La profiteuse - II

Le lendemain matin je pars bosser. Dans la chambre contiguë à la mienne, elle dort encore. Je la vois en passant puisque sa porte est restée ouverte. Elle dort à poil, son corps à moitié découvert par le drap.

Je ne la réveille pas ; je la laisse roupiller, cette feignasse. Elle a de la chance, je ne suis pas du matin. Et je n'ai pas trop de temps. Mais bon, si j'avais eu envie, je lui aurais fourré ma queue dans la bouche pour qu'elle la suce bien et lui redonne de la vigueur tout en lui enfonçant un doigt dans le cul. Elle est là, disponible, offerte. Pourquoi me priver ? Et elle doit payer sa pension.
Mais j'ai un peu mal à la bite, à force de l'avoir défoncée par tous les trous hier.
Elle ne perd rien pour attendre. On verra ce soir, ou demain.


Vers dix-huit heures je rentre du taf. Elle est à la maison. Je constate avec ravissement qu'elle n'a pas bougé de chez moi et, qui plus est, qu'elle s'est faite belle. Elle est bien coiffée, bien maquillée. Elle arbore une tenue plaisante (un pull coloré et une jupe en toile qui lui arrive au genou) et porte des chaussures d'été à talons, très jolies.

En même temps, elle a dû en profiter pour se prélasser, ne rien glander.
En effet, elle a regardé la télé, lu quelques revues, et s'est empiffrée : la réserve de mes meilleurs cookies a descendu sérieusement. Elle peut toujours parler sans arrêt de régime : il y a loin de la coupe aux lèvres !
« Bon, elle a repris des forces ; elle a raison : elle va en avoir besoin ! » je me dis.

Elle me confirme qu'elle n'a rien fait (j'avais deviné) mais que demain elle a des démarches administratives à faire, des gens qu'elle doit voir. Elle va partir pour la journée. Je me dis qu'elle va trouver quelqu'un chez qui se faire inviter pour déjeuner, cette pique-assiette.

Évidemment, elle n'a pas fait un brin de ménage, n'a rien préparé pour le dîner (même s'il y avait tout ce qu'il fallait dans le frigo), et même pas mis la table. Je doute même qu'elle m'aide ce soir, mais je suis sans doute mauvaise langue.
Enfin, je suis de bonne humeur. Je ne me plains pas ; après tout, elle sait comment elle doit payer son séjour : elle a compris le deal et tient à en rester là. Ça lui convient, finalement. Elle n'a pas l'intention d'en faire plus. Donner son cul, ça doit lui aller : ce n'est pas trop fatiguant, et en plus elle y trouve son compte.

Elle ne m'a pas sauté au cou – faut pas rêver – mais elle m'a quand même accueilli en m'embrassant. Pas avec une bise sur la bouche, non, mais en me roulant carrément une pelle. On dirait que ça commence à lui plaire.
C'est agréable, même si ça me donne l'impression troublante qu'on est tous les deux en couple. Oui, bah ça, jamais ! Cinq jours à la tringler, c'est bien, mais c'est suffisant.

En fait, je suis crevé. Et il faut me mettre à faire le dîner. Pas question de compter sur son aide.
Je m'y mets, et commence à préparer le repas.

Je suis mauvaise langue : elle met la table, m'aide sans que je lui demande quoi que ce soit. Elle me raconte sa journée, je la trouve très volubile, presque enjouée. Bien entendu, elle ne me demande pas comment s'est passée la mienne. Pas dans ses habitudes de s'enquérir des autres, ça le je sais. Mais elle est souriante, semble très en forme ; elle chantonne presque.

Je vais bientôt servir le repas. Elle est appuyée le dos contre la table, me regarde avec un air charmeur. Elle a son sourire énigmatique, des faux airs de Maria Pacôme (enfin, quand elle était jeune) ; j'ai l'impression qu'elle est en train de me faire son grand numéro de charme, de séductrice  : elle sait qu'elle me plaît physiquement ; elle en joue, c'est sûr.

Je pose un saladier sur la table, tout près de l'endroit où elle se trouve. Elle m'agrippe au passage avec un geste langoureux, m'attrape le cou, m'attire à elle. Elle me roule à nouveau une pelle. Je la prends par la taille, automatiquement. Le patin s'éternise, elle se love contre moi, ondule, fait durer ; son baiser est vraiment passionné.

Ma main descend et lui palpe les fesses ; je la sens frissonner. Ma main arrive à passer sous la ceinture, et même sous le slip ; je lui pelote ses fesses nues, elle ne se plaint pas. Je retire ma main et remonte sa jupe tout en continuant à la galocher. Je plaque ma main sur son mont de Vénus bien renflé et je commence à le malaxer à travers le fin tissu : elle se met à gémir.
Mais elle est train d'y prendre goût, la garce !

Je me détache d'elle d'un coup en m'exclamant :

— Merde, ça va cramer !

Ce n'est pas qu'un prétexte, mais ça va vraiment arriver si je n'enlève pas mon poêlon du feu.
Je nous sers le plat ; elle s'assoit, ravie, me fait même des compliments. Mais je perçois dans son œil qui s'est allumé et un sourire inhabituel qu'elle a des idées derrière la tête.
Moi qui ai eu mon compte hier, je suis presque pris à mon propre piège.

Nous dînons lentement ; je prends mon temps pour faire suivre les plats. Je compte sur sa fatigue. Mais la salope n'est plus franchement fatiguée : elle a pu se prélasser au lit toute la matinée. J'aurais mieux fait de la réveiller en me levant et de la sauter encore ensommeillée. Mais objectivement, je n'avais pas le temps, dommage. Maintenant c'est moi qui suis rincé.

Pour le dessert j'ai prévu des fraises à la chantilly. Je fais d'abord la chantilly en versant la crème liquide dans le robot.
Elle est restée assise à table. Quand je jette un coup d'œil derrière mon épaule, je vois qu'elle me regarde avec un air sensuel, presque lubrique. Merde, je n'aurais pas dû la regarder, elle a dû prendre ça pour une invite, ça l'a attirée. Elle se lève nonchalamment. Moi j'ai sorti les fraises, les lave et commence à les équeuter (pour l'heure, c'est moi qui ai l'impression d'être un peu équeuté…).
Elle est déjà derrière moi, se colle à moi avec la sensualité d'un reptile et me susurre :

— Tu veux que je t'aide…?
— Non, non, dis-je de l'air le plus placide possible, ça va.

Je sens bien qu'une proposition d'aide de cette feignasse, ça sent forcément l'embrouille !
Elle passe ses mains de chaque côté de moi, me colle son ventre contre mes fesses, ainsi que ses nichons pulpeux qu'elle presse doucement contre mon dos.
Je sens son souffle ; son visage est tout près de mon cou.

— Elles sont bonnes ?
— Je ne sais pas, je ne les ai pas encore goûtées…

Du bout de ses doigts fins aux ongles soignés et vernis de frais, elle saisit délicatement une fraise encore entière, entrouvre ses lèvres, et très lentement, comme au ralenti, elle l'introduit dans sa petite bouche si bien dessinée comme si elle allait la sucer. Elle arrondit sa bouche au maximum – on dirait la photo d'une pub – et je vois ses beaux yeux gris-vert briller, à demi fermés, comme elle seule sait le faire. C'est un monstre de sensualité. Elle sait bien jouer d'autres rôles que celui de la parfaite conne immature…

La fraise disparaît totalement entre ses lèvres puis ressort, rentre à nouveau pour ressortir à moitié ; enfin elle mord dedans du bout de ses incisives et me met le fruit ainsi amputé sur les lèvres. Fatalement, je l'aspire.
Elle sait y faire avec moi. Je vois ses mâchoires bouger lentement. Elle écrase sur son palais le bout de fraise avec dans les yeux un air gourmand. J'en fais de même.
J'acquiesce du chef :

— Hum, est elle bonne…
— Oui, approuve-t-elle d'une voix feutrée, et si fraîche…

Évidemment, elle me donne sa bouche que je ne refuse pas ; elle est encore toute sucrée du fruit. Sa langue glisse contre la mienne ; je suce cet autre fruit frais et délicieux. Ses bras sont passés autour de mon cou ; je l'enlace de mon bras libre. On dirait qu'elle a repris goût aux activités sexuelles (avec un homme, du moins : je ne sais pas ce qu'elle a fait toute seule depuis des années) et que ça a réveillé sa libido.
Si ça continue, elle va finir par être insatiable !

Tout en la galochant, je me demande si elle a envie de manger ses fraises avec de la crème ; ma crème, je veux dire…

J'ai fini par lâcher mon couteau ; la moitié des fraises seulement sont coupées. Ma main droite va direct au petit renflement entre ses cuisses, puis trouve rapidement un passage entre son ventre et sa jupe, puis sous le slip où mes doigts glissent dans sa fente que je trouve déjà toute mouillée.
Deux de mes doigts jouent un ballet endiablé entre ses fines lèvres sexuelles, descendent jusqu'à l'orifice de sa conque, s'y engouffrent et commencent à la fouiller avec passion ; elle se met à geindre tandis que je lui suce la langue.

Je lâche sa bouche et ressors mes doigts : ils sont tout luisants de sa sève. Je prends une fraise encore intacte et l'enduis de cette liqueur translucide et brillante, puis la mets entière dans ma bouche. Je la savoure tout en regardant les yeux de Patricia qui commencent à rouler d'excitation, comme affolés, et je lui dis en la fixant bien dans les yeux :

— Hum, moi, c'est comme ça que je les préfère !

Elle est comme pétrifiée, un sourire figé un peu stupide sur les lèvres, terriblement troublée. Étonnée comme si elle ne savait pas qu'on pouvait inventer des jeux sexuels.
Je ne me démonte pas et lui dis :

— Enlève ta culotte. Mais sans enlever ta jupe.

Elle hésite une seconde, mais semble pour une fois bien décidée à me suivre dans mon jeu.
Je la vois se contorsionner et descendre sa culotte sans relever sa jupe. La jolie culotte rose en dentelle – elle m'a gâté – tombe sur ses chevilles. Je lui ordonne :

— Donne-la-moi. Avec ta jambe. Sans t'aider de tes mains.

Elle sourit. Elle est encore souple : elle lève son genou, puis sa cuisse, amenant finalement son pied encore chaussé à hauteur de ma taille où, là, je daigne me saisir de son sous-vêtement. Je le regarde, le retourne, et constate avec un sourire satisfait qu'il a une petite tache de mouille. Je le porte à mes narines, renifle avec délectation les effluves sexuelles de Patricia.

— Hum… Tu sens la chienne en chaleur…

Je m'approche d'elle, la prends par la nuque et lui mets le tissu léger sous le nez.

— Sens.

Elle a un petit mouvement de recul, un peu écœurée.

— Ne prends pas cet air dégoûté, ma chérie ; je ne vais pas te demander de la lécher. Je ne vais pas t'obliger à goûter à ta cyprine…

Je pose la culotte sur la table et passe un bras autour de sa taille. Ma main descend vite fait sous la jupe puis remonte, palpant ses fesses nues tandis que l'autre a fait de même par devant, mes doigts retrouvant leur place, bien au chaud entre ses lèvres vulvaires. Tandis que je lui pelote ses belles fesses charnues, je glisse deux doigts dans sa chatte et commence à lui astiquer le point G, d'abord lascivement, puis vigoureusement.
Ma bouche a repris sa bouche et je la gamelle avec fougue ; elle geint, pousse des petits cris étouffés puisque ma langue la bâillonne efficacement.
Je délaisse sa bouche pour lui dire :

— Reste là. Ne bouge pas.

Je vais au frigo où je prends une belle carotte.
Ma main gauche reprend sa place sous sa jupe et sur ses fesses ; de l'autre, je guide la carotte jusqu'à ce que je trouve l'entrée de sa conque et je commence à la lui enfiler, doucement, puis de plus en plus vite et de plus en plus loin. Je lui gode la chatte avec la racine ferme en la regardant dans les yeux, ses beaux yeux verts qui pâlissent ; j'embrasse ses joues, les bords de sa bouche, vicieusement.
Elle prend ma bouche ; je lui suçote les lèvres. Elle se met à haleter.

Ma main gauche ne reste pas inactive : elle s'insinue dans son sillon fessier, commence à lui caresser le petit cratère. De la main droite je lui baratte la chatte de plus en plus vite. Sa respiration est courte, saccadée. Quand mon majeur gauche force son petit orifice, elle se met à jouir violemment ; elle en tremble sur ses jambes. Mon doigt bien planté au fond de son trou du cul la maintient debout ; sa tête révulsée en arrière lui donne un air éperdu : on dirait qu'elle est partie.

Je finis par retirer mes doigts et la carotte ; elle reprend peu à peu ses esprits. Elle me regarde avec un sourire un peu béat, euphorique. Je la mate droit dans les yeux et je croque dans la carotte.

— Et… quoi de neuf, Docteur ?

Elle rit brièvement. Elle aussi connaît Bugs Bunny.

C'est bon pour ce soir. Je mange mes fraises et la laisse tranquille, espérant qu'elle a eu sa dose et qu'elle ne va pas me sauter dessus.

Manifestement, la fatigue chez elle se fait sentir juste après, et vu l'orgasme qu'elle a eu (et qui a dû la vider), elle a rapidement les yeux qui se ferment à moitié et va se coucher de bonne heure. Ça m'arrange. Je lui dis bonsoir et la laisse aller se coucher. Elle me demande juste de la réveiller demain matin quand je partirai bosser.


Le lendemain est le jeudi. Je me lève sans faire de bruit, déjeune, prends ma douche et m'habille. Lorsque je suis prêt à partir, je vais dans la chambre de Patricia.
Elle bouge, à demi ensommeillée (ou alors elle fait semblant).

— Je m'en vais. Il est huit heures moins le quart.

Il fait chaud, elle n'est couverte que du drap. Elle entrouvre les yeux, tend les bras et enlace mon cou, m'attire à elle. Je l'embrasse langoureusement. Ma main gauche s'est glissée sous le drap et caresse son corps nu, pelote doucement ses seins au volume agréable. Ses pointes se dressent immédiatement. Je descends sur son ventre, lentement, et j'empaume le mont de Vénus tout lisse. Quelle surprise ! Une bonne surprise qu'elle m'a faite : elle s'est rasée hier soir avant d'aller se coucher, la salope… Je le palpe goulûment, le presse, puis mes doigts descendent dans sa fourche (elle est tout humide de la nuit) et je les fais glisser deux ou trois fois de haut en bas. Déjà elle entrouvre les cuisses. Elle s'offre, chaude comme la braise.

Tout ça ne dure que quelques instants – le temps de la pelle que nous nous roulons – mais ce n'est pas l'envie de la sabrer comme ça, vite fait bien fait au réveil, qui me manque (quant à elle, n'en parlons pas…), mais je me détache d'elle à regret.

— Il faut que j'y aille ; je vais être en retard. À ce soir. Je t'ai laissé une clé sur la table de la cuisine pour refermer la porte, et ouvrir ce soir si tu rentres avant moi.
— À ce soir… me dit-elle en soupirant, avec un air sensuel.


Le soir, mon boulot m'oblige à rentrer plus tard que d'habitude. Il est près de dix-neuf heures quand je passe la porte de chez moi. Bien entendu, elle est déjà rentrée. Et, oh, surprise, elle a acheté des fleurs qu'elle a placées dans un vase. Il n'y a rien à fêter, pourtant…

Elle m'accueille avec un sourire encore plus large que d'habitude. Elle porte une fantastique robe d'été, légère et fleurie, dont le tissu flotte sur elle avec grâce. C'est une robe longue mais très décolletée, et je m'aperçois qu'elle est fendue sur le côté de la cuisse, d'une fente qui monte très haut. Elle a des souliers à boucles, très élégants, et avec de hauts talons comme je ne lui ai jamais vus aux pieds.

Elle se tient devant moi, m'attend, me barrant pour ainsi dire le passage, dans l'encadrement de la porte de la cuisine. Je m'avance vers elle ; elle me tend lentement les bras et m'enlace, m'offre sa bouche de façon gourmande.

J'apprécie toujours de sentir sa taille bien marquée, sa chaleur. Cela me rappelle avec émotion le jour où, pour rire, nous avions pris la pose, moi l'enlaçant par la taille, devant un ami de nos amis dont nous fêtions l'anniversaire. C'était un jour tiède d'automne, clair et beau, et j'ai longtemps regretté de ne jamais avoir pu voir cette photo.

Mes mains descendent vers sa croupe. Je presse doucement ses fesses par-dessus le tissu lisse et doux. Elle me roule une galoche d'enfer. J'ai vraiment l'impression qu'elle a été très longtemps sevrée de baisers, de ce genre de baiser profond et langoureux, qu'elle vient d'en retrouver le goût, et qu'elle n'a plus envie de s'en passer. Ça me fait un peu peur, en même temps…

Ce baiser s'éternise ; je pensais que ce serait un simple baiser de bonjour, un baiser de bienvenue, mais elle le fait durer, se love contre moi, presse ses seins pleins contre mon torse.
Du coup, puisqu'elle en veut, je laisse glisser ma main jusqu'à la fente de sa robe et s'y aventurer. Elle rencontre avec satisfaction la peau nue et douce du haut de sa cuisse ; je la caresse, remonte vers sa fesse. Et là, seconde surprise : elle n'a pas mis de culotte, elle est cul nu sous sa robe, la salope !

Ma main trouve avec plaisir et gourmandise le galbe ferme et souple de sa fesse ; je me mets à les palper l'une après l'autre. La réaction ne se fait pas attendre : elle frotte son bas-ventre contre le mien en un sensuel mouvement de reptation.

Je me rends compte que cette fille me fait vraiment de l'effet. Il faut dire qu'elle sait qu'elle me plaît, et en plus elle met le paquet, la garce ! Heureusement que ce n'est que physique, et que jamais je ne me mettrai en ménage avec cette meuf ; je prétexterais – ce qui est vrai – que je ne remplacerai jamais ma femme que j'ai aimée pendant plus de vingt ans et auprès de qui j'ai été tellement heureux.

Mes doigts glissent entre ses fesses et descendent vicieusement ; ils passent sur la rondelle où ils s'attardent un peu. Je résiste à l'envie de lui enfoncer mon doigt dans le cul ; pourtant, ça lui ferait les pieds et lui ferait comprendre qu'elle m'appartient, du moins pendant les trois jours où je l'héberge. De toute façon, elle a l'air de l'avoir bien compris et ne s'oppose plus à cette idée ; on dirait même que ça lui convient parfaitement, et que non seulement ça ne la dérange pas de se faire baiser matin et soir, mais qu'en plus c'est elle qui en redemande !

Mes doigts descendent plus bas, trouvent l'entrée de la corolle et s'y enfoncent doucement ; elle est déjà toute moite. Je me mets à bander comme un malade. Elle doit le sentir, tellement elle presse son bas-ventre contre moi. Ce qui doit expliquer que soudain elle lâche ma bouche, et ses mains descendant comme pour une caresse sur mes épaules, ma poitrine, mon ventre. Elle se laisse tomber à genoux, et, avant que j'aie eu le temps de réagir, elle s'est déjà attaquée à ma braguette. Elle en extirpe ma queue fièrement dressée et dure – ce qu'elle semble apprécier vu comment elle la presse doucement entre ses jolis doigts – et la prend doucement dans sa bouche délicate et gourmande.

Elle commence à me sucer en me jetant des œillades par dessous. Je souris et lui caresse ses beaux cheveux. Elle a vite compris la technique, et je dois dire qu'elle s'y prend bien :
elle suce méthodiquement et lentement, avec des mouvements d'avant en arrière, s'attardant bien sur le gland… Putain, elle me fait décoller cette salope ! Et on dirait qu'elle aime ça, maintenant.

J'interromps sa caresse buccale et, la prenant sous les bras, je la fais remonter. Sans un mot, je lui attrape doucement mais fermement la nuque et l'invite ainsi à se positionner debout contre la table de la salle à manger.
Elle sourit ; elle a compris. Elle s'appuie sur ses mains et écarte légèrement les jambes.

Mes mains, passant par les fentes de sa robe, remontent en caressant ses cuisses douces et pleines ; puis, me saisissant de la robe, je la remonte d'un seul coup jusque sur ses reins, dévoilant sa croupe blanche, mettant à nu ses deux belles fesses épanouies. Je noue comme je peux la robe par devant son ventre, au risque de la froisser et d'en faire un chiffon (mais je m'en fous). De la paume, je lui fais encore écarter les cuisses et je guide mon vit dressé entre ses cuisses, où je trouve l'entrée de sa chatte. Sans autre forme de procès, je l'enfile d'un seul coup et m'enfonce jusqu'à être en butée tout au fond d'elle. Elle pousse un gémissement de contentement qui ressemble à un petit cri bestial.

Je positionne mes deux mains sur sa taille bien marquée, l'enserrant, lui faisant bien sentir mon emprise, et je commence à la saillir à un rythme soutenu. Je la besogne à grands coups de reins, et tout de suite elle se met à pousser des cris, des râles de joie ; elle accueille chaque coup de bite avec un cri enthousiaste. Elle m'excite ! Je me mets à la baiser sans relâche, vigoureusement. Je la défonce.

Elle baise comme une reine, donne des coups de bassin en arrière, et très vite se met à jouir bruyamment, comme une hystérique. Les fenêtres sont ouvertes à cause de la chaleur, mais tant pis pour les passants s'il y en a !

Vraiment, elle y prend goût à la baise. Comme quoi il n'y a pas d'âge, il n'est jamais trop tard. Elle a l'air de l'apprécier cette levrette. Je sens dans son ventre les vibrations et les ondulations du plaisir. Elle s'affaisse à moitié sur ses bras, ses jambes flageolent, mais je continue à la sabrer à grands coups de pine. J'y vais de bon cœur ; je ne lui fais pas de cadeau (enfin, façon de parler… parce que ses orgasmes ont l'air de se succéder, de la ravager). Elle se met à hurler.

Mon plaisir à moi ne montant pas (j'ai acquis en quelques jours une endurance hors norme, et elle n'a fait que me vider les couilles durant ces trois jours), je lui donne le coup de grâce – quelques coups de reins bien appuyés, bien puissants – puis la libère.
Je pars me nettoyer la queue et lui lance, sans transition :

— Bon, on mange ? J'ai faim.

Quand je ressors de la salle de bain, elle a repris ses esprits, sa robe rabattue et en place, et elle sort du frigo les hors-d'œuvre.

Avant de m'asseoir je l'embrasse brièvement sur la bouche. Nous nous mettons à parler de sa journée, puis des modalités de son départ du lendemain. Nous convenons qu'elle va partir en même temps que moi et que je vais la déposer à la gare, quitte à faire un petit détour.

Je la trouve beaucoup plus gaie et plus positive que lorsqu'elle est arrivée ; je me dis que ce dont aurait besoin pour soigner son pessimisme habituel, voire sa sinistrose, ce sont des orgasmes réguliers et des coups de pine fréquents.
Mais pour ma part, ça ne pourra être qu'occasionnel, et pas trop souvent. De toute façon, elle vit à l'étranger, et quelque part, ça m'arrange bien.

À peine le dîner terminé, je vois sur son visage une grande fatigue : elle a du mal à lutter, ses yeux se ferment. Je la connais bien : je sais que ça n'est pas feint. Entre la fatigue de la journée, moi qui lui ai pilonné la chatte et ses orgasmes en salves tout à l'heure, je crois qu'elle est bien vidée.

Je la laisse aller se coucher ; je ne lui demande rien. Je vais débarrasser et remettre en ordre la cuisine.
Il a été convenu que je la réveillerais demain matin vers 6 h 30 pour qu'elle ait le temps de ranger ses affaires et de faire sa valise.


Le lendemain matin je me réveille tout seul peu après 6 heures. Il fait déjà assez chaud, et la lumière de ce début d'été emplit la pièce. Patricia, dans la chambre à côté, dort encore comme un bébé.

Je me suis réveillé avec la gaule, et j'ai envie ; alors je vais la faire bénéficier de mon état physiologique pour la réveiller en douceur, histoire de lui faire mes adieux en y mettant les formes ! Je me lève, à poil, et marche jusqu'à l'entrée de sa chambre. Nous avons dormi avec nos portes ouvertes et je peux la contempler : elle dort, à poil elle aussi ; elle a rejeté le drap loin d'elle. Je contemple un instant son corps si blanc, un peu replet mais sans plus, ses beaux seins étalés et appétissants ; elle a un visage d'ange, elle est jolie même quand elle dort. Elle n'a pas mis de réveil, préférant que je me charge de la réveiller ; être le gardien de son sommeil, c'est touchant.

Je m'assois très doucement à côté d'elle ; elle bouge un peu, soupire. Je lui caresse doucement le flanc ; elle entrouvre les yeux, ébauche un sourire, se met sur le côté face à moi. Je m'allonge à côté d'elle, tout contre son corps chaud. Les yeux à demi-fermés, elle me tend les bras et m'enlace. Je me mets à la caresser. Ma bouche fond sur la sienne qui s'ouvre, et ma langue l'investit.

Ma queue raide se frotte contre son ventre, je lui caresse les fesses ; elle commence à onduler du bassin dans une danse sensuelle. J'embrasse ses lèvres, je tète sa langue, puis ma bouche glisse sur son menton, son cou. Elle écarte les cuisses, s'ouvre à moi, tout naturellement, sans faire de manières.

Ma langue descend sur ses seins. Je prends ses mamelons dans ma bouche et les suçote l'un après l'autre ; ça lui fait l'effet d'une décharge électrique : elle se pâme, ses fraises durcissent immédiatement sous mes lèvres. Je les agace entre mes dents ; elle gémit. Je pétris ses belles pêches de mes doigts.

Ma langue continue sa descente, lentement, inexorablement, passe sur son ventre moelleux. Je caresse ses belles cuisses pleines ; elles s'ouvrent. Je lèche le pourtour de sa vulve odorante tandis que ses mains caressent mes cheveux. Elle s'abandonne à la promesse d'une caresse encore inédite de ma part. Quand ma langue se fraie un passage entre ses fines lèvres roses, elle se met à geindre et laisse échapper force soupirs.

Je lui relève les cuisses, offrant à ma bouche la fente émouvante de sa conque ainsi que le petit œillet plus sombre juste en dessous, et je me mets à la lécher avec avidité en de lents mouvements ascendants et appuyés, répétés. Elle pousse des petits cris. Je lui mordille ses jolis pétales tout luisants de sève, les suçote, prends entre mes lèvres le tout petit bourgeon ; elle devient quasiment hystérique. Apparemment, elle n'a pas eu l'habitude d'un tel traitement, ou alors cela fait bien longtemps.

Ma langue descend jusqu'au petit cratère qu'elle se met à flécher avec adresse ; elle semble apprécier la caresse dont la sensation lui semble moins aiguë, plus supportable. Je vais de l'un à l'autre, joue avec ses nerfs à vif. Ses muqueuses satinées sont douces sous mon organe ; je la sens sur le point d'exploser. Mon muscle buccal en pointe tente de forcer son petit trou ; je le sens bien tonique. Elle ne se plaint pas de cette caresse, se laisse faire, écarte encore plus ses cuisses. Je vois ses mains se crisper sur les draps. Sa respiration est saccadée, haletante.
À peine je relève la tête qu'elle se redresse à demi pour m'attraper par les bras en suppliant :

— Viens, viens ! Prends-moi !

Je ne résiste pas et ne lui refuse pas ce service : je monte vers elle ; elle m'enlace. Je la regarde droit dans les yeux, ses beaux yeux verts qui ont comme un éclat amoureux. Ma bite dressée se pose sur sa vulve. Je sens qu'elle commence à onduler du bassin, me réclame. Ma queue trouve toute seule son chemin, comme si on se connaissait depuis des lustres. Je glisse doucement en elle ; son fourreau m'absorbe et m'enserre. Je sens déjà des spasmes de plaisir dans le bas de son ventre qui vient au-devant de moi. Elle se balance d'arrière en avant comme une hystérique, me contemplant, la bouche entrouverte ; je sens son souffle, elle m'appelle de tous ses sens. Elle me murmure, d'une voix éteinte, mais d'une voix de folle :

— Viens, baise-moi, prends-moi, prends-moi fort…

Lentement d'abord, puis en accélérant, je lui balance mes coups de reins. Je sens que je bute bien tout au fond d'elle, ce qui lui arrache des râles puissants à chaque fois.
Son orgasme monte très vite : je l'entends, je le vois et je le sens.

Mes mains ont saisi le bas de ses reins que presse rythmiquement contre moi à chaque coup de boutoir. Elle n'arrête pas de jouir : on dirait une vanne qui s'est ouverte, et le flot ne semble pas près de se tarir.

Elle m'excite aussi, et j'ai la queue à vif ; mon plaisir monte mais j'en veux plus. Sa chatte est tellement trempée, tellement assouplie par trois jours de baise intense que je ne la sens plus m'enserrer. Alors, soudain, m'interrompant et m'éloignant d'elle, je lui dis :

— Mets-toi à quatre pattes.

Un peu surprise, un peu décontenancée parce que j'interromps cette partie de plaisir, elle semble comme sortir d'un sommeil ou d'un état second ; mais sous la promesse de continuer cette partie avec d'autres plaisirs, elle se redresse sur le coude et se retourne.

— Présente-moi bien ton cul. Cambre-toi bien, donne-moi bien ta croupe !

Elle creuse ses reins, m'offrant le spectacle d'une chienne excitée et de son cul blanc, de ses deux belles lunes épanouies ; en dessous, sa vulve bien ouverte bave un peu. Ni une ni deux, je lui écarte les fesses et me mets à lui bouffer la rosette comme un affamé. Je la lèche, la ventouse ; la pièce s'emplit de bruits de succion obscènes.

Puis je pose mon vit dur et arqué dans son sillon où je commence à me branler lentement ; je l'enduis ainsi de toutes nos sécrétions luisantes. Si elle n'a pas encore compris qu'elle va y passer, que je vais l'enculer sans vergogne, c'est qu'elle est encore plus conne que je ne le pensais ! Mais je sais qu'elle est moins stupide qu'elle n'y paraît, et qu'elle sait bien faire la conne quand ça l'arrange.
Mais juste avant de passer à l'action, histoire de bien marquer cet instant solennel, je lui annonce :

— Je vais t'enculer, ma chérie. Je ne voudrais pas te laisser partir avant de t'avoir à nouveau enculée.

Elle a comme un mouvement de crainte ; je la sens qui se crispe un peu, ses fesses durcissent comme si elle voulait se préparer à l'assaut.

— Détends-toi, ma belle. Tu te l'es déjà prise. Et puis t'es bien excitée, bien mouillée : ça va passer comme une lettre à la poste. Tu vas apprécier…

Et joignant le geste à la parole, m'étant redressé et accroupi au-dessus de son majestueux fessier, je pose mon gland bien rond sur la petite cupule qui n'attend que moi, et je commence à appuyer. Elle pousse des petits cris, je sens qu'elle se crispe. Je n'insiste pas. Je lui enfile deux doigts dans la chatte et je me mets à fouiller vigoureusement. Ses cris se transforment en courts gémissements de plaisir. Je ressors mes doigts bien gluants et je me mets à lui enduire sa petite rondelle en des petits mouvements circulaires ; elle se détend, un peu rassurée.
Je rentre le bout de mon majeur : ça glisse tout seul.

— Hummm, tu es encore serrée, ma chérie ; on dirait un cul de jeune fille. J'aurais dû te pratiquer par là tous les jours. Mais fais-moi confiance, tu vas bien t'ouvrir.

Je la fouille, je la fouaille. Mon doigt tourne bien en elle ; je sens que ses muscles s'assouplissent. J'y rentre l'index dans la foulée et me mets à l'élargir ; elle ne proteste pas, elle a l'air d'apprécier. Dès que je réussis à obtenir une ouverture plus souple et que son petit trou ressemble à une petite bouche arrondie, je ne le laisse pas se resserrer : aussitôt je présente mon gland qui s'enfonce en elle. Dès que ma pine est rentrée de quelques centimètres, elle se met à pousser des râles peu convaincus.

Je l'attrape fermement par les hanches. Mes mains se refermant sur ses poignées d'amour, je me mets à la besogner lentement d'abord, mais fermement. Je lui enfonce ma queue sur toute sa longueur, et les va-et-vient se terminent à chaque coup quand mon pubis arrive en butée contre son cul. Je la sens bien : elle est bien serrée, et je sens ses boyaux brûlants. Ses râles saccadés augmentent en intensité, mais elle a tendance à avancer en glissant sur les draps. Je me retire alors et la tire en arrière jusqu'à ce qu'elle glisse au bord du lit et se retrouve à genoux sur la carpette, à plat-ventre sur le matelas.

Ses cuisses sont désormais coincées contre la barre du sommier, son cul est bien offert comme un autel prêt à être sacrifié. Je me place au-dessus d'elle comme si j'allais faire des pompes et lui ordonne de s'écarter les fesses avec les mains. Elle chicane d'abord un peu, se fait prier ; j'insiste, je la houspille un peu, lui dis que de toute façon elle doit y passer et que je vais lui en mettre plein le cul.
Elle finit par m'obéir, et lentement, avec indolence elle place ses petites mains et entrouvre à peine ses fesses.

— Tu mets vraiment de la mauvaise volonté, ma chérie…

Et sur ces mots, pour lui montrer qu'il ne faut pas me chercher, je prends ma pine tendue, la place où se trouve son petit trou froncé que je me charge de déplisser, et je lui enfonce d'un seul coup et sans douceur ma grosse pine dans le cul ! Elle émet comme un cri de protestation mais encaisse la pénétration, se prenant ma queue jusqu'à la garde.

Le petit conduit est encore bien humidifié, et je me mets à lui défoncer le cul à grands coups de reins. M'appuyant sur les mains, je la pilonne ; elle s'en prend plein son trou de balle ! Elle gueule maintenant, mais ses cris rythmés ressemblent à ceux d'une salope en chaleur qui se fait bourrer le cul avec comme un soulagement.

Je passe mes mains sous sa poitrine et attrape ses seins que je malaxe comme un malade ; je suis excité comme un dément. Son cul étroit me fait un effet dingue, et je lui murmure des saloperies dans le cou. Je vois son visage crispé sous l'effet du plaisir.

Le mien monte vite, très vite cette fois, emporté par l'énergie que je consacre à lui travailler le fion. Et c'est en lui assénant deux grosses claques (une sur chaque fesse) bien sonores que je me mets à rugir, lui envoyant tout mon foutre qui part en plusieurs jets qui brûlent ma queue en feu tout au fond de son rectum.
J'arrive à articuler :

— Tiens, ma chérie, v'là ton lavement gratuit ! Un souvenir de moi.

Heureusement, elle aura encore le temps d'aller aux toilettes avant de partir.
Je lui caresse le dos, l'embrasse un peu dans le cou, lui murmurant « Hum, tu es bonne, ma chérie… » puis je me lève et pars prendre ma douche.
Pendant ce temps elle fera de même dans la sienne.

Vingt minutes plus tard je finis de préparer la table du petit déjeuner. Un bol de café au lait l'attend avec les croissants que j'ai réchauffés. Toute souriante, déjà habillée, elle vient s'asseoir. Elle s'installe et commence à déjeuner de bon appétit. Je m'assois à la table et l'accompagne.
Étonnamment, c'est elle qui rompt le silence, me demandant malicieusement :

— C'est bon ? Tu penses que j'ai payé ma pension ?
— Oui, ça va ; j'en ai eu pour ton gîte et ton couvert.
— Et moi pour les « câlins » aussi, ajoute-t-elle.
— Tu y as trouvé ton compte, finalement ?

Un silence. Elle mâche son croissant sans me regarder, puis :

— Oui, c'était plutôt bien.
— Tu as apprécié, finalement ? Tu ne regrettes pas, tu en es sûre ?
— Non, je ne regrette pas, répond-elle en hochant la tête avec son léger sourire ; c'est encore moi qui y gagne ! ajoute-t-elle malicieusement.
— T'inquiète pas, lui dis-je sur un ton un peu vicieux, j'ai bien pris mon pied.
— Je le sais, répond-elle, sûre et satisfaite d'elle-même. Je pourrai revenir la prochaine fois, alors ? ajoute-t-elle une seconde après.
— Ça, on verra. Ça dépendra. Si je n'ai pas de monde à la maison. Tu n'es pas la seule que j'héberge de temps en temps, ou qui vient passer un week-end avec moi de temps à autre…
— Ça alors… Quel homme à femmes tu es ! Je n'aurais pas cru, répond-elle sans grande conviction.
— Ce n'est même pas moi qui vais les chercher. Les femelles – enfin, certaines – sont attirées par le veuvage, on dirait. Enfin, appelle toujours, on verra bien.
— Oui.

Je me dis que, profiteuse comme elle est, elle ne manquera pas de me rappeler, sûre de se faire héberger et nourrir quelques jours ici, et en plus de se faire baiser et de prendre son pied quotidiennement, ce qui ne doit pas lui arriver très souvent, apparemment. J'espère qu'elle ne viendra pas exprès, même si elle n'a pas une vraie nécessité de revenir en France ; de toute façon, je ne lui dirai OK que si je le peux vraiment.

Évidemment, il ne faut pas que je compte sur une invitation de sa part : ce n'est pas dans ses habitudes de rendre la pareille. Ou alors il faudrait que je fasse comme elle, que j'y aille au culot, lui téléphone et lui annonce mon arrivée ; mais ce n'est pas mon genre. Et c'est elle qui se manifestera bien avant.


Deux mois se sont passés depuis qu'elle est venue chez moi, et ça n'a pas loupé : elle vient d'appeler. Elle était tout enjouée, presque survoltée, et par moments, charmeuse.
Elle débarque dans dix jours.
Faut que je commence à prendre des vitamines…