Chapitre 10

Les deux sœurs m'ont donné leur corps pendant tout le week-end end, et je suis las et repu. Je vous passe les détails de ces deux jours tant elles ont fait preuve, l'une comme l'autre, d'imagination et d'inventivité pour notre plaisir à tous les trois.

Je me sans pourtant mal. Même si le jeu m'a beaucoup amusé ces dernières semaines, nous avons, avec ce week-end de sexe, atteint le paroxysme de cette relation légèrement triviale et – je dois le dire – je ne pense pas pouvoir aller plus loin dans la perversion avec Virginie. Non pas que je ne la sente pas capable de faire encore plus imaginatif, mais simplement que nous prenons un chemin qui n'est pas celui que je souhaitais. À bien y regarder, je suis épris de cette femme et je n'ai pas envie de la partager avec qui que ce soit, quand bien même il s'agit de sa propre sœur.
Et c'est avec cette pensée majeure à l'esprit que je reprends le chemin de mon bureau ce lundi matin, bien décidé à lui parler de ce que je ressens. Quitte à la froisser en lui disant que je souhaite une relation, certes hors du commun, mais exclusive.

La Chevrolet 1969 qui est dans le garage me rend le sourire ; j'adore conduire cette voiture. Je m'installe sur le siège en skaï noir, mais elle refuse obstinément de démarrer. J'abandonne alors la place sans même ouvrir le capot. Décidément, pas de chance ! Je retourne dans l'entrée, prends mes affaires de moto et pousse le 1100 Dragstar dehors. Le gros custom japonais pétarade sans problème et je l'enfourche avec un soupir de réconfort.

C'est donc avec mon casque sous le bras que je pénètre dans les locaux de ma société au même instant que ma belle, qui arrive en courant pour essayer de combler son retard sur l'horaire d'embauche habituel. Elle me regarde de la tête aux pieds, semblant surprise de me voir en tenue de motard, mais elle ne dit pas un mot en s'engouffre dans l'ascenseur sans même m'attendre. Malgré mes idées presque noires de ce matin, je me sens en forme et entreprends d'accéder à mon troisième étage par l'escalier.

Arrivé au deuxième, la porte palière s'ouvre à la volée et Virginie, toujours en train de courir apparaît, fonce vers moi et me prend par la main. Elle m'entraîne en dévalant les escaliers vers le sous-sol. Je la suis en courant également et me retrouve avec elle dans le parking souterrain que presque personne n'utilise (à part moi pour garer la Camaro et ma moto).
À peine la porte passée, elle se jette sur moi et m'embrasse à pleine bouche. Petit à petit, elle recule, me tenant toujours par le col jusqu'à se retrouver assise sur la selle de ma moto, sans jamais me lâcher et en me roulant la pelle du siècle.

— J'ai toujours rêvé de me faire baiser par un motard sur son engin… me glisse-t-elle à l'oreille.
— Y aurait-il un gage que j'ai raté ? je demande innocemment.

Elle ne prend même pas le temps de me répondre et entreprend de défaire les boutons de mon jean.

— Non, mais je crève d'envie de ta belle queue… me susurre-t-elle.
— Eh bien, belle demoiselle, il va te falloir patienter un peu : j'assouvirai volontiers ce fantasme, mais seulement après avoir posé mes conditions… et puis je vais être en retard : on est lundi, et j'ai rendez-vous avec ta jolie responsable.

Elle prend un air de petite fille à qui on aurait volé son jouet et ajoute :

— Tu va me laisser comme ça ? Toute mouillée et seule ?
— Oui, ma douce. Pour l'instant, il me faut aller contempler les douces formes de ta rouquine de chef.

Franchement dépitée, elle tourne les talons et me lance :

— Quand tu seras décidé, il sera peut-être trop tard !

J'ai tenté un coup ; on va voir si le poisson mord : si elle partage mon attachement, ceci ne sera qu'un test, sinon il me faudra revoir ma copie.

Après plusieurs heures de boulot, de rendez-vous et de coups de fil, ma tête est de nouveau emplie de Virginie. Je pense à elle et à tous ces moments intenses avec elle.

Message sur mon portable alors que je suis en ligne avec un de mes gros clients : « Quels sont les conditions dont tu as parlé ce matin ? » Au moins, elle a relevé cette partie du discours, et pas seulement mon pseudo-manque d'envie dans le parking. Je dis bien « pseudo », car elle m'a fait bander dur, la belle, mais je me suis bien gardé de le lui dire. Et puis j'avais vraiment rendez-vous avec sa rouquine de chef (que je trouve fort à mon goût, mais qui me semble bien coincée) et j'ai passé plus de deux heures avec elle sur quelques dossiers « tordus » dont j'ai la spécialité.

Je raccroche mon téléphone et rédige une réponse : « Une question, une réponse, un gage : c'est le jeu. Ma condition (car il n'y en a qu'une seule), c'est que dorénavant il n'y aura que moi dans ta vie sexuelle. » Réponse simple, directe et sans détours. Je pose ma condition, espérant qu'elle approuvera la direction dans laquelle je souhaite mener notre relation.

Après quelques minutes, nouveau SMS : « C'est quoi, le gage ? » Une nouvelle fois, elle me laisse avec mes doutes et se contente de relancer le jeu. « En rentrant chez toi ce soir, je te veux nue et offerte dans ta chambre, soumise et prête, les yeux bandés. » Je pousse le vice au plus loin en ajoutant : « Tu seras punie pour tes fautes ! »

Le reste de la journée va être long. Pour ne pas trop penser à la soirée à venir, je me plonge dans le boulot. Vers 16 heures, la jolie Christine – un peu coincée – du service clientèle entre dans mon bureau, m'apportant un peu d'air parfumé et d'autres pensées que celles que j'ai envers ma Virginie. La jolie rouquine referme la porte derrière elle et me dévisage un instant.

Elle est comme souvent habillée d'une large jupe qui descend sous le genou, d'un haut noir près du corps et d'une paire de ballerines assorties. Elle a la peau très claire et de beaux yeux verts, un joli et fin visage encadré par ses longs cheveux roux. Je l'ai toujours trouvée canon, cette fille, mais elle est vraiment coincée, et même dans sa manière de s'exprimer je la trouve précieuse et un peu pédante.

Elle me fixe droit dans les yeux ; je vois ses joues se colorer de rose, mais elle soutient mon regard. D'un coup et toujours sans un mot, elle baisse les yeux, fuyant mon regard appuyé. Elle est toute rouge, et je profite de cet instant pour essayer de deviner ses formes : une paire de petits seins, des hanches marquées mais sans bourrelets, et une peau qui donne envie de croquer dedans. Je me prends à l'imaginer nue, et cette fois c'est moi qui rougis. Je lui dis :

— Tu voulais me demander quelque chose ?
— … Euh, non… Si… En fait, je reviendrai plus tard.

Elle est troublée ; pourtant, je n'ai rien fait de particulier. Je la regarde tourner les talons et essaie, cette fois-ci, d'imaginer ses fesses sous la jupe trop large. Sans succès. Je crois que si… Eh bien, il y aurait matière à… (c'est là un autre fantasme que je raconterai plus tard). Après cet intermède rafraîchissant, j'ai du mal à reprendre mon sérieux. Je décide de sortir faire quelques courses avant d'aller rejoindre ma belle.

Ceci fait, la journée a bien avancé et je file chez cette dernière, motivé et la queue déjà bien raide à l'idée de la retrouver.

Je ne me suis pas trompé ; elle est comme je l'attendais : nue, agenouillée sur le lit, les fesses tournées vers la porte de la chambre, un bandeau sur les yeux et – comble du fantasme – elle s'est attaché les poignets ensemble à la tête de lit. Nue, offerte et soumise. Comme je le rêvais.

Je ne fais pas de bruit en entrant dans la chambre et tourne autour du lit pour la regarder. Je la dévore littéralement des yeux. Elle est belle, ainsi offerte à mon désir… Je regarde son joli visage posé sur l'oreiller ; malgré le bandeau qui recouvre ses jolis yeux, je la trouve belle. Elle l'est encore plus quand elle jouit ; sa nuque fine et ses cheveux soyeux qui la cachent partiellement, son dos sans défaut que j'ai souvent envie de caresser, ses seins que je découvre écrasés sous elle mais que je sais lourds, volumineux et pourtant bien fermes. Et pour finir, cette chute de reins et ce fessier magnifique dans lequel j'ai envie de croquer. Oui, elle est belle.

De ma main j'effleure sa fesse, remontant doucement sur son dos jusqu'à sa nuque. Ma main se perd dans sa chevelure puis redescend sur son flanc en direction de ses seins. À l'approche de mes doigts elle se redresse un peu, me donnant accès à ses tétons. J'effleure juste leur bout sans m'y attarder. Ma main repart à l'assaut de sa peau, tout en douceur et en effleurements. J'évite soigneusement de toucher les zones les plus sexuelles. Je glisse ma main entre ses cuisses qu'elle a écartées doucement ; j'en caresse l'intérieur, cette zone où la peau est encore plus douce, jusqu'au creux du genou. Je remonte à l'intérieur de l'autre cuisse, passe sous la fesse (encore une zone particulièrement douce) puis file vers le haut de la fesse – l'entrée de la raie culière est une zone que je trouve érogène – mais je ne m'y attarde pas non plus. Comme elle a redressé son buste, ses seins pendent, et je viens caresser la peau si douce sous et entre les seins pour enfin caresser son ventre jusqu'au pubis.

Ces caresses simples semblent la mettre en émoi car je la sens en attente de la suivante. Sa respiration s'est légèrement accélérée, et tout en continuant ces effleurements je constate que sa fente s'est humidifiée. Je pose un doigt sur ses lèvres. Elle sort le bout de sa langue et commence doucement à le lécher, puis petit à petit elle l'aspire plus profondément dans sa bouche, le suçant comme elle le ferait de ma queue, qui est d'ailleurs de plus en plus à l'étroit dans mon jean. De mon autre main j'ai saisi une poignée de ses cheveux et imprime le mouvement d'une fellation à sa tête.
La scène est pour moi divinement excitante.

Doucement, sans brusquer les choses et toujours en silence, je passe entre ses fesses le doigt qu'elle a mouillé. Je descends doucement, effleurant à peine la corolle brune de son anus, écarte délicatement les lèvres humides de son sexe et introduis mon doigt dans son antre. J'avance lentement, appréciant la chaleur et l'humidité des lieux. Le parfum de son sexe m'enivre.

Elle a écarté un peu ses genoux pour me faciliter l'introduction. Je fais quelques allers et retours au plus profond de son vagin puis retire mon doigt trempé de sa mouille. Je le porte à ses lèvres pour lui faire goûter son propre désir, puis je me recule et prends dans mes affaires un objet acheté en fin d'après-midi ; il s'agit d'une sorte de fouet dont les lanières sont faites de crin (de cheval ?) soyeux. Je n'en connais pas le nom ; je le nommerai donc fouet de crin. Je pose le crin sur ses fesses et reste ainsi immobile un instant.

La matière est soyeuse et douce. Je la prends aux épaules et la fais se retourner, s'allonger sur le dos les bras (toujours liés à la tête de lit) au-dessus de la tête. Je promène le crin sur son sexe, remonte sur son ventre puis ses seins. Je frappe ses mamelons avec le crin. Aucune douleur, bien sûr ; juste une caresse soyeuse sur les bouts turgescents. Je m'applique à honorer chacun de ses superbes seins du même nombre de coups jusqu'à obtenir qu'ils se dressent fièrement. Elle commence à se tortiller essayant d'échapper à la caresse.

Je la repositionne sur les genoux et fais glisser les crins sur ses deux globes fessiers, puis je frappe la fesse. Ce geste ne peut provoquer aucune douleur. Je recommence encore une fois, m'appliquant à faire frotter les crins sur ses lèvres humides et sa pastille anale. Je continue de frapper son sexe et ses fesses ainsi pendant plusieurs minutes, et je me rends compte qu'elle apprécie la caresse : elle se tortille, cherchant à prendre plus de plaisir à ces frottements qui doivent commencer à la « chatouiller ». Ce traitement l'excite ; sa respiration est rapide, elle mouille abondamment, et je me délecte de la voir se trémousser sous les coups de ce nouveau jouet. Je m'arrête un instant, glisse un doigt dans sa fente détrempée et demande :

— Il semblerait que tu aimes ce que je fais : tu es trempée. Tu aimes ça ?
— Oui.

Je recommence à flageller son sexe avec les crins.

— Je n'ai pas entendu ta réponse !
— Oui, mon Maître.
— Voila qui est bien mieux.

Je cesse le traitement que je lui infligeais jusque là et promène maintenant le manche de ce jouet le long de sa chatte humide, écartant les lèvres, appuyant doucement sur son clitoris, puis je remonte sur son anus, en frotte un peu l'entrée fermée avant de redescendre vers son vagin. J'y introduis l'extrémité de ce manche sur quelques millimètres, jouant à l'entrée de son antre ; je ne l'enfonce pas plus et m'amuse à le promener de haut en bas, pénétrant parfois de quelques millimètres seulement son sexe qui petit à petit s'ouvre. Je me penche pour souffler sur son clitoris tout en jouant avec ce godemichet improvisé ; encore une fois elle se déhanche, cherchant la pénétration et la satisfaction de ce désir que je sens enfler en elle.

Je coince le fouet entre ses talons que je resserre pour le maintenir érigé, improvisant un sexe dressé entre ses cuisses qui effleure ses grandes lèvres. Le godemichet improvisé arrive juste à l'entrée de son sexe. En se redressant un peu, elle pourrait le faire entrer au plus profond d'elle-même ; cependant, comme elle est toujours attachée à la tête de lit, elle ne peut que se redresser à moitié, et du coup l'objet ne peut qu'entrer sur 3 ou 4 centimètres. Elle essaie pendant un moment de se satisfaire de cette pseudo-pénétration en faisant des mouvements de bassin appuyés sur le bout du fouet ; mais, souhaitant la garder en haleine, je ne la laisse pas jouer. Je déboutonne mon jean, retire mes vêtements, m'agenouille sur le lit à hauteur de son visage et appuie sur sa tête pour amener ses lèvres sur ma queue et l'empêcher de s'empaler sur le sexe en plastique.

— Tu aimes sucer ma queue ?
— Oui, mon Maître.
— Tu aimes être ma petite chienne soumise ?
— Oui, mon Maître.

Ce regain de soumission m'excite et ma queue prend une vigueur nouvelle, enflant contre ses lèvres qui commencent à m'embrasser.

— Tu sais ce que j'aime quand je suis dans ta bouche ; alors fais ce que j'aime.

Elle ne peut répondre, ayant englouti ma queue presque jusqu'à la garde. Un long moment je la regarde déguster mon sexe ; et même avec sa bouche déformée par ce dernier, je la trouve divine.

Elle sait me satisfaire avec sa bouche, et je retiens difficilement mon envie de venir immédiatement dans sa gorge. Elle s'applique à lécher et sucer ma queue et mes boules de la manière la plus torride que je puisse imaginer. Elle enduit mon sexe de salive, l'avale presque entièrement, passe sa langue partout où les sensations sont les plus délicieuses. Elle y prend visiblement du plaisir car elle pousse de petits gémissements divinement excitants. Je sais que le fait de me donner du plaisir lui en procure également ; ajouté à cet objet qui la pénètre à peine, elle est au bord de la jouissance. Moi aussi. Et plutôt que de me retenir, je sors ma queue de la douceur de sa bouche et je jouis sur son visage, déchargeant pour la première fois sur ce joli minois. Deux longues traînées viennent décorer sa peau douce et blanche.

— Merveilleux plaisir que celui que tu viens de me donner ; je vais maintenant prendre soin de te rendre la pareille. Mais avant cela, je dois te poser une question : souhaites-tu que nous soyons plus que des amants ?

Elle gémit encore doucement et dit dans un murmure :

— Ne le sommes-nous pas déjà un peu ? Oui, mon homme, mon chéri, mon Maître : je veux être ta chérie, ta petite chienne soumise, ta maîtresse. Je serai ce que tu veux. Mais pour le moment, ne me laisse pas ainsi…

Je n'en avais pas l'intention. Je suis heureux car elle a dit ce que j'attendais d'elle, de la manière la plus complète que je pouvais attendre.

Je retire l'objet qui lui ouvrait délicatement le sexe et viens poser ma bouche sur ce puits ruisselant de désir. Elle se cambre pour me faciliter l'accès et laisse échapper un long soupir. Je glisse ma langue dans sa vulve pour y recueillir le jus de son plaisir. Ma langue explore le plus profondément possible son antre, puis elle va cueillir son bouton de plaisir, le faisant sortir un peu plus de sa cachette. Je l'aspire et le suçote délicatement. L'orgasme si longtemps contenu se libère d'un coup et elle se laisse aller à la jouissance dans un long râle.

J'attrape ses fesses à pleines mains et les écarte pour découvrir la rondelle sombre de son anus. Ne lui laissant pas de répit après cette première jouissance, je commence à lécher cette zone à grands coups de langue. Dans le même mouvement, j'enfonce un doigt dans son sexe brûlant et je masse son clitoris avec mon pouce ; elle râle et gémit sous ce nouvel assaut de caresses. Le bout de ma langue entre dans son petit orifice encore serré, et ce sont maintenant deux doigts qui la fouillent sans ménagement.

Ma queue ayant repris de la vigueur, je me glisse sous elle afin qu'elle recommence à me sucer. J'adore sentir sa langue sur ma hampe. Ainsi installé dans un simple 69, je dévore son sexe et son anus tandis qu'elle avale goulûment ma queue.

Je ne veux pas jouir ainsi, alors j'appuie sur ses hanches pour la faire glisser sur mon torse puis avancer sur mon ventre. Arrivée à hauteur de mon pubis, elle se soulève un peu et vient s'empaler sur mon sexe bien raide. En un mouvement rapide, elle enfile ma bite au fond d'elle et se met à onduler du bassin tout en gémissant. Placé comme je le suis, j'ai une vue imprenable sur son dos et ses fesses. Je glisse un doigt entre ses globes et viens chatouiller son anus ; elle accélère ses mouvements.

Elle s'est accroupie, et maintenant elle monte et descend le long de la colonne de chair. Mon doigt, rejoint par un confrère, reste immobile sur mon pubis, et c'est elle qui s'empale sur eux. Prise des deux côtés, elle crie de plus en plus fort. Elle sort mon sexe du sien, et d'un mouvement de bassin contrôlé place mon gland à l'entrée de son cul. Elle pousse d'un coup, et je me retrouve dans cet autre conduit plus étroit. Elle me dit :

— J'ai les mains liées ; caresse-moi la chatte.

Sans même lui répondre, j'obtempère et me mets à lui frotter le clitoris avec vigueur. C'en est trop pour l'un comme pour l'autre, et nous jouissons en un bel ensemble au moment même où je lui presse un sein de ma main encore libre. Elle serre les cuisses sur ma main qui la masturbe, contracte son vagin et les muscles de son anus, et les tremblements qui l'agitent me laissent penser qu'elle a un orgasme puissant. Je me libère en elle avec un long râle alors qu'elle crie son plaisir comme elle ne l'a jamais encore fait. Si elle a des voisins, ils savent que nous sommes en pleine jouissance !

Elle se laisse tomber en avant, libérant mon sexe et un flot de sperme qui ruisselle de son anus sur ma bite encore raide et rougie de plaisir. Je me relève et défais les liens qui l'entravaient depuis le début de nos ébats. Je lui retire son bandeau et l'embrasse amoureusement sur la bouche. Qu'elle est belle quand elle a joui !

— Fais-moi l'amour comme cela tout le reste de notre vie… dit-elle dans un souffle.