… Aussi, ne pus-je m'empêcher :

— Vous sentez bon…

Elle eut comme un gloussement et un sourire charmant de jeune fille à qui l'on vient faire un compliment. Je poussai immédiatement mon avantage :

— Vous permettez… que je vous sente de plus près ? dis-je en ouvrant les bras, lui indiquant mon intention.

Et sans attendre sa réponse, je me serrai contre elle, enfouis mon visage dans son cou et inspirai profondément. Sa peau était tiède et parfumée. Mes mains avaient entouré sa taille.
Elle avait posé ses mains sur le haut de mon dos, et loin de me repousser elle se pressa davantage contre moi. J'eus immédiatement la gaule, et je fis en sorte, en collant mon bas-ventre contre son ventre, qu'elle en prenne la mesure.

Mes mains descendirent vers son fessier – qui m'était déjà presque familier – que je me mis caresser doucement à travers la fine étoffe. Et j'eus la conviction, ne sentant aucun élastique, qu'elle n'avait pas mis de culotte : une habitude, ou l'envie de m'exciter ? Si c'était ça, c'était réussi. Je me mis à le presser dans mes mains, de plus en plus fort, malaxant ses hémisphères bien charnus tandis que ma bouche ouverte, collée sur la peau de son cou, montait et descendait en un ballet sensuel. Ses bras me serrèrent plus fort, me caressèrent le dos avec passion, et nos bouches fusionnèrent en un baiser profond et passionné.

J'avais une terrible envie d'elle, et je peux dire sans trop de risque que c'était réciproque. Quand je lâchai enfin sa bouche, je le lui dis. Elle me regarda dans les yeux avec un regard trouble, et toute retournée elle me prit la main et me dit :

— Venez.

Maintenir le vouvoiement avec une femme dont j'avais bouffé la chatte et le petit trou, et que j'allais enfiler sans vergogne, était quelque chose qui me plaisait énormément et contribuait à mon excitation.

Je la suivis. Elle me conduisit dans sa chambre à coucher. Le lit était savamment ouvert, les draps impeccablement pliés avec un rebord près du pied du lit. Ah, la cochonne ! Si j'avais encore des doutes, ils venaient de s'envoler : je me rendais bien compte qu'elle avait prémédité cette imminente séance de baise, et qu'elle avait même dû y penser toute la journée ; elle devait être bien excitée !

Une fois arrivée devant son lit, elle se retourna ; je la repris dans mes bras pour lui rouler une pelle monumentale, n'étant pas pressé de la culbuter sur son plumard : je ne suis pas un soudard mais un galant homme, délicat s'il en est, et j'aime prendre mon temps. Et du temps, nous en avions : toute la soirée, et même la nuit si nous voulions, puisque son mari ne reviendrait pas avant une douzaine d'heures. J'espérais juste qu'elle n'aurait pas une visite impromptue, ne connaissant rien de sa famille ni de ses proches. Mais elle devait bien le savoir, et je lui fis confiance. Une occasion pareille ne se reproduirait peut-être pas ; il faut toujours profiter du moment présent.

Mes mains descendirent, cette fois pour saisir sa robe et la remonter lentement, puis passèrent en dessous et trouvèrent ses fesses qu'elles pelotèrent sans ménagement. Elle ondulait du bassin, ayant l'air d'apprécier. Je repris sa robe, mais cette fois je la lui remontai lentement mais jusqu'en haut, et je la mis nue. Elle était entièrement à poil tout contre moi, mais cette fois dans la clarté de la lumière du jour, au beau milieu de sa chambre à coucher, et son corps m'apparaissait dans la plénitude de sa soixantaine ; et ma foi, il était plus qu'appétissant !

Je réalisai que les fenêtres de sa chambre donnaient sur ma maison, et que ça me fera tout drôle quand je serai tout seul dans ma chambre, que je regarderai ses fenêtres et que je me rappellerai ce que j'avais fait avec elle derrière celles-ci, là-bas, à quelques mètres, de l'autre côté de la rue.

Ses seins étaient bien lourds, et bien qu'un peu étalés vers le bas ils attiraient les mains comme des aimants. Ses fesses débordaient des hanches sur les côtés, et ses cuisses un peu grasses étaient un appel au crime ! Ses bras étaient pleins, encore beaux, et appelaient les caresses. Son ventre arrondi en demi-cercle était une enseigne charnelle. Je la voyais ainsi pour la première fois exposée en pleine lumière, et je m'en mettais plein les yeux. Je la matais du haut en bas, sous toutes les coutures, et elle souriait, un peu gênée. Mais quand elle mit sa main entre mes jambes, elle comprit, satisfaite, quel effet elle me faisait. Elle me mit à me masser cette bosse, doucement, sensuellement, en me souriant, toute émoustillée.
Je me collai à nouveau à elle et lui murmurai vicieusement :

— Tu la veux, hein ? Tu vas l'avoir !

Je me reculai un peu, et tout en la fixant dans les yeux, je me mis à poil en un instant. Je me retrouvai à nouveau devant elle, debout, bien droit, le sexe dressé, que cette petite cochonne ne put s'empêcher de prendre dans sa main qu'elle fit coulisser lentement pendant que je me mettais à lui bouffer les seins tout en lui pelotant le cul.
Je la poussai doucement en arrière vers le lit, l'invitant à basculer.

— Venez, je vais vous prendre. J'en ai trop envie…

Elle ne se fit pas prier et s'assit puis s'allongea dans une suite de mouvements on ne peut plus sensuels.

C'était une véritable transformation : la sexagénaire à la vie bien sage (trop sage sans doute), bien rangée, avec ses journées occupées entre ménage, mari et famille, découvrait qu'elle pouvait encore séduire, et du coup s'offrait à un amant, un voisin. Comment en étions-nous arrivés là ? Je crois qu'à ce moment-là elle ne se posait pas la question, et dans l'excitation magique qui nous transportait tous les deux elle n'avait pas envie de le savoir.

Elle était sur le dos, encore appuyée sur les coudes pour continuer à me regarder, dans une posture qui tenait autant de la curiosité voyeuse (de celle qui ne veut pas perdre une miette du spectacle dont elle est l'une des deux protagonistes) que d'une invite, une façon de m'attirer, de continuer à m'exciter, m'enjoignant à poursuivre, à la poursuivre.

Je ne me fis évidemment pas prier, et adoptant le même rythme lent qu'elle dans mes mouvements, d'un niveau juste au-dessus du ralenti, d'une façon rappelant la reptation du serpent, je montai sur le lit, caressant ses deux cuisses ouvertes en même temps, les lui faisant ouvrir davantage et les relevant légèrement. Elle dut alors se laisser aller sur le dos, me livrer sa fleur entrouverte sur laquelle je collai ma bouche avide, histoire de bien lubrifier cette petite dame que j'allais bientôt – et sans attendre longtemps – chevaucher et travailler au corps comme la charrue laboure une terre fertile.

Ma langue parcourut sa petite tirelire, sa fente aux rebords déjà gonflés par le désir. Je la léchai bien, avec application, tandis que mes mains de part et d'autre d'elle la caressaient avec passion, des cuisses jusqu'aux seins en passant par ses hanches pleines et ses flancs généreux. Elle commençait à se pâmer, les yeux mi-clos, ondulait du bassin, tendait son ventre en avant en arquant son corps pendant que je dévorais ses muqueuses intimes. Elle coulait, la tante, gémissait, caressait mes cheveux tout en appuyant ma tête sur son bas-ventre pour la retenir au cas où j'aurais voulu enlever ma bouche de son petit sanctuaire.

Mes doigts s'étaient saisi de ses mamelons durcis et les faisaient rouler, les pinçaient en dosant bien la pression, la force montant et refluant comme une vague, et faisaient augmenter spasmodiquement ses petits couinements de plaisir. Puis je me mis à remonter lentement, quittant son petit bourgeon, embrassant son pubis, puis son ventre souple. Arrivant à ses seins, ma bouche s'empara de ses aréoles, les goba tout entières, les aspira, les suça, suçota les tétons tandis qu'elle soupirait, emportée par une houle, une respiration sexuelle.

Elle sentit enfin que je me posais, léger, sur elle, comme un oiseau de proie qui atterrit. Ma queue commença à se frotter sur sa vulve bien humide. Elle ouvrit ses yeux brun-vert ; son regard était trouble. Sa bouche s'entrouvrit, m'appelant silencieusement, presque implorante, comme une gorgone. Je ne la fis donc pas languir plus longtemps : je la pénétrai doucement, et elle me reçut avec une grâce infinie, ses beaux bras écartés et pleins, comme une poupée « qui ferme les yeux quand on la couche ». Mais elle n'avait pas fermé les yeux et me regardait bien droit, assumant tout à fait cet accouplement, celle de la femme mûre qui se fait prendre vicieusement sur son lit conjugal par son voisin tandis que son mari est en déplacement.

Je la baisais lentement, en prenant mon temps, lui faisant bien sentir ma queue en elle, ressortant presque complètement puis repartant à l'assaut de son fourreau de soie, m'arrêtant en butée tout au fond de sa chatte douce. Elle se laissait baiser comme une jeune fille, plutôt passive ; mes mains la maintenaient aux épaules pour bien m'ancrer en elle, tantôt jouaient avec ses seins larges. Puis j'accélérai, de plus en plus excité, et je lui fourrai ma langue dans la bouche, la galochant, baiser qu'elle me rendit langoureusement, plutôt lentement, profondément.

Son plaisir montait lentement. De ce côté, du moins, elle montrait que sa physiologie n'était plus celle d'une jeune fille, comme si elle contrôlait la marée de son plaisir pour faire durer ce moment exceptionnel, cette occasion de se faire prendre par son voisin encore dans la force de l'âge, occasion qui, nous le savions, ne se reproduirait peut-être jamais.

Elle avait fini par nouer ses bras sur le haut de mon dos, puis ses cuisses autour de mes reins, les serrant en étau et de plus en plus fort ; son bassin ondulait, venait en avant à la recherche de mes coups de boutoir. J'ébranlais sa porte, la porte de son plaisir, et je sentis que peu à peu, poussant des petits cris discrets, elle prenait doucement son pied en un orgasme lentement ascendant. Je sentais ma jouissance venir, trop vite. Je ralentis, et comme elle faisait toujours la poupée, je me retirai et de mes mains sur sa taille, lui faisant comprendre ce que je voulais, je la fis se retourner.

— À quatre pattes ! lui ordonnai-je.

Lascivement, elle s'installa, me présenta son cul, son large cul ; comme il me faisait envie ! Ses nichons pendaient vicieusement, comme une invite : je les pelotai l'un après l'autre, jouant avec en descendant jusqu'aux pointes. Sa chatte bien lippue bâillait, obscène.

Pour ne pas laisser tout ça refroidir, je me plaçai à genoux derrière l'autel à honorer et fis rentrer mon vit dans la fente ouverte, saisissant la dame par les hanches, mes mains bien plaquées de chaque côté de cette délicieuse amphore. Je me mis à la besogner, la gratifiant d'une tonifiante levrette. Je secouais son corps, lui claquant de temps à autre les fesses ou les poignées d'amour. Je voyais son dos s'arquer, ses reins se creuser : elle prenait bien !
Emporté par l'excitation qui montait à nouveau, je ne pus m'empêcher de lui lâcher :

— C'est bon, hein ?!
— Hmmm…
— Comment ? J'ai pas entendu.
— Oui, oh oui, c'est bon !
— Je te bourre bien ?
— Oh oui, tu me prends bien, tu me baises bien…
— Tu aimes ?
— Oh oui, j'aime ça…

Encouragé par ses mots, je me mis à la travailler à un rythme effréné, la gratifiant de grands coups de reins qui lui arrachèrent immédiatement des cris, cris de surprise, de joie et de plaisir mêlés.

Je me retirai un moment et m'amusai à faire glisser ma queue raide de bas en haut, de haut en bas dans son sillon fessier. Joignant la parole au geste, et tout en continuant à me branler ainsi, je lui murmurai avec volupté :

— Hum, vous avez vraiment un beau cul…
— Merci, répondit-elle d'une voix étouffée et de façon un peu ridicule.

J'enchaînai :

— Vous vous faites prendre par le cul ?
— Oh non !
— Et pourquoi ?
— Parce que… c'est…
— Sale ?
— Un peu… Mais, non…
— Mais quoi ?
— À mon âge…
— Y'a pas d'âge pour se prendre une pine dans le cul ! Et avec un cul comme ça, je ne comprends pas qu'on ne vous encule pas.
— Oh ! Salaud !
— Quoi ? Dites-moi que vous n'en avez pas envie…
— Euh, si… Mais… ça fait mal.
— Mais non. Il faut y aller doucement, progressivement. Vous allez voir…
— Oooh… gémit-elle, ne me faites pas mal…
— Mais non, voyons. Faites-moi confiance. Détendez-vous. Je vais apprivoiser votre cul. Et après, je vous garantis que vous allez aimer.
— D'accord… mais… doucement.
— Bien entendu.

Posant mes deux mains sur ses belles fesses déployées que je maintins bien ouvertes, je me lis à lui lécher sa petite rosette, me rappelant combien elle avait apprécié la caresse le matin même ; en effet elle soupira et se mit à gémir : ma belle voisine avait décidément une sensibilité anale exacerbée, et son petit œillet semblait particulièrement érogène.

Mettant deux doigts dans sa chatte, je les ressortis bien gluants, tout luisants de nos sécrétions sexuelles ; j'en enduisis son petit œil borgne puis j'y fis glisser lentement une phalange de mon majeur, qui y fit des va-et-vient. Elle était serrée, mais sous l'effet de cette masturbation qu'elle appréciait manifestement, son petit anneau musculaire se détendit et il accepta un second doigt qui se livra à la même tâche, de concert avec le majeur.

Je les ressortis puis caressai le petit cratère avec la pulpe du pouce, le déprimant progressivement avec des pressions croissantes jusqu'à ce qu'il se livre et l'accepte : il l'engloutit sans effort et je me mis à branler son petit canal en y enfonçant et ressortant mon pouce sur toute la longueur.

Mon autre pouce caressait doucement sa vulve, massant son clitoris, glissant sur ses lèvres roses, puis dans sa chatte : ses deux orifices m'étaient acquis, ouverts, offerts, disponibles.

— Allez, lui dis-je et me saisissant de ma tige, on va passer aux choses sérieuses.

Et m'accroupissant au-dessus d'elle, je présentai mon gland à l'orifice tout rond pour remplacer mon pouce. Le gland entra en elle en glissant lentement. Elle poussa un « Oh ! ».
Son petit trou s'affolait, présentait des spasmes ; j'attendis qu'il se détende. Quand ce fut fait, j'enfonçai lentement mon vit en elle ; elle émit une longue plainte, mais son cul se rendit sans résistance. J'arrivai en butée contre ses fesses : elle s'était pris toute ma queue.

— Alors, ma petite dame, ma gentille voisine, c'est douloureux de se faire enculer ?
— Non, ça va…
— Ça vous fait comment ?
— Oh… bizarre… mais…
— …mais vous aimez ça ?
— Oui, c'est bon !
— J'ai tout de suite remarqué que vous étiez sensible du cul.
— Oui, c'est vrai. Mais… je n'osais pas.
— Vous en aviez envie, hein ?

— Oui, j'avoue. J'en ai longtemps rêvé…
— Vous vous rendez compte ? Alors que vous aviez juste en face de chez vous un voisin prêt à vous enculer ! Il ne faut jamais hésiter à demander quelque chose à son voisin… surtout quand il est prêt à vous rendre service.

Ce disant, j'avais commencé à aller et venir dans son petit trou qui s'était considérablement assoupli. J'allais et venais dans son cul aussi facilement que si j'avais été dans sa chatte, et la dame avait l'air d'apprécier vraiment : elle commençait à gémir de plaisir à chaque coup de bite, à chaque fois que j'arrivais bien au fond de ses entrailles.

J'avais saisi ses nichons à pleines mains et je les pelotais, les malaxais sans relâche. Son visage de femme mûre était tourné, sa joue appuyée contre le lit, et j'y voyais l'égarement, le plaisir montant auquel elle était en train de s'abandonner, les yeux mi-clos, la bouche entrouverte ; elle avait passé une main entre ses cuisses et se caressait la vulve et le clitoris : elle se branlait comme une gamine ! Elle était aux anges…

Je me mis à la besogner de plus en plus fort, lui pilonnant le cul, ébranlant son rectum, sa zone G, tout son bas-ventre, et le résultat ne se fit pas attendre : elle poussa des cris aigus au rythme de mes coups de bite, trembla de tout son corps et s'affala à plat-ventre. Moi, vautré sur ses fesses, je lui assénai les derniers coups de pine ; dans cette position, son petit anneau culier me serrait encore plus, et n'ayant pas le temps de sortir d'elle je lui balançai tout mon foutre au fond du cul, lui offrant un lavement gratuit.

Après avoir recouvré nos esprits et récupéré un peu nos forces, je l'aidai tendrement à se relever du lit. Elle fut catastrophée en découvrant les taches de nos fluides sexuels sur les draps tout propres.

— Ah, là là… Zut, je n'ai plus qu'à changer les draps !
— Attendez un peu ; attendez demain matin, lui dis-je avec un petit clin d'œil. Je suis juste en face, et si vous avez encore des envies cette nuit, je pourrais peut-être vous rendre une petite visite ?